Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 44 J'aime
  • 1 Commentaire

Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 18

Avec plusieurs femmes
On pénètre dans une pièce chichement décorée de tableau et de photos en noir et blanc montrant Vanessa dans toute sa splendeur. Rien de pornographique, Que des nues qui mettent en valeur sa plastique parfaite. La lumière est tamisée. Les volets clos. Il y fait chaud. Vanessa nous ouvre une tenture noire. Lili nous apparaît nue, allongée sur le ventre et sur un banc d’une hauteur d’un mètre. Elle a les mains attachées à une espèce de guidon. Les pieds sont ramenés vers l’avant et attachés à des cale-pieds. Son cul est dans le vide et ses seins pendent grâce à la forme du banc. La tête est relevée par une mentonnière.
— Voilà ton épouse. Elle a lu et signé ma charte. Je vous la résume vite fait. Elle m’est offerte et soumise. Tous ses trous me, sont offerts. Pas de violence, juste quelques coups de martinet et de paddle (une espèce de tapette à mouche bien plus grande) que voici. Elle aura droit aux godes que voilà.
La collection de godes est impressionnante. Ça va du gode imitant à la perfection le sexe mâle, au gode énorme représentant un poing fermé et l’avant-bras d’une femme. 
— Et derrière vous, ma machine à baiser. Pour rendre une femme ou un mec dingue, il n’y a pas mieux. Il y a d’autres accessoires mais je vous les présenterai plus tard. Bon maintenant, n’ayant pas l’habitude ni l’envie d’avoir des spectateurs, voulez-vous bien sortir et aller préparer le repas. Ne fait pas cette tête là, pas de publique. J’en ai pour une heure. Aller, oust...
C’est dépité et un peu déçu que l’on rejoint le mas. La préparation est vite faite, Vanessa s’en étant chargé dans la matinée. On met la table. La piscine nous tend ses bras, c’est avec bonheur que l’on y plonge. Isa est une vraie sangsue. J’essaie de lui échapper, peine perdue. Il est vrai qu’elle se rend à la piscine régulièrement. Elle me demande de m’asseoir sur le rebord de la piscine les jambes dans l’eau. Elle est à bonne hauteur. En rigolant, elle s’approche de moi, m’écarte les jambes et pose ses mains sur mes cuisses. Elle ouvre grand sa bouche et gobe mon sexe dressé jusqu’à mon pubis. Je sens sa langue jouer sur ma hampe. Elle continue ce petit jeu pendant cinq bonnes minutes puis s’arrête et me regarde, sourire aux lèvres. — J’ai envie de ta queue, ici, maintenant.
Je descends dans l’eau et me place derrière elle. Elle pose ses mains sur le mur, écarte ses grosses cuisses et se cambre. Je l’admire. Son corps m’est offert. Avec son bronzage parfait, elle est resplendissante. Je joue avec mon gland sur sa vulve et son anus.
— Arrête de jouer à la tête chercheuse, fou la moi !!!!
Ses désirs sont des ordres. Je pénètre lentement, mais alors très lentement, son jolie abricot. Elle essaie de reculer pour accélérer le mouvement mais c’est une puissante claque sur sa fesse droite qui l’arrête net.
— AÏE, salop, tu m’as fait mal.
Une deuxième fessée sur la gauche plus forte que la première. Elle hurle. Je continue ma lente progression entre ses muscles vaginaux qui me massent. J’arrive bientôt en butée. Elle coule de plaisir. Son jus se répand jusque sur ses cuisses. Elle soupire, gémit, me supplie de la prendre violemment. Je ressors aussi lentement que je suis rentré. Une fois dehors, je lui agrippe les hanches et rentre puissamment jusqu’au fond de son vagin. Isa, souffle mais ne dit rien. C’est maintenant au galop que je prends ma partenaire. La pénétrant sans retenue, je lui gifle ses fesses par alternance. Elles rougissent malgré leur teint halé.
— Alors ma cochonne, on apprécie ma queue, hein ? 
— Putain... OUI... VAS-Y !!!
