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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 21

Trash
— La vache, je n’ai jamais ramassé comme cela.— Ça ta plu ?
Pour toute réponse j’ai le droit à un doigt d’honneur. (Décidément, les jeunes n’ont plus de respect).Je la fais se lever et on se dirige vers la salle de bain pour prendre notre douche. Elle passe devant moi. Quel joli brin de jeune fille. Petite cul, petits seins, des hanches étroites, un minou accueillant et un visage d’ange. Arrivée devant la salle de bain, elle stoppe.— Waouh, ça c’est de la pipe. Je ma place derrière elle et je vois Isa accroupie devant Éric, à poil, en train de lui prodiguer une fellation d’anthologie. Sa chemise est enlevée, sa jupe retroussée. Elle l’a au fond de la gorge, sa langue vient jouer sur la base. Elle se retire, bavant et pleurant. Il a son sexe détrempé. Moins imposante que la mienne mais Isa a l’air d’apprécier.— Waouh, frérot, tu apprécies ?— Terrible, elle m’a déjà vidé une fois. Et toi, tu as conclu ?— Oui et il est équipé d’un mandrin exceptionnel.
Elle se pousse et me fait avancer. Il me regarde les yeux écarquillés.— Il ne faut pas vous gêner. On ne peut pas être tranquille ici ? Nous dit Isa sur un ton peu convaincant. Et toi, petite mateuse, tu n’as jamais vu ton frère à poil ?— Non, ça fait drôle et en plus dans cette situation. Désolé, on va vous laisser.— Non, restez !!! Dit Isa. Il me faut de l’aide.Je prends Vivi par je bras et l’emmène devant son frère. Elle reste debout, hébétée. Ils se regardent droit dans les yeux, apeurés. Je lui caresse les fesses. Elle se cambre. L’invite est trop bonne. Je lui plante mon rostre dans son abricot. Sous mon coup brutal, elle bascule en avant et se retrouve appuyée sur les épaules de son frère, leur visage son à quelques centimètres. Je la besogne lentement. Elle ferme les yeux et ouvre la bouche. Son frère prend cela pour une invitation et approche sa langue des lèvres de sa sœur.— Non !!! Dit-elle en rouvrant les yeux. Ce n’est pas bien.— Chut, laisse ton corps, tes envies parler. Lui dis-je doucement à son oreille.

Je pousse sa tête lentement vers Éric. Ils ferment tous les deux les yeux et s’embrassent passionnément. Isa se relève et vient m’embrasser. Je me décale pour que les deux amants se retrouvent face à face. Je sors à regret ma bite de son fourreau accueillant. Isa a compris mon intention. Elle prend la verge d’Éric et la positionne devant la chatte de Vivi. Il retend ses jambes et rentre lentement, avec amour. Leurs bouches toujours soudées, les yeux fermés, ils se caressent tendrement.— Viens, laissons-les. Me dit Isa.Elle me prend par la queue et se dirige vers le salon.— Que fait-on ?
— Tu m’encules, tient, pardi.Elle saute à genoux sur un fauteuil, se cambre. Sans attendre, je crache un peu sur sa rondelle. J’y rentre deux doigts.— Ô, c’est ta grosse bite que je veux moi, pas tes doigts.
Je lui plante d’un coup mon viêt dans son anus. Le sphincter ne me résiste pas et ma bite est avalée d’une seule poussée. J’entame des mouvements amples et lents mais elle veut de la baise plu hard, plus violente. Alors je grimpe sur les accoudoirs du fauteuil et je la bourrine violemment en lui donnant tout ce que je peux. -HUMM, j’adore ta queue. Fesses-moi. OUI, C’EST BON... HAN, HAN, C’EST BON TA BITE DANS LE CUL...Je la tiens par les cheveux d’une main, de l’autre je lui administre des claques sur les fesses. Cela dure longtemps avant que je me répande en elle , dix minutes, un quart d’heure, je ne sais plus. C’est la quatrième fois que j’éjacule. La jouissance est forte. Son muscle anal se resserre, signe de sa jouissance.— PUTAIN, QUEL CUL TU AS. ARGH, C’EST BON... OUI, QUEL PIED !!!!!— HAN, DONNE-MOI TOUT...
Je reste ainsi perchée sur ma jument puis elle se retire et vient me nettoyer la queue. Consciencieusement, elle me lèche la bite, n’oubliant pas mes couilles.— Waouh. Toujours en forme ? Aller, on rejoint les deux petits.La salle de bain est vide. On entend de petits gloussements qui proviennent de la chambre. On se rapproche et on peut les entendre parler.— Han, oui, défonce-moi, plus fort, plus vite.— Oui, j’arrive, je viens, OUI...— Non, pas déjà...Isa pousse la porte. Éric est planté dans sa sœur en levrette. Il nous regarde et nous sourit.— Putain, qu’elle est bonne ma Vivi, c’est sa troisième dose. Je suis vidé.Vivi, la tête planté dans les oreillers, reprend son souffle.— Allez les jeunes, venez au salon, il faut reprendre des forces.Une fois installé, Ils nous racontent leur ressentit. Vivi prend la parole en premier. Cela fait longtemps qu’elle fantasme sur son frère. Elle se touche souvent en pensant à lui. Elle est interrompue par son frère qui lui exprime ses sentiments et c’est par un baiser passionné que se termine cette discussion.

