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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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L' Interrogatoire

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Il y avait une demi-heure à peine qu’Anne était dans cette cellule ,et c’était déjà pour elle une éternité .Deux mètres sur deux,murs en béton de décoffrage, porte en acier, le tout complété par un éclairage puissant, aveuglant , et surchauffant, qui transforme ce réduit minuscule en étuve ,en enfer ...
Pourquoi a t’elle été arrêtée?Que va t’il lui arriver ?Que va t’on lui demander ?Impossible de savoir,impossible de réfléchir, cette ’sono’ lancinante, faite de cris,de râles,d’hurlements, l’empêche de réfléchir .
Une clef s’introduit dans la serrure,la lourde porte s’ouvre .Deux hommes en uniforme pénètrent dans sa cellule , très jeunes, presque des gamins ...
’Ca va être à vous ! ’, lui dit-on en la saisissant brutalement par le bras .
’Où m’amenez-vous  ? ’, hurle Anne .
’A l’interrogatoire ma belle !!! ’’Tu vas voir,tu vas tout nous dire,même ce que tu ne sais pas ...’.’T’as de la chance,le ’Commandant’ est justement fort ’branché’ sur les putes dans ton genre’ .’Les poufs mûres BCBG, il adore ..’.’Et y a pas que lui... Y a aussi Ilsa... Tu vas voir,tu vas te régaler ..’
Anne est totalement paniquée, cette prison a très mauvaise réputation .Ces deux salauds ne bluffent pas ,ça va réellement être ’sa fête’ .
___________________________________________________________________

Le petit groupe descend un court escalier qui les conduit droit sur une porte blindée .Le chef frappe de son poing sur la porte .
C’est quoi ? répond une voix étouffée par l’épaisseur de la porte .On amène ’la cliente’ répond le garde .
Ah oui. Un instant . J’ouvre !
Anne entend que l’on manipule le lourd mécanisme de la porte blindée .La porte s’ouvre .Décor sinistre ici aussi ; comme sa cellule,les murs ici aussi sont en béton de décoffrage, mais la pièce est plus vaste, sans être gigantesque pour autant : 8 mètres sur 8 très probablement .En réalité,il ne s’agit pas d’une pièce, mais de deux pièces accolées l’une à l’autre .
Dans la première pièce,un superbe bureau de direction,moquette au sol, et trois luxueux fauteuils .Un bar,une sono,et un canapé en cuir 5 places avec repose pieds complète l’ensemble .
Dans la seconde pièce, le décor est sensiblement ’différent’ : un peu partout,au sol, sur les murs,au plafond, de solides anneaux,des poulies,des mouffles,des cordes ....
Sur un mur,une gigantesque et solide croix de Saint André en bois massif cotoie une tout aussi imposante croix Grecque .
Dans un coin des instruments inquiétants :fouets,pinces,etc...
Ailleurs encore des instruments plus ’conventionnels’ des godes de toute taille,des baillons,des menottes....
Au centre une ancienne table de gynéco un peu ’remaniée ...
Dans cette demi-pièce, les murs sont tapissés de miroir style ’école de danse’, renvoyant à l’infini le moindre détail .L’éclairage est adapté en conséquence,et il ne gène en rien les prises de vues .
L’officier responsable est grand et sec.Il se fait appeler le ’Commandant’,sa réputation n’est plus à faire....Il est superbe dans son uniforme noir,il n’est pas très agé : 25 ans à peu près...Son air est méprisant et très sévère .
Ilsa est à ses côtés ,elle fait office de secrétaire-greffière .Son uniforme noir ,et ses bottes de cuir lui vont à ravir .La quarantaine rayonante,elle sue le vice par tous ses pores .
Les deux très jeunes soldats qui ont été chercehr anne dans sa cellule restent dans la pièce,ils ’assurent la sécurité’ ,ils sont aussi ’en stage’ chez le ’Commandant’ .
L’officier lève à peine la tête sur Anne, et il appuie tout de suite sur le bouton de l’ interphone : ’l’identité judiciaire’ dit-il d’une voix ferme .Quelques secondes plus tard,on frappe à nouveau à la porte.C’est l’identité judiciaire ; un homme la quarantaine, bardé d’appareil photos .
Il regarde Anne de façon méprisante .
