Épilogue :Je vais vous écrire le dernier épisode de l’histoire « isabelle, grosse et petite mais belle ». Ce n’est pas un abandon, mais juste une mise à jour du titre. Effectivement, l’histoire ne concernant plus qu’Isa et moi, j’ai décidé de l’appeler « Isa, Lili, moi et les autres ».
Mais avant je tiens à remercier l’ensemble des modérateurs et lecteurs pour leur sympathie et leur compréhension.Voilà la suite du chapitre 29 :
On s’endort ainsi, heureux.
A mon réveil, Lili et Isa se sont déjà levées. Une agréable odeur de café m’ordonne de me lever. Ce que je fais, pas sans peine. J’ai des courbatures. Je me regarde dans le miroir de la chambre. Mon sexe flasque pend entre mes jambes. Il est plus gros qu’il y a trois semaines. Mon bronzage intégral est parfait. Ma gueule, par contre me dit « va te laver et te raser !». Je me rends à la salle de bain et prend une douche réparatrice. Je me lave consciencieusement la queue car elle encore pleine des sécrétions de ma femme. Je m’essuie, me rase (le visage) et me passe de l’onguent « spécial » de Vanessa. Je me rends sur la terrasse où les filles déjeunent.
— Bonjour...
— Bonjour chérie... Me répondent-elles en cœur.
Je les embrasse et me laisse tomber sur ma chaise. Lili est à ma droite, près de la porte de la cuisine, Isa en face. Je bois mon café accompagné d’un croissant. C’est Lili, qui levée aux aurores, est allez à la boulangerie. Elle me dit qu’elle y a croisé Jean, le père de Vanessa. Ils ont discuté un moment à la terrasse du bar. Il lui a dit qu’il n’avait pas trouvé sa fille aussi radieuse et enjoué depuis longtemps, qu’il savait pourquoi et nous invite à sa villa ce midi. Il avait vu la belle Salam donnant la main à sa fille et cela lui avait fait chaud au cœur. Je demande à mon épouse à quelle heure il nous attend. Elle me répond dès que l’on est près. Je termine mon café et part me préparer. Les filles vont s’habiller dans la chambre d’Isa, qui est désormais la sienne.Cela fait un quart d’heure que je les attends au salon. Elles arrivent enfin. On dirait deux sœurs. Elles sont habillées toutes les deux de la même façon. Un short minimaliste blanc, un tee-shirt sans manche blanc et des espadrilles de la même couleur. Elles sont mortes de rire et me font un défilé de mode.
— Alors ? me demande Isa.
— POUF !!! Bandantes, comme d’habitude !!!
Nous voilà partis vers la demeure de Jean. Le portail est bloqué par un scotch sur l’œilleton. Je l’enlève et remarque que le portail glisse sans bruit.
— Le chef est rentré. Me dis-je.Comme à l’accoutumé, la porte est grande ouverte. J’entre sans prévenir et trouve Éva occupée à la cuisine. J’approche par derrière et la saisissant par les hanches, je lui dépose un baiser dans le cou. Elle sursaute. Voyant que c’est moi, elle me prend par la nuque et me roule une pelle d’anthologie.
— Humm, tu m’as manqué mon bel étalon.
— Merci, toi aussi ma belle pouliche.
Elle se retourne et m’enlève tee-shirt et short.
— Voilà comment j’aime te voir...
On s’embrasse à nouveau. Jean arrive.
— Ô, les invités attendent... Dit-il en prenant de la boisson dans le réfrigérateur.
On se lâche et on prend les plateaux de tapas.
— Tu lui as manqué aussi... Dit-elle en me faisant un clin d’œil. Allez, on y va...
Sur la terrasse il n’y a que Jean qui bougonne. Il se plaint de d’être vieux, plus aussi être aussi alerte qu’avant. Il aurait bien participé à la partie de volley que jouent les filles sur la pelouse.
— Ô, les filles, venez jouer dans l’eau, ce sera mieux pour les anciens... Dis-je en plongeant dans la piscine.
On est bientôt tous les sept à l’eau. Éva, Jean, Vanessa d’un côté, Lili, Isa, Salam et moi de l’autre. On joue sérieusement dans un premier temps. Tout dégénère très vite. Pelotage, embrassades et baisers baveux. Quand Jean tombe sur Lili, cette dernière se met à le sucer. Dans le brouhaha, je me retrouve entre Vanessa et Salam, Isa dans les bras d’Éva. C’est un silence pesant qui s’abat sur la piscine. Tout redevient calme mais les couples et le trio ainsi formés ne se séparent pas, bien au contraire. On remonte tous hors de la piscine. Éva entraîne Isa vers le salon d’extérieur. Jean se dirige vers les transats de la piscine avec mon épouse. Vanessa m’emmène vers son cabanon. On est à l’abri des regards indiscrets.
— Hervé, je suis tombée grave amoureuse de Salam. Me dit Vanessa.
— Moi aussi mon cœur. Lui répond la black.
Elles tombent dans les bras l’une de l’autre et s’embrassent. Je vais pour les laisser seules, elles me retiennent.
— Non !!! Disent-elles en cœur.— Que voulez-vous ? Je suis de trop.
— Non, Hervé !!! Me dit Salam. Aimes nous toutes les deux.
A cette injonction, je ne peux rester insensible. Je me rapproche et on s’embrasse à trois bouches, trois langues. Cela dure une éternité. Elles me caressent. Salam la queue, Vanessa les fesses. J’imagine le trio. Moi coincé entre la black et la trans. Cela ne me déplaît pas. Je couche Salam sur le clic-clac et lui bouffe la chatte. Vanessa, ayant compris, elle travaille mon œillet, mes couilles et ma bite. Je remonte vers les doux seins de Salam. Elle s’abandonne. Je fourre ma verge dans son con. Vanessa présente son rostre à l’entrée de ma piste noire. Elle n’a guère à pousser pour me pourfendre. Elle rentre en moi aussi bien que je pénètre en Salam. C’est exquis. Avoir ma bite plonger bien au chaud au fond de mon africaine et d’avoir dans le cul le sexe d’une adorable trans dans le cul. Maintenant, je sais ce que ressentent les femmes prisent en sandwich. L’extase à l’état pure. Une onde violente s’empare de moi. Je ne bouge plus. Mes bras tendus, je laisse Salam et Vanessa m’entreprendre. Je commence à gémir. Vanessa et Salam y vont gaillardement.Je jouis en même temps qu’elles. Je me laisse retomber sur Salam, Vanessa m’accompagne. On reprend notre souffle, nos esprits. Elles m’embrassent dans le coup, sur les joues.
— Waouh, merci Hervé. Me dit Salam.
— De rien, mon cœur.
Là je reçois une fessée magistrale.
— Non, c’est désormais mon cœur.
— Ok, merci mes chéries.
— C’est mieux...On s’endort ainsi pendant une demi-heure. C’est Lili qui nous réveille.
— Allez, on vous attend pour manger...
C’est ainsi, que depuis huit ans, je vis heureux entre Isa et ma femme. Isa a emménagé définitivement avec nous. Mes Garçons s’entendent à merveille avec Gwen, la fille d’Isa. Jean et Éva nous accueille toujours avec grand plaisir. Pour ce qu’il y est de Ludo, Cat et leur petite famille, ils ont dû déménager pour partir sur Lyon. Vanessa et Salam sont en couple... Elles se sont mariées comme un couple homosexuelle (si le Maire s’avait). On est très heureux comme cela.
Je vous raconterais mes aventures dans une autre histoire, un nouveau titre pour celle-ci.
