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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 19

Trash
Elle me regarde et s’assoit sur la table. Elle admire la table qui est détrempée. On rigole et on se dit qu’il vaudrait mieux nettoyer tout ça. 18H00. On entend des pas sur le gravier. On se retourne, c’est Vanessa.
Elle est seule. Tout sourire, elle nous regarde astiquer la table. -Alors mes amours, pas trop ennuyé ?-Non, non, au contraire, lui répond Isa.— Mouais, vous n’avez même pas préparé l’apéro ? Décidément, vous vous êtes bien trouvé. Ah, des amants intenables, dit-elle en montrant les jambes d’Isa.Effectivement, elle a les jambes trempées et ce n’est pas de l’eau. Elle nous montre la douche. Sans un mot nous nous dirigeons pour un rinçage bien mérité. A notre retour tout est prêt. Rosé, sirop de pêche et amuse-gueules. Vanessa nous invite à nous asseoir sur la grande banquette. Elle nous explique que Lili va nous rejoindre plus tard, elle doit reprendre son souffle. Elle nous racontera ce qu’il s’est passé, ce qu’elle a dû endurer. Il est 18h30, on a commencé à boire et à grignoter, quand ma femme arrive. Elle a une drôle de démarche. Elle titube, boite, se concentre sur chaque pas pour ne pas tomber. On en rigole. — Même pas drôle, j’ai ramassé grave. Nous dit-elle.-Aller, raconte nous. Demande Isa.— Ouf, je ne vais pas pouvoir m’asseoir pendant des jours. Ma chatte et mon cul sont en feu. Putain, mais qu’est-ce que c’était bon.— Prends des coussins et viens t’asseoir près de moi. Lui dit Vanessa.— Non, je ne raconterai rien. C’est la promesse que j’ai fait à Vanessa. Tout ce qui se passe là-bas doit rester confidentiel, continue Lili. Si vous voulez savoir, à votre bon cœur.
Elle se lève et demande la permission à notre hôte de se doucher dans la salle de bain parentale. Puis, toujours en titubant, elle se dirige vers la salle de bain. Au vu des marques qu’elle porte sur son fessier et ses seins, c’est sûr, elle a dû ramasser. 
Vanessa nous ressert et se rassoie prêt de moi. — Et toi, as-tu apprécié ?— Me faire prendre par toi, oui, terrible...— Humm, je vois que tu as suivi mes conseils, dit-elle en regardant mes couilles. Elles travaillent encore. Mais je vais t’en remettre, ne bouge pas.Elle part dans la maison. Isa se lève et la suit. Je me retrouve seul avec ma bite en érection et pas une chatte à fourrer. Je me m’astique le manche en lui parlant.— Et bien oui. Elles sont toutes parties Mais ne t’inquiète pas, elles vont revenir et on s’occupera de leur cas.Vanessa revient avec un flacon que je ne connais que trop bien. Elle se place entre mes jambes et ouvre la fiole.— C’est du spécial, de l’extra. Je vais te laisser ce flacon et tu devras t’en mettre deux fois par jour. Une fois après la douche du matin, une fois après la douche du soir. L’autre, tu t’en mettras le midi, pour entretenir ton traitement. Avant que tu les finisses, tu me le diras un peu avant, je t’en redonnerai. Mon oncle Séb habite toujours au Cameroun, c’est mon fournisseur. 
Elle décapsule la petite bouteille, met de l’onguent sur ses mains et vient entourer mon sexe de ses fines mains. Le contact est surprenant. Entre chaleur et froidure. Ma bite se tend à l’extrême. Elle me fait mal, pas une douleur extrême, non, une douleur lancinante. Douce torture atténuée par le massage de Vanessa. Elle reprend de ce liquide grisâtre, et recommence l’application, cette fois ci sur mes couilles et sur ma bite. Elle malaxe mes deux valseuses qui réagissent aussitôt. Elle maintient mes couilles d’une main en les bloquant entre deux doigts et me les masse avec douceur de l’autre main. Elle reprend mon phallus en main et commence une lente masturbation. L’extase...

Une perle se forme sur mon gland qu’elle s’en va quérir avec le plus grand soin.— J’adore ta femme ou plutôt ses dispositions à jouir. Elle est parfaite mais il y a encore du travail pour qu’elle devienne une chienne à tous faire, tout accepter...— Et ?— J’aimerai qu’elle reste avec moi pendant une semaine pour parfaire son éducation. Je sais qu’après les naissances de tes fils ça n’a plus été entre vous, sexuellement parlant. Elle m’a dit qu’elle regrettait son comportement. Je peux, enfin, je veux te la rendre plus salope, plus chienne que tu ne l’as jamais connu.— Intéressant, et quand compte tu commencer ?— J’ai déjà commencé. Elle va rester avec moi ce soir, tu reviendras vendredi prochain. En attendant, Isa et toi, après le repas, vous allez rentrer.— Mais, je ne sais pas si Lili est d’accord !— Elle a signé ma charte. Elle est d’accord.
Isa revient accompagnée de mon épouse. On passe à table. Aucune parole n’est dite sur la situation de ma femme. A la fin du repas, Vanessa nous raccompagne et récupère la télécommande.— Pour éviter les tentations, nous dit-elle.
