Gwen, après s’être relevée part dans la piscine. Je la suis. Elle est impressionnée par ma bite qui ne débande pas. Je descends par les marches et je nage jusqu’à être à un mètre de la jolie blonde. — Tu ne débandes jamais ?
— Pas devant une aussi belle fille, femme devrais-je dire.
— Arrête, tu vas me faire rougir...
Elle s’avance vers moi et me saisit la queue. Quelle assurance. Non, ce n’est plus la petite fille douce est bien élevée mais une femme pleine d’envie. Elle m’avoue qu’il y a bien longtemps qu’elle rêve de moi, enfin de ma bite. Depuis qu’elle nous avait surpris avec sa mère en train de baiser dans la salle de bain. Depuis elle nous espionnait en espérant nous voir nous aimer et baiser sans retenue. Elle se touchait régulièrement en pensant à nous, nous imaginant dans des scénarios scabreux, imaginant ma bite lui perforer la chatte et l’anus. Evidemment ses révélations m’étonnent qu’à moitié. On se cachait mais parfois, pensant que nos enfants dormaient, on s’adonnait à des parties fines dans toutes les pièces de la maison. Bref, elle s’amusait quand elle nous surprenait sous la douche, moi avec sa mère, Lili ou tous les trois.Pour ce qui est de sa relation avec Julien, ça c’est fait tout naturellement, sans tabou. Un soir ou nous étions partis avec les deux derniers, ils s’étaient retrouvés seuls. Julien avait proposé un bain de minuit et ce qui devait arriver, arriva. Cela fait un an qu’ils nous cachent cette relation.
— Et bé... Si je m’attendais à ça !!!
Elle sort de l’eau et s’essuie et se dirige vers la terrasse Je la regarde, hypnotisé par tant de beauté. Elle me regarde en souriant. Je fonds littéralement. Je remonte, ma bite et mes couilles battent la mesure. Elle s’assied sur une chaise. Je la rejoins et lui demande si elle veut boire quelque chose. Un « oui » timide, suivit d’un pincement des lèvres et un regard qui en dit long sur ses envies. Je vais prendre deux bières et je jette un œil dans le salon, mon fils n’y est pas. Je fais un tour dans les chambres, il dort profondément dans l’ancien lit d’Isa.
— Ton mec est épuisé, dis-je à Gwen en la rejoignant sur la terrasse.
— Je l’ai épuisé tant que cela ?
— Bin, il faut croire.
On allume chacun un clope et on ouvre nos boites. Elle me dit ses craintes d’avouer à sa mère sa relation avec Julien et moi. Je la rassure en lui disant que sa mère ne lui en tiendra pas rigueur et que l’inceste n’est pas un problème pour elle, qu’elle a déjà initié un frère et une sœur aux plaisirs de la chaire (cf. Isabelle, grosse et petite mais belle 21), et puis ça reste en famille. Elle se rassure mais le doute subsiste. Elle n’a d’yeux que pour mon rostre. Elle passe la langue avec envie sur ses lèvres. Je lui souris. Mon fort intérieur m’intime l’ordre de ne rien tenter. Je me lève et vais prendre une douche à l’intérieur. Cette douche, que j’ai prise froide, m’a fait le plus grand bien. Julien s’est réveillé et a décidé d’emmener Gwen au resto. Bonne idée. Ils repasseront ce soir... Je déjeune léger et je m’affale sur le canapé en matant la télé.17h00. Les filles sont de retour, enjouées elles me racontent leurs achats, leur passage en institut de beauté et chez le coiffeur. Lili a une coupe à la garçonne, Isa s’est rafraîchit sa chevelure. Elles m’invitent sur la terrasse pour fumer et boire une bière.
— Julien et Gwen sont passés ce matin, ils vont revenir ce soir.
— Comment ils vont ? Me questionne Lili.
— On ne peut mieux, ils sont en couple.
— En couple ? S’étrangle Isa.
— Il fallait s’en douter, renchérit Lili, comment ils se regardaient et se tournaient autour depuis notre dernière réunion de famille...
— Oui, je ne les blâme pas mais ça me fait drôle. Poursuit Isa.
— Ouais, et le meilleur est à venir... Elle a envie de moi...
— Quoi, ma fille, toi... Je n’y crois pas... Non, mais où va nous ???
— Au moins cela ne sortira pas de la famille... Dit Lili.
— A non alors...
— Trop tard...
— Comment ça trop tard ? S’interroge Isa.
— Bin, c’est qu’elle sait être convaincante...
— Tu l’as sauté ?
— Non, elle m’a juste sucé...
— Oh, putain, ce n’est pas vrai...
— Telle mère, telle fille. Conclut Lili en explosant de rire. Il est vrai qu’elle est canon et Hervé si faible.
Isa, estomaquée par cette révélation, reste bouche bée. Je lui dis que j’étais à deux doigts de la prendre sauvagement mais qu’il m’a fallu toute ma maîtrise pour lui résister. Sur cette remarque Isa se détend et viens s’asseoir à mes côtés.
— Tu veux te la faire ?
— Pas sans ton consentement et en ta présence.
— Tu veux baiser ma fille avec moi ?
— Oui et pas sans toi.
— Alors là c’est le bouquet...
— Hihihi, et moi dans tout ça ? Nous interroge Lili.
— Téléphone à Vanessa et Salam, elles seront heureuses de t’accueillir. Tu leur dit que c’est pour la bonne cause.
— J’ai compris. Je vais l’appeler. M’en fou, je verrais ma filleule...
