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Isabelle nouvelle soumise

Chapitre 3

Trash
3)Isabelle regardait ses mails, une grande excitation la gagna lorsque l’adresse de son maître s’afficha. « maitrepourbonnepute@*****.fr ». C’était assez court, il lui indiquait simplement sa tenue pour le weekend suivant, bas auto-fixant son plus beau string un manteau et rien d’autre. Oserait-elle se balader nue dans les rues ? Si un coup de vent ouvrait ou lever son manteau et que quelqu’un voyait qu’elle ne portait rien que se passerait-il ? Elle avait peur, oui, mais la situation l’excitait beaucoup. Encore une fois elle mouillait, depuis qu’elle connaissait son maître cela lui arrivait très souvent, parfois en milieu de journée elle devait changer de culotte quand elle en avait une ou alors s’essuyer tant la cyprine coulait sur ses cuisses.Devant l’ordinateur elle écarta les cuisses, elle passa deux doigts entre ses grandes lèvres et constata avec plaisir qu’elle mouillait abondement ; il ne fallait pas gâcher ça. Sans hésiter elle entra deux doigts dans sa chatte, hum c’était chaud et accueillant. Elle fit plusieurs va et vient ce qui la fit mouiller davantage, distraitement elle caressa un de ses seins. Elle écarta encore ses cuisses le plus large possible comme pour offrir à son maître une vue imprenable sur son sexe dégoulinant. Elle ré-visualisa le visage anguleux de son dominateur, son air sévère, ses yeux pénétrants, sa voix si dur tout comme son sexe. Elle le revit la pénétrer, la baiser comme une chienne sur le sol de la cuisine. Cette simple évocation fit monter en elle une impression qu’elle connaissait bien et c’est cet instant que son collègue choisit de rentrer dans son bureau sans frapper. Son bureau avait le devant fermé et il faisait face à la porte d’entrée, donc l’homme ne pouvait rien voir de ce qu’elle faisait mais son visage ne devait laisser aucun doute à ce qu’elle ressentait.— Un problème Madame, lui demanda son employé avec un léger sourire.— Non Nathaniel, répondit-elle entre la confusion et l’orgasme, que voulez-vous ?— Un colis viens d’arriver pour vous le coursier attend votre signature.— J’arrive dans deux minutes.Comme l’homme ne bougeait toujours pas elle reprit sèchement :— Merci Nathaniel, vous pouvez disposer.L’homme sortie légèrement gêné et Isabelle soupira de soulagement. Elle sortit les doigts de son vagin, il était couvert de cyprine. Le moment était passé et même si l’excitation était encore là l’orgasme était partie assez loin et quelqu’un l’attendait. Frustrée elle ouvrir un petit tiroir de son bureau et sortie un petit paquet de lingettes pour essuyer ses doigts. Avant elle lécha son index en faisant des petits allers-retours dans sa bouche, si elle continuait sur ce chemin elle serait trop excitée pour sortir, elle se fit donc violence pour arrêter là et finir son nettoyage.A la sortie de son bureau Nathaniel la regarda avec envie, d’autres hommes en firent autant, elle était assez habitué à ce désire mais il y avait autre chose d’autre aujourd’hui.— Qu’attendez-vous ? cria-t-elle durement, remettez-vous au travail au lieu de traîner de la sorte.Comme si ses employés n’attendaient que ça ils se remirent tous en route en un mouvement fluide. D’un pas dur et sur elle alla jusque dans le hall faisant claquer ses talons dans les couloirs, un adolescent l’attendait avec un uniforme d’une société de transport. Sans vraiment le regarder elle signa le reçut et pris la petite boite adressé à son nom et retourna dans son bureau en ignorant les regards qui la suivaient.La boite était petite et sans expéditeur mais Isabelle n’avait aucun doute sur son identité. Isolée dans son bureau elle ouvrir délicatement le carton tremblante d’excitation. A l’intérieur se trouvait deux boules de taille moyenne reliées pas une petites ficelle, dessous il y avait un mot :« De petites boules de geisha pour ta chatte de pute, tu les mets immédiatement et samedi tu viens avec !Ton maître »
