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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 24

Orgie / Partouze
En voyant la belle récupérer et de se remettre de sa première sodomie, on éclate tous de rire.Le reste de la soirée se passe dans l’échange de caresses et de baisers. On finit, Isa et moi dans ma chambre, Éric et Vivi dans celle d’Isa.
11h00. Je me réveille en m’étirant. Isa n’est plus à mes côtés. Je lève et part à la douche. Application du « spécial ». Il y a un mot sur le comptoir de la cuisine.
«  Bonjour, je suis partie raccompagner les amoureux et récupérer mon courrier. A toute... Je t’aime. Bises.»
Bon, enfin un peu seul. Je prends un café. Je décide ensuite de ranger le bordel qui règne sur la terrasse, autour de la piscine et dans ma chambre.
13h00. Je m’enfile une petite bière bien fraîche sur la terrasse remise en ordre. Mon esprit vagabonde. Je pense à Isa, Lili, Vanessa. Je me surprends à caresser ma queue. Elle est belle, tendue, le gland chargé de sang. Elle recouvre mon nombril. Mes couilles jouent à l’ascenseur. Drôle de sensation. 14h00. J’entends la porte s’ouvrir et se refermer. Isa vient me voir sur la terrasse.
— Bonjour... Oh, Monsieur et réveillé et il a bien travaillé à ce que je vois... — Oui, je t’attendais pour manger...
— J’ai mangé chez ma cops, son mec n’était pas là.
— Ah, ok, bon, bin, je vais manger le reste de tapas.
— Reste assis, je vais te servir, ensuite, surprise...
Elle me sert donc tapas, taboulé et rosé. Je mange paisiblement au son des cigales. J’ai faillis m’étouffer au retour de ma belle. Elle porte un body-filet blanc en mailles épaisses lui moulant parfaitement son corps. Ses tétons pointent fièrement au travers de deux trous prévus à cet effet. Elle porte aussi une mini-jupe blanche qui tient plus de la gosse ceinture et des escarpins blancs.

— Ça te plait ? — Oui, mais tu aurais dû attendre que je finisse de manger ! Où as-tu eus ces fringues ?
— Je suis allée faire quelques courses pour notre soirée de ce vendredi soir. Je suis passée chez l’esthéticienne pour parfaite mon épilation. Me dit-elle en remontant sa jupe et me faire découvrir que son body est ouvert aux endroits stratégiques.
— Quoi, quelle soirée. — Attend, je vais enlever cette charmante tenue et je t’explique.
Après avoir adoptée la tenue d’Ève, elle s’assied face à moi.
— Bon. Voilà. On a discuté cul avec Nat, ma copine, et elle m’a avoué pratiquer le naturisme et l’échangisme. Qu’ils participaient de temps en temps à des gang-bang et qu’ils en organisaient un vendredi mais qu’ils leur manquaient une nana. Quarante mecs, deux nanas. Donc elle m’a demandé si j’étais intéressée.
— Et tu lui as répondu oui, je suppose...
— Non, je lui ai dit qu’il fallait que je t’en parle. Alors ?
— J’n’en sais rien... Quarante mecs ?
— Oui, me répond-elle. Sur un ton déstabilisant.
— C’est à toi de voir, après tout c’est toi qui va être le centre d’intérêt de cette meute de loup.
— Oui et ça m’excite. Dit-elle en se caressant la moule. Je la rappelle pour lui confirmer notre participation et prendre rendez-vous pour la sélection des trente-huit autres. 
— Fait comme tu veux, c’est ton cul qui va ramasser.
— Oui, et il y a une participation de cinquante euros par mec mais pour nous c’est gratuit, puisque je participe.
— Comment, c’est payant ?
— Oui, pour le traiteur, le champagne et tout et tout, voilà quoi.
— Plus une orgie romaine qu’un gang-bang.
