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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Après s’être rafraîchit, pendant bien vingt minutes, Virginie nous fait venir près d’elle. Elle nous embrasse voluptueusement. Marc et moi avons le même reflex, on lui caresse amoureusement les fesses. Moi toujours sous l’effet de la pilule, je ne débande pas. Quand à Marc, son érection revient peu-à-peu.   — On y retourne, nous dit-elle, s’il vous plait...
Marc et moi, on se regarde en rigolant. On rejoint un groupe qui semble mater un couple en train de s’envoyer en l’air. Ce n’est pas un couple mais cinq mecs qui s’occupent d’une nana et cette nana, c’est Isa. Elle est montée sur la table, à genoux, la chatte fichée sur la bite d’un mec allongé. Un second, accroupi, l’encule gaillardement. Un troisième lui baisse la bouche. Les deux autres se faisant masturber.
— Hé bé, elle y va ta copine. Dit Virginie.
— C’n’est pas copine, juste une connaissance de travail.
— On doit ne pas s’ennuyer au travail. J’ai soif. Une bière ?
J’acquiesce de la tête et Marc également. On laisse Isa à sa folle chevauchée, on s’approche du feu et on s’assoie sur des serviettes. Virginie étant partie prendre les bières dans une des glacières, j’interroge Marc. Je lui demande si cela fait longtemps que ce petit endroit accueille des orgies. Il me répond que c’est un endroit bien connu mais de là à me dire depuis combien de temps, je n’ai qu’à demander à Virginie. Justement elle revient, se pose entre nous deux et je lui demande.— C’est une plage naturiste, au départ. Le jour tu bronzes et la nuit tu y baises. Elle a toujours connu cet endroit. On a notre service de sécurité. D’ailleurs vous êtes arrivé avec l’un d’entre eux, Jean. Et puis c’est bien éloigné pour que des rôdeurs ne viennent. 
— Jean un de vos agents ?
— Oui, enfin, agent c’est un peu pompeux. Des naturistes, comme nous, qui participent de temps en temps.
— Mais il était posté un peu loin ?
— Non, c’est un « plagiste », il empêche les voyeurs de venir et c’est à cinq cent mètres par la plage. Il y en a un autre de l’autre côté.
Virginie, ayant finie de m’expliquer le « fonctionnement » de l’endroit, s’allonge et remonte ses jambes. Marc et moi commençons à la caresser. Les seins puis le ventre. Elle ferme les Yeux. Je m’enhardis et me place entre ses jambes et commence à la lécher. Elle est salée. Elle gémit. Marc s’occupe de sa poitrine en lui gobant ses tétons. J’introduis un doigt puis deux. Elle s’arc-boute. Je glisse mes deux mains sous ses fesses pour qu’elle garde la position. Je joue avec son clitoris. Je l’aspire. Étonnamment, plus un bruit. Je lève la tête. Elle est en train de faire une gorge profonde à Marc. Je retourne à mon occupation. Tout à coup, je sens une bouche m’embrasser la queue. C’est une petite rousse, maigrichonne et pratiquement sans poitrine.

— Je peux ? Me demande -t-elle.
— Je t’en prie.
Elle me gobe le gland. Je sens ses dents. Une novice. Trop occupé à doigter et bouffer la chatte de Virginie, Je la laisse faire. Marc grogne et se lâche dans la bouche de sa copine. Elle avale tout et se lèche les lèvres.
— Prend moi, Hervé, j’en ai tellement envie !
Je quitte la bouche de ma petite rousse mais je ne la laisse pas inactive. Je fais mettre Virginie en levrette et ma petite rousse sous elle, en 69. Virginie ne se gêne pas, elle commence à laper goulûment la petite chatte rousse, qui pour sa part, hésite.
— Vas-y. N’ai pas peur. Elle ne va pas tu manger.
