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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 11

Orgie / Partouze
Quand on rejoint le petit groupe, c’est une véritable orgie qui s’offre à nos yeux.Marc et à quatre pattes en 69 Avec Éva. Ludo est placé derrière Marc, il est entrain de l’enculer. Jean est à genou devant Marc et bourrine sa femme et se fait lécher par ce dernier. Les trois autres nanas sont allongées la tête de chacune entre les cuisses de l’autre. Léa se colle à moi - Viens, laissons les baiser. J’ai envie qu’on aille à la plage et que tu montres à ces p’tits cons que tu apprécies une fille qui mouille, comme tu m’as dit hier soir.— Une femme fontaine, c’est comme cela que l’on appelle des nanas qui mouillent comme toi.Elle m’embrasse et on part en direction de la plage, non sans avoir pris des serviettes de bain.  Il commence à faire nuit et le seul moyen de la mettre en scène est de se rapprocher le plus possible du feu de bois. On s’installe à deux ou trois mètres, le long de la pinède. - Tu ne serais pas en train de me remplacer ????C’est Isa.— Non, non, absolument pas.Elle m’explique qu’elle avait quitté le trio infernal dès qu’elle nous avait vu quitter la villa.— C’n’est pas bien d’espionner. Lui fit Léa.On éclate de rire. On installe nos serviettes. On s’assoie en tailleur et Léa explique son problème. Isa lui dit que ce n’est pas un problème, que c’est même un avantage. Que beaucoup d’hommes rêvent que leur partenaire réagisse comme cela. Elle lui dit quelle est elle-même une femme fontaine et elle adore gicler sur le visage du mec qui la branle.— C’n’est pas vrai, c’est faut minaude Léa.Isa allonge ses jambes et tire la petite rousse à elle. Elle la positionne face à elle les jambes écartées. Elle l’embrasse, descend sa main sur sa chatte et y introduit deux doigts.— Branle moi, fourre moi tes doigts, j’en ai envie. Lui dit Isa.Hésitante, Léa commence à caresser le sexe ouvert d’Isa. C’est à un jeu de langues, de caresses obscènes que j’assiste. Elles se sucent leurs langues. Elle s’embrasse à s’entrechoquer leurs dents.— Putain qu’est-ce que tu mouilles, dit la petite.— toi aussi, C’est bon, lui répond Isa en portant ces doigts à sa bouche. Tu as très bon gout.A son tour, Léa renifle sa main, commence à la lécher. Elle se délecte du jus d’Isa. Elles alternent entre les mains dans leur sexe et léchage de doigts. Léa est au bord de l’orgasme. Elle se crispe.Un petit attroupement c’est formé autour du joli duo. Ils admirent ces deux corps abandonnés l’un à l’autre. Isa allonge Léa, se place entre ses jambes et la masturbe à l’aide de deux doigts. La petite rouquine se cambre et jouit.— HAN...HAN... PLUS... FORT... OUIIIII.Un « OH » D’étonnement est émis par l’ensemble des spectateurs. Un long jet de cyprine atterrit sur les seins, le ventre, le sexe et sur l’avant-bras d’Isa. Il est suivi par de plus petits qui tombent sur la serviette. Léa n’en revient pas d’avoir jouit si fort et en public. Je me mets à côté d’Isa et commence à me délecter des sécrétions qui ont touché sa poitrine. Je regarde autour de moi. Les mecs se passent la langue sur les lèvres. Je suis sûr et certain qu’un bon nombre d’entre eux aimeraient être à ma place.— Léa, ma chérie, tu devrais venir m’aider pour nettoyer tout ça...Elle se positionne devant Isa et se penche directement vers son sexe. Isa s’appuie en arrière et apprécie le contact de la langue de la belle Léa. Isa prend son pied, ça se voie à la quantité de jus qu’elle déverse. Léa n’en demande pas tant. Elle lui bouffe la chatte. Elle boit ce liquide odorant. Elle s’en étale sur le visage, Sur sa poitrine. — PUTAIN, LA SALOPE, JE VIENS, OUIIIII...Un long jet vient finir sa course directement dans la main de Léa. Elle forme un calice et boit avec plaisir cette douce offrande. Isa se relève et embrasse sa tendre complice. Elles se lèchent le visage.— Alors, contente ? — (Elle me réponde de concert) OUI, HUMM...
