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Isabelle, Liliane, moi et les autres…

Chapitre 4

Inceste
Je reste pantois devant Gwen. Elle s’est mise en position d’esclave en attente. Je regarde Isa, sa mère, qui me sourit et me fait un rictus avec ses lèvres. Je regarde Vanessa et Salam. Elles me regardent sérieusement. Gwen, les yeux toujours rivés au sol, me demande la permission de parler.
— Je t’écoute Gwen.

— Papa... Pardon, Maître, acceptez ma soumission, ma dévotion. Je deviendrai la chienne de vos désirs, de votre perversité. Je suis à vos ordres et cela est totalement consenti. J’aimerai être votre soumise, votre chienne, votre soubrette, votre esclave.

— Ouf, il faut que l’on parle... Toi et ta mère suivez-moi.

Vanessa, ne sachant quoi faire, me tend les clés de son cabanon.

— Fait gaffe, si c’est un désir profond, il va falloir être à la hauteur. Me dit-elle.

— Je sais et cela me fait horriblement peur.

— Isa devrait rester ici. Cela est une histoire entre Gwen et toi. Au cas où tu accepterais, voilà la clé de ma chambre des supplices, d’après ce que j’ai vu, elle est très motivée et ne la déçois pas. Bon courage.

Me voilà donc seul avec Gwen, Vanessa ayant retenu Isa. Toujours nue, Gwen rentre dans le petit studio et se met en position d’attente.

— Gwen !!! Arrête. Je ne suis pas ton Maître !!!

Elle se met à pleurer. Elle m’explique qu’elle aime Julien (mon fils) mais qu’elle recherche quelque chose de plus dur, plus hard et qu’il n’est pas capable de lui offrir ce qu’elle attend, il l’aime trop. Elle m’avoue qu’ils en ont longuement parlé et qu’ils ont décidé de chercher un homme mature capable de lui apporter ce qu’elle recherche. Son choix a été simple, elle m’a choisi. Julien ne sait pas qu’elle m’a préféré à un inconnu. Gwen me fixe dans les yeux.

— S’il te plait Hervé, laisse-moi t’appeler Maître, s’il te plaît j’en ai besoin...

— Cela engage aussi ta mère, que va-t-elle penser ? Que va-t-elle faire, réagir ?

— Je ne sais pas, mais j’en ai besoin, un besoin viscérale.

— Bon, attends-moi là, ne bouge pas, je reviens.

Elle se remet en position d’attente, les yeux rivés sur le sol. Je me lève, non sans lui caresser la joue. Je rejoins les trois filles sur la terrasse en pensant à sa dernière phrase. Isa est en train de se faire prendre par Vanessa tout en sirotant la vulve de Salam. Mon choix est fait. Je vais dresser Gwen, en faire ma chienne. Je tourne les talons et me dirige vers le cabanon. Gwen est en position. Pas un mot, pas un geste. Je pars ouvrir la chambre contigüe au cabanon. 

— GWEN!!!

La magnifique blonde arrive à quatre pattes. Je lui dis que sa posture d’attente sera désormais debout les mains sur la nuque et que n’acceptant pas Le Maître de sa part, ce sera Monsieur Hervé. Elle acquiesce avec un timide « bien Monsieur Hervé ». Elle se met donc debout, les mains sur la nuque. Sa respiration s’accélère, impatient du traitement que je vais lui infliger. Je lui fais visiter la chambre. Elle regarde avec intérêt les photos de Vanessa. Elle voit le petit banc et la machine à baiser.

— Plus tard, lui dis-je. Pour l’instant j’ai d’autres projets pour toi. On va s’absenter en passant par derrière, retourner chez nous et ensuite tu auras cinq minutes pour te préparer, tu ne dis rien, pas un mot, compris ?

— Oui, Monsieur Hervé.

— Ne-bouge pas, je reviens.

Je retourne sur la terrasse et j’y prends nos affaires. Isa, Vanessa et Salam sont bien trop occupées à baiser pour remarquer mon aller-retour.Une fois à ma villa, en cinq minutes, elle s’est habillée et maquillée. On monte dans ma voiture. Comme convenue, elle ne me demande quoi que ce soit. Mais avant de partir j’ai quelques consignes à lui dire.