C’est timidement qu’elle léchouille le sexe de Virginie. J’embroche, on ne pas dire autrement, violemment le sexe béant de la blonde. La petite rousse, n’aimant pas trop le sexe féminin, Me lèche les couilles dès que c’est possible. Les flocs-flocs que fait mon sexe sont tout simplement obscènes. Je la monte telle une pouliche. Sortant parfois et rentrant encore plus brutalement. Au bout de dix minutes de ce traitement, elle s’affale sur le petit corps de la petite. Elle hurle sa jouissance. 
— HUMFFF, trop bon... ARGHH, putain.....
Je sens que je ne vais pas tarder. La petite est toujours en train de me lécher la verge et les couilles. Mon premier jet et pour virginie, je me retire et donne le reste à la petite bouche goulue, qui surprise au début, gobe ensuite mon gland et m’aspire. Elles se relèvent et partagent ma semence dans un baiser passionné. Je les regarde avec tendresse. Je leur caresse le dos. Leurs seins se frottent. Elles tombent sur le côté et continu leur baiser. Marc qui m’a rejoint, me plaque une bière glacée dans le dos.
— AHHHH... P’tit con. 
— AHAHAH.... Elles sont belles les deux sœurs ?
— Quoi ! Ce sont deux sœurs ?
— Enfin, presque Les parents sont remariés. Virginie est la fille du père et la mère de Léa.
— Elles s’entendent plutôt bien.
— Et encore tu n’as rien vu. Au fait ta copine est une sacrée cochonne. J’aurai pu la prendre par tous les trous mais je n’en pouvais plus !!!
— Et lesquels à tu comblés ?
— j’ai commencé par sa bouche et j’ai fini par son cul.
— Excellent choix. Elle est où maintenant.
— Elle s’est endormie...
En me montrant du doigt, je peux voir Isa, endormie, les jambes et les bras écartés. Il était quatre heures. Je vais chercher Isa. Aidé par Marc on la Porte jusqu’à la voiture de Jean. Après avoir dit bonsoir à tout le monde et échangé nos numéros de téléphone, Marc et moi, On glisse la grosse Isa dans le coffre du break. Jean nous dépose où ils nous avez trouvé et repart en me serrant la main.
— Tu connais le chemin, à la prochaine.
Isa est couchée sur une serviette, les yeux mi-clos et dégoulinante des sécrétions masculines.
— Putain, j’ai ramassé. Ouf. Trop bon. On rentre ?
Je l’aide à se relever. Je lui dis de se rhabiller. Elle s’essuie, elle se rhabille, moi, aussi. Je la dépose à l’endroit où elle a garer sa voiture. On s’embrasse tendrement. Je rentre chez moi. 
Je suis de retour chez moi, tout le monde dort encore. Je me dessape, et mets mes affaires dans le lave-linge. Je vais prendre une bonne douche à l’extérieur, près de la piscine. Je prépare le café. Ma femme apparaît dans la cuisine. Je suis nu et avec une demie molle. Heureusement que je suis assis. Elle est en petite nuisette transparente, nue dessous. Je peux voir sa toison et ses gros seins. Elle est très sexy. Cela fait un baille que je l’ai pas vu dans cette tenue.
— Bonjour chérie, me dit-elle en m’embrassant à pleine bouche. Tu as passé une bonne soirée mon amour ?
— Euh... Oui, OUI...
-Tu veux un café, je vais le servir dehors, sur la terrasse.
Aïe, j’étais fait. Elle allait voir que j’étais nu. Prenant mon courage à deux mains, je quitte la cuisine et me dirige vers la terrasse. Elle me regarde avec envie.
— Hummm, tu as raisons. Les enfants ne sont pas là et reviennent que ce soir.
Elle enlève sa nuisette. Ce n’était pas sa toison que j’avais cru apercevoir mais un string noir en dentelle. Je peux voir que son minou est entièrement épilé. C’est nouveau, ça. Elle se penche en me servant mon café. Ses gros seins pendent, ses tétons pointent.
— Que... Que t’arrive-t-il ?
— Bin, rien. Enfin Si. En te voyant danser avec ta chef et Isa, il faut avouer que j’étais jalouse. Surtout que tes mains ne quittaient pas les fesses d’Isa. C’est pourquoi je suis partie...
