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Insémination africaine

Chapitre 1

Trash
Ma femme se masturbait sur le siège de la voiture familiale qui était parquée au milieu des bois, les phares allumés éclairaient sa lopette de mari féminisée qui était encerclée par des dizaines de blacks qui avait sorti leurs énormes queues du pantalon. En effet, ma femme me soumettait depuis plus d’une année depuis qu’elle m’avait surprise en rentrant plus tôt en train de me faire prendre le cul par le facteur sur le canapé alors que j’étais habillée avec sa lingerie fine et que je m’étais maquillée comme une belle chienne trav. J en étais encore à mes débuts.
Au lieu de demander le divorce, elle me dit que puisque j’étais une lopette blanche impuissante qui ne l’avait jamais faite jouir, elle allait faire de moi une veritable sissy soumise. Dès la semaine suivante, je commença un traitement hormonale qui eu pour effet de me faire pousser les seins, et me renda plus féminine. Le changement était rapide et incroyable, mes seins affichaient un 90 B bien ferme. Par ailleurs, j’étais épilée et encagée en permanence, mon sexe devint encore plus petit pour finalement devenir inutile. Ma femme me fit arrêter le job pour ainsi m’occuper en permanence des tâches ménagères alors qu’elle était cadre dans une grande entreprise immobilière. Je devins ainsi la femmelette du foyer et je n’avais plus aucun contrôle sur elle. Mon nom fut donné, je m’appelais désormais Annabelle. La vie sexuelle de ma femme s’épanouit puisqu’elle se faisait prendre toutes les semaines par le jeune stagiaire de l’entreprise qui lui donna ses premiers véritables orgasmes.
Pour ce soir, elle avait passé une annonce sur le net afin de rechercher des mâles africains très bien montés. Elle voulait m’humilier et surtout prendre du plaisir en voyant sa lopette de sissy de mari se faire démonter par des phallus noirs. Cette idée ne me déplaisait pas et je me suis longuement préparée avant de sortir. J’avais coiffée mes cheveux noirs en faisant un frange, m’étais maquillée le plus provocant possible, blush rosé, rouge à lèvre gloss rouge foncé, mascara noir et avais fini mes yeux avec un eyeliner. Ma femme me mit également un collier en cuir “SLUT” autour de mon cou, j’avais vraiment l’air de la pire des putes dans cette salle de bain. Pour les vêtements, j’avais mis un chemisier blanc transparent et un soutien-gorge ouvert qui mettait en avant mes nouveaux seins, mes tétons débordaient donc de cette accessoire coquin pour pointer sous ce chemisier. Pour le bas, j’avais enfilé une mini jupe porte-feuille, et je faisais dépassé la lisière de mes bas couleurs chairs à la limite de cette mini jupe vulgaire. Je mis également des escarpins noirs de 10 cm en cuir qui affinaient mes jambes et me donnaient une cambrure des plus désirables. Ma femme revint dans la salle de bain et fixa les derniers accessoires, à savoir la cage en métal pour ce pénis si honteux, et surtout le rosebud de 5 cm de large couleur rouge qui était tenu seulement par la ficelle de mon string noir de la marque wicked weasel. Voilà j’étais prête et l’on ne voyait plus aucun signe de masculinité en moi. Avant de partir ma femme me demanda de mettre à genoux et me fit ouvrir la bouche qu’elle tenait dans sa main, en s’approchant de mon visage, elle me dit que j’allais devenir une blanche à blacks ce soir et me cracha dans ma bouche grande ouverte en terminant son acte par un “Avale salope, car c’est le seul lubrifiant naturel pour toi ce soir”.