— Oui, c’est cela. Le reste de la semaine se passe tranquillement. Isa a été faire sa « sélection ». Elle m’a dit qu’elle avait pris que des gros calibres et sa copine aussi. Evidemment, pas de sexe entre elle et moi, enfin pour moi. Isa jouant tous les soirs avec son gode. Moi, me passant du bois bandé matin, midi et soir. On joue un peu, des attouchements, des collés-serrés dans la piscine et des baisers bien baveux. Vendredi midi, on part chez la copine d’Isa pour l’aider aux préparatifs de la soirée. On arrive devant une maison moderne (un peu comme chez moi mais en bien plus grand) isolée au milieu des vignes. Pas de voiture mais une Harley-Davidson trône comme un diamant au milieu de la pelouse de devant. On est accueillie par Nat et Fréd, son mari. Ils sont tous les deux nus. Lui, la cinquantaine, grand, mince, bronzé, crâne et corps rasés et une bite de taille honorable qui pendouille entre ses cuisses musclées. Elle, trente-cinq ans, petite aux cheveux noirs, yeux bleus, ne petite poitrine en forme de poire avec de petits tétons, bronzage parfait, un cul parfaitement proportionné à son gabarit et un sexe glabre aux grandes lèvres bien visibles. Ils nous accueillent chaleureusement. Elle nous mène jusqu’à notre chambre, puis nous montre la salle de bain et la cuisine. On se met en « tenue » et on retrouve son mari (qu’elle appelle son mec) en train d’allumer le barbecue de la terrasse. Elle est ombragée par une tonnelle de vigne. La table est mise. Il y a une piscine en contre-bas. Belle, longue et large. Fréd me dit que la profondeur maxi est de 2m20 et la mini 1m20, Que l’eau y est à 29 degrés. Il n’y a pas de chlore, que le système de filtration suffit, car il y est allergique.Les filles discutent et rigolent entre elles. Marc me raconte que sa femme est une insatiable de bites. Il lui faut du sexe tous les jours et me questionne sur Isa. Pour toute réponse il a un « OUF ». On éclate de rire. Il reprend la parole en me précisant que les mecs, qu’elles ont choisi, sont des mecs qu’ils connaissent, lui et sa femme, Depuis longtemps mais devront apporter un certificat médical pour les MST.Les filles nous appellent pour prendre l’apéro. Fréd me sert un pastis, Isa prend un Martini blanc, Nat un rouge et Fréd comme moi. On discute comme si la soirée de ce soir n’avait pas lieu. On mange, on boit. Les mains de Fréd se font baladeuses sur le corps des deux filles. On prend le café. Je discute avec Fréd de son boulot. Il est concessionnaire Harley à Toulon. D’un coup, je sens une langue qui parcourt ma cuisse et remonte jusqu’à mes couilles. Je regarde dessous la table, c’est Nat. — Humm, que ta peau est douce... Me dit-elle.
— Et bé... Sont les seuls mots qui sortent de ma bouche.
Isa se lève et va se mettre derrière Fréd. Elle lui masse les épaules, le torse, le ventre et j’imagine la bite car la table me masque la vue. Ma bite s’est relevée et Nat me torture en me léchant des couilles au méat, sans me prendre en bouche. Ce jeu dure depuis un quart d’heure et s’arrête comme il a commencé. D’un coup, la salope, elle ne va pas me laisser en plan comme cela ? Elles partent toutes deux, se tenant par la main.
— Belle queue que tu as Hervé mais je te réserve le meilleur pour ce soir. Me dit Nat. Nous on va faire la sieste. A plus tard...
Fréd, apparemment habitué aux frasques de sa moitié, va nager. Je le suis. On se prélasse dans l’eau. On va se sécher au soleil sur un des nombreux transats disposés autour de la piscine. On sirote une bière jusqu’à 18h00. L’heure à laquelle Fréd décide d’aller réveiller les filles. On arrive devant la salle de bain. Elle est occupée par Nat et Isa, la porte verrouillée. Fréd me dit qu’on ferait mieux de les laisser et d’aller préparer les festivités. On s’affaire à la cuisine quand elles arrivent. Elles sont habillées à l’identique, body blanc et mini-jupe. Isa vient me flatter la queue et Nat dépose un bisou sur le gland de Fréd. Celui-ci me fin un clin c’œil. On finit à quatre de préparer les petits fours, mignardises sucrées et salées ainsi que les verres qu’ils disposent sur les tables extérieures, à l’ombre de la terrasse. 19h30 les premiers invités arrivent. A ma grande surprise, ils sont tous accompagnés de créatures plus belles les unes que les autres. Des grandes, des petites, une noire et une asiatique. Les mecs sont banals, des grands, des petits, des musclés, des bedonnants . Tous sont blancs, sauf un asiatique accompagnant la fille de la même origine ethnique. Ils sont vingt, vingt-quatre avec nous et nos hôtes. Présentations faites, Nat invite ce petit monde à se mettre à l’aise. Aidée d’Isa et des autres filles, elles mettent tous les vêtements dans la villa. Tout le monde est à poil, sauf Isa et Nat. On boit, on rigole. Moi un peu à l’écart, je suis rejoint par Isa, suivit par Nat.
