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Initiation perverse 1

Chapitre 2

Innocence perdue

Erotique
Le jeudi et le vendredi ont été particulièrement fébriles. Être invité par Madame le weekend à son domicile pour une séance d’arts plastiques me fait fantasmer tout en m’interrogeant sur la portée réelle de l’évènement. Madame a parlé de poser comme modèle. Ce qui, après ce qui s’était passé le mercredi, laisse entendre que je serai nu devant elle. Peut-être, elle-même se dénuderait également pour me permettre de la dessiner ... peut-être. Cette seule pensée me donne des érections peu discrètes !
Mais dans le même temps, elle a précisé que son mari, sa fille et son fils seraient présents. Je ne sais donc plus quoi penser et encore moins à quoi m’attendre réellement.
Cependant, décidé à me perdre mon pucelage et à satisfaire mon envie irrépressible de sexe, le samedi, je rejoins Madame à la sortie des cours, sur le parking de l’établissement, comme elle me l’avait indiqué.
Le trajet est de courte durée. Nous échangeons peu de paroles. Madame semble absorbée par la conduite de son véhicule ... moi je ne sais pas trop quoi dire, … ou j’ai trop à dire. Ce qui revient au même ! A peine dix minutes après notre départ du lycée, nous entrons dans une propriété cernée de murs en vielles pierres. Avec au fond, une belle demeure bourgeoise début XXème, pas immense, mais cossue. Le petit parc inclue plusieurs arbres d’un âge respectable et d’une belle taille. Le tout forme un site agréable, à la fois aéré et intime. Le caractère intimiste des lieux est l’impression qui vient d’emblée à l’esprit.
"Ici, tout le monde se tutoie, il n’y a plus de prof, il n’y a pas de parents, de frère de sœur ou d’élève, compris ? " Le ton est à la fois ferme et sympathique ... mais la consigne visiblement sans appel ! " ... compris ? " Madame me repose la question faute de m’avoir entendu acquiescer ! "Oui Madame" j’en balbutie presque de timidité. "Lexi, ici tu m’appelles Carole, il n’y a de Madame qu’au lycée". Tout en me disant cela, sa main se pose sur mon cou, me poussant doucement vers son buste. Je me retrouve le visage près du sien, le souffle court, la rougeur aux joues et la confusion dans le regard ! Sa voix se fait plus douce, mais toujours empreinte d’autorité "bon, mon grand, je ne vais pas te gronder pour cela, embrasses- moi pour la peine".
Mon visage effleure déjà le sien, presque inconscient, dans le brouillard de mes émotions, je pose délicatement l’ourlet de mes lèvres gonflées de désir sur sa joue et l’effleure délicatement. Sa peau de velours renforça encore plus l’érection qui m’a déjà saisi depuis notre entrée dans la maison. Madame, ou plutôt Carole lâche d’une voix presque résignée "bon, il va y avoir pas mal de travail pour te mettre à la page mon petit Lexi !"
Au même instant, un voix masculine, grave et affirmée, se fait entendre "Voilà donc notre dernier modèle pour nos séances dessins du weekend !" une main douce et ferme me saisit le bras et me fait pivoter, m’obligeant à me détacher de Carole. Immédiatement, deux lèvres épaisses se posent sur les miennes ! Surpris, je passe la main sur ma bouche ... aucun homme ne m’a jamais traité ainsi ! Nous sommes dans le hall d’entrée de la maison, une pièce spacieuse, desservant le rez de chaussée par une série de portes et l’étage par une volée de marches d’escalier. Dans un état second, j’entends Carole faire les présentations "Lexi, je te présente mon mari, Joseph. Ici nous sommes natures, toujours près les uns des autres. Une bise, un baiser, un bonjour, qui que l’on soit, se fait toujours sur la bouche. La seconde règle est que nous restons nus tout le weekend, y compris dans le parc, sauf si le temps fraichit trop. Si cela te gène, ne crains pas de le dire, je te ramène au lycée ou à la gare pour rentrer chez toi. Ne te sent pas obligé". Cela fait beaucoup de nouveautés pour le jeune puceau que je suis encore. Je bredouille un vague "pas de souci Mada ... Carole !" quasiment inarticulé tant je suis sous pression ! Cependant, je prononce son prénom presque sur un ton de défi, comme pour me ressaisir. Cela entraine un sourire entendu sur le visage de Joseph et un échange de regards entendus entre lui et Carole.
Alors que Carole et Joseph me font faire le tour de la maison, presque en même temps leur fils et leur fille nous rejoignent. Marie me fait la bise sur les lèvres et se présente ... nue d’emblée. Son visage présente un ovale des meilleurs effets, sa peau me semble de satin. Son teint brun lui donne des airs de méridionales. Dans l’élan de mes émotions, c’est même un air de déesse méridionale ! Plus grande que moi, ses seins sont beaux, ferme, comme deux cônes de chair tendus vers les plaisirs à venir. Ils sont menus, très bien proportionnés. Sa toison épilée laisse place à un triangle de peau plus clair que le reste de son corps légèrement halé. Ce dernier détail donnait le sentiment d’une jeune fille plus jeune que ses vingt ans.  Ma verge déforme toujours plus mon pantalon. A ma grande gêne, cette érection prolongée génère un écoulement qui perçe sans discrétion la toile de mon pantalon !
