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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 10

Orgie / Partouze
On reste un moment allongé. On se mange la bouche. C’est pour moi une grande première. J’ai une langue masculine sur la mienne. Jean ose me caresser les fesses. Cela m’est étrange mais cela me plaît.- Hummm, tu sais que ton mec a un cul de gonzesse, dommage qu’il soit poilu.Ouf, je ne voyais pas me faire enculer... Quoique les caresses de Jean me font rebander. Isa reprend son souffle et part dehors. Tel un Zébulon, Je la suis. Quand Jean, arrive, il s’excuse de ses propos. Isa nous sert un petit rosé. On boit notre verre et elle nous ressert.— C’est vrai que tu as un cul de nana. Dit Isa. Ça ne dirait pas une épilation intégrale ?— Heu, là j’y suis pour rien !!! Réplique Jean.— Ça te plairait, Isa ?— Oui. Me répond-elle.— Bon, bin, je vous laisse en discuter entre vous. Je vais rejoindre ma femme. Mais sachez que vous trouverez tout ce qu’il fait faut à la supérette à l’entrée du camping.Jean part comme gêné par ses dires. Isa se rapproche de moi.— Alors, Qu’est-ce que tu en dits ?  - Tu n’aurais pas une idée derrière la tête ?— Non, derrière ton cul ! On éclate de rire... Avec son pouvoir de persuasion et de séduction, elle prend son sac à main et nous voilà parti pour le petit commerce du camping. On entre. Moi La queue toujours tendue. On file au rayon cosmétique. Une fille, celle du proprio, se propose de nous aider. On lui explique ce que l’on vient chercher. Après plusieurs explications, dont je ne comprends rien, elle nous donne deux tubes de crème dépilatoire. Isa règle et me dit de l’attendre aux douches et de me rincer abondamment à l’eau chaude. Elle arrive avec les deux boites. Dans chacune de celle-ci, il y a un gant en latex et une spatule. Après s’être équipée, Elle me badigeonne tout le corps. Depuis les épaules jusqu’aux pieds. Sans oublier mon sexe, mes couilles et mon anus. Après le temps de repos, elle me rince à l’eau froide.— Waouh, c’est froid!!!!— ROOO, chochotte!!!Elle m’essuie et me passe une deuxième couche. Elle s’applique à me badigeonner tout le corps. On attend, elle me rince. Me voilà nu comme au premier jour.De retour au bungalow, elle ne peut s’empêcher de me caresser. Elle me fait des compliments sur ma peau de pêche.— Es-tu conscient que vas passer à la casserole ?— Tu m’y aideras ?Pour toute réponse, je reçois un baiser et une main baladeuse sur mes couilles. J’ai envie de me voir et je rentre dans le bungalow de Jean. Le miroir au-dessus du lit fera l’affaire. Quel choc ! On dirait le corps d’un poupon. Tout y est passé. Plus un poil. Je me mets à me caresser. Quelle sensation. Isa me rejoint et me met de la graisse à traire sur tout le corps.Nous voilà à la plage. Je m’allonge, à l’écart. Je sens le vent qui vient exciter la moindre parcelle de mon corps. Isa se met à côté de moi et parcours mon dos.— Tu es magnifique comme cela, viens on va à l’eau.Elle me devance. Quel cul elle a. Bien bombé, musclé à souhait. On a de l’eau jusqu’à mi-cuisse. Je la prends, de dos, dans mes bras et mes mains sur ses seins. J’aperçois ma femme qui se dirige vers nous en rigolant.— Alors les amoureux, ça va bien ?— Oui, répond Isa, je viens d’épilé ton petit mari.
