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L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée.

Chapitre 6

ca y est, ma mère commence à faire sa grosse salope !

Inceste
Je remis le journal à sa place, c’était beaucoup plus prudent…
Bon alors j’avais bien loupé le coche, je n’avais rien compris au comportement bizarre de ma mère à mon égard…Je me serais foutu des baffes !
Ma mère était devenue un putain de canon, enfin plutôt Rebecca était devenue une petite bombe sexuelle avec la chatte en feu.Au début j’aurais pu en faire mon esclave sexuelle, mais à cause de ma connerie, de mes rejets successifs, elle m’en voulait à mort.Et je sentais bien qu’elle allait me faire payer très cher son ressentiment à mon égard !

Durant ces 3 semaines depuis son retour, elle s’était tenue très sage, du moins à la maison.Forcement mon père, en vacances scolaires était toujours là, à faire ses saloperies de mots croisés…Ce pauvre débile ne s’était même pas aperçu de la fulgurante métamorphose de son épouse en objet de désir : la chenille était sortie de sa chrysalide et était devenue un magnifique papillon !
On dit merci qui ? Merci les « beaux gosses » !
Quant à ses derniers, ils étaient en train de se prélasser sur une plage de Tel Aviv, comme tous les ans…ils allaient revenir début septembre.
Je me décidai à surveiller les notes de ma mère dans son journal pour savoir quand elle irait s’offrir à eux.
Je devais bien être capable de la suivre discrètement et de mater toute la scène…j’en bandais d’avance !
En attendant, ma mère rongeait son frein…jusqu’à la rentrée scolaire, elle fut immonde avec moi.Elle me gratifiait tout le temps de regards de mépris, et n’hésitait pas à s’exhiber pour me rendre dingue !

Un soir que mon père était parti se coucher plus tôt que d’habitude, elle n’hésita pas à se passer un film porno en VOD sur l’écran plasma du salon ; alors qu’elle m’avait appelé, j’arrivai dans le salon et la vis alanguie sur le canapé, à regarder son film.Quand je vis de quoi il s’agissait, je préférai retourner dans ma chambre, quand ma mère me dit sèchement de rester, et de venir m’installer à côté d’elle.

Au début tout se passa bien, elle était habillée avec une robe de chambre en soie de couleur pastel, et restait allongée les jambes légèrement pliées dans ma direction.Mais lorsque dans l’action du film, l’héroïne se fit partouzée par les clients maghrébins d’un café, elle écarta les jambes, défit le lien de sa robe de chambre, dont les pans s’écartèrent révélant son corps nu.
J’allais partir, ne pouvant supporter ce spectacle trop érotique pour moi, quand elle me dit :
« Non, tu restes et tu regardes…Mais non pas le film, imbécile, moi en train de me branler ! »
Le ton sans aucune commisération pour ma pauvre libido, qui allait être mise à rude épreuve, ne souffrait aucune objection, j’obtempérai, regardant ma génitrice, s’astiquer généreusement le clitoris.Parvenue quasiment à son plaisir, elle se mit deux doigts dans sa fente et les secouant vigoureusement dans un clapotis de cyprine, elle jouit avec force gémissements, m’envoyant un jet de cyprine dans la figure.
Devant mon air ahuri, restant bête alors que les gouttelettes me coulaient sur le visage et la bouche, elle éclata de rire :
« Alors mon chéri, tu ne savais pas que ta petite maman était une femme fontaine ? Ai-je bon gout ? Elle te plait ma petite chatte ?Tu vois que je ne suis pas si méchante que cela, je t’avais dit que tu ne la verrais plus…en bonne mère je te permets encore de t’en régaler les yeux.Attends, ne bouge pas. Et peut-être qu’un jour si je suis de bonne humeur je te permettrai de profiter de mes charmes ! »

Elle s’avança vers moi, se mit sur les genoux et approcha son visage vers le mien, alors au-delà de toute décence, elle se mit à lécher les gouttes de sa cyprine sur mon visage, j’avais les yeux à seulement 10 centimètres de ses seins magnifiques, je rêvais d’en sucer la pointe…
Lorsque je réussis à lécher un mamelon, elle se recula brusquement et me décocha une gifle magistrale !
« Dans ta chambre, petit obsédé, tout ce que je t’autorise à faire, c’est de te branler dans ton lit…il n’en sera peut-être pas toujours ainsi ! » dit- elle en me décochant une œillade assassine.

Plus tard alors qu’effectivement je m’étais masturbé en pensant au spectacle torride dont j’avais été le témoin, je repensai à cette dernière phrase…comment pourrait-elle bien m’empêcher de me branler si j’en avais envie ?Elle commençait vraiment à m‘énerver.

