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Ioda mon basset-hound

Chapitre 2

Zoophilie
Je me décide à reprendre la plume pour vous raconter la suite de mon histoire avec la complicité de mon amie BadGirl.Le lendemain de cette expérience si intense, je me réveillais en me demandant si je n’avais pas rêvé tout ce qui s’était passé. Un rapide passage de mes doigts sur mon intimité et mon anus tout endolori me ramenait vite à la réalité. Non, je n’avais pas rêvé. J’avais bien laissé mon chien me posséder et j’avais aimé çà.Mon homme quant à lui s’était déjà levé. Il avait préparé mon petit déjeuner mais un mot à côté de ma tasse m’apprenait qu’il était parti pour la journée à la chasse avec ses copains, qu’il était désolé de me laisser tomber mais que ça s’était décidé hier soir et qu’il n’avait donc pas pu m’en parler.Charmant dimanche en perspective, me voilà seule pour la journée à chercher comment m’occuper sans attraper un coup de blues. Je vais prendre une douche quand Ioda se lève à son tour. Quel gros fainéant celui-là. Dès qu’il me voit, il court vers moi en poussant des petits jappements qui font plaisir à entendre. Lui au moins est heureux que je sois là. Il me fait la fête en sautant sur mes jambes tant et si bien qu’il finit par me faire tomber. Je m’apprête à le gronder mais ses grands yeux à l’air si triste m’en dissuadent vite. Il sait vraiment y faire avec moi. Un seul regard et je craque.Quand je me mets à rire, il se précipite sur moi et commence à me lécher. Tout y passe, les mains, les bras, le cou puis le visage. Plusieurs fois, sa grosse langue passe sur mes lèvres sans que je le repousse vraiment. Il en profite. Ce n’est pas bien méchant et puis je vais bientôt aller prendre ma douche alors je le laisse faire. Il est au-dessus de moi. Sa langue cherche ma bouche, sans savoir pourquoi je desserre les dents ce qui lui permet de s’engouffrer aussitôt à l’intérieur. Ce n’est pas désagréable, j’ouvre plus franchement la bouche. Il me lèche carrément l’intérieur, ma langue, mes dents, mon palais. C’est la totale. D’un seul coup tout s’accélère. Le jeu bascule. Sa langue dans ma bouche m’a vraiment fait de l’effet car je me sens toute drôle. Lui aussi est tout excité, il pousse des petits jappements que j’identifie vite comme signes de son excitation. Le point de non-retour est à nouveau franchi lorsque je passe ma main sous son ventre pour saisir son sexe. Il a déjà doublé de volume. Il a envie de me sauter ce p’tit vicieux.T’as envie mon Ioda. Espèce de sale petit vicieux.J’en reviens pas qu’il pense à çà, le coquin. Ça m’excite de sentir qu’il a envie de moi. Des ondes de chaleur me parcourent le ventre jusqu’au creux de mes reins. Moi aussi, je me laisse gagner par une envie de sexe.Tu veux sauter maman mon chien. T’as envie, non ?Moi aussi j’ai envie. Je sens ma chatte se liquéfier. Je dois sentir la femelle en rut car mon chien donne déjà des petits coups de reins dans le vide. Je regarde le bout de son sexe qui commence à sortir de sa gaine.Nous sommes seuls à la maison. Personne ne risque de nous surprendre. Ma décision est prise. Je me débarrasse vite fait de ma culotte pour me mettre sur le dos en écartant les cuisses et lui faire la place. Il comprend vite ce que j’attends de lui, me renifle l’entrejambe puis me goûte. Deux ou trois coups de langue lui suffisent pour savoir que je suis à point. Je n’ai même pas besoin de l’appeler que de lui-même, il m’enjambe pour passer ses deux pattes antérieures de chaque côté de mes flancs. Il est exactement à la bonne hauteur, ses deux pattes bien à plat sur le plancher et son sexe pratiquement en face du mien.Je n’en peux plus. Vite qu’il me la mette, qu’il s’enfonce en moi, qu’il fasse de moi sa femelle encore une fois. J’attrape son sexe au travers de son fourreau de chair puis je commence à le branler doucement. Il grossit de plus en plus. Des jets de son jus m’arrosent le bras et le bas ventre. Il jute de plaisir. Ça me donne encore plus envie qu’il me la mette. Ma chatte déborde de cyprine, je suis prête à me faire prendre quand je pose le gros gland pointu dans l’entrée de ma vulve. Je l’ai à peine posé dans l’entrée, qu’il me perfore en deux ou trois coups de reins magistrales.Aaaaaaaaaaaahhhhh ! Oui mon chien, ouiiiiiiiiiii !!L’assaut est rude mais j’aime çà. Je laisse échapper une longue plainte lorsqu’il s’enfonce en moi sans ménagement en deux ou trois coups de reins. Je l’encourage à me prendre à fonds, plus vite, plus fort. Je le prends dans mes bras comme s’il s’agissait de mon homme, son poils rude m’électrise en décuplant les sensations sur ma peau.Il enserre mes flancs de ses pattes pour mieux m’agripper tandis qu’il commence à me pilonner rapidement. Son chibre me remplit totalement, écarte mes chairs à la limite du supportable. Je sens ma chatte se remplir de son jus, ça déborde déjà sur mes cuisses, dans ma raie. Un autre coup de boutoir plus fort que les autres et le voilà totalement enfoncé en moi. Nous sommes soudés l’un à l’autre pour de longues minutes mais je n’en ai cure. Il me baise bien avec son gros mandrin. Je le tiens bien serré contre moi, savourant les spasmes qu’il déclenche dans mon ventre à chacun de ses coups de reins. Je l’encourage de la voix et du ventre en allant à sa rencontre.Oui mon chien, ouiiiiiiiiiiiiii. C’est bon. Baises Maman, fais-lui du bien.Il ne lui manque que la parole. Lui aussi me dirait combien il apprécie la douceur de mes chairs intimes. Ses coups deviennent plus puissants, plus profonds, il va jouir. Cette seule pensée suffit à libérer mon orgasme. Mon ventre se serre, ma tête se vide tandis que la jouissance m’emporte.Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Tu me fais jouir mon chien ! Encore, encore !!!!C’est le moment qu’il choisit pour planter son dard aussi profondément qu’il le peut dans mon ventre avant de s’immobiliser bien caler dans mon fourreau. Je sens les spasmes de son gourdin. Il est en train de me remplir la chatte de sa liqueur canine. C’est trop bon de le sentir se vider en moi.Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiii mon chien. Jouis. Donnes-moi tout.Au comble de l’excitation, j’ai envie de crier mon plaisir. Je serre plus fort mon amant qui émet quelques grognements brefs sans doute pour me faire comprendre qu’il n’aime pas que je le serre trop fort contre moi. Je relâche mon étreinte tout en l’empêchant de se retourner. La jouissance a été forte. Je me sens comme vidée, la tête lourde, sans force. Ioda s’est laissé retomber sur mon ventre, attendant sagement le moment propice pour se dégager. Nous restons un long moment soudé l’un à l’autre jusqu’à ce que d’un seul coup, Ioda réussit à s’extraire de mon ventre. Un flot de sperme dégouline entre mes fesses comme la veille. Je m’empresse de caler ma serviette sous mes fesses pour protéger la moquette. Nous avons bien joui. Je reste un long moment encore allongée au beau milieu de ma chambre, à récupérer, vidée par cette partie de jambes en l’air improvisée. Ma respiration revient doucement à la normale. J’ouvre les yeux. Ioda est à côté de moi, il se nettoie le sexe à grands coups de langue. Je l’appelle pour l’inviter à venir me nettoyer moi aussi.Viens mon chien. Viens nettoyer Maîtresse. Allez. Dépêches-toi.Il se lève. S’approche de mon entrejambe dégoulinant de mes sécrétions mélangées à sa semence. Il commence à me lécher. C’est bon. J’écarte un peu plus les cuisses pour lui ouvrir complètement l’accès à ma chatte. Le plaisir revient. Je l’encourage de peur qu’il ne s’arrête trop vite mais il ne semble pas en avoir l’intention. L’idée d’être en train de se faire lécher par mon chien est un puissant aphrodisiaque. Le plaisir monte en flèche. J’écarte mes lèvres avec mes doigts. Chaque coup de langue qu’il me donne est un coup d’accélérateur sur mon bouton.Oh ouiiiii. Ouiiiiiiiiiii. Tu vas me faire jouir. N’arrêtes pas. N’arrêtes pas mon chien, c’est bien.Encore quelques coups de langue et j’explose bruyamment.Oh c’est trop bon. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.Tout mon corps est pris de tremblements. Je jouis. Un long moment s’écoule avant que je n’ouvre à nouveau les yeux. Ioda est allongé à mes côtés. Il me regarde avec ses grands yeux si expressifs. Ce doit être mon imagination mais j’ai l’impression qu’il me parle. Qu’il me dit qu’il m’aime. Je lui souris.C’est bien mon chien. C’est très bien. T’es un bon gros toutou à sa mère.
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