En arrivant sur les lieux, ma femme parqua la voiture au lieu précis dans le rendez-vous et me mis à genoux, les mains dans le dos sur une couverture. J’étais seulement éclairée par les phares de notre (sa) voiture. En quelques secondes, je fus entourée d’une dizaine de blacks, sexe à la main qui faisaient passé sur mon visage. J’avais le coeur qui battait et j’étais tellement excitée d’être contrainte. Les queues blacks qui passaient devant moi étaient énormes. Certaines devait faire 25 cm de longs alors que d’autres plus petites mais au moins 6-7 cm de large. Les mâles s’amusaient à me biffler en me traitant de petite lopette blanche, que c’était le futur de tous les cocus blancs de se faire féminiser et d’être au services des mâles alpha africains. Quant à ma femme, elle resta dans la voiture et releva sa jupe pour se masturber frénétiquement.
Je pris en bouche les premiers sexes qui me déformaient la mâchoire à cause de leur taille géante. Mes maîtres africains m’aidèrent à tout prendre en bouche en forçant violemment sur l’arrière de ma tête et leurs sexes s’aventurèrent plus loin que mon larynx venant même titiller mon oesophage. La sensation était surprenante, j’avais l’impression d’être gavée comme une oie. Ils rigolèrent en voyant mes yeux venir rouges et que mes larmes commençaient à couler lorsqu’ils s’amusaient à presser toujours plus loin.
Après cet entrainement à tour de rôle qui avait eu pour conséquence de faire couler mon maquillage et de tâcher mon chemisier transparent de tâches de salive épaisse, un grand mâle se positionna devant moi. Il arracha les boutons de mon chemisier pour sortir mes seins. Le public fut étonné de voir une poitrine si féminine pour une sissy. Il s‘amusa à me pincer les tétons et demanda à deux compères de me ligoter les bras dans le dos, Je fut ainsi attachée et à genoux sur cette couverture du vice. Tout à coup, avec sa main gauche, il me tira violemment la tête en arrière par mes cheveux et avec sa main droite il poussa ma mâchoire inférieure contre le bas. J’étais immobile, soumise, et la bouche grande ouverte. Il me garda dans cette position pendant 60 longues secondes, ma bouche devint sèche, j’avais l’impression d’être examinée par un dentiste pervers. Il appela ces 10 amis et chacun est venu déposé un molard épais sur mon visage ou dans ma bouche en me couvrant d’un lot d’insulte. La soumission était totale et je me sentais vraiment humiliée , je ne pouvais pas résister. Dès que la session de crachats fut terminée, ma gorge était à nouveau humide et le grand black fit entrer sa queue dans ma grotte buccale. Contrairement aux autres , son sexe était le plus long mais pas très épais, et sa façon de baiser ma bouche était ultra violente. Il faisait des va-et vient rapide avec ses 25 cm qui ont eu pour effet de me faire déglutir des litres de salive sur mes seins et bien entendu sur ma jupe et mes bas. En pénétrant ma glotte, je ne pus retenir tout ce liquide et déversa un jet de salive à nouveau sur mon corps. En se retirant, il me gifla parce que j’avais dégluti. Ses compères rigolèrent en me voyant comme une sissy blanche totalement soumise et naive.
Cette dernière pénétration buccale m’avait épuisée et mes tourmenteurs me tirèrent par les cheveux pour me déplacer de manière brutale vers la voiture. Ils me posèrent à genoux devant le radiateur et l’arrière de la tête appuyée contre le capot de notre voiture où mon épouse se masturbait depuis 45 minutes. Je me demandais bien ce qui allait se passer car j’avais toujours mes bras liés dans le dos. A ma grande surprise ma femme sorti de la voiture et vint se coucher sur le capot, la jupe relevée, les jambes gainées de son porte-jartelles blanc et ses bas couleur chair. Avec l’aide de nos maîtres blacks, elle s’avança encore un peu et écarta ses cuisses d’où perlaient des filaments de cyprine pour poser sa chatte juste en dessus de ma tête à l’avant du capot. Elle se coucha sur le dos et s’agrippa aux essuies-glace en lançant un “ Prenez moi comme une chienne et montrez à mon sissy de mari comment on baise les blanches”.