Arrivé à la maison, j’explique à Isa le pourquoi et le comment. Lili est devenue l’élève de Vanessa. Elle rigole. Elle sait, Lili lui a dit. Elle a hâte d’être à vendredi. — J’ai un peu peur, lui dis-je.— Ne t’inquiète pas... Elle est entre de bonnes mains.Oui mais j’ai honte...— Honte de quoi ? Lili est grande, puis elle a signé, c’est pour en chier.On éclate de rire. 21h00, Isa ne veux pas finir cette soirée aussi tôt. Il est vrai qu’avec la bite et les couilles qui me démangent je n’ai pas envie d’aller me coucher. Elle me propose de venir sur la terrasse et de m’asseoir à la table, en face d’elle. Elle repart et réapparaît avec deux bières et des clopes. Elle m’en allume une et me la tend. — J’ai envie de faire l’amour mais pas de façon conventionnelle. Tu n’aurais pas une idée ?— Tu me prends de court. Qu’attends-tu par non conventionnelle ?— Je ne sais pas, je cherche mais je ne trouve pas. Quoique...— Développe... — J’aimerai que tu viennes me prendre mais d’une façon différente. Comme une chienne... Une pute, TA pute.— Tu veux bien me faire plaisir ?— Oui, tout ce que tu veux.— Bien suis-moi. Tu veux être ma putain, je vais t’habiller comme tel.
Je la prends par la main et l’emmène jusqu’à ma chambre. Je la place debout face au miroir de la coiffeuse de Lili. Les bras le long du corps, Jambes légèrement écartées. Je vais dans l’armoire de ma femme et fouille dans les affaires de ma femme pour y trouver une mini-jupe en cuir. La jupe doit y être mais cela fait des lustres que Lili ne la porte plus. Je la trouve enfin, enfouie sous une pile de linge. Je trouve également la chemisette blanche sans manche que portait naguère mon épouse. Je prends une paire de bas et un porte-jarretelle noir. Je demande à Isa d’enfiler les bas et de mettre le porte-jarretelle. — Ou est le plug anal que je t’ai offert ?— Dans mon sac à main...Je retourne au salon pour prendre l’objet et reviens aussitôt. Je lui installe après l’avoir lubrifié.— Non, ça ne va pas, on va prendre des bas blancs. Ça fera ressortir ton bronzage. 
Elle est ravissante, plutôt bandante avec ces bas blancs et sont porte-jarretelle de la même couleur. Son bronzage intégral ressort mieux ainsi habillé. Je lui tends la jupette et la chemise. Elle les enfile. La jupe descend au-dessous de ses fesses, laissant apparaître ses bas et ses jarretelles. Le haut est pas mal non plus. On peut voir la naissance de sa grosse poitrine. Je la fait asseoir face au miroir. Elle me regarde en souriant.— Maquillage légers, pas de fard, juste du rouge à lèvres, mascara et tes paupières en vert. Dépêche-toi, je t’attends sur la terrasse.Je reprends deux bières dans le frigo et je m’en vais l’attendre. Au son émit par ses pas, je devine qu’elle porte des talons, chose à laquelle je n’avais pas pensé.
Elle se tient devant moi, maquillée à la perfection, coiffée et parfumée. Elle a mis un collier raz du cou qui lui donne un air de salope. Le chemisier est déboutonné, offrant un décolleté pervers. La jupe est magnifique, ne parlons pas des bas qui lui vont parfaitement. Les chaussures sont, elles aussi, blanche avec un talon de cinq centimètres.— Je te plais comme cela ? Dit-elle en me souriant.— Ravissante, on en mangerait...— Justement, quel est le programme ?— Assieds-toi. Je vais aller prendre ma douche et m’habiller. Toi, tu vas m’attendre et réfléchir à ce que je vais te dire. On va sortir et chercher quelqu’un au hasard, homme, femme, couple, je m’en fou. Je veux te voir faire l’amour à un, une, des inconnus. Bien sûr je participerais. J’aime te voir baiser, de te voir donner et prendre du plaisir. On fera croire que tu mets soumise et que tu fais cela pour me plaire. Tu as dix minutes pour y réfléchir et me donner ta réponse.
Je me lève et je vais à la douche que je prends vite fait. Je passe de la lotion sur mon sexe et enfile un shorty et un tee-shirt noir. Je coince ma bite entre le short et mon ventre et je sers le lacet de ce dernier. Je prends mes espadrille et rejoints Isa. Elle a allumé une cigarette et bois sa bière. — Tu fumes toi maintenant ?— Une pute doit fumer, non ?— Comme tu veux. Bon, alors ?— C’est d’accord. Ça sera la même chose que lorsqu’on a rencontré Jean. En plus excitant, cette fois-ci c’est voulu et désiré. Et puis ma tenue est des plus équivoques. Qui ne voudrait pas me sauter ?— C’est vrai. Tu es plus que bandante. Tu me passes ma bière, je la finis et on part en chasse.
22h30, on prend sa voiture, bien plus spacieuse que la mienne.
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