Bon ! Vous êtes tous là ! L’interrogatoire va pouvoir commencer ,dit l’officier en prenant place derrière son bureau et en se servant un plantureux ’Cognac’ dans un énorme verre ’ballon’ .Les interrogatoires...il a beau faire ça tous les jours...ça le tue....
_____________________________________________________________________Nom, prénom, age , profession ?
Anne Demesmaker,41 ans ,directrice d’école .
Pourquoi avez-vous été arrètée ?
Je n’en sais rien,j’étais chez moi,je m’apprétais à partir au bal du maire,et deux individus armés ont fait irruption chez moi .J’ai été menottée,ils m’ont bâillonnée et embarquée de force dans leur ’combi’ .
Je vois,je vois ... Article ’58’.... Arrestation ’classique’ ...
Et... Vous n’avez vraiment aucune idée sur les motifs de votre arrestation ?
Non,aucune !
On cherche ton mari,salope !!!Il a disparu !!!Tu vas nous dire où il se trouve !!!.
Je n’en sais rien !
Bon,bon... Ce n’est pas grave.... Vous ne pouvez vraiment pas vous imaginer à quel point la thérapie appliquée ici est bonne pour la mémoire et la reflexion....
_____________________________________________________________________
Commençons par le commencement ,dit soudain l’officier sur un tout autre ton .
Déshabille-toi !
Comment ?
Au même instant,Ilsa, jusqu’ici muette, lui assène une giffle magistrale avec des gands de cuir souple .
Déshabille-toi ! T’as pas entendu ce qu’on te demande ? A poil salope ! Anne vacille un moment sous la giffle et l’insulte,puis voyant les regards figés de l’assistance,elle comprend qu’il faudra s’exécuter .
Elle n’a pas grand chose sur elle ;sa robe du soir noire,et ses sous-vêtements assortis,elle s’était habillée pour une réception...______________________________________________________________________Anne commence par dégraffer sa robe.Elle la fait glisser à ses pieds ,dévoilant ses superbes sous-vètements...son mari a toujours été un horrible fétichiste ...Avec des sous-vêtements pareils,ça ne va pas arrenger les choses se dit Anne....Le photographe lui, n’en perd pas une !

Le slip maintenant !
Anne s’exécute,le slip tombe à son tour,dévoilant un pubis entièrement rasé,une autre ’lubie’ de son mari .
Anne est rouge de honte :être ainsi nue et sans défense devant tous ces gens qui ricannent, pire encore,en soutien et porte-jarretelles, le pubis rasé....La honte dans toute son acceptation !!! L’humiliation totale !!!
Le soutif salope !
Une nouvelle fois Anne s’exécute,tentant de masquer son imposante poitrine de ses mains.
Les bras le long du corps ! , reprend Ilsa d’une voix sévère .
Anne vaincue,laisse retomber ses bras,offrant toute la vision de son corps à ses bourreaux.
Le photographe et les jeunes soldats n’en ratent pas une ...une énorme boursouflure marque leur entrejambes ....
Ilsa s’adresse maintenant aux soldats : Les bracelets, et sur ’la une’ avec les ’écarteurs’ .
Sans attendre plus de précisions,les deux soldats s’emparent de Anne qui tente vainement de se débattre .___________________________________________________________________Ils ont rapidement fait de lui fixer aux poignets et aux chevilles 4 solides liens de cuir munis chacun d’un gros anneau .Ils la collent sur la croix .,les bras bien écartés .Au tour des chevilles maintenant ...Malgrès ses coups de pieds désordonnés,Anne ne parvient pas à les empécher de se saisir de ses chevilles et de glisser une corde dans les anneaux des bracelets .Ils s’empressent de fixer cette corde à 2 anneaux fermement fixés au sol et disposés de part et d’autre de la croix .
Anne est maintenant entièrement à leurs ’merci’ .Avec un sourire sadique,et sans la quitter des yeux,ils écartent maintenant lentement les jambes de la femme... Ni trop,ni trop peu...la vulve doit être aisément accessible,mais l’ensemble doit conserver encore un caractère ’esthétique’....
Vu la facilité avec laquelle ils opèrent,Anne comprend que ce n’est certainement pas la première fois ...
Anne offre à ses bourreaux une image inoubliable ;une superbe bourge de 40 ans,en porte-jarretelles et talons aiguilles,les seins nus et le pubis rasé,entièrement offerte à tous leurs caprices ...et des caprices...visiblement ils en ont...