— Bon on bouge, dis-je, ils ont eu assez de spectacle pour ce soir.On ramasse nos serviettes et on repart pour la villa. On se tient par la taille. Isa à ma droite et Léa de l’autre côté. Le bois bandé fait toujours son effet car ma queue, toujours au garde à vous, se balance de droite à gauche. Les deux filles s’en aperçoivent et partent dans un fou rire.— Bandes de petites tarées.A La villa, c’est le calme plat. On contourne la villa pour rejoindre la piscine. Ils sont tous assis, enfin non, que les femmes. Je vois que les hommes sont debout de dos. On s’approche et je peux voir Lili accroupie en train de pomper les trois compères. On s’assoie derrière cette assemblée.— C’est un concours, me murmure Virginie, c’est au dernier qui lâchera la purée.— Ça fait combien de temps que cela dure ?— Dix bonnes minutes.— Et bien, dis-je à l’oreille d’Isa, elle est redevenue la bonne cochonne que j’ai connu.— Elle était comme cela ? Me questionne Isa.— Oh que oui, et bien plus....— dis-moi....- Elle a fait cinq gang-bang... - Hummm, combien de mecs à chaque fois...— Le maximum ça a été vingt...— Quelle santé !!! Hihihi.Le travail de Lili va payer. Le premier à décharger est Jean qui gueule comme un ours. Elle avale toute la crème. Le second, c’est Marc. Il ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Elle le pompe consciencieusement, en prenant soin de lui laver la bite. C’est en gorge profonde qu’elle finit Ludo. Il lui tient la tête.— Prends ça GROSSE PUTE, OUIIIII....Lili déglutie. On devine sa langue jouer sur la hampe de Ludo.— j’ai gagné, déclare Ludo, j’ai donc le droit de choisir une de ces femelles pour finir la nuit... Voyons.... Toi. Il désigne Eva— A toi, mon cher Marc.— Il désigne Lili, Ma femme.— Bon, bin, moi ce sera Virginie. S’exclame Jean.Il ne reste Cat, qui nous rejoint.— Bon, on reste ensemble, tant mieux. Dit Cat.Les couples s’éloignent et rentrent dans la villa. Cat nous invite au bar et nous sert un petit punch.— Bon que faisons-nous, reprends Cat. Je n’ai pas envie d’aller me coucher. Au fait, qu’avez-vous fait pendant notre sauterie ?— Rien de bien méchant. On apprit à Léa qu’elle n’avait pas à avoir honte d’être une femme fontaine. Isa lui a démontré que cela était même un avantage.— Bien, bien. (Elle nous ressert). Léa m’a confié que tu es un sacré baiseur, Hervé.— Euh...— On ne se cache rien. Alors ?— J’essaie de donner le maximum de plaisir à ma partenaire.— A ta partenaire ou à Tes partenaires.— Celles qui veulent bien prendre du plaisir avec moi.— Bien, je propose que nous prenions des serviettes et que nous allions prendre un bain de minuit ?— Ah NON, protesta Léa, j’en ai marre du sel....— Bon, il reste la piscine, Fit élégamment Cat.Ne laissant le choix à personne, Léa part plonger, suivi d’Isa et de Cat Je les rejoins en descendant par les marches. Ma queue est droite et dure. Isa, Cat et Léa (en partant de la gauche bers la droite) n’ont d’yeux que pour elle. Isa rigole nerveusement, Cat se passe la langue sur les lèvres et Léa se mort l’index droit. J’avance vers elles.— Je suis gâté mais gêné... Je ne sais laquelle d’entre vous je vais choisir en première compagne de jeu.