Simon, son frère, a ma taille et quasiment mon âge. Brun, son polo largement ouvert sur des pectoraux musclés, laisse apparaitre une pilosité fournie pour son âge. Comme je sais maintenant que nous allons tous rapidement nous retrouver nus, je glisse mon regard vers son entrejambe. Visiblement, son paquet est plus fourni que le mien ! Cela provoque chez moi une certaine gêne ... l’esprit coq de village sans doute ! Mon coup d’œil n’échappe pas à son père, Joseph, "Ne t’inquiète pas Lexi, nous sommes tous fait pareil, cela ne veut pas dire que nous chaussons tous la même pointure ! heureusement d’ailleurs, sinon qu’y aurait-il à découvrir ?". Son regard est amusé et sa voix sans reproche. Cela me rassure et du coup m’incite à jeter un regard vers son paquet. Visiblement, pas de déformation de ce coté-là. A priori, mon petit cul ne risque rien avec lui !
"Bon, on ne va pas rester à papoter, mettons-nous à l’aise. Lexi, tu connais ta chambre, c’est celle de Simon. Vous la partagerez ce weekend, cela vous permettra de faire connaissance plus profondément. Dans dix minutes, je vous attends pour déjeuner dans la salle". Indirectement, Carole vient de m’inviter à me mettre en tenue, c’est-à-dire à me dévêtir !
Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons tous dans la salle à manger, grande, bien éclairée par les baies vitrées de trois des quatre murs de la pièce, équipée de meubles en verres. Ce qui avait pour effet d’augmenter l’impression de luminosité.
A peine installé à la table, Simon qui se trouve à ma gauche, se penche vers moi "je ne t’ai pas encore dit bonjour comme il se doit" et dans la foulée, il posa ses lèvres sur les miennes. Je sens tout de suite sa langue tenter de passer entre mes lèvres pour trouver la mienne. Je me recule vivement, surpris et un peu choqué par le geste. Simon éclate de rire "M’man, Lexi est encore puceau ou il s’est gouré de maison ?!"  Soucieux de paraitre dans le coup et déterminé à vivre complétement ce weekend, je balbutie "Non, mais je n’ai pas l’habitude, j’ai été surpris, c’est rien".
Et là je compris l’intérêt et l’inconvénient de la table ronde en verre sans nappe dessus !

Sous l’épaisse couche de verre, Simon exhibe une verge d’au moins vingt centimètres de long et d’un diamètre qui me parait impressionnant ! Sans conteste, Simon apprécie les garçons. Je garde pour moi l’avis mitigé qui m’envahit suite à ce constat. Si j’ai vraiment envie de perdre mon pucelage, si je connais l’existence des rapports entre hommes, je ne les ai jamais pratiqués réellement autrement que par quelques caresses et branlettes entre copains.
Pour ma part, mon excitation est retombée et j’affiche piteusement une bite de six cm maximum ... ainsi qu’une belle trace sur la jambe du liquide secrété par ma précédente érection ! Je m’étais rapidement essuyé lorsque je m’étais déshabillé mais, visiblement, ma queue en avait encore à expulser.
Tout cela met le sourire aux lèvres des tous. Carole et Marie se sont placées en face de moi. Joseph, le père, s’est placé à ma droite et Simon à ma gauche.
Le déjeuner est consommé sans précipitation. Carole et Joseph aiguillent la conversation avec intelligence pour que chacun dévoile un peu une part de soi. De fil en aiguille, je me sens de plus en plus à l’aise. Au dessert, j’ai compris que cette famille a une liberté sexuelle la plus complète et que les relations sexuelles "père - mère - fille -  frère" sont courantes ou du moins pas tabou. J’ai compris également que le dessin et l’aquarelle (pour Joseph et Marie) sont aussi, et surtout ?, l’occasion d’ouvrir les pratiques à des personnes extérieures au cercle familial. J’ai aussi vérifié que Simon a une nette préférence pour les relations entre mecs. Ce qui ne me dit trop rien dans la mesure où à cette époque je conçois la jouissance uniquement dans une pratique hétérosexuelle. Il faut dire que mon statut de puceau ne m’a guère ouvert d’horizon sur les diverses réalités du plaisir entre les personnes.
Au final, je me trouvais à l’aise dans ce milieu. Ma recherche de plaisirs sexuels, jusqu’ici vaine, allait sans doute sortir satisfaite de ce weekend.
Je ne savais pas encore jusqu’à quel point !
Alors que nous dégustons notre thé pour clôturer le déjeuner, Joseph propose les réjouissances de l’après-midi. Son programme est à la fois simple et bien arrêté ! Carole, Simon et moi devons poser pour Marie et lui afin de leur permettre de réaliser leur aquarelle ! Il souhaite nous saisir posant côte à côte puis de nous faire prendre une pose mimant l’amour entre une femme et deux hommes.