Je la baise ainsi pendant de longues minutes avant de stopper et de sortir de l’eau.
— Mets-toi là, à quatre pattes sur la pelouse. Oui, très bien, cambres-toi bien, montres-moi tes fesses.
Je viens la prendre à califourchon tel un jockey au galop sur sa monture. Isa n’en peut plus de jouir. Elle laisse tomber son visage au sol. Ses bras ne la tiennent plus. Les flocs-flocs que font nos deux sexes raisonnent dans tout le jardin. Je sens que je vais venir en elle, me vider en elle.
— Dans ma... Bouche.... Je veux... HAN... Te boire.
-Comme tu veux. Alors c’est maintenant, viens...
Je me retire et me relève. Elle se retourne. Elle a des brins d’herbe collés sur sa joue gauche. Je lui présente ma bite à sa bouche. Elle retire ma main et me saisit les hanches. Elle gobe mon sexe jusqu’à ce que son nez vienne buter sur mon ventre. Elle entame une gorge profonde. De la salive lui coule à la commissure des lèvres. A ce traitement, je ne tiens pas longtemps.
— AH, HAN, SALOPE, JE VIENS, OUIIII...
Je ne sais pas combien de jets de sperme je lui envoie directement dans l’estomac mais elle avale les autres tout en me regardant. Elle ressort lentement et me tète le gland en jouant avec mon méat. — Tu n’es qu’une bonne grosse chienne.
Elle me sourit. Elle ouvre la bouche et me montre mon jus. Elle joue avec puis déglutie. Elle est fière d’elle. Elle se lèche les lèvres. — Oui, je suis ta chienne d’amour, me dit-elle en me regardant, et tu aimes cela, non ?
— Oui, J’avoue que j’adore nos séances de baise. 
Bon, une bonne douche, ça te dit ?
— Non, J’ai une autre idée qui va te plaire, suis-moi.
Je l’entraîne jusque la table basse du salon. Je la fait s’allonger sur le dos. Je me mets en 69 et commence à lui embrasser les cuisses, puis je remonte vers l’aine. Elle recommence à me téter le gland, ce qui a pour effet de m’électriser.
— HUMM, tu as encore du sperme qui coule, SLURP, trop bon !!!
Je continue ma progression jusqu’à son bouton d’amour et je le suce comme je sucerai une bite. Elle s’active plus fort sur mon nœud, le léchant, le tétant, jouant avec mon méat. Son sexe est béant et l’odeur qui en sort m’attire. J’y plonge ma tête et le pénètre de ma langue. Je le fouille comme un fou. D’une main, je lui titille le clitoris. Elle se trémousse.
— Mon salop, tu vas me faire repartir. Je n’arrête pas mes coups de langue, au contraire. J’accentue ma caresse buccale et lui enfonce deux doigts. Elle coule et inonde la table. Elle me branle plus qu’elle me suce. Elle jouit. Elle halète. 
— Putain, arrêtes, tu vas me tuer...
Ces supplications sont pour moi des encouragements. Un troisième, puis un quatrième doigt viennent rejoindre les deux premiers. Je lui fouille le vagin. C’est doux, chaud et visqueux. Elle se cambre et retombe lourdement sur la table.
— Putain !!! Arrêtes-toi, je t’en supplie....HAN, AH, OUIIIIII… Elle essaye de m’échapper. Elle ne peut pas, foudroyée par un spasme de jouissance extrême, elle gicle un torrent de cyprine sur mon avant-bras. Elle se cambre. Elle a la bouche ouverte mais aucun son n’en sort. Je ressorts mon poing. Sa vulve est béante. Je lui dépose un dernier bisou et je me relève.
-Waouh, c’était fort, jamais je n’ai connu ça… Ouf, truc de dingue… Putain de salop…
— Oui, mais ça ta plu, non ? Ose dire le contraire…
Elle me regarde et s’assoit sur la table. Son regard me dire oui. Elle admire la table qui est détrempée. On rigole et on se dit qu’il vaudrait mieux nettoyer tout ça.
Diffuse en direct !
Regarder son live