Il est 1h00 du matin. Éric est impressionné par ma bite hors norme qui est toujours tendue. Je lui explique que je me badigeonne la queue avec du bois bandé. Il serait content d’essayer. Je lui réponds que peut-être, un jour... Sa sœur à les mains baladeuse et masturbe le sexe flasque de son frère mais sans grand résultat. Isa me caresse les couilles.— Vous ne vous raser jamais ? demande Isa. — Non mais vu comment vous êtes tous les deux, tu as une idée derrière la tête. Répond Éric.— Ça doit irriter ? Poursuit Vivi. — Quand c’est bien fait, non...— Qu’est-ce que ça apporte ? Questionne Éric.— Plus de poil en bouche pour ta partenaire et c’est plus agréable au niveau des sensations.— Aller, on y va, je veux essayer. Dit Vivi qui se dirige déjà vers la salle de bain.On lui emboîte le pas. On leur fait prendre une douche et on s’attelle à la tâche. Isa se charge d’Éric, moi de Vivi. Ils sont tous les deux debout, nous accroupis devant nos deux jeunes amants. Je commence à lui badigeonner la chatoune de gel et m’applique, délicatement à lui raser. Elle est peu fournit, C’est un régal de voir ce petit sexe qui se dévêtit sous mon rasoir. Je lui demande de se mettre de dos, de prendre appui sur le mur et de se cambrer. Elle me regarde d’un air interrogateur.- C’est pour ta raie des fesses, ne t’inquiète pas. 
Je termine mon œuvre. C’est parfait. Je la fait se rincer.— C’est étrange comme sensation, me dit-elle, ça me fait bizarre.Je l’entraîne vers le salon. Isa n’a pas encore attaqué le verso. Normal au vu que sa toison est plus fournit que celle de sa sœur.Je me mets sur le canapé et demande à Vivi de s’asseoir face à moi.— Vas-y, découvres ton sexe, écarte les jambes et caresses-toi.Elle ouvre le compas de ses jambes et descend timidement sa main. Elle commence par parcourir le long de ses cuisses puis remonte sur le côté de sa vulve. Elle n’ose rien dire. De son autre main elle sort son clito de son fourreau. Il est moins timide. On peut le voir gonfler de sang. Elle introduit un, puis deux doigts dans sa chatte et commence des mouvements désordonnés. Quand Isa et Éric reviennent, ils assistent à un spectacle érotique. Il rebande. Isa me fait me lever et installe Éric. Elle va vers Vivi et la place en 69 au-dessus de son frère.— Aller, faites-vous plaisir... Faites nous plaisir.

Ils se redécouvrent, s’embrassent timidement le sexe avant que leur langue commence un balai. Vivi arrive à prendre entièrement le sexe de son frère en bouche quant à Éric, il utilise sa langue comme une bite, fouillant au plus profond de l’intimité de sa sœur. Ils sont beaux les jumeaux. Isa se touche. Je la fait mettre en travers du fauteuil et lui présente mon rostre. Je me penche en avant, lui écarte ses grosses cuisses et m’en vais goutter au fruit défendu. Isa, me connaissant de mieux en mieux, joue avec mon méat. Moi je m’occupe de son bouton d’amour. Cela dure longtemps. Isa jouit quatre fois. On peut entendre Vivi qui n’arrête pas d’enchaîner les cris, les gémissements et « ah, oui, c’est bon ».
On entend le râle d’Éric quand il se vide dans la gorge de sa sœur. Je le suis de prés. Isa continu à me branler quelques instants. Puis elle me repousse et tire Éric qui se retrouve le cul par terre. Elle se penche sur la bouche de Vivi et lui crache sa récolte. Puis leurs lèvres se soudent pour un malaxage en règle de nos semences. Isa et la petite joue ainsi pendant cinq minutes puis elles se mettent à genoux sur la moquette du salon. Vivi regarde Isa ouvrir la bouche. Elle l’imite. Elles ont le fruit de nos éjaculations et de leur salive. Isa avale et Vivi en fait de même.— Un régal. Dit Isa.— Je ne pensais pas que je ferais ça un jour.
Il est 3h30, on décide, à regret, de nous séparer. Après l’échange des numéros de téléphone, on se promet de se revoir très vite.
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