Lili nous laisse pour aller téléphoner. J’invite Isa à aller à la piscine. Une fois dans l’eau, elle me prend dans les bras et me dit qu’elle est angoissée par la situation et la suite des événements. Je lui dis qu’elle n’a aucun souci à se faire, que sa fille est plus qu’entreprenante et je lui raconte la partie à quatre. Isa éclate de rire.
— Quelle salope...
— Comme sa mère, mon amour...
On s’embrasse tendrement.
— Ô, les amoureux, sortez de l’eau, j’ai un truc à vous annoncer.
Après s’être essuyé, on rejoint mon épouse sur la terrasse.
— Pour Vanessa c’est OK mais, il y a un mais. Elle que vous nous rejoignez après votre accouplement incestueux.
— Au point où nous en sommes, OK. Lui répond Isa.
Lili saute au cou d’Isa.
— Merci ma chérie, j’ai hâte d’être à ce soir...
Ma femme est partie toute guillerette chez nos amis. Isa tourne en rond quand sa fille rentre. Elle est seule. Isa l’entraîne sur la terrasse et a une petite explication avec sa progéniture. La différence de taille, de gabarit et d’apparence est flagrante. Isa petite brune rondelette à la poitrine impressionnante, Gwen étant une grande blonde élancée aux seins plus petits mais fermes. D’une main maternelle, Isa caresse la joue de sa fille. Isa m’appelle est me demande de prendre trois bières. On est assis autour de la table sur la terrasse. Personne ne pipe mot. Gwen se relève et vient vers moi, suivie d’Isa. Gwen s’agenouille et me saisit la queue. Lentement, très lentement, elle me branle. Isa qui s’est agenouillée derrière, l’entoure de ses bras et vient lui pincer les tétons.
— Prend le en bouche, il adore ça... Lui susurre Isa.-
— Je sais... Lui répond Gwen.
— T’es aussi salope que moi, petite traînée...
— J’aimerai bien l’être...
Elle me gobe le gland et commence à me sucer. Isa lui caresse le ventre avant d’atteindre son mont de Vénus. D’une main experte, elle tire sur ses tétons et de l’autre, elle titille le clito de la belle blonde. Isa sourit en voyant sa fille un peu gauche mais n’intervient pas. Je me cale bien sur ma chaise et écarte les jambes au maximum. Isa appuie sur la tête de Gwen, elle recrache de la salive et manque de s’étrangler. Mes couilles son inondées.
— Il va falloir que je t’apprenne à le prendre mieux que ça... Enfin, bref, on n’est pas là pour ça. Tu la veux toujours, tu veux sentir sa grosse bite dans ta chatte ?
Gwen ne peut répondre que par ahanement. Isa se relève et nous demande de la suivre. Elle nous dirige vers le salon intérieur. Elle débarrasse les quelques bibelots qui encombrent la table basse et demande à ce qu’elle ci s’allonge sur le dos. A mon grand étonnement, Isa s’agenouille entre les jambes de sa filles et attirée comme un aimant, elle lui embrasse, lui lèche les cuisses. Ses deux mains s’activent sur ses seins, caressent son ventre, ses hanches. Leur respiration se fait plus forte, saccadée. Elle lui lèche tendrement je pourtour du minou. Gwen apprécie cette caresse incestueuse et écarte les jambes, prend la tête de sa mère entre ses mains et la dirige vers son bouton d’amour.
Je m’approche et m’agenouille aux côtés d’Isa. Je regarde ma maîtresse s’appliquer à donner du plaisir. Du fait que c’est l’abricot de sa fille, je ne l’avais jamais aussi tendre. Elle fixe du regard Gwen et sourit.
— Alors, p’tite pute, tu mouilles ma p’tite salope... Je vais te la donner la bite d’Hervé, il va te défoncer comme il me défonce... Aujourd’hui la chatte, demain ton cul.... Aller, Hervé, Elle est à toi...
Elle se retire et me saisit la queue et me la met devant l’abricot de sa fille. Je pousse un peu en avant. Je vois les grandes et petites lèvres disparaître à l’entrée de sa vulve... Gwen gémit.
— Han, hum, c’est bon !!!
Je suis rentré jusqu’à la garde. Je me retire et rentre violemment dans cette chatte trempée. Je lime avec force ce sexe interdit. Je me sens partir. Déjà ? Je me retiens. J’embrasse Isa. J’essaye de me distraire mais rien y fait. J’inonde Gwen qui s’arc-boute et jouit en lâchant des sons incompréhensibles. Je continue mon travail de sape. Je ne débande pas, au contraire, je bande comme un taureau. Je vais et je viens (entre ses reins...) comme un forcené. Mes couilles viennent taper l’anus de Gwen. Elle est en transe. Elle m’insulte, insulte sa mère. Elle se raidit une seconde fois. Je saisis ses hanches pour la prendre plus fort, plus profondément. Elle m’inonde la queue d’un jet de cyprine. Voyant cela, sa mère, qui se branlait, jouit elle aussi et pose sa tête sur le ventre de sa fille. Je continue à pilonner ma proie. Gwen ne repose plus que par les épaules et ses pieds. Elle gueule tout son saoul, ce qui m’enhardit. Je m’allonge sur ce corps et lui tète les mamelons. Elle me plante les ongles dans le dos et m’enserre avec ses jambes.
— Oui... Oui... Oui... Hervééééé...
Elle retombe lourdement sur la table pendant que je lui donne pour la deuxième fois ma purée au fond de sa matrice. Je reste inerte sur le corps de ma jeune amante. Je trouve sa bouche pour échanger un baiser passionné.
