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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 15

Orgie / Partouze
— Et bin maman, on peut dire que tu as ramassé grave ! S’exclame Vanessa qui revient avec les deux filles.- Ouf, oui... C’est un baiseur de première, je t’assure.Vanessa me complimente et me flatte la queue et les couilles. Isa et mon épouse aident Éva à se relever et s’affalent toutes les trois dans le canapé d’extérieur. Je m’installe sur un fauteuil et Vanessa décide de nous resservir un p’tit rosé.— Ce sont deux belles femmes que tu as là, Hervé. Rondelettes à souhait et au bronzage intégral parfait.Elle me parle tout en buvant son verre et me masturbant lentement de sa main libre. Je prends l’initiative de caresser un de ses seins. Un petit « oui » sort de sa bouche. Elle approche son visage du mien. Nos lèvres se touchent, nos langues se mêlent. Un baiser fougueux s’en suit. Elle masturbe ma queue raide. Je lui masse les seins avec délice. On quitte notre jeu de langues pour qu’elle puisse descendre lentement, en embrassant mes tétons, mon ventre et finir sur mon gland gorgé de sang. Elle m’aspire, joue avec sa langue sur mon gland, mon frein et mon prépuce. Lili et Isa, pendant ce temps, s’occupe d’Éva. Toutes les deux, Elles lui gobent les tétines tout en doigtant la chatte. Éva à la tête renversée, les yeux fermés. Vanessa se lève et vient s’asseoir, dos à moi, en prenant mon sexe dans une main et s’empale sur celui-ci. La sensation est nouvelle pour moi. Je suis en train d’enculer une fille-garçon au cul ferme et très doux. Je lui caresse les fesses, elle gémit. Elle s’adosse à moi et m’embrasse à pleine bouche. — Lili, dit-elle, viens me pomper le dard ma grosse cochonne.Mon épouse ne se fait pas prier. Elle se place à genoux entre les cuisses de Vanessa et lui avale la queue jusqu’à la garde. Pas évident de garder cette bite en bouche, Vanessa accentuant ses mouvements sur mon rostre. Elles décident donc de changer de position. Vanessa se met sur la table basse, sur le dos et invite ma femme à venir sur elle en 69, puis elle relève les jambes et les pose sur mes épaules.- Allez, encule-moi bien fort, à fond...Je lui saisis les hanches et mon pieu trouve seul son chemin. Mon gland rentre sans rencontrer de résistance. Mes mouvements sont amples et rapides. Lili aspire, avale le monstre de Vanessa. Isa et Eva ne sont pas en reste. Elles sont en position tête bêche et se bouffe mutuellement la chatte. Isa, vicieuse comme vous le savez et même en train de fister sa partenaire. J’accélère mes mouvements. Vanessa couine sous mes coups de boutoir. Lili salive comme une folle sur le pieu de Vanessa. Je regarde, j’admire ses fesses rondes et fermes. Je sodomise pour la première fois de ma vie un transsexuel. Mi- femme, mi-homme. La jouissance n’en est que décuplée, exacerbée. La pression est là et je sens que mon jus est en train de bouillir dans mes couilles. J’ai envie de lui remplir son séant, comme j’ai remplie celui de sa mère il y a une demi-heure. Vanessa le sent, elle me fait me retirer et se met à genoux devant moi, abandonnant la bouche de Lili. Vanessa me masse les couilles à deux mains et me suce à un rythme effréné. Ma bite vibre et se gonfle encore. — AHHHH, PUTAIN, JE VIENS... JE VIENS...Mes éjaculations sont ÉNORMES. Vanessa avale tout, jusqu’à la dernière goutte puis se relève et m’embrasse. Le gout de nos sucs m’enivre. C’est un jeu de langue les plus pervers auquel on se livre. Lili a repris le monstre en bouche et c’est dans un râle que Vanessa lui arrose les amygdales. On reste là, pantois, debout sans vouloir nous séparer. Isa et Éva se sont levées et viennent participer à ce baiser plus que torride. Lili tente de se lever mais Vanessa l’en empêche. — Suce-nous, s’il te plaît. Tu fais ça tellement bien. Allez, ma petite truie, tu nettoies nos queues.Lili s’exécute. Avec gourmandise, elle prend nos queues en main et se délecte à les lécher, les pomper, les masturber. — J’en peux plus, dis-je en m’asseyant sur le divan, laissez-moi reprendre des forces...