Sous le prétexte de s’assurer de la solidité du ’montage’,les deux soldats patrouillent son corps sans défense,et passent tour à tour leur mains dans sa vulve,une vulve qui à la plus grande honte d’Anne est déjà copieusement trempée ...Les soldats un sourire au lèvre,et en la fixant dans les yeux,lui mettent leurs doigts mouillés de cyprine en bouche ...
Ilsa s’approche maintenant,un sourire mauvais aux lèvres,et une cravache à la main...
Que crois-tu qu’il va se passer maintenant ...’salope’ ?
Vouis allez me fouetter !
Ah,ah,ah,ah.... Connasse !
Apprends d’abord que ceci n’est pas un fouet mais une cravache !Tu auras ici tout loisir d’apprendre les subtiles nuances entre les fouets , les martinets, et les cravaches ...
Pour qui nous prends-tu ? On n’a pas fait tout ça pour quelques coups de cravaches...Et puis d’abord,tu n’es pas encore tout à fait ’prète’ ....
Les pinces, vous autres !
Sans se faire prier les deux soldats vont chercher dans un grand coffre une boite de pinces en bois,de vulgaires pinces à linge ,mais qui dans un soucis de raffinement esthétique,ont été soigneusement peintes en noir.
Les seins et toute la crète mamaire !
Anne va avoir droit à ’la totale’ ....
Les deux soldats ne se font pas prier ...Après lui avoir soupesé ses superbes seins plus que de nécéssaire, ils commencent par installer chacun une pince sur un mamelon.Ils se reculent pour juger de l’esthétique de la chose...
En connaisseurs,et toujours sans un mot,ils prennent maintenant chacun 4 pinces qu’ils disposent en quadrant sur l’aréole,tout autour de la première .
Anne se mord les lèvres,la douleur devient intense,elle a envie d’hurler .
Les deux soldats s’en rendent comptent,et sournoisement tentent de la distraire en passant la main sur ton son corps,sans oublier sa vulve et son clitoris .Le mélange de douleur et de douceur,il n’y a pas mieux pour faire parler les plus réticentes... C’est la première chose qu’on apprend ici....
Une nouvelle fois,ils se reculent.Le spectacle est touchant.Le photographe n’en perd d’ailleurs pas une; gros plan sur les seins torturés, gros plan sur la bouche d’Anne qui s’efforce de retenir un cri, gros plan sur ce corps,maintenant couvert de sueur...
Anne croyait qu’ils en avaient fini,mais non,ses bourreaux replongent dans la boite,et en retirent encore une vingtaine de pinces ...Que vont-ils encore lui faire ?
Toujours sans un mot les deux soldats commencent par lui carresser délicatement les flancs jusqu’à ce que,de toute évidence,elle soit bien ’réceptive’...C’est alors qu’ils entreprennent de lui fixer chacun, du creux axillaire à son pubis , une dizaine de pinces ...
Anne se tord de douleurs,si tant est qu’elle le puisse,vu la limite de liberté imposée à ses mouvements ...
Ilsa s’approche en se déhanchant de façon hautaine et provocante ...Elle est superbe elle aussi, sanglée dans son uniforme .Elle apprécie le tableau en ’connaisseuse’...
Tu sais ce qui va t’arriver maintenant ?
Non,nooon...dit Anne dans un gémissement .
Tu souffres hein,  ?
Oui,oui....
Tu voudrais qu’on t’enlèves ces pinces ?
Oui,oui... Pitié, murmure Anne dans un souffle ....Ca fait très mal....
Commandant ! Elle est à vous ! Cette salope est ’à point’ !___________________________________________________________________Le ’Comandant’ se lève,il titube quelque peu..il n’en est plus à son premier verre..la bouteille de Cognac est déjà sérieusement ’entamée’ ....
Il se campe devant la suppliciée,la cravache à la main ,les mains derrière son dos .
Tu penses que tu as assez souffert ?
Oui,ouiiii ,fait Anne suppliante ....
Oui,qui ?
Oui, ’Commandant’ !
J’aime mieux çà !
Bon ,ainsi soit-il .... Je vais t’ôter tes pinces ...Je vais les ôter avec ceci ! dit-il en brandissant la cravache sous le nez de la femme terrorisée .