La femme pris les boules dans sa main et les fit doucement tourner. « De petites boules » ? s’étonna-t-elle, elle lui semblait pourtant bien grosse. Elle s’assit dans son fauteuil derrière son bureau, releva sa jupe mais soudain son regard s’attarda sur la porte d’entrée. Devait-elle la fermer à clef ? Après tout Nathaniel pourrait revenir, ou un autre des employé. Non, non se serait bien plus excitant de laisser une possibilité d’être surprise. Sans attendre elle enleva son string et écarta grand les cuisses, la première boule entra, c’était divin. Elle la laissa ainsi, la tournant un peu avant d’enfoncer la seconde. Assise sur son siège elle resserra les jambes, les boules bougèrent un peu et le mouvement la fit s’avachir sur le dossier, elle frotta ses genoux l’un contre l’autre et les boules se mirent en mouvement, hum c’était si doux. Elle se laissa aller un instant sur son fauteuil, juste un instant pour récupérer l’orgasme que lui avait volé cet idiot de Nathaniel, ce séduisant Nathaniel, oh si il pouvait entrer dans son bureau maintenant, la prendre par les cheveux la pencher en avant sur le bureau sortir sa bite et lorsqu’il constaterait que sa chatte est pleine il lui remplirait son cul de salope. Cette idée la fit mouiller davantage coulant un peu de ses lèvres sur ses cuisses. Lorsqu’elle releva la tête elle remarque l’heure et se leva d’un coup en remarquant son retard pour une réunion importante. En se levant elle sentit les boule bouger et durant tout le chemin jusqu’à la salle de réunion le mouvement ne fit que s’accélérer et Isabelle eut du mal à arriver à destination sans gémir. Elle s’installa au bout de la table et sentie ses jambes trembler tant elle était au bord de l’explosion. Hélas la réunion était une présentation qu’elle devait faire à ses actionnaires pour montrer la progression de sa boite depuis qu’elle l’avait reprise d’une main de fer. Quand les lumières baissèrent elle dû se lever et faire des va et vient devant le grand tableau blanc ou plusieurs images défilées. A plusieurs reprises des hommes relevèrent des erreurs dans ce qu’elle disait et elle dû s’arrêter pour se concentrer et calmer ce feu qui montait en elle. Sa concentration était limitée et finalement elle prétexta un mal au ventre pour pouvoir s’assoir. Un assistant montra les images qu’elle illustrait de ses propos plus sensés maintenant qu’elle ne bougeait plus.La fin de la réunion arriva enfin et Isabelle s’en était bien sortie, seulement maintenant elle allait devoir retourner dans son bureau avec ses boules sur le point de la faire jouir, elle sentait de la cyprine de sa chatte couler sur ses cuisses, allait-elle pouvoir arriver à destination avant que cela ne dépasse de sa jupe ?Le chemin fut long et tous les prétextes furent bons pour faire une pause, une question quelconque à un employé, une remarque sur une tenue, un rappel ou une confirmation d’un rendez-vous sans importance. Il lui restait cinq mètre à faire pour arriver à son bureau et alors qu’elle aurait pu toucher la porte de la main la décharge de plaisir envie tout son corps. Un gémissement sortie malgré elle de sa bouche et il lui fallut une volonté incroyable pour ne pas s’effondrer au sol. Trois pas, il fallait qu’elle fasse trois pas et elle serait à l’abri des regards. Elle fit le premier et les boules bougèrent. Un second et une secousse de plaisir la fit trembler.— Tout va bien madame ? s’enquit une jeune employé.— Oui oui, répondit Isabelle rouge de honte, une petite bouffée de chaleur, c’est tout !— Je peux vous aider ?— C’est gentil mon petit, chuchota-t-elle, je veux bien un verre d’eau. Merci.
La jeune femme partie en trottinant rapidement alors qu’Isabelle, appuyé sur la porte de son bureau remarque tous les yeux braqués sur elle.— Retournez au travail, bafouilla-t-elle avec bien moins de conviction que précédemment.Elle était sur sa porte, à tâtons elle trouva la poignée et se laissa glisser dans son bureau en remarquant que malgré le peu d’assurance qu’elle avait mis dans son ordre ses employé avait repris leurs activités.