Le reste du mois d’aout se passa ainsi, entre exhibitions de ma mère, toujours à l’improviste et frustrations de ma part.Jusqu’à ce fameux incident, juste 3 jours avant la rentrée des classes.
Alors qu’elle vaquait à ses occupations dans le salon, et que mon père dans son bureau, s’adonnait à sa passion des mots croisés, je profitai de ce moment pour aller chercher le fameux « carnet sentimental » de ma mère, et m’enfermai dans ma chambre.Sur mon lit pantalon et boxer baissé, je relisais ses fameuses aventures érotiques, en me faisant du bien.
Quand soudain, alors que je n’avais pas fermé la porte à clé, ma mère pénétra dans ma chambre et me trouva sur mon lit, une main sur son carnet et l’autre sur ma verge.
Sur le coup de la surprise, ni l’un ni l’autre ne prononçâmes le moindre mot.Ma mère était entre fureur, consternation et surprise.J’avais découvert tous ses secrets.
Je m’attendais à prendre l’engueulade du siècle, quand elle se rasséréna, me décocha un sourire enjôleur et vint s’assoir près de moi, toujours le sexe à l’air :
« Alors mon chéri, mes aventures érotiques te plaisent ? Tu sais que ça m’excite énormément de penser que tu puisses lire mes réflexions cochonnes les plus intimes, et que tu te masturbes en pensant à moi …Écoute, je te propose quelque chose. Tu ne dis rien à ton père, je récupère le carnet et en échange, tu me rejoins dans la salle de bain, d’ici dix minutes, et je te ferai une belle surprise… »

Elle me quitta avec son précieux carnet, non sans avoir regardé à quelle page j’étais arrivé, et je la rejoignis dans la salle de bain, tout excité ; j’allais enfin peut-être pouvoir la baiser !
Alors qu’elle laissait la porte entrebâillée, ce que je ne remarquai pas sur le coup, trop excité par la situation, elle commença à me baisser pantalon et boxer et se saisit de mon sexe en érection. Elle commença à me caresser et à me masturber.

Puis elle me prit une de mes mains et la plaçant sur son sein, elle me demanda de la déshabiller.Je déboutonnai le chemisier, lui enlevai le soutien-gorge pour faire apparaitre sa superbe poitrine, et commençai à lui caresser les seins.

Elle se plaça à genoux devant moi et prenant mon sexe dans sa bouche, elle commença à me faire une fellation.
J’étais aux anges, tous mes rêves les plus fous se réalisaient…
Alors que j’allais venir, elle retira ma verge de sa bouche et me finit à la main.Mon éjaculation fut assez importante et je lui mis de sperme quasiment sur toute la poitrine, et sur sa jupe.
Un grand sourire aux lèvres, elle remit son soutien-gorge, et son chemisier sans le boutonner et sortit de la pièce, me disant que le spectacle n’était pas terminé.
Encore sous le coup de la jouissance divine que je venais de ressentir, je flottais sur mon petit nuage.

C’est alors que mon père rentra comme une furie dans la salle de bain, suivi de ma mère en pleurs, le chemisier toujours déboutonné et mon sperme sur sa peau et ses vêtements.Mon père me décocha une terrible gifle qui m’envoya valdinguer contre la baignoire.À moitié assommé et ne comprenant rien à la situation, il me dit :
« Petit salopard ! Tu n’as pas honte de ton comportement ! Tu espionnes ta mère alors qu’elle se change, tu la regardes à moitié nue, tout en te masturbant !Tu n’es qu’un sale petit voyeur et un pervers incestueux…tu me donnes envie de vomir !
Regarde ta pauvre mère en pleurs, elle encore sous le choc.La pauvre est toute bouleversée d’avoir reçu ta semence sur son corps ! Rebecca qu’allons-nous faire de lui ?

— Mickaël, je ne comprends pas ce qui lui a pris de m’espionner ainsi…J’avais bien remarqué qu’il m’observait de façon différente depuis mon retour de vacances en Tunisie, mais là, qu’il exprime une telle perversion à mon encontre, cela me bouleverse.Jonathan, mais qu’est-ce qui t’a pris, je suis ta mère !Tu n’as pas honte ? Réponds !

— Mais maman, je …je … c’est toi qui !

— Mon Dieu que vas-tu encore inventer pour ta défense ?

— Je ne veux plus en entendre davantage. Tu files dans ta chambre et tu n’en sors plus jusqu’à nouvel ordre…ta mère et moi avons à discuter de ton cas ! »

Penaud, désemparé, et triste face à la perversité incroyable de ma mère, je me réfugiais dans ma chambre ne sachant pas « à quelle sauce, j’allais être mangé »
Je me croyais au sixième sous-sol …la suite fut encore pire !

Mon père m’expliqua, qu’ayant développé ce qu’il croyait être une pathologie morbide, incestueuse à l’encontre de ma mère, je devais me faire soigner.
Pour cela mes parents avaient pris un rendez-vous chez une psychanalyste, amie de ma mère, qui serait chargée de me remettre dans le droit chemin.Ma mère allait m’accompagner, seule, puisque mon père reprenait son travail à l’institution.

C’est ainsi que, une semaine après ce pitoyable traquenard, je me retrouvai en compagnie de ma mère dans le cabinet de consultation du docteur Sarah Sikorsky, une femme d’une quarantaine d’années, blonde, tailleur anthracite très strict…Comme ma mère d’ailleurs, elle me regarda sans aménité et me dit :
« Ainsi Mme Marquez, voici ce petit pervers qui a envie de faire l’amour avec sa maman…tu sais que c’est très mal mon garçon ?Je sens que le traitement va être long et peut être pas toujours agréable pour toi… »

Et bien cela promettait pour la suite …
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