Mais au paravent,je vais d’abord procéder à quelques vérifications ....
Tu mouilles ?
Oui,oui,réponds Anne dans un mélange de honte et de souffrance .
Beaucoup ?
Je ne sais pas !
Je ne sais pas... qui ?
Je ne sais pas, ’Commandant’ !
Bon,alors tu ne me laisse pas le choix,je dois ’ vérifier ’ ....Dans le même mouvement,le commandant plonge sa main dans le vagin de la femme martyrisée,elle en ressort aussitôt trempée .
Bien,bien...
Voyons le reste à présent dit il en lui carressant délicatement tout son corps du revers de sa badine ....
Malgrès elle,le corps d’Anne se tend sous la caresse .Tous ses poils sont en érection .Malgrès elle ,elle mouille ’sérieusement’ ,et malgrès ses liens,elle tente de mobiliser son pubis à la recherche d’un improbable orgasme .
Je vois,je vois... dit le ’Commandant’ en connaisseur ...
’ Pique fesse à queue’ ! dit- il en se retournant brutalement vers ses deux soldats .
Aussitôt,on lui apporte un solide ’gode’ anal terminé par une longue queue de cheval .Il s’en saisit et le plante brutalement, sans difficulté aucune ,dans le ’con’ de la malheureuse Il le ressort tout aussitôt,trempé de cyprine....Devant le tableau,Anne est morte de honte .
Ca ira comme ça dit-il en connaisseur...
Aidez-moi vous autres ! dit-il en se retournant à nouveau vers ses hommes .
Aidé de ses deux soldats qui écartent largement les fesses de la femme, il a tôt fait de lui enfoncer le gode dans le cul .Le resserement à la base de l’engin lui garantit une bonne fixation ...Au passage,il ne peut s’empècher d’admirer les longs poils de la crinière de cheval qui se répendent délicatement entre les jambes de la suppliciée .
Le tableau de cette superbe femme liée sur une croix et enculée avec ce gode si curieux est à la fois captivant , ridicule , et déshonorant même pour la femme ...
Mais en ’innitié’,le commandant sait que ce n’est pas tout: ;cette longue crinière n’est pas si ’innocente’ que celà ;imperceptiblement elle carresse les fesses et les jambes de la femme,tiraillée entre la douleur des pinces et la douceur de la carresse de cette crinière insolite .Toujours la même chose;mélanger la terreur et le sexe,la souffrance et la douceur...
Prenant un léger recul,le commandant y va de ses commentaires ironiques et ’blessants’....Vous êtes ’splendide’ ma chère , ravissante même... Cette crinière vous va à râvir ...
Le photographe lui , en est déjà à son quatrième rouleau de pellicules...
Le ’Commandant’ passe maintenant à l’étape suivante ; avec sa cravache,il s’attarde sur chacune des pinces,qu’il fait osciller et vibrer à son plaisir .Anne ne gémit plus,elle hurle de douleur....
Ca ne peut plus durer ! dit le Commandant .Impossible de ’travailler’ convenablement dans ces conditions ..!.Bâillon ! dit-il en se retournant vers ses hommes avec un air scandalisé .
Aussitôt,un des gardes lui apporte une balle de caoutchouc noire et creuse,poursuivie par deux lanières de nylon .
En un ’tour de main ’professionnel,le ’Commandant’ adapte et ajuste le baillon à la femme dont on n’entend maintenant plus les cris...tout au plus quelques gémissements ...bien agréables à l’oreille,il faut bien l’admettre...
Anne n’en peut plus,sa tête est retombée sur son torse,elle est presque inconsciente elle s’effondrerait si elle n’était pas solidement liée sur sa croix .
Le ’Commandant’ en bon professionnel sait qu’on ne peut pas continuer ’comme çà’ ..’Sels’ hurle t-il  !
Aussitôt Ilsa lui apporte un petit flacon ...de l’amoniaque... rien de tel pour ’réveiller’ les ’défaillantes’ .. bien plus efficace que le seau d’eau glacé,plus propre pour la pièce,et en plus ça ne gâche pas le maquillage...il faut penser à tout ...et à tout le monde...le personnel d’entretien et le photographe...
A peine le flacon promené sous son nez, Anne ressent une vive douleur qui lui traverse de façon fulgurante les sinus et le crâne .La douleur est très courte,mais très intense.Elle est complètement ’réveillée’ maintenant...La séance va pouvoir continuer...