— Remonte ta jupe, pose tes fesses directement sur le siège et enlève-moi ce string et ton soutien-gorge. Tu te mettras en position d’attente, c’est-à-dire les mains sur les cuisses paumes vers le haut.Elle se contorsionne, enlève son string, son soutien, pose ses fesses sur le cuir des sièges et se met en position. Durant le trajet elle ne pipe mot. Regardant droit devant le bitume qui défile. On arrive devant un sex-shop renommé de la banlieue Toulonnaise. On gravit la vingtaine de marches et je pousse la porte. Tout est calme, petite musique d’ambiance, deux couples qui nous ignorent et une vendeuse qui vient à notre rencontre. Gwen est devant moi, je lui rappelle sa position d’attente. Sans se retourner, elle s’applique et écarte un peu les jambes. La vendeuse, 45-50 ans vient voir moi.

— Bonjour Monsieur, je suppose que c’est pour cette charmante créature ?

— Oui, Je suis à la recherche de faux piercing pour ses seins, ses lèvres et son clito...

— Je vois, venez par-là, nous serons mieux.

Elle nous entraîne vers une vitrine remplie de forts jolis bijoux de toutes tailles, toutes les formes. Elle m’indique une parure de cinq anneaux. Deux d’entre eux sont reliés par une chaînette.

— Ceux-là iront très bien, ça lui rappellera ceux de sa mère.

La vendeuse me regarde avec un regard étonné, puis ouvre la vitre et me tend les petits anneaux. Je lui demande si elle peu les posé maintenant, elle acquiesce. Je demande à Gwen de se mettre nue, ce qu’elle fait sans rechigner mais en piquant un fard. Elodie (le badge de la vendeuse) lui met les anneaux aux seins, aux lèvres et à la base de son clito. Ravissante mais pas assez chienne. Je lui fais mette un collier, des bracelets de poignées et de chevilles.

— Bon et en robe, qu’est-ce que vous avez ? Je la veux noir, courte et que l’on puisse l’oter rapidement.

— J’ai exactement le modèle pour votre...

— Fille, lui répondis-je, en lui souriant.

Elle s’en va en me regardant et dévisageant Gwen. Septique, elle va fouiller dans les portant et revient avec un morceau de lycra noir et me le présente. Je lui indique que ce n’est pas pour moi mais pour la grande blonde. Elle se met à rire, ce qui attire l’attention des couples. Elle la passe à Gwen, l’ajuste et me demande.

— Alors, satisfait ?

— On ne le serait à moins !

La pièce, que je pensais être en lycra, est en fait une micro robe en cuir très fin avec un décolleté provoquant. Elle descend à mi-cuisses et deux fermetures éclair, partant du bas et remontant jusque sous les bras, servent à l’ôter prestement. Je la fait se retourner. Le dos nu est affolant, descendant à la raie des fesses. Je souris. Des sifflets d’admirations se font entendre. Je m’avance et lui met les cheveux par-dessus l’épaule. Je suis abasourdi par une telle beauté. Elodie me fait l’éloge de la splendeur et de la tenue de ma petite esclave. Elle me demande si c’est vraiment ma fille.

— Demandez-le-lui !

— C’est ton père, petite ?

— Oui, Madame. Père et Maître.

— Et bien...

— Bon, faites-moi la facture, on doit y aller.Achats réglés et laisse mise (cadeau de la maison) on redescend les escaliers et monte en voiture. Pas besoin de dire quoi que ce soit, elle est en position d’attente. Je lui demande comment et pourquoi elle apprend si vite.

— Internet, me répond-elle. Et c’est pour vous plaire, vous servir, Monsieur Hervé.

On retourne à la villa de Vanessa. Sur la route pas un bruit, pas un mot. Elle est belle dans son rôle de petite chienne soumise. Je sais que les soumis, en générale, prennent un plaisir immense à cette condition. Allez savoir pourquoi ! On arrive, je lui demande d’attacher ses cheveux en queue de cheval avec un chouchou que sa mère doit avoir rangé dans la boite à gants. Je me gare dans l’allée et lui demande de m’attendre. Je rentre et je suis accueillis par une Isa inquiète.

— Où étiez-vous ? Me questionne Isa.

— Oui, t’aurais pu nous prévenir. Poursuit Vanessa.

— Vous étiez tellement occupées que j’ai décidé d’emmener Gwen pour sa transformation.

— Tu as accepté ?

— Oui.— T’es un chou... Me dit Isa en sautant à mon cou.

— Elle est où ? Demande Salam.

— Je vais vous la chercher.
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