A ce rythme samedi arriva très rapidement, Isabelle avait appris très rapidement à gérer ses orgasme sans que cela soit trop voyant mais l’excitation qu’elle avait ressenti toute cette semaine n’était pas comparable à celle provoqué par le fait de se balader nue sous son manteau long avec les fameuses boules de geisha.Elle arriva avec un quart d’heure d’avance à la grande satisfaction de son maître, se souvenant de sa dernière leçon elle se mit à quatre pattes dès qu’elle mit un pied dans l’appartement. L’homme mit un temps fou à fermer la porte et en tournant la tête Isabelle compris pourquoi : le voisin attendait l’ascenseur.Satisfait l’homme, lui ôta son manteau et la regarda un long moment.— Tu es vraiment très belle ma petite pute.Il fit un tour en utilisant ses pieds chaussés de chaussures ciré pour lui écartes les cuisses, tâter sa chatte dégoulinante et lui relever la tête.— Il te manque quelque chose pour la séance d’aujourd’hui.Il sortit une seconde de la pièce et revient avec un masque noir fin et élégant. Doucement il lui mit sur le visage.— Nous avons du public aujourd’hui, lui expliqua-t-il.Du public ? Jamais elle n’avait baisé à plusieurs ou été baisé devant des personnes. L’homme alla dans le salon et docilement Isabelle le suivit à quatre pattes. La surprise prit un instant le dessus sur l’excitation lorsqu’elle constata que personne ne s’y trouvait. Au lieu de ça il y avait un ordinateur posé sur une table basse devant le fauteuil du maître.— Alors voilà ta pute ! lança une voix qui venait de l’ordinateur.Encore sous le coup de la surprise Isabelle s’approcha de l’appareil et vis trois fenêtres ouvertes avec trois hommes assis avec leur bite flasque sortie.— Elle nous fixe la salope, dit un autre homme.Immédiatement un coup de cravache atterrie sur ses fesses et Isabelle baissa la tête. La petite main de cuire parcourut le dos et les fesse de la soumise et son maitre la félicita de ses réflexes. La cravache glissa sous son string, un modèle en soi noir avec de la dentelle rouge. Les quatre hommes approuvèrent ce choix, son maître lui malaxèrent les fesses, lui écarta les fesses, lui doigta la chatte. Les hommes de l’ordinateur ne voyaient rien car elle leur faisait face mais déjà l’un d’entre eux commençait à bander. Avant qu’elle ne puisse apprécier les caresses de son maître et le l’effet qu’elle faisait à ses amis l’homme lui arracha son beau string. Avant qu’elle ne puisse protester il alla s’assoir dans son fauteuil en jouant avec le morceau de tissus. — Viens me sucer ordonna-t-il.Immédiatement elle s’approcha de son membre et le pris en bouche, elle le lécha, le massa et le pris en bouche tandis que son maître lui tapotait les fesses de sa cravache. Son membre durcissait rapidement et les coups de cravache devenaient un peu plus insistant. Son cul rougissait doucement mais surement et cela plus les trois hommes qui mataient via l’ordinateur la fit mouiller plus que de raison.— Ne bouge pas ma petite pute, lui dit son maître alors qu’il se levait, je vais leur montrer tes trous magnifiquesSur ces mots il se leva et alla lui écarter le cul exhibant de cette façon son anus aux hommes de l’ordinateur. L’un d’eux siffla un autre demanda à la voir se faire enculer. Répondant à cette demande le maître sortie un plug d’on ne sait où et le montra à Isabelle. Il était plus long et plus gros que celui qu’il lui avait offert, c’était cela qu’il voulait lui faire remarquer avant de la poser sur son trou. Il poussa doucement puis ressort, recommença plus profondément et ressortie à nouveau. Il recommence de cette façon six ou sept fois avant de le rentrer complétement en elle, ça lui tira un long gémissement de plaisir qu’elle ne put retenir.— Cette salope n’a pas à intervenir, râla l’un des hommes de l’ordinateur, fait lui fermer sa gueule.La cravache réapparut et lui cingla les seins.— Ne me fait pas honte pétasse, tiens-toi bien, gronda son maître.Il recommença encore à fouetter ses grosses mamelles, et encore et encore… Et Isabelle serra les dents pour ne pas crier pour faire honneur à l’homme qui mettait tant d’effort pour la faire jouir. Lorsqu’il s’arrêta il alla ouvrir ses lèvres baveuses et lentement, très lentement la première boule de geisha glissa. Oh mon Dieu que c’était bon. Ses seins étaient endoloris et les rendaient si sensibles que même un léger courant d’air l’émoustillait.