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Isabelle, grosse et petite mais belle

Chapitre 29

Orgie / Partouze
— Alors mes p’tits loups, fait Salam de retour, on s’amuse ?
— Oui, et toi, bien baisé ? lui répond Isa.

— Ouf, enfin, je ne vais pas tout vous dire. Allez, à la piscine, qui m’aime me suive !!! Dit la grande blonde.

On est tous les quatre dans la piscine. Isa et Lili s’embrassent langoureusement. Vanessa et moi on les regarde d’un regard attendrit. Vanessa a des regards furtifs vers la villa. Elle est à la recherche de la beauté noire. Elle se rend compte que je l’observe.

— Quoi ? Qui y a ? T’as un problème ? Me lance-t-elle.

— Tu ne serais pas en train de tomber amoureuse ?

— Si grave, elle tellement...

— Belle, douce, rigolote. Je sais...

— Hervé, vous pourriez...

— Me laisser seule avec elle... C’est ça ?

— Oui.

— Allez les filles, il faut que l’on rentre, fissa.

Les deux filles se retournèrent interloquées.

— Allez-vous rhabiller !!!

Ne sachant pas si c’est de lard ou du cochon, mes deux petites grosses sortent de l’eau et s’en vont chercher leurs vêtements.

— Merci tu es un chou, me dit-elle en m’embrassant. Vas, vas t’amuser avec tes deux nanas.

Sur la route du retour, les filles me questionnent. Je ne leur réponds pas. Une fois à la villa et en tenue de combat (à poil), je pars m’installer en terrasse, vite suivis par les filles. Je demande à Lili de prendre trois bières dans le frigo. Bien installés, je leur explique le pourquoi du comment.

— Mais on n’a même pas dit au revoir à Salam ! M’interpelle Isa. 

— Elle sera obligée de repasser par ici. Il y a sa voiture.On boit notre bière en discutant de tout et de rien. Je les laisses quelques minutes seules. Une envie pressante. Je passe par la salle de bain pour mon traitement. A mon retour je trouve les deux délurées allongées tête bêche sur un des trois transats. Quel spectacle. Isa dessus, Lili dessous. Toit y passe. Les chattes, les anus et les seins. Ce n’est que caresse, pelotage et suçage. Je décide de ne pas intervenir, de les laisser se retrouver. Je pars dans mes pensées, imaginant Vanessa et Salam dans des positions les plus scabreuses se faisant jouir, bref, s’aimant. Machinalement je me caresse la queue. Ça couine sur le transat. C’est bien beau, mais mon ventre crie famine. Je vais voir dans le frigo. Il y a moult victuailles. Je me saisis de deux pizzas que je mets au four, de la roulette pour la découpe, d’un rouleau de papier essuie-tout et d’une bouteille de rosé ainsi que trois verres. Je retourne sur la terrasse, elles sont toutes les deux sous la douche.

— On a faim ! Déclarent-elles.

— Oui, pizzas et rosé.

Elles remontent prestement et m’embrasse tour à tour. Elles s’installent. 

— Les princesses désirent-elles un petit verre ?— Hum, oui, mon bon... Servez ce doux breuvage. Me réponde Lili.

C’est alors qu’Isa lance une conversation plus qu’intéressante. Elle demande si Lili a souffert lors de la pose des anneaux. Elle lui répond que non, juste une piqûre, Le pierceur ayant utilisé une bombe de froid comme anesthésiant. Par contre, sur ses lèvres, pratiquement rien, aucune douleur, mais sur son clito, la douleur a été plus vive. Lili passe brièvement sur ses passages journaliers au salon pour garder son bronzage impeccable. Puis ses séances de Shibari (attaché, lié en Japonais) imposés par ses deux amies qui devenaient ses initiatrices au monde de la luxure et du SM soft. J’interromps Lili, les pizzas. Je me lève et à la vue de ma bite gonflée elles ont un rictus d’envie, que j’ignore, j’ai la dalle. De retour et parés avoir servis, Lili poursuit son récit.Elle nous en dira pas plus car elle a promis d’être discrète mais elle nous raconte sa dernière soirée. Elle a dut mettre son « accoutrement », faire à manger et servir ses deux Maîtresse. Ensuite ce fut une débauche de sexe. Elle dut s’employer à les sucer tour à tour, en gorge-profonde. Elle s’est faire prendre par devant, par derrière, en double et qu’à chaque fois c’était éjaculation dans sa bouche ou dans un verre qu’elle dut boire à la fin de la soirée. Elle reçut, de la part de l’amie de Vanessa, cette chaînette qui lui relie les tétons. Voilà tout ce que l’on pouvait s’avoir. Isa regarde Lili avec envie et admiration. Lili se lève et débarrasse. 

— Cela te plairait ? Lui dis-je.

— Pour les anneaux, peut-être. Pour le reste, non. 

— Menteuse, tu en meurs d’envie. 

— Non, non, cela me fait trop peur. 

— Bon je vais me coucher, je suis morte... Nous dit Lili.

Après nous avoir roulé une pelle, elle disparaît. Isa se rapproche de moi et vient s’asseoir près de moi. Elle prend ma bite en main et me dit :

— Elle m’a excité ! J’en peu plus, j’ai envie de ta queue. WAHOU, elle est de plus en plus grosse !!!

— Cela doit être le traitement que Vanessa m’a donné et je l’applique à la lettre.

— Humm, on en mangerait...