Éva nous sert un p’tit verre. C’est du « lemoncino » (petit alcool d’origine italienne). Lili et Isa s’embrassent passionnément. Éva est dans un état pitoyable. Seule Vanessa et moi restons fiers avec nous queues qui ne débandent pas. On discute tous les deux de choses et d’autres. Du camping, des rencontres que l’on y a faits, de l’éducation de Lili, de l’amour que je porte à Isa et de sa venue chez nous et de la rencontre avec Jean et Éva. Elle me propose d’aller prendre un bain, ce que j’accepte. On plonge de concert et elle vient m’enlacer.— Tu es un très bon amant, un bon baiseur. — A ce que j’ai vu, toi aussi. Nous rigolons. Adossée au bord de la piscine, elle est belle avec l’éclairage de l’eau de la piscine. L’eau lui arrive au-dessous des seins. Ils sont magnifiques. Je lui demande comment l’opération de sa poitrine s’est effectuée.— Ce n’est pas par opération mais par traitement hormonal.— Ah...bon ?— Oui, à base d’œstrogènes et de progestérones. Je suivi toujours suivis par mon gynécologue mais tu es bien curieux ?— Bin, c’est-à-dire qu’ils sont beaux et sensibles. — Tu sais ceux de ta femme et Isa aussi. Tu pourrais les faire jouir rien qu’en jouant avec eux, je t’apprendrai si tu veux.— D’accord mais pas aujourd’hui.— Pourtant tu m’as l’air en forme, me répondit-elle en mon touchant la queue.— J’avoue que je triche, ton père m’a donné du...— Bois bandé. Je sais et comment crois-tu que je bande aussi fort et aussi longtemps, me dit-elle en éclatant de rire.Je m’approche d’elle et l’embrasse sur la joue. Elle tourne la tête et nos langues se trouvent. Nos bites se touchent, la sensation est bizarre. J’embrasse une fille qui possède un braquemart hors normes. Je lui tiens l’arrière de la tête tout en caressant sa chevelure blonde. Elle me branle maintenant. Mon autre main est attirée par son sexe. Je le caresse, le branle. — C’est très bon ce que tu me fais mais je crois être vidé aussi, me dit-elle.— Oui et demain est un autre jour...On sort de l’eau, nos queues, tendues, ballottent de droite à gauche, ce qui nous fait rire. Isa et Lili sont seules et nous disent qu’Éva est partie se coucher.On décide donc d’en faire autant. Après un dernier baiser à Vanessa, on rejoint notre villa.A mon réveil, Lili est déjà levée. Je saute du lit, passe devant la chambre d’Isa. Pas là. Une odeur de café m’attire jusque dans la cuisine. Le café est prêt mais les filles n’y sont pas. Je m’aventure sur la terrasse. Ma recherche est infructueuse. C’est au retour de la piscine que je m’aperçois qu’il y a un mot à mon intention sur l’ardoise de la cuisine.  « Bonjour, on est parti à Grand Var (centre commercial près de Toulon) pour y faire quelques emplettes. Bois tranquillement ton café. On ne sera pas longue. »Je regarde la pendule... 11h00 ! — Et bé, j’avais besoin de récupérer, me dis-je.Je me sers un café et je vais le siroter au soleil sur la terrasse. Il fait déjà chaud. Puis passage à la douche. Je m’aperçois que mon épilation est plus que douteuse. Je décide donc de la parfaire à la crème dépilatoire. Une fois finie et le sexe et l’anus glabres comme au premier, je prends une douche. En m’essuyant, je vois le flacon de la précieuse lotion offerte par Jean. J’hésite mais comme me dit le petit diable qui est en moi, je m’en passe sur la verge, les couilles et en bois une bonne rasade. Je vaque à mes occupation, c’est-à-dire le débarrassage de la terrasse, des bords de ma piscine et de ma cuisine. 11h45, les filles ne sont toujours pas là. J’ai soif donc je me prends une petite bière bien fraîche. Je vais sur la terrasse et m’étire en baillant. — Qu’elle soirée, si cela est comme cela durant toutes nos vacances, ça promet !!!
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