— Bin, c’est...
— Chut, tais-toi et laisse-moi finir. En chemin j’ai réfléchis. Il y a trop longtemps que je te délaisse. Je suis rentrée furieuse, pas contre toi mais contre moi. En arrivant j’ai décidé que cela allai changer. Je me suis rasé la chatte et l’anus comme autrefois puis, je me suis couchée. J’ai attendu ton retour, mais je me suis endormie. Alors quel effet je te fais ?
— « tu es moins belle qu’Isa, faillis-je lui dire ». Cela te va mieux que la touffe que tu portais ces derniers temps. Mais laisse-moi boire mon café et on en reparle ensuite, j’ai quelque chose à te dire.Je prends mon café. Tout en regardant ma femme. A mon grand étonnement, ma queue gonfle. Elle me fait mal. Puis, prétextant un besoin urgent, je me dirige vers la salle de bain. En passant dans le salon, je vois mon reflet dans le miroir. Ma queue me parait plus grosse qu’à l’habitude. Je vais dans la salle de bain et je me rince la queue consciencieusement à l’eau froide pour essayer de débander. Je retourne sur la terrasse et m’allonge sur un transat. M’a queue repose victorieuse sur mon ventre. Lili s’approche et s’installe sur un petit tabouret. 
— Hervé, je ne te plais plus ?
— Je t’aime toujours, mais plus comme quand on s’est connu. Mais je te quitterai pour rien au monde.
— Tu m’as trompé ? (l’intuition féminine).
— Oui, pas depuis longtemps, depuis quinze jours.
Elle aurait pu fondre en larmes, m’écorcher vif mais non.
— Avec qui ? Je la connais ?
-Depuis hier soir, oui.
— Ta Capitaine, je le savais...
-Non, pas elle...
— Pas avec cette grosse Isa ?
— Si.
Un long silence s’en suit. Puis elle me prend le queue en main et commence une lente masturbation. Je ferme les yeux de honte.
— Pourquoi elle ?
Je lui explique tout. Comment elle m’a dragué, comment j’ai succombé, son physique, la soirée d’hier... Enfin tout.
— Tu l’aimes ? 
— C’est toi que j’aime. Elle C’est juste une sex-Friends.
— Et tu comptes la revoir ?
— Oui, ça me serait difficile de faire autrement.
Elle se penche vers mon chibre et me le mange, me le gobant à fond. Elle bave, elle a des haut-le-cœur. Comme quand on s’est connu, elle s’assoit en mes cuisses, pose ses mains sur mon torse et fait des vas et viens de plus en plus vorace. J’en peu plus et décharge une petite quantité de sperme. Elle me nettoie la queue.
— Et bien dit donc, elle t’a vidé ta maîtresse. Je vais piquer une tête, tu me rejoins ?
Alors là, je reste sur le cul. Pas un mot de remontrance, pas d’engueulade, rien. Mais elle doit avoir quelque chose à me dire où à me demander. Je la rejoints. La fraîcheur de l’eau me fait le plus grand bien.
— Lili, pourquoi réagis tu comme cela ?
— Comment aurais tu voulus que je réagisse. Que je t’engueule, que je te dise que je te quitte ? Bin non, je sais que c’est de ma faute et entièrement de ma faute. Ça a dû être dur pour toi, depuis le temps que je me refuse à toi. Mais voilà, je t’aime aussi.
Elle s’approche de moi et s’accroche à mon cou. Elle ferme les yeux et m’embrasse passionnément. Je lui caresse les fesses. Je bande mais là ce n’est plus l’effet Viagra, du moins je le crois. Le reste du dimanche se passe bien, plus détendu. On mange, on se baigne. Mise à part le string que porte Lili, on est toujours dans le plus simple appareil. Les enfants rentrent à vingt heures, ils me sautent au coup sans se préoccuper de ma nudité. Piscine, souper, télé, pipi, les dents et au lit. Je ne tarde pas à les suivre, ma femme également, dans son éternel pyjama. « Il y a encore du boulot »
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