— Quelle belle pute tu as trouvé là ! s’exclama une voix dans l’ordinateur.— Oui, repris un autre, tu nous en avais bien parlé mais tu as minimisé son potentiel.— Défonce là cette salope.— Montre-nous ce qu’elle sait faire !Sous ces encouragements il lui prit la chatte, sans ménagement et sans retenue. Il la défonça en de violent va et viens ne s’arrêtant que pour la mettre dans une position plus humiliante et plus visible pour ses amis. Il lui leva une jambe comme une chienne entrain de pisser et lui fourra la chatte de grand coup. Puis il la tourna sur le dos et lui écarta grand les pattes en lui violant la chatte de longs allers et retours en lui martyrisant un peu plus ses seins sensibilisés par les coups de cravache. Soudain il se retira et jouis sur son bas ventre et sur son pubis en soupirant d’aise.— Ne bouge pas petite pute, murmura-t-il, laisse les profiter.Isabelle avait tellement honte qu’elle n’osait pas regarder l’ordinateur. Elle entendait leur respiration, ils étaient visiblement très excités. Les quatre hommes se mirent à discuter. Au début ils parlaient mais les sujets dévièrent vers les humiliations et les punitions que son maître pourrait lui infliger. Elle écoutait attentivement mouillant à chaque nouvelle idée mais n’osant toujours pas bouger, cependant après de longues minutes son regard se posa sur l’écran de l’ordinateur et deux des trois hommes étaient en train de se branler en la regardant. L’un d’eux la remarqua, il se mit debout et se branla plus fort devant sa webcam.— Elle te plait salope ? lui dit-ilIsabelle ne sut quoi dire.— Ça te dirait de la prendre dans ton cul ?— Répond, lui ordonna son maître.— Je ferai ce que vous voudrez pour vous satisfaire messieurs.— Tu l’as drôlement bien dressé, s’étonna un autre homme.— En fait elle n’est à moi en réel que depuis trois semaines, caresses toi catin, tu as mérité de jouir.Isabelle pris un peu de sperme sur son pubis et l’étala sur ses lèvres elle caressa son clitoris et entra deux doigts dans sa chatte. Hummm elle était trempée et un gémissement lui échappa.— Elle aime être une chose sexuelle, elle débute dans ce domaine mais sa docilité lui permet d’apprendre vite.Isabelle se dandinait sur le sol en couinant de plaisir, elle avait à présent quatre doigts dans sa chatte et caressait ses seins si sensibles, son maître était sorti de la pièce la laissant seul face aux regards prédateurs des hommes dans l’ordinateur. Ils parlaient entre eux et se branlaient comme si elle était un simple film porno, l’un d’eux se faisait sucer par une tête blonde qu’il caressait. L’un de ses spectateurs joui sur l’écran en la traitant de sac à foutre, elle en mouilla d’avantage. A cet instant son maître arriva avec un gode énorme en main, 20 cm de long et 5cm de diamètre au moins. Il le laissa négligemment tomber sur son ventre avant de lui ordonner de l’utiliser. Timidement elle l’attrapa, le malaxa pour en juger la taille et la texture, l’homme alla s’assoir dans son fauteuil et la fixa, tout comme les trois autres paires d’yeux. Délicatement elle mit un bout du gode à l’entrée de sa chatte et poussa. Elle mouillait tellement qu’il entra facilement malgré sa taille. Un grand « oooooh » de plaisir se fit entendre et ce ne fut que le premier d’une longue série. Elle faisant de long va et vient, les trois-quarts du gode entrait et sortait de sa chatte entrainant avec lui de la cyprine et du sperme. Elle criait de plus en plus fort, se mordait les lèvres.— Elle va jouir la salope, lança avec satisfaction l’homme qui se faisait toujours sucer.En effet à peine eut-il finit sa phrase qu’une chaleur familière envahi le corps d’Isabelle la faisant se secouer de petits spasmes de bonheur. La contraction de tous ses muscles lui rappela la présence du gros plug et redoubla son orgasme. Allongée sur le sol le cul remplie et la chatte pleine, elle se sentait si sale, si salope, si dépravée, si pute. Quelle honte et tous la regardaient, se branlaient et l’insultaient, elle aimait ça, oh elle était si embarrassée et alors que la tension commence à retomber le plug se mit à vibrer. Elle sursauta et se tourna sur le ventre pour regarder son maître qui exhibait une petit télécommande.