— Je t’avais dit que je te réservais le meilleur pour ce soir. Pas trop déçu ? Me dit Nat.
— Non, un peu décontenancé, c’est surprenant.
— Il y a deux règles dans nos partouzes, veux-tu les connaître ?
— Euh... Oui, au point où j’en suis...
— Bon, une seule partenaire pour la soirée et vu que tu es nouveau dans notre petit groupe, tu as le choix d’une fille qui va passer la soirée avec toi...
— J’n’en sais rien, elles sont plus belle les unes que les autres ?
— Je peux te dire qui il y en a une qui a flashé sur toi et ta queue.
— Ah bon, laquelle ?
— Regarde bien, elle n’arrête pas de te dévisager.
Je parcours des yeux les filles. Mon regard est accroché par la black. Elle a les yeux bleus !!! Le physique à la Noémie Campbell. 1m75, visage aux traits fins, une cambrure, mais une cambrure... un appel à la sodomie. La peau d’un noir que je ne peux décrire, enfin si, café avec juste une pointe de lait. Son regard clair se balade sur mon corps. Je bous intérieurement. — Alors, tu trouves ?
— Je crois, oui... lui dis-je en désignant la reine de Saba.
— Hihihi, je vais te la chercher ?
— Et son mec ?
— C’n’est pas son mec, c’est son père adoptif.
Nat s’éloigne et se dirige vers la magnifique princesse. Isa me demande l’autorisation d’aller choisir son prince charmant. Je lui souris et lui fais un petit rictus. Elle me tapote les fesses.
— Bonne soirée mon amour... Dit-elle en se levant sur ses pieds.
— Bonne soirée, chérie... En l’embrassant tendrement.
Nat et de retour avec la belle créature et repart en direction du père de ? (Bin oui, Nat ne m’a pas dit son prénom)
— Enchanté, je sais que vous-vous appelez Hervé, moi c’est Salamawit, Salam pour les amis et Mimi pour les intimes, me dit-elle en approchant ses lèvres des miennes pour y déposé un baiser très chaste. Je la complimente sur sa beauté, son charisme. Compliment qu’elle me retourne. Elle m’invite à rejoindre les autres convives. Elle me présente à son père. Ancien légionnaire (décidément), il me raconte vaguement comment il est devenu le père de Salam. Il l’a adopté lors d’une mutation au Tchad à l’âge de six mois. Il l’avait ramené en France et c’est sa sœur qui l’avait élevé, me dit-il en désignant Nat (la famille s’agrandit). Je lui demande comment ce fait-il qu’elle participe à ce genre de réunion. Il me répond simplement qu’il n’a pas à me répondre, c’est Salam qui le fera en temps et en heure. On passe prés de Nat qui me choppe par le bras.
— Fais gaffe à ma filleule... Dit-elle en explosant de rire.
— T’inquiète... Mais où est Isa ?
— Elle est avec mon mec. Ils sont partis chercher du champagne, enfin j’espère car les boutanches sont vides...Salam me prend par la main et m’entraîne de l’autre côté de la piscine.
— Attends-moi là, j’ai oublié quelque chose.
Elle repart vers les tablées. Je peux voir qu’elle ne laisse pas indifférent certaines personnes. Les mains courent sur son corps et s’attardent sur ses fesses. Elle parvient à se soustraire à ces mains inquisitrices et revient avec un plateau garnit de diverses bouchées, d’une bouteille de champagne (Isa à du réapparaître) et de trois verres. Elle pose le tout sur une petite table basse en plastique blanc. 
— Pourquoi trois verres ?
— Mon père veut boire un coup avec nous. Il m’énerve !!!!
Je vais pour prendre un roulé au saumon, elle m’arrête la main.
— Non, je m’occupe de toi. Comme dans mon pays, la Femme nourrit son homme. Dit-elle en m’offrant le roulé du bout des doigts de la main droite. Je le prends du bout des doigts également. Elle s’offusque.
— Ô, tu ne comprends rien. Ouvres la bouche. Me dit-elle d’un ton énervé, agacé.
J’ouvre la bouche et elle me dépose délicatement le morceau sur la langue. Charmante coutume, elle continue.
— Quand nous serons plus intimes, c’est avec ma bouche que je te donnerai la becquée.
— J’ai soif...
— Là, tu te démerdes, j’ai dit nourrir, pas abreuver !!!On éclate de rire. Quand son père arrive, elle continue à me donner la « becquée ».
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