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L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée.

Chapitre 2

Ma mère recherche LE mâle !

Avec plusieurs hommes
Ma mère est déjà beaucoup moins chiante  !!
Je dirais, si je devais parler comme tonton Abrahimovitch, celui qui est trader à Paris, que ses actions viennent de prendre une côte favorable d’au moins 300% !
Il va y avoir des stocks option de mouille sur le marché !
Incroyable ! Si je comprends bien elle a envie d’avoir une relation de cul très
hard, avec moi, son propre fils et voudrait bien que je la soumette :

«  Il pourrait me faire tout ce qu’il a envie, je mettrai des bas, porte-jarretelles,
guêpière, toujours sans culottes sous mes jupes, il me doigterait la chatte même
jusqu’aux repas, sous la table, a proximité de son père !
Il me baiserait partout où il en a envie, même à proximité très proche de son
père, et puis d’ailleurs, j’aimerais qu’il nous surprenne, moi sa gentille petite
bourgeoise de femme, en train de me faire défoncer la chatte et le cul par son
propre fils.
Si je suis de bonne humeur je lui demanderais qu’il se joigne à nous.
Je me ferais sauter par mon mari et mon fils en même temps, ce serait tellement
lubrique, sale, excitant ! »

Hooouuuuu ! La salope, la salooopppe, la saaaaaalope !
Eh bien on dirait qu’elle en avait des trucs à rattraper niveau sexualité !

Bon, alors revenons à ce journal :

Chapitre 2 : «  les beaux gosses »
Prés de l’institution, il y a un petit chemin qui monte sur la colline et là, sont installées des tables de pique-nique (qui portent bien leur nom d’ailleurs, c’est devenu la plaisanterie favorite des mecs de terminale et des personnels féminins…) ainsi que des installations sportives.

C’est le territoire de chasse des « beaux gosses », d’anciens élèves de l’institution qui connaissent tous «  intimement » les femmes de l’institution un peu actives sur le plan sexuel….
En tout cas c’est ce que m’a affirmé Corine Dejean, la petite prof très brune qui colle toujours mon mari ; on se demande bien pourquoi ?
Il serait plus facile d’imaginer la reconstruction du Temple de Jérusalem, aujourd’hui, en 2 heures avec trompettes célestes, grondements, éclairs et tout le toutim…que de voir mon mari s’intéresser à un jupon !
Lui toute sa vie, c’est son job et la gestion de son portefeuille d’actions ! Sniff !
Malheureusement pour moi.
Alors par dépit j’ai suivi les conseils de mon amie : j’ai revêtu une petite robe légère blanche à fleurs, sur une petite culotte en coton blanc, sans prétention, de toute façon les sous-vêtements féminins et l’érotisme, ce n’est vraiment pas mon truc…
Corine m’a aussi conseillé de me badigeonner les aréoles des seins avec une crème à base de piments et d’extraits actifs pour me faire gonfler le bout des seins et dresser les tétons.
Et je remarque que ça marche plutôt bien.Mes bouts me font mal, comme si j’allais avoir une montée de lait et je vois les pointes turgescentes qui semblent vouloir percer le tissu léger de la robe.

Alors je marche tranquillement sous le chaud soleil, c’est le début de l’après midi, je suis parfumée assez intensément, tout mon corps sent bon, j’ai vérifié chaque détail,..

Je suis aussi maquillée un peu « sexe », avec un rouge à lèvres de Corine, qui fait un peu pute, un fond de teint qui met bien en valeur mon visage et du crayon noir autour de yeux.J’ai disposé mes cheveux en grande mèche relevée au dessus de la tête.

Quand je me suis regardée dans le miroir avant de partir, jamais je n’avais eu une poitrine aussi désirable !
C’est bien simple je ne me suis pas reconnue !

Je marche vers MA destination : je vais aller me faire « violer » virtuellement par ces mecs…

« Les beaux gosses » une institution qui devrait être reconnue d’utilité publique par le ministère de la condition féminine !
Ils ont entre 19 et 25 ans, sont tous trop bien foutus, sportifs, musclés, beaux comme des Dieux !
Ils pratiquent tous le Krav maga et s’entrainent sur les installations sportives, toujours aux mêmes horaires les mêmes jours.
Toutes les femmes de ma connaissance, connaissent leurs plages horaires, mieux que leurs plannings de travail…

Et pourquoi, cher journal ?
Parce que ces jeunes ont de l’énergie et du sexe à revendre ; on ne sait pas vraiment comment ça a commencé, mais en tout cas un règlement tacite s’est installé entre eux et la gente féminine.
Toute femme qui va a leur rencontre un peu court vêtue, sachant ce qu’elle veut obtenir, ils l’entourent et après vérification de son désir, qu’elle ne se soit pas trompée sur ses motivations et l’endroit, ils lui organisent « méga gang-bang. »

Parfois certaines femmes un peu tordues, vont déposer leurs messages dans une boite en bois, prévue à cet effet, accrochée à l’arbre, ou elles expliquent ce qu’elles voudraient se voir imposer par les beaux gosses (soumission, vulgarité, douceur, sexe anal, SM…)
Et oui, les beaux gosses sont des hardeurs et des vicieux, mais ce sont aussi des gentlemen ! L’institution est passée par là, (pour leur correction ET leur perversité !)