Moi aussi je trouve que j’ai pris du volume et pas que de la verge. Mes couilles ont presque doublé de taille. Elle commence à me branler lentement avec deux doigts sur une petite partie de ma bite, ce qui a pour effet de me faire perler. La douceur de ses doigts est une torture. 

— Attends.Je me mets assis sur la table et lui demande d’approcher sa chaise. La position est idéale. Elle admire mon sceptre comme l’objet de tous ses désirs. Elle passe un coup de langue sur mon méat et récupère le précieux miellat. Elle passe mon viêt sur tout son visage, le hume et passe furtivement des coups de langues. Je lui caresse les joues, passe ma main dans ses cheveux. Qu’elle est belle, soumise et demandeuse. Ses seins m’appellent, ses tétons tendus m’implorent de les pincer. Elle me gobe le gland et lentement descend le long de ma hampe en jouant avec sa langue. Je me penche en arrière et la contemple. Elle me regarde et me sourit. Elle remonte et redescend sans me quitter des yeux. Elle joue, à l’aide de ses deux mains, avec mes valseuses. 

— AHHH, OUIII, QUE TU ES DOUÉE... C’EST TROP BON CE QUE TU ME FAIS...Elle y met plus d’ardeur, serre ses lèvres, m’aspire le gland comme si elle voulait sa dose de sperme. J’essaie de la repousser. Elle résiste, ne veux pas quitter cette position. Elle s’acharne ainsi pendant dix bonnes minutes. Je sens mes couilles, toujours triturées par ses mains expertes, bouillir. Elle joue avec mon méat, mon frein et mon prépuce. Mon jus monte inexorablement dans ma tige. Je HURLE ma jouissance.

— ARGH... PUTAIN QUE C’EST BON, QUE TU ES BONNE !!!! OUIII, OUIII, ARGH, OUIII....

Les premiers jets vont directement dans son estomac, les, suivants remplissent sa bouche. Il y a une telle quantité qu’elle ne parvient pas à tout contenir dans sa bouche. Un peu de sperme lui coule à la commissure des lèvres. 

— PUTAIN, QUE C’EST BON, SALOPE !!!

Elle me rend mon chibre et me regarde bouche ouverte. Elle joue un peu avec ma semence et dégluti.

— AHHH, fait-elle, toujours aussi bon.

— Petite truie. Tu aimes mon sexe, HEIN ?

— Ô que oui... J’aime ta BITE. Je l’adore. Je la vénère !

Mon érection ne faiblit pas. Isa se met debout dos à moi, les bras en appuient sur les accoudoirs de sa chaise, jambes écartées. Elle me regarde suppliante.

— Viens, chérie, prend moi...

Sa chatte est ruisselante. Une odeur de sexe vient me caresser les narines. Je me lève et positionne mes mains sur ses hanches. Elle me guide vers son sexe. Je lui demande de l’enlever dès que mon gland est en bonne position. Elle la lâche et c’est d’un coup franc, sec et brutale que je la pénètre jusqu’en butée. Elle me regarde toujours par-dessus son épaule et c’est avec la bouche grande ouverte qu’elle m’accueille. Je ne reste pas en elle, je sors entièrement et replonge avec force, faisant avancer la chaise. Je la pistonne avec violence, lui assénant des gifles sur les fesses. Elle aime ça, se faire prendre violemment. Mes pouces caressent son petit œillet. Elle me regarde toujours bouche ouverte ? Sa respiration est forte et saccadée.

— T’aime ça te faire bourrer comme une petite cochonne... Humm, HAN...

— OUI... C’EST TROP BON DE SE FAIRE PRENDRE COMME UNE GROSSE PUTE...

— ARGH, TU ES QU’UNE GROSSE SALOPE... HAN, HAN...

Je n’ai pas envie de la sodomiser. Ma main droite quitte son cul et s’en va jouer avec son clito. Elle réagit instantanément.

— AHHH, PUTAIN... OUIII... HUMM !!!Je lui pince, tire dessus et lui roule. Elle hurle maintenant, la tête penchée et appuyée sur le dossier. Elle n’en peut plus, moi non plus. On vient tous les deux, ensemble et on gueule...

— PUTAIN, JE ME VIDE... OUIII....

— ARGH, OUIII... VIDE-TOI EN MOI... HUMM, JE MEURS... ARGH, HUMM, OUIII...

Mes jets son puissants mais moins nombreux. Suffisamment pour faire des « floc-flocs » sur mes dernières poussées

— j’en peu plus... Lui dis-je.

— Waouh, trop fort... Ce que tu m’as mis.

Je reste un moment fiché en elle puis me retire dans un bruit de succion. Je me rassoit sur la table et Isa, en bonne amante consciencieuse, rapproche la chaise et vient me nettoyer les outils.

— Bravo, vous étiez très beau...

Lili est sur le pas de la porte de la cuisine. Elle nous dit qu’elle nous a maté depuis le début, qu’elle savait qu’en nous laissant seul et nous connaissant, il y aurait certainement une partie de baise. Morte de rire, elle s’en va. Isa et moi, on éclate de rire. En passant la porte de la chambre, ma femme me dit qu’elle veut que l’on dorme ensemble. On se dit d’accord, mais no sexe. Isa se couche face à Lili, moi dans son dos, en cuillère. Ma femme se saisit de mon sexe et se le met. On s’endort ainsi, heureux.
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