— Prends maman, elle en a tellement envie et tu nous a bien fait jouir tout à l’heure, propose Léa, Hein maman... Vas-y !!!Elle pousse sa mère vers moi. Isa et Léa se sont rapprochées l’une de l’autre. Je lui tends la main. Je l’attire à moi. Sa poitrine est maintenant contre mon torse. J’approche mes lèvres qui viennent au contact des siennes. Elle ferme les yeux et soupir quand nos langues se touchent. L’expérience d’une femme de quarante-cinq ans parle. Elle me tient par la nuque. Je la maintiens collée à moi par les hanches. Notre baiser dure. Elle descend son autre main sur mes fesses. Elle me les caresse. Notre bouche à bouche devient plus ardent, plus torride, plus obscène. Nos langues se font plus voraces. Petit à petit je l’entraîne vers les marches pour sortir de l’eau.On s’assoie sur un transat. On se regarde avec envie. Elle baisse les yeux vers mon sexe et se mord la lèvre inférieure. Je m’appuie en arrière sur mes bras. L’invitation est trop belle. Elle s’agenouille entre mes cuisses. Elle me tire tout au bord du transat et se saisit de mon sexe. Elle le renifle, se caresse les joues avec. Elle sort sa langue et me lèche délicatement depuis la racine Jusqu’au frein, tout en me regardant .Ma bite tressaute. Elle sourit. Elle continue sa douce et voluptueuse torture. Une perle de liquide séminale pointe au bout de mon gland. Elle remonte, gobe je jus. Je me redresse et commence à caresser sa poitrine. Ses gros seins sont fermes, doux et en forme de poire. Je joue avec ses tétons. Je lui pince, tire sur ses pointes. Elle frémit. Elle me gobe les couilles. Sa respiration est de plus en plus saccadée. Elle me prend la bite en bouche. Ses joues se creusent, elle la ressort en aspirant. Je lui caresse ses cheveux roux. Je la force pour qu’elle descende plus bas. Elle ôte ma main et me prend le sexe jusqu’à la garde. OK, c’est elle qui prend le jeu en main laissons la faire.Pendant ce temps, Isa et Léa sont sorties de l’eau. Elles s’embrassent sauvagement. Le spectacle qu’elles m’offrent me réjouit, m’excite. Je prends la tête de Cat entre les mains.— Si on les faisait participer ?— Bonne idée... Venez mes salopes. Venez nous rejoindre...Elles n’en demandaient pas tant. Cat rabaisse le dossier du transat, y met un fin matelas.— Isa, allonge-toi. Léa à quatre pattes en position de 69. Quant à moi je vais me mettre au-dessus de Ma fille chérie. Voilà, Hervé, trois chattes rien que pour toi.Effectivement, dans cette position, j’ai six trous à combler. Trois cons et trois anus. Isa commence sa caresse buccale sur Léa qui n’est pas en reste. Elle dévore le sexe d’Isa. Cat Masturbe d’une main le clito de sa fille et de l’autre lui pince un téton. Qu’elles sont belle toutes les trois à se gouiner ensemble.Je me place devant la chatte de Cat. Quelle vue !!! De grandes lèvres bien ouvertes, des petites lèvres bien serrées et un clitoris hors normes. Elle mouille abondamment. Est-elle comme sa fille ? J’approche mon gland et appuis pour la pourfendre D’un seul Geste. Elle gémit. Je ressors entièrement et recommence. A fond jusqu’à ce que mon puis vienne buter sur ses fesses. Je la bourre comme un forcené. Elle lâche un « ARGH » à chaque fois que ma bite vient forcer le fond de son vagin.Puis, sans prévenir, je quitte le vagin de Cat pour honorer celui de Léa, non sans entretenir celle de Cat avec deux doigts. Elles gémissent de concert. J’y vais avec entrain. Isa, n’étant pas de reste, me lèche les couilles. Je vais et je viens entre ses reins (c’n’est pas de moi). Je la pilonne comme sa mère. Elle hurle sa jouissance. Je quitte le minou de Léa pour faire le tour du transat. Je me plante avec la même vigueur dans le sexe d’Isa. Là, Cat et Léa, de leurs langues agiles, m’excitent les tétons. Ce jeu de chattes musicales dure depuis quinze ou vingt minutes quand je décide de changer de trou. C’est avec la même véhémence que j’encule à tour de rôle mes compagnes de jeu. N’y tenant plus (et oui, j’ai le droit de jouir moi aussi), je les fais mettre à genou. Toutes les trois ont compris et serrent leurs visages en sortant la langue. Les trois filles ont droit à leur dose de semence. Moi, vidé, je m’affale par terre.
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