— Fais voir !!!Isa se dégage et me montre à la vue de Lili. Elle me fait tourner pour bien m’exhiber.— Magnifique, chapeau... Bon pas le temps de batifoler, je pars avec Éva et Virginie faire quelques courses en ville. On sera de retour vers 20h00. Quand Jean sera revenu il faut lui dire de préparer le barbecue. On sera huit. Bisous, à toute.Isa et moi, on éclate de rire. - Ce n’est pas ma femme !!! Je ne la reconnais plus... La vache !!!!— Ouais, et tu vas me laisser tomber. — (je me mets face à elle) Ça, jamais de la vie...Je la pousse. Déstabilisée, elle tombe à l’eau. Elle est morte de rire et me saute dans les bras. Nous nous caressons avec tendresse. Je la regarde dans les yeux. Je prends une profonde respiration.— Je t’aime...Elle se sert contre moi.— Waouh, je t’aime aussi Hervé... On marche le long de la plage en se tenant par la main. Marc et Léa nous interpelle. On sera dix car leurs parents ont envie de nous connaitre. Je demande qui a parlé de nous. Léa rougit. Marc me dit qu’il a vu Jean et que cela ne le dérange pas, bien au contraire. Alors si tout est dit et fait. J’invite tout le monde à remonter sur la plage et d’y attendre Jean.Nous sommes tous allongés sur le sable quand Jean revient de sa natation.— Ô, les jeunes, il faut que l’on aille chez moi... Y a du boulot. Allez, ramassé votre bordel et action.Le ton autoritaire de l’ancien légionnaire refait surface. On se dirige donc vers le bungalow. Jean bade toujours le cul d’Isa. Après un passage exprès à la douche, la grande table de jardin, que Jean avait entreposé derrière sa caravane, est vite montée, nettoyée et recouverte d’une nappe. Les verres, les assiettes, les couverts sont dressés à une vitesse incroyable.Il est 19h00, Marc allume le barbecue. Jean ouvre une bonne bouteille de rosé et Isa nous  sert. On sirote notre verre. Jean me demande de venir chercher les merguez dans le frigo. J’entre sous l’auvent et me dirige vers le frigidaire. Jean me suit et me caresse les fesses.— Très jolie travaille qu’a fait la petite Isa. Mais je ne force à rien...— Merci Jean. Je ne sais pas... J’hésite.Je prends le plateau et je vais l’apporter à Marc. Je suis troublé, excité. Les parents de Virginie et Léa arrive. Lui, un beau mâle dans toute sa splendeur. La cinquantaine, 1m80 de muscle et une bite de taille raisonnable. Brun aux yeux marron. Elle, Rousse (Léa sait de qui tenir), la quarantaine, 1m75 environ, les yeux verts, des seins magnifiques, une chatte appelant au viol. Tous deux bronzés intégralement.-Bonjour, moi c’est Ludovic, Ludo, et voici ma femme Cathy, Cat pour les intimes.Jean sert la main des nouveaux venus et nous présente, Isa et moi. Les filles reviennent. On passe à table. L’ambiance est joyeuse, voir grivoise. On débarrasse vite fait la table. Virginie demande qui va à la plage. Son père fait la moue.— Pourquoi ne pas allez chez nous ? On profitera de la piscine et de son petit bar. Dit-il.C’est un « OUI » collégiale qui lui fait réponse.Nous marchons en direction de la villa. Virginie et Marc en tête, suivie de Jean et Éva viennent ensuite ma femme et Isa, puis Ludo, Cat, Léa et moi fermons la marche.- C’est une très jolie fille cette Isa. Quel cul elle a. dit Marc.— Très jolie, musclée et bronzée à souhait. Elle te fait de l’effet on dirait. Lui répond cat.Effectivement, Ludo bande. Il me sourit. Me demande si elle est seule. Je lui explique vaguement la situation que nous vivons Isa, ma femme et moi. Il me répond que nous formons un joli trio. Puis il remarque que Léa me tient par le Bras.— Ah, je vois que vous avez hérité de la petite sangsue ?— Elle est adorable ma fille. Et elle est vachement radieuse depuis quelques jours. Tu ne trouves pas mon Ludo ?— Effectivement. Je la trouve un peu trop câline...