Le ’Commandant’ la toise maintenant d’un air supérieur,et c’est sur un ton ’narquois’ qu’il lui dit : ’Madame est prète’ ?________________________________________________________________________Sans attendre sa réponse,il lui assène une frappe précise de la pointe de sa cravache.La pince médiane droite vient de sauter,laissant derrière elle la trace d’une fort méchante ’pincette’ .
Sous la douleur,le corps de la femme se tord dans ses liens .Si la croix n’était pas si solide et si bien fixée au sol, elle n’aurait pas résisté au choc .’Une’ dit-il ...tandis que des larmes étaient maintenant bien visibles sur le visage d’Anne mitraillé par le photographe ...
’Au tour de la même à gauche maintenant’ , dit-il à la malheureuse ...’C’est toujours un peu plus difficile à gauche ’ ...Effectivement la cravache s’écrase sur la poitrine sans faire sauter de pince ...’Il faudra recommencer’... ’Désolé Madame’ ....
Une à une les trentes pinces sautèrent ..au moins cinquante coups de badines furent nécéssaires .A chaque coup,Anne tressautait,la queue de cheval lui carressait l’entrecuisse,que malgrès les douleur,elle ne pouvait cesser de contracter d’une manière lascive .A deux reprises tout de même Anne du être ’réanimée’ par Ilsa avec le flacon d’amoniaque...
En professionnel, le ’Commandant’ en voulait un peu aux deux soldats : ils avaient un peu ’exagéré’ en fixant ’latéralement’ les pinces sur les mamelons ;plusieurs coups de cravaches furent nécéssaires pour les faire sauter,alors que si elles avaient été placées ’axiallement’,elles auraient du sauter au premier coup ...Enfin,ils étaient ’jeunes’,passablement exités,et il ne pouvaient pas ’tout savoir’ ...et puis,ils avaient bien droit à s’amuser un peu eux aussi ...
Anne se tenait maintenant devant eux le visage plein de larmes,le corps et les seins zébrés de coups de cravaches .Les pinces si violement arrachées avaient laissées elles aussi des traces cuisantes sur la peau délicate .
Le ’Commandant’ ne put s’empêcher de se saisir d’un sein, de le triturere,de le lécher,et d’en sucer le mamelon. Un mamelon qui malgrès la douleur ne tarda pas à pointer violement, accompagné dans son mouvement par le pubis d’Anne,qui entammait inconsciement sans doute ,une danse troublante qui n’échappa pas à l’assistance ._____________________________________________________________________’Entracte’ ’Elle est à vous’ dit-il en rejoignant son bureau .
Les deux aides se précipitent sur la malheureuse ,il est clair qu’ils sont à deux doigts d’exploser,et qu’ils vont la violer .
’Un instant’ ,’Un instant’ dit Ilsa tentant de les ’freiner’ . ’Vous n’allez pas y arriver comme çà ’...Sans un regard pour la femme torturée, et comme si il s’agissait d’un vulgaire tas de viande,elle lui libère un à un ses bras pour les fixer tout aussitôt à un crochet situé au niveau de sa nuque à l’envers de la croix .
Effectivement...la femme adoptait une position bien plus ’intéressante’ de la sorte ...Ces seins ,et tout son corps,adoptaient même une position arrogante ...
Ilsa eut à peine le temps de se retirer que déjà le premier des gardes l’avait sans aucun préambule empalé sur son sexe à deux doigts de l’explosion .Il se masturba plus en elle qu’il ne la baisa,tant son excitation était grande .En quelques puissants coups de rein,l’affaire fut ’conclue’ ...
Quel gachi  ! se dit Ilsa ....
L’homme se retira aussitôt ,mais dépité.. Après une excitation pareille il aurait voullu ’mieux’ .Son copain fit de même;à cet âge là....il est parfois difficile de se retenir.....
Ilsa s’approcha d’eux...Je voulais vous retenir dit-elle , mais vous ne m’auriez pas écoutée... C’est pas comme çà qu’il faut faire....Vous ne savez presque pas profiter de cette salope comme çà....Regardez,vous ne savez même pas l’enculer comme çà....
Allez,venez,aidez-moi,on va la déplacer..._____________________________________________________________________Ilsa,aidée des deux jeunes soldats,décroche Anne de sa croix et la débaillonne.