Ils ont tellement de succès qu’il est arrivé que deux femmes se retrouvent devant eux en même temps, alors après avoir consigné leur accord verbal, ils les partouzent en même temps !

Susie , la bibliothécaire de 51 ans , jolie femme stylée blonde un peu sévère, s’est ainsi retrouvée en guêpière noire et bas gris, la chatte à l’air, à 4 pattes sur l’une des tables de pierre ( où on les pique et on les nique !) en train de se faire enculer par Josh,le beau black qui ressemble tellement à l’acteur de « Gladiator» et « Forces spéciales », ( toutes mes copines en sont folles)
Et forcée (enfin elle l’a bien voulu) de lécher la petite chatte d’une des meilleurs élèves et espoir (peut être dans le x aussi ?) de l’institution !

La si jolie et innocente Marion, grande brune de 19 ans, qui était elle-même couchée et empalée par la queue de Brice le mec châtain, avec ses yeux verts et son regard d’ange, pendant que ses deux autres copains se faisaient tailler une pipe par la donzelle et lui caressaient ses seins d’adolescente  mûre…

Il parait, toujours selon Corine, qu’elles ont pris goût a cette découverte de l’amour saphique et que dès qu’elles le peuvent, elles se doigtent et se caressent derrière les rideaux du bureau de la bibliothèque, même quand les élèves sont en train de travailler.
Un jour Susie pourtant discrète n’a pu retenir la jouissance que lui procurait Marion et à laisser échapper un grand «  aaaaahhhhhhh ! Mariiiiooonnn ! » sous les regards goguenards des élèves qui n’ont pipé mot !

Alors c’est avec ces idées et ces visions dans la tête que j’arrive à mon lieu de trépas (la petite mort ?), de sacrifice (comme l’agneau de la Pâque en plus trash), de plaisir (un peu comme mon Golgotha du cul ?)
Tiens il faudra demander à la mairie de placer trois espèces de grandes croix en bois en T ou en X, ces imbéciles n’y verront que du feu mais j’ai l’impression que beaucoup de demoiselles jeunes ou moins jeunes vont se précipiter pour y découvrir les plaisirs du bondage et des fouets !
Mais si ça continue, faudra mettre une billetterie comme dans les boucheries de super marché ( j’imagine bien Josh,  "  alors j’appelle le 42, qui à le 42 s il vous plait ? ")
Je me rapproche des installations et entends déjà les ahanements des sportifs sous l’effort…bientôt il y en aura d’autres, les miens, je l’espère mon Dieu !! Donne-moi la Force !!

Je suis surexcitée sexuellement, mon slip est trempé, la cyprine s’écoule sur mes jambes, Corine m’a dit de ne pas en mettre ; j’ai pas osé !!
Alors elle m’a dit:
 «  T’inquiète ! Tu feras comme nous toutes, la première fois, tu l’enlèveras. Certaines arrivent directement à poil, en porte-jarretelles et bottines ou cuissardes pour seuls vêtements !Les jeunes adorent ça et donnent alors beaucoup plus de plaisir à leurs «  victimes ».Tu comprends c’est donnant donnant… »
On m’a dit qu’il y avait même un pervers fétichiste qui les récupère…il doit bien en avoir un millier a présent ! Comme quoi le recyclage…
Mes seins sont durs, ils me font mal !

Je relève la robe et jette la culotte dégoulinante au loin.
J’ai presque envie d’y aller à poil, d’ôter ma robe… non je n’ose pas !
Est-ce que je vais y arriver, est ce que vais oser le faire, les laisser me baiser avec mon consentement, j’ai encore la possibilité de dire non et de partir «  la queue entre les jambes »… heummn non !, sans la queue …
Est-ce qu’ils vont me trouver à leur goût ? Est-ce que je vais assez leur plaire pour les exciter.

C’est rare, mais c’est au moins arrivé une fois.Une fille, une jeune prof qui n’était pas exceptionnellement jolie, est allée les voir sans artifice, sans fringues un peu sexy…
Je ne sais pas s’ils étaient fatigués de leur rencontre de krav maga de la veille ? Mais en tout cas, pas un n’a pu l’honorer !
La fille est repartie déçue, en colère, pleine de frustration !Il parait qu’elle les a traité de " Pauv’ types, sans couilles, bites molles impuissants, petites bites…" tout son répertoire grivois sur le sexe masculin en débandage.
Tout le long du chemin ! Elle qui est prof de français ancien et langue romane !
Elle en a parlé à toutes les femmes, a failli porter plainte (j’imagine la tête des flics : «  je me promenais sur la colline Sainte Catherine, j’ai rencontré quatre beaux étalons et ils m’ont même pas violée ! Rien !! Pas une caresse ! »)
Il parait qu’elle a quitté son métier, la région.On dit qu’elle est tenancière de bordel près de Hambourg…

Et s’ils me baisent est ce que je vais jouir enfin ? Après toutes ces années d’abstinence ?
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