— Jaloux que tu es !!!On arrive à la villa. On rentre dans un vaste jardin. Ludo rentre dans la cuisine et allume l’extérieur. Une superbe piscine, un bar et de nombreux transats s’offre à nos yeux. On nous invite à nous installer. On nous demande ce que l’on veut boire. Les autres vont vers des alcools forts, je décide de rester au rosé. Cat invite les filles pour une baignade dans leur piscine. Elles se lèvent tous, sauf Éva. Cat plonge directement, imité par Virginie et Léa. — Allez, venez, elle hyper chaude. Lance Léa.Mes deux naïades plongent à leur tour. Elles se tripotent ou plutôt se caressant. Elles batifolent en rigolant à tue-tête. Lili embrasse Cat. Les hostilités sont lancées.— Bon, j’ai quatre beaux mâles à moi. Rapprochez vos transats près de moi. On s’installe en arc de cercle. On s’assoie tous au bord en écartant nos jambes. Nos bites sont toutes tendues. Éva commence à nous pomper à tour de rôle. Elle a une bouche exquise. Douce à souhait, une langue agile et des lèvres pulpeuses.Les filles, dans l’eau, ne remarquent pas ce qui est en train de se jouer devant le bar. Nos sexe sont maculés de la salive de notre pipeuse. Jean s’allonge et invite sa femme à venir s’empaler. Une fois en place, il lui écarte ses fesses.— Ludo, à toi l’honneur.Il ne se fait pas prier. Il se lève et pointe son sexe sur le petit trou d’Éva. Il pousse et son gland est aspiré. Ils commencent à la pilonner sauvagement. Je me lève, me positionne devant Éva et lui donne ma bite aux bons soins de sa bouche. Jean vient me lécher les couilles. Quelle drôle de sensation de savoir qu’un homme est en train de me lécher, me gober les deux joyeuses. Marc, pas en reste, s’approche de Ludo. Celui-ci embouche le sexe du jeune homme. Quel tableau nous formons. Un vieux et sa vieille en train de baiser, par-dessus un homme en train d’enculer cette femme, un jeunot qui se fait pomper par l’enculeur et moi baisant une bouche accueillante et un vieux me léchant les couilles. Les filles, attirées par les sons de notre plaisir, se sont accoudées au rebord de la piscine.— On.... On change de position. Dit Jean qui sue comme un porc.Sans commentaire, on se désassemble et on échange nos places. Marc s’allonge, Éva s’emboîte, Ludo Se fait manger la bite par celle-ci. Pendant ce temps-là, je l’encule.Quelle n’est pas ma surprise quand jean présente son gland au bord de mes lèvres. Je le regarde dans les yeux et ouvre la bouche. Il entre lentement. Il me caresse les fesses, l’anus. Je m’applique à le sucer, le lécher. Sachant ce qu’il m’attend, je le lubrifie au mieux. Éva rouspète. Il est vrai que je l’ai oublié. Je recommence à la limer. Elle souffle de bonheur.Jean quitte ma bouche et s’agenouille derrière moi et me fait un délicieux anulingus. Sa langue est douce, ses doigts agiles. Il me pénètre lentement avec son pouce. La sensation est délicieuse. Ma bite gonfle dans le conduit anal d’Éva. Elle hurle. Jean prend son sexe en main et le met au contact de mon petit trou. Il pousse et son gland force mon sphincter. Il passe la barrière et continu sa progression. Il entame de lents va et viens. Le fait de sentir me faire remplir par une queue est une sensation étrange. Il ne bouge plus, C’est moi qui le prends quand je sors du cul d’Éva. Cette sodomie dure depuis cinq bonnes minutes quand il jouit au fond de mon séant. Je me vide dans Éva, Marc me suit de peu et Ludo, excité par la scène, se répand dans la bouche de notre partenaire. Jean se retire et c’est une sensation de vide, de manque que je ressens. Il me caresse délicatement les fesses.— Quel cul magnifique que tu as. Me complimente Jean.On s’assoie tous, vite rejoint par les filles qui nous applaudissent.— Je ne savais pas que tu aimais cela, me dit Lili.— Moi non plus. OUF... Les garçons, les uns après les autres vont se doucher. Je me lève et vais sous la douche extérieure. L’eau est tiède. Léa me rejoint sous le regardant attendri de sa mère. Elle prend le gel douche et m’en met sur le torse. Elle me savonne délicatement. Tout y passe, les dessous de bras, le cou, les tétons, le ventre, le sexe et mon anus. Elle me rince, et elle en même temps. Elle est resplendissante, ma petite rousse.Quand on rejoint le petit groupe, c’est une véritable orgie qui s’offre à nos yeux.
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