Anne se croit libre.Mais non, son calvaire ne fait que commencer...
Ils la trainent vers un carcan prolongé d’un curieux chevalet ; ...une mince mais épaisse planche en matière composite,moulée suivant un modèle complexe qui s’adapte parfaitement au dessin d’un corps humain .
Anne est brutalement installée sur ce chevalet face vers le sol .La planche s’arrète au niveau de son pubis,ses jambes touchent le sol,on a tôt fait de les écarter au maximum,laissant ainsi apparaitre un splendide spectacle ... talons aiguilles, porte-jarretelles, cul splendide zébré de traces de cravaches, pique cul à tresse , les deux seins lourds pendant dans le vide et si facilement accessibles ...
Ces mains et sa tête sont brutalement saisis .On les ajuste dans les 3 fenètres du carcan .
Ilsa s’écarte un peu et contemple le tableau ..Venez dit-elle aux deux soldats,venez contempler le tableau, regardez comme elle est belle,comme elle est sensuelle et fragile ...
En faisant le tour de la malheureuse fixée sur son chevalet de torture,elle ne peut pas s’empécher de commenter la situation à ses deux élèves .’Vous voyez, comme ça,vous savez presque ’tout’ lui faire et lui demander ;vous pouvez vous faire tailler une bonne pipe,vous pouvez la baisez,vous pouvez l’enculer..tout ce que vous voulez ...
Si vous voulez la fouettez, je vous conseille le martinet sur le dos et les seins, car vu la tension de la peau, si vous utilisiez une cravache, il y aurait des blessures graves, elle perdrait connaissance, et vous ne sauriez plus vous amuser avec elle....Le martinet lui par contre ça va...tout le mouvement est dans le poignet et non dans la force de frappe...je vous le rappelle...Pour les fesses par contre je préconise dans cette position la cravache, le nerf de boeuf ,la garcette, ou la canne de bambou ...avec ça, non seulement vous saurez vous amuser un bon bout de temps, mais si pour une raison ou une autre elle devait perdre conscience,penser que c’est aussi un moyen de réanimation très puissant ...Quand vous serez fatigués, vous l’enculez; dans cette position,elle ne doit plus savoir vous offrir grande résistance.... et si elle n’ondule pas assez du cul à votre goût,utiliser ces gands de crin pour la saisir ... rien ne vaut des gands de crin sur un beau cul fouetté ...
Ah oui,les seins... N’oubliez pas les seins... Rien de tels que des solides pinces plombées fixées sur les mamelons ...Je vous conseille le modèle avec des poids de 50 grammes et une petite chainette de 15 cm...vous verrez c’est très ’excitant’ de voir ces poids osciller au rythme où on l’encule..c’est très ’drôle’ aussi... et ça fait très mal...
Venez,on va les installer...
Ilsa a tôt fait de trouver ce qu’elle cherche...’Ca va ma belle ?’ ,dit elle en attachant les pinces aux deux mamelons d’Anne à peine remise des traitements précédents ...
Non,Nooon  !!! Ca fait mal,horriblement mal !!! Arrètez,je vous en prie !!! Noooon  !!!!
’ Ah, ca va mieu comme ça,on ne l’entendait plus...le son est revenu ’ dit Ilsa .
’Qu’est-ce qu’on dit à Ilsa pour tous ses bons conseils ?’
’Merci Madame !’
Non non,on ne dit pas ’Merci madame’,on baise ’Madame’ ... et on baise ’Madame’ ici, devant cette salope pour qu’elle n’en perde pas une miette,pour qu’elle se rappelle qu’on peut très bien jouir sans souffrir ....
’Je vous attends Messieurs’ dit Elsa provocante en s’allongent sur le canapé en entrouvant sa jupe portefeuille en cuir, et en dévoilant de splendides bas Dim-Up de fantaisie ..._____________________________________________________________________’Non,non,pas ça ... Pas avec eux...’, dit étrangement Anne dans un soupir ...
’Ta gueulle la pouf’ lui répond Elsa tout en se faisant allègrement peloter par les deux gamins ...
Placée comme elle était,Anne ne pouvait perdre une miette du spectacle que lui offrait le trio .