— Je veux ta bouche autour de ma bite maintenant, dit-il avec une grande menace dans sa voix.La soumise se mit à quatre pattes et elle senti le gros gode noir couler de sa chatte lui barbouillant les cuisses de cyprine. Elle s’arrêta pour le ramasser.— Maintenant sale pute !Isabelle sursauta. Cette fois ci c’était de la colère qu’il y avait dans sa phrase et son regard était si dur, qu’avait-elle fait pour mériter un tel châtiment ? Rapidement elle alla entre les cuisses de son maître et le pris en bouche les mains collées au sol. D’un mouvement sec il lui attrapa les cheveux et lui appuya fort sur la tête mettant sa bite au fond de sa gorge. Immédiatement une envie de vomir la fit reculer mais son maître la retint elle essaya encore de fuir mais la prise de l’homme l’immobilisait toujours. Après une trop longue minute ou la bille lui envahi la bouche il la lâcha.— Ta gorge n’est pas assez profonde salope.Il lui tenait toujours les cheveux et tira pour monter son visage à son niveau. Il la regardait avec un grand dégout, une énorme déception.— Il va falloir t’entrainer sale pute ! cracha-t-il, tu prendras le gode et le mettra au fond de ta gorge cinq minutes par jour pour mettre un peu plus que la moitié de ma bite dans ta gueule. Finis-moi maintenant connasse.Sans un mot elle se dépêcha de sucer l’homme. Elle faisait de son mieux, lui malaxait les couilles mais sa tige était tout juste dur, l’homme fumait en parlant avec ses amis et elle était si concentré sur la fellation qu’elle n’écoutait pas. D’un coup la cravache réapparu dans la main de son dominateur et il la tapotait durement en l’ordonnant de se dandiner pour faire bouger le plug et offrir une belle vue à l’ordinateur.— Je t’interdis de jouir avant moi, lui lança-t-il, alors active toi grognasse.Isabelle accéléra le rythme, elle bougeait de gauche à droite et la cravache l’excitait tant qu’elle ne savait pas quoi faire pour ne pas jouir à nouveau. Enfin le sexe de son maître se durcit en peu plus et encore davantage à chaque instant et alors qu’elle pensait qu’il allait jouir, il lui cravacha le cul si fort qu’elle se redressa de surprise. Instantanément son maître lui saisit le sommet de la tête par les cheveux et la baissa si violemment que sa bite se retrouva plus au fond de sa gorge encore. Il força les vas et viens en la tenant toujours par les cheveux et il alla plus fort et plus vite à chaque seconde. C’était presque insoutenable mais la femme laissa ses lèvres serrées pour que son dominant puisse jouir avec autant d’intensité qu’elle un peu avant. Il alla une dernière fois au fond de sa gorge pour jouir directement dans l’œsophage.Isabelle avala de surprise, surprise d’avoir été si mal mené et surprise d’avoir aimé ça malgré le léger mal être qu’elle ressentait. Son maître la poussa sans la regarder alla devant l’ordinateur et referma sa braguette.— C’est peut être une bonne pute, leur dit-il, mais c’est loin d’être encore une experte. Demain c’est chez toi, ajouta-t-il en pointant l’un des hommes.Il éteignit et se tourna vers Isabelle. Son visage était moins dur mais il y avait encore une autorité qui la fit frémir.— Je vais te réjouir dessus pétasse et tu ne te laveras pas comme d’habitude, et tu entreras chez toi avec le plug.— Oui maître.— Il nous reste encore une heure salope, ouvres ta chatte dépêches toi.Isabelle s’allongea sur le dos et d’une main elle écarta ses lèvres. Son maître vins sur elle et il la baisa pendant une heure en lui racontant en détails quelle pute elle était. Ce qu’il voulait lui faire subir et quelle bon vide couille elle fera quand elle sera dressée. D’ici là il la baiserai comme la salope qu’elle était et tous ses trous serait à lui et à qui il voudrait bien l’offrir et qu’elle n’aurait pas son mot à dire puisque sa bouche serait pleine, et durant tout ce temps Isabelle mouillait et jouissait à répétition en pensant à la perspective que tout cela se réalise un jour.
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