L’absence d’opposition de quiconque à ce projet et mon silence prudent font que la décision est acceptée sans restriction !
Nous prenons d’abord une douche. Cela me permet d’effleurer le corps de Carole et de réveiller mon érection. Cela permet aussi à la main baladeuse de Simon de me peloter les fesses sans trop de discrétion. Carole fait semblant de ne rien voir mais son sourire amusé révèle qu’elle ne perd pas une miette de tout cela. Ses deux mains viennent saisir ma nuque pour approcher mes lèvres des siennes. Sa langue se glisse à la rencontre de la mienne sans rencontrer de résistance. Mon bassin vient se plaquer contre le sien. Ma verge est développée à son maximum, je déploie seize centimètres d’un chair laiteuse à l’extrémité cramoisie, plaquée sur mon ventre sous la pression de l’envie de sexe qui m’envahit.
C’est à peine si j’entends Simon commenter la taille de ma bite qu’il estimait trop modeste pour son appétit. A un moment, je sens une main se glisser dans ma raie fessière. Carole y met bon ordre en chassant la tentative d’intrusion de Simon. Celui-ci quitte la douche pour s’essuyer. Sans doute déçu de ne pouvoir exprimer auprès de moi tout l’intérêt qu’il me porte !
Alors que nos langues se cherchent, se combattent, se mêlent, la jambe droite de Carole monte le long de mon bassin et à se replie sur mes hanches. Ce mouvement a pour effet de rapprocher nos bassins. Je sens sur ma queue le chatouillement des poils de chatte de Carole. L’eau ne coule plus. Nos peaux sont tièdes et humides. Nos bouches sont toujours soudées, occupées à jouir pleinement des sensations vertigineuses que créent nos langues enlacées.
Par petits mouvements du bassin, le sexe de Carole se place en symbiose avec ma verge. Tout à mes émotions, j’enregistre ces faits comme dans un état second. Cependant ils s’inscrivent de façon indélébile dans ma mémoire. Ma verge, à l’occasion de nos mouvements et frottements, caresse la vulve de Carole. J’en prends conscience. Impatient, je tente un mouvement pour la pénétrer quelle réprime d’un mouvement habile "laisse-moi faire". La voix de Carole est devenue tout autre : tendue, suppliante, impérieuse ... tout cela et son contraire à la fois.
Après de longues minutes de ce délicieux supplice, je sens ma queue s’envelopper d’un manteau, doux, chaud, profond. Ma bite frémit dans son ventre. Je sens le plaisir, la jouissance monter de tout mon corps pour se concentrer en une boule dans mon bas ventre.
Nous restons longtemps ainsi. Carole ne bouge plus. Je sens, elle aussi assurément, que le moindre mouvement déclencherait ma jouissance. Mon supplice ne prend pas fin, je veux maintenant me libérer de cette boule qui me brule le ventre, qui me donne le sentiment que ma verge est remplacé par une barre de fer en fusion. Cela en est presque insupportable de douleur. Alors que je tente de prendre l’initiative, Carole lâche un rageur "Non, on ne va pas gâcher un tel moment". Et d’un geste déterminé elle ouvre en grand le jet de la douche sur la position glacée. Elle a décollé son buste du mien, le jet d’eau froide inonde directement sur ma verge et enrobe mes couilles. Cela me calme instantanément, ou du moins suffisamment pour reprendre un peu mes esprits et ne pas jouir de suite.
Lorsque Carole détache complément son corps du mien, ma bite sort complément du fourreau chaud, doux et soyeux que constitue sa chatte. Ma bite en claque presque sur mes abdos tant elle est tendue. Elle me parait plus longue qu’avant. Ce qui est certain, est qu’elle est douloureuse de plaisir inachevé. A cela s’ajoute mes couilles qui me semblent constituer un bloc de pierres entre les jambes tant elles sont dures et grosses !
"Viens, on va en rester là pour l’instant. Nous allons prendre notre pause pour leur permettre d’avancer leur aquarelle. Sois patient, tu ne le regretteras pas".
Ma bite sous le bras, nous rejoignons Joseph, Marie et Simon qui devisent calmement pour patienter. A notre arrivée, tous les regards se fixent sur ma queue et tous ont un sourire. "Dis M’man, tu ne l’as pas dégorgé le puceau ? " Simon ne peut s’empêcher de me renvoyer à mon état ! Tout le monde éclate de rire, moi y compris. Cela détend l’atmosphère et me permet de rependre complément le contrôle de moi-même.
Quelques instants après, Carole, Simon et moi sommes installés côtes à côtes dans des postures détendues, adoptant chacun une pause mettant en évidence les atouts de nos corps respectifs.
Pour autant, les regards des uns sur les autres laissent présager d’autres expériences au cours desquelles les corps ne manqueront pas d’exulter.
Les minutes qui suivirent ne démentirent pas ce présage ! ... A suivre
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