Le samedi suivant Chloé arriva en tout début d’après midi. Elle était toujours aussi négligée de sa personne, portant une nouvelle fois un tee-shirt trop moulant pour sa corpulence et sa poitrine opulente, une mini jupe plissée et des demi bas coton aux couleurs bariolées et très flashy ! Sans doute que pour ses dix sept ans cet accoutrement était approprié pour les jeunes de son âge, mais pas vraiment adapté à son physique rondouillard, sinon que ça la désavantageait en la faisant passer pour un « boudin » !Lorsqu’elle pénétra dans le jardin, Galik vint à sa rencontre en jappant, tournant autour d’elle de manière très fébrile. Je le rappelais à l’ordre afin de la laisser tranquille, puis je l’invitais dans le salon pour prendre un café pour moi et un soda pour Chloé.A peine avions bu une gorgée de nos boissons, qu’elle m’interrogea :— La semaine dernière, pourquoi tu m’as dit que je sentais autant l’odeur de chienne que cellede Galik ?— J’ai dit ça parce qu’à t’être masturbée ton sexe émanait des odeurs fortes.— Et pourquoi Galik ?— Quand j’ai vu mon chien avec ta culotte dans sa gueule et aussi sa queue sortie de sonfourreau, je pensais qu’il n’y avait pas de fumée sans flamme, non ? Et puis quand je suis venue te voir, ton ventre était baveux et luisant et je ne pense pas que c’est en se donnant du plaisir qu’on devient dans cet état. Qu’en penses-tu ?— T’as rien dit à ma mère ? Bredouilla-t-elle en rougissant tout en fixant le bout de ses souliers.— Non, ne t’inquiète pas. Je ne lui ai pas dit, ni à personne. Puis devant le silence qui s’installait,j’ajoutais :— Tu sais, il n’y a pas de honte à trouver du plaisir, que ce soit avec ses doigts, ou diversustensiles, même avec un animal. Il y a beaucoup plus de gens que tu ne crois qui ont ce genre de relation, mais personne ne s’en vante, car c’est trop tabou dans notre société.D’avoir dédramatisé le sujet et aussi de par ma compréhension, je vis un sourire s’esquisser sur son visage. Je poursuivis en lui demandant :— Plutôt que de partir comme j’avais prévu, veux-tu que je reste auprès de toi ? Pour touteréponse elle haussa les épaules. Tu as accepté de venir, c’était pour revoir Galik ?Elle aurait pu me répondre que non, mais son mutisme la trahissait.— Et toi, tu l’as déjà fait ?— Non !!! Mentais-je, mais j’ai souvent vu des vidéos sur ce sujet. D’ailleurs, tu veux en voir ?Chloé accepta. J’en profitais pour lui dire que j’allais partir, mais auparavant par précaution, j’étendais un plaid sur le canapé, puis je lui donnais quelques DVD. Aussitôt que je fus partie, je revenais sur mes pas pour me cacher dans un fourré d’arbustes bordant la maison, tout près dune fenêtre restée entre ouverte donnant sur le salon. Elle donnait face au canapé. Chloé jeta un rapide coup d’œil au jardin, puis laissant le chien dehors elle referma la porte fenêtre avant de s’assoir dans le canapé, télécommande à la main. Dès les premières secondes de la vidéo zoophile, elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes, et vautrée sur le canapé cuisses entre ouvertes, de sa main libre elle alla fureter lentement entre ses lèvres. Sa mini jupe plissée se retroussa sur son ventre grassouillet, et je pouvais la contempler flagorner son sexe qui luisait de la quintessence de sa vulve enfiévrée.Elle se leva pour changer de vidéo, puis elle reprit sa place, posant ses pieds sur la table basse tandis que ses fesses reposaient sur le rebord du canapé. Ses doigts sillonnaient ses lèvres en s’attardant sur son clitoris qu’elle lustrait lascivement sous des soupirs qui se transformaient en gémissements. Puis, ses doigts dérapèrent sur son périnée pour s’attarder sur l’œillet de son anus qu’elle nacra de son suc avant de l’y insinuer. Son plaisir s’accentua tant, que je percevais des soubresauts parcourir son ventre. Ses doigts passèrent de son sexe à son anus à rythme régulier jusqu’à ce qu’elle atteigne son premier orgasme qui souilla son entre cuisses de ses émissions de dévergondée. Après avoir repris ses esprits, elle porta ses doigts poisseux à ses narines pour humer son odeur tout en fermant les paupières pour mieux s’en imprégner.Elle se leva et éteignit la télévision. Puis elle alla ouvrir la porte fenêtre où Galik vautré sur la terrasse qui faisait sa énième sieste. Il se redressa d’un bond pour venir vers elle en fouettant l’air de sa queue. Chloé lui tendit sa main.— Sent mon chien, c’est bon ?Elle lui caressa la tête, alors que Galik après avoir sentit rapidement sa main se mit avidement à la lui lécher. Elle referma la porte fenêtre et retourna s’assoir, suivit comme une ombre par le chien. Elle s’assit en écartant ses cuisses, où Galik excité par les sécrétions vaginales vint s’y engouffrer. D’où j’étais je pouvais entendre ses bruits de langue se repaître. Très vite, sous le bien fait du chien, ses yeux se révulsèrent. Elle haletait de plaisir et avait des difficultés à respirer.Sans qu’elle puisse réagir, Galik monta sur elle et donna des coups de reins en cherchant à la saillir. Elle ne le repoussa pas, cependant elle se saisit de sa queue sortie de son fourreau pour le plaquer contre ses lèvres. Son ventre et sa main étaient déjà luisantes de la jute du chien. La queue gluante s’échappa de la main, et en un éclair elle pénétra dans la vulve. Elle se mit à gémir sous le nouveau plaisir de se faire saillir par un animal. Elle le serrait de ses bras pour qu’il reste en elle, Chloé était devenue folle de cet accouplement impur. Après un moment elle eut un orgasme plus intense que les précédents, sans doute que Galik venait de s’épandre en elle.Après un moment où les deux corps immobiles, collés l’un à l’autres, se disloquèrent dans un bruit de succion, un flot de sperme suinta du sexe béant de Chloé. Heureusement que le nœud de Galik ne s’était pas introduit dans la vulve de la pervertit adolescente !Après s’être remise de ce trouble, Chloé porta sa main sur son sexe vicié en s’enduisant le bout de ses doigts de ce sperme avilissant, avant de le porter à son visage pour en discerner les effluves. Enfin, du bout de sa langue elle le gouta à plusieurs reprises, essuyant méticuleusement chaque phalange. Elle mit Galik dans le jardin, puis elle alla chercher une serpillière pour nettoyer le carrelage maculé de sperme. Revenant de la buanderie où elle avait mit le plaid dans le linge sale, elle vaporisa le salon d’un déodorisant pour toilette.Je ne sais pas s’il elle avait eu l’intention d’aller se doucher, mais je décidais de rentrer, l’air d’être réellement partie. Je la surpris s’affairant encore à ranger.— Ca a été Chloé ?— Euh… Oui… Bafouilla-t-elle, surprise de me voir si tôt.Je jetais un regard sur sa culotte qu’elle n’avait pas remise et qui trainait sur le sol.— On dirait que tu as aimé les vidéos que je t’ai données, non ?Pour toute réponse elle me demanda la permission d’aller prendre une douche. J’allais de temps en temps voir sa mère pour papoter, sans revoir Chloé qui m’évitait. Quelques mois plus tard en arrivant chez mon amie, j’eus la surprise de voir gambader dans le jardin, un adorable chien, un labrador, et un mâle bien sûr.