Le chemisier et la jupe d’Ilsa giseaient à ses pieds Sagement les deux jeunes avaient interrompus se déshabillage brutal en cours de route; Ilsa était resplendissante avec son soutien à balconnet qui avait toutes les peines du monde à contenir son imposante poitrine,et son serre-taille assorti complaitait superbement ses bottes à haut talon ...
L’un des gamins lui avait pris la bouche,tandis que l’autre s’occupait de bouffer sa chatte
Ils ne tardèrent pas à changer de position et à explorer sans retenue tous ses orifices .
La pénétration était incroyablement facile,les deux jeunes n’avaient jamais vu çà ; un doigt,deux,trois,quatre...ça devient plus difficile...mais ça passe... le pouce maintenant,oui,oui...une petite poussée encore et la main entière est passée....bordel!!! pas croyable !!!!Les deux gamins ne peuvent s’empècher de recommencer chacun à leur tour l’expérience tout en n’oubliant pas la beauté et la rareté du spectacle offert par cette superbe femme: un bras d’homme complet enfiché dans son vagin,un sexe gigantesque,le sexe d’un âne ..au moins.... et visiblement elle apprécie ça la salope...
Après la main,la bite maintenant ,et Ilsa se fait baiser et enculer par chacun des gamins sans retenue...
Très vite les deux gamins en arrivent à une conclusion;sans une double pénétration,ils ne s’en sortiront pas,il sera impossible de calmer cette furie déchainée,ils vont y laisser leurs bites ....
’Viens’ lui dit le premier ’Empale toi sur moi !’ .
Ilsa avait suffisament d’expérience pour voir où ils voulaient en venir...mais enfin c’est vrai...ça faisait une heure qu’ils la tringlaient,et qu’ils la tringlaient ’plus que bien’...
Aussitôt comme prévu le deuxième pris place entre ses fesses et l’encula .
Ilsa aussi était à bout,elle se laissa aller sans retenue entre les mains de ces deux garçons .Elle ne cacha rien de sa jouissance,sa cyprine dégoulinait sur ses cuisses,ses hurlements de femelle en rut emplissaient la pièce,dominant largement les plaintes d’Anne,des plaintes qui jusqu’ici avaient assuré un ’bruit de fonds’ fort agréable....’Tu vois ça salope,tu vois ça comme ils me font jouir ?’’Tu vois comme ils bandent ?’’Tu vois comme je les excite ?’
’Je sens leurs queues,leurs deux queues en moi !!!. Oui,ouiii C’est bon c’est bon,mon dieu que c’est bon !!!’
’Aaaahhh ,je viens,je viennns !!! Aahhhhh que c’est bon !!!! Ouiii,encore,encore....’’Ah salope...Que c’est bon !!!!’
’Nooooon, noooooonnnn!!!’ lui répond Anne.’Pas çaaaaa, pas çaaaaaa  !!!!! ’’ Pas avec euuuux !!! ’ __________________________________________________________________Bon.... Après tout ça dit Ilsa en se relevant, je crois que vous êtes un peu fatigués les mecs...Je vais vous montrer la suite....
A nouveau Ilsa se plonge dans le grand coffre,que va t’elle y chercher ?
Quelques instants plus tard, Ilsa en ressort avec un énorme ’gode’ à ceinture .Elle a tôt fait de l’ajuster à sa taille ...c’est assez ’impressionnant’
Venez les graçons ! Vous savez encore vous levez ? Oui ? Alors venez !
Ilsa s’installe derrière Anne gémissante .
’Non,pas vous... Pas après ça.... Non,non,non,noon !!!’ .
’Ah,ah,ah,ah fit Anne T’as encore rien vu salope !!!!!’.
Bon,les gamins,venez ici ,regardez ce que je vous avais dit avec le pique-cul à tresse...vous voyez que l’entrejambes est très sensible...vous voyez que tous ces petits poils sont en érection...
Regardez le cul maintenant J’enlève le ’gode’... Vous voyez qu’il est ’béant’ ?Vous voyer comme il réagit à la caresse de la crinière ?Vous voyez comme je peux l’enculer facilement .
Anne n’en pouvait plus de honte et de désespoir;jamais elle n’aurait cru possible d’être humiliée de la sorte,jamais elle n’aurait cru possible d ’être considérée comme un vulgaire tas de viande,comme une poupée gonflable vivante...’Nooooon,pas ça.... Pas vous.......’. C’est tout ce qu’elle trouvait à dire...