Les hommes ne se firent pas priés et vinrent à tour de rôle pénétrer cette chatte trempée. La vue était incroyable, je voyais ces énormes queues rentrer difficilement dans la chatte serrée de ma pute blanche de femme à quelques centimètres. Les contours de l’entrée vaginale étaient tellement étirés que je me demandais si son corps allait pouvoir accueillir les prochains qui étaient beaucoup plus gros. Nos assaillants africains s’amusaient également à poser leur anus sur ma bouche lors des pénétrations vaginales de ma femme. Instinctivement, je m’appliquais à nettoyer leur anus en prenant soin de bien sucer leurs boules pleines de sperme fécond. Le goût acre des culs était quelque peu difficile à accepter mais cela ne me déplaisait pas dans mon rôle de soumise.
Nos maîtres s’amusaient à varier les pénétrations en plongeant dans ma gorge ou en forçant la chatte de ma femme au dessus. Dès que le sexe était dans ma bouche, j’entendais ma femme encourager le mâle alpha en lui disant de me faire comprendre mon rôle de mari sissy soumis aux blacks noirs. Les mâles s’amusaient donc à se servir de ma bouche comme un lubrifiant naturel pour élargir le vagin de ma femme. Je m’appliquais à lubrifier un maximum ces queues pour que ma femme ne souffre pas mais également car je ne voulais pas lui payer une reconstruction vaginale le lendemain. Les pénétrations de ma femme devinrent plus aisées et je l’entendais jouir comme jamais. Elle hurla qu’elle n’avait jamais eu des orgasmes pareils et qu’elle ne baiserait plus que des queues noirs.
Après plus d’une heure de baise sur le capot de notre voiture, les dizaines de blacks nous ont passés dessus au moins 3 fois. Le vagin de ma femme était totalement ouvert, j’entendais des pets vaginaux à chaque va-et vient lors des pénétrations. Elle prenait un plaisir incroyable, elle hurlait lors des passages par les plus longues queues que son utérus avait été pénétré et que sa matrice était désormais uniquement pour les blacks, j’étais contente pour elle.
Les premiers mâles commencèrent à décharger leurs semences. Ma femme, dans un état d’extase, enserra chaque mâle alpha avec ses jambes au moment qu’ils jouissaient, elle leur demanda de la féconder pour leur appartenir à jamais. Chacun ne se faisait pas prier et au moment d’éjaculer ils enfoncèrent leurs bites le plus loin possible dans la matrice de cette pute blanche afin de briser l’entrée de son utérus et de détruire l’ovule blanche fécondable. Etant juste dessous, je pouvais distinguer le sperme fuir les énormes bourses noirs et les veines se gonfler de ces magnifiques sexes africains pour venir imprégner de sperme l’utérus et l’ovule de mon épouse.
Dès que le dernier se vida dans le vagin de ma femme, cette salope s’accroupit sur le capot et posa son trou béant sur mon front pour expulser le trop plein sur ma frange, j’ouvris la bouche pour récupérer le plus possible de ce nectar qui déglutissait lentement de la chatte de mon épouse. Il y avait environ 5 dl de sperme sur mon visage, mes yeux en étaient couverts, je ne voyais plus rien mis à part ce sperme de blacks qui rentrait dans mes yeux pour féconder mon cerveau de sissy blanche. Ma femme se coucha en arrière, les jambes toujours écartées et j’entendis son vagin faire de bruits de déglutition, cela ne m’étonnait pas, je pense que sa chatte ne se fermera pas d’ici une semaine. Elle était épuisée, elle a eu environ une dizaine d’orgasmes et maintenant les spermatozoïdes africains étaient en train de violer son ovule. Les mâles blacks se félicitèrent et j’entendis qu’il y avait encore des plans pour nous cette nuit ce qui n’était pas pour me déplaire car j’avais toujours mon rosebud dans mes fesses et j’ai maintenant une terrible envie de le remplacer par une queue.
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