’ Ta gueulle ’la pouf’ ’fit Ilsa en l’enculant d’un coup jusqu’à la garde .
’Regardez ses gros nibars !!! ’. ’Regardez comme ils bougent en cadence quand je l’encule !!!’’Regardez comme ça lui fait mal !’’Regardez la grimace qu’elle fait ! ’’Regardez comme je peux l’enculer comme je veux,aussi puissamment que je veux,aussi longtemps que je veux...pas de danger pour moi...je ne suis qu’une faible femme...mais si je peux me payer autant d’orgasme que je veux,je ne risque pas de débander pour autant...’
Pour Anne, c’était la fin de tout...Mais non,Ilsa avait de l’imagination à revendre...._____________________________________________________________________’Ah! je vois que ça va mieux les enfants...Je vois que le spectacle vous émoustille...Je vois que vous avez repris des forces....’ .’Venez,venez’ dit Ilsa aux deux hommes Venez derrière moi !
’Qu’est ce que tu crois qu’il va t’arriver maintenant salope ?’
’Je ne sais pas dit Anne,je ne sais pas ’ ’Ils vont m’enculer sans doute ? ’
’Ah,ah,ah,ah..... t’es pas une ’imaginative’ toi ’.....’Je vais t’enculer...mais eux aussi...et c’est eux qui vont t’imposer la cadance ’....
’Allez y les mecs ,dit Ilsa en écartant sans aucune pudeur son cul avec ses deux mains,enculez moi une fois encore,pour que cette salope sache bien à quel point vous savez me faire jouir ’.......
Les deux gamins ne se font pas prier,le cul d’Ilsa était des plus accueillant,ils venaient d’en faire l’agréable expérience...de plus l’idée de pouvoir enculer en fait deux femmes à la fois,tout en torturant les seins de la première qu’on entendait tout à la foisimplorer,pleurer,crier sa rage et son désespoir,avait quelque chose de ’comment dire ?’...inconcevable...Quel sentiment de puissance de savoir qu’au bout de sa queue on est maître de la souffrance et de l’orgasme de deux personnes .
Ilsa avait épuisé les deux gamins, cette fois ils ont été lents à venir ,très lents...Les nichons d’Anne étirés par les poids et les coups de butoir assénés dans son cul la faisaient souffrir le martyr .Ilsa eut plusieurs orgasme de suite avec chacun des gamins,elle ne manqua pas d’en faire part à Anne...ses hurlements de femelle repue ne pouvait lui échapper ...A chaque fois,Anne sanglotait’Non,non,nooon,noooon,pas avec eux,pitiiiiiééé ! ’ .
Quand tout fut fini,ce n’est plus une femme mais une loque gémissante que les deux gamins détachèrent du chevalet .
’Allez prendre une douche tous’ dit Ilsa....’C’est fini pour cette fois’ .
___________________________________________________________________Décidément.... Il y a de ces ’malades’ se dit Gérard en rangeant soigneusement son uniforme de commandant de pacotille dans son casier ...Enfin,...ce travail au ’Donjon des supplices’ est bien payé après tout....et nulle part ailleurs,il ne trouverait un tel ’job étudiant’ qui en plus, lui permet d’avancer ’sérieusement’ dans sa thèse de fin d’études de psychiatrie : ’Le besoin d’avilissement de la bourgeoise d’âge mûr’ .Tout de même...venir ici avec son mari et ses deux jeunes amants...des gamins de son école en plus...faut être ’gonflée’...enfin...une chose est sûre, tant qu’il y aura de tels dingues pareils , il sera pas au chômage...
Bon autre chose....son mari...faut pas oublier...il lui a promis un ’double’ de toutes les photos..il faut qu’il note ça quelque part....!!! Ca illustrera superbement son travail ...Pour sûr qu’il sera fréquement consulté par les étudiants ....Où est-ce que tu veux qu’on aille en Week-end chérie ?,dit Gérard à Sophie toute occupée à éviter les faux plis en rangeant sa jupe de cuir ?J’avais pensé t’amener à Venise...Il serait peut-être temps qu’on pense à se marier tu crois pas ?Tiens...Ca me fait penser à quelque chose ...Range pas tes affaires...Prends les avec...

Pervers Pépère perverspepere@nomade.fr
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