Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 47 J'aime
  • 3 Commentaires

Isabelle nouvelle soumise

Chapitre 4

Trash
4) Isabelle attendait devant l’immeuble de son maître, elle repensait à sa dernière séance. Il avait jouir plusieurs fois en elle et sur elle, elle avait aimé être traité de la sorte et la honte et l’excitation perdurait toujours. Elle aussi avait joui, de multiples fois, jamais ça ne lui était arrivée aussi souvent en aussi peu de temps. De plus elle était entrée nue sous son manteau et le plug dans le cul, bien au fond et il bougeait en même temps qu’elle. Elle avait joui sur le chemin du retour et elle avait ressenti autant de honte qu’en jouissant devant ses employés, d’ailleurs il lui avait fallu deux jours de grands cris et d’intimidation pour que tous la reconsidère comme à nouveau comme la patronne.Son maître sortit de l’immeuble la sortant de ses idées. Elle frémit en le voyant, il s’approcha d’elle, il était près, trop près, elle sentait son souffle sur son visage et elle n’arrivait pas à détacher son regard de ses yeux. Lui, tira un peu sur le manteau de sa soumise. Il jeta un coup d’œil dedans, elle portait un corset rouge avec des petites bandes de tissus noires, un porte-jarretelle assortie avec de beau bas résille et de très hauts talons. Elle ressemblait à une pute et elle n’aimait pas ça… Du moins pas tant que son maître n’était pas à son côté, à présent elle se sentait bien chienne et cette sensation la fit mouiller. Sans un mot il la saisit par le bras et ils marchèrent ensemble sur plusieurs pâtés de maison. L’homme lui avait ordonné de remettre les boules de geisha et elle les sentait bouger à chaque instant. Elle sentie un orgasme monter doucement. Elle ralentie le rythme pour ne pas jouir dans la rue mais la maître la poussa pour qu’elle reste à son niveau. Elle respirait de plus en plus fort, la chaleur envahi le bas de son ventre et elle rougissait de ressentir autant de choses si dépravées dans un lieu public. Heureusement ils s’arrêtèrent devant un grand immeuble assez ancien.Le hall était magnifique mais Isabelle n’eut pas le temps de s’y attarder car l’homme l’emmena dans la cage d’escaliers.— On va au quatrième petite pute, lui dit-il, dépêches toi.Elle jeta un coup d’œil timide à l’ascenseur mais se retient de poser la moindre question, elle savait ce que cela pouvait lui couter. D’ailleurs si elle devait risquer une question ce ne serait pas celle-ci, il y en avait tant qui se bousculaient dans sa tête : « Où allaient-ils ? » « Que lui préparait-il ? » « A quoi devait-elle se préparer ? ».Au lieu de ça, elle s’avança et commença à monter les marches, dès la première elle sentie les boules de geisha se remettre en route, il lui fallut deux étages et demi pour jouir en serrant les dents pour ne pas alerter les habitants. Son maître était derrière elle, se rinçant l’œil sous son manteau, il vint se coller derrière elle lui faisant sentir son érection.— Nous ne sommes pas arrivés petite pute, pourquoi tu t’arrêtes ?Isabelle voulu parler, s’expliquer mais aucun son ne sortirent. Devant son manque de réaction l’homme passa une main dans son manteau et commença à lui caresser le cul. Après l’orgasme qu’elle venait de subir Isabelle était très sensible et elle ne put se retenir de gémir de plaisir, mais soudain son maître entra deux doigts dans son cul sans aucun ménagement et la tracta de cette façon jusqu’au quatrième étage, les boules de geisha s’agitait de plus belle en elle et réduit par l’espace qu’occupait les doigts de son maître les sensations était multiples et un autre orgasme l’envahi lorsqu’ils atteignirent le palier de leur destination. L’homme retira ses doigts et la poussa vers une grande porte en lui disant :— Quand je te donne un ordre sale putain tu t’exécutes, tu as de la chance que nous soyons attendu tu auras ta punition plus tard.Sans lui laisser le loisir de réagir il appuya sur la sonnette et presque instantanément la porte s’ouvrir sur l‘homme qui se faisait sucer dans l’ordinateur la semaine précédente.— Qu’est ce qui lui arrive ? demanda-t-il en voyant Isabelle trempée de sueur.— Cette salope vient de jouir à deux reprises en montant ton escalier.— On va bien s’amuser, souri le nouvel homme.Sur ce il les invita à entrer, en ouvrant grand la porte et ôta le manteau de la soumise. Une fois à l’intérieur Isabelle ne sut pas quoi faire. Devait-elle se mettre à genoux, comme chez son maître ? — Je suis maître F, lui dit l’homme en lui prenant son manteau avec beaucoup de douceur.Tendrement il la regarda et la fit tourner sur elle-même. Avec toujours autant de délicatesse il lui pelota la poitrine, fit sortir un sein du corsage et le pris en bouche. Il s’appuya sur elle si fort qu’il la plaqua contre le mur. La bouche toujours autour de son téton ses mains se baladèrent sur tout son corps jusqu’à son entre cuisses. Là il écarta son string et entra deux doigts dans sa chatte dégoulinante et commença à jouer avec les boule de geisha. Isabelle ne put s’empêche de gémir et son regard se posa sur son maître qui semblait satisfait. Le rouge lui monta au joues tant cela était embarrassant. Maître F commença des va et viens dans la chatte d’Isabelle et elle ne peut qu’apprécier ce mouvement en mouillant d’avantage. Soudain il sortit ses doigts et appuya sur les épaules de la pauvre femme qui ne savait plus vraiment ou elle était. Elle pensait qu’il allait lui ordonner de le sucer mais dès qu’elle eut posé les genoux au sol il s’éloigna pour aller rejoindre l’autre homme.— C’est vraiment une bonne pute, lui dit-il satisfait, ça va être une longue et agréable après-midi.Les deux maîtres se rendirent dans la pièce voisine et Isabelle les suivit docilement à quatre pattes. Quand elle arriva dans le salon elle y trouve une personne supplémentaire. Un jeune homme totalement nu se trouvait à genoux sur le sol avec un collier de cuir serré autour du cou. Docilement elle alla se poser à côté de lui, elle le regarda une seconde et le reconnut. Grimé ainsi elle ne l’avait pas identifié immédiatement. Surprise elle tomba sur les fesses et recula le plus loin possible. Le jeune homme blond au sol la regarda en souriant, un sourire à la fois gêné et amusé. Isabelle voulu se relever, se cacher, se rhabiller. Son maître intervint et la força à rester au sol.— Que se passe-t-il ? demanda maître F— C’est ma patronne, répondit Nathaniel.— La femme dominatrice et autoritaire qui te fait bander ? s’étonna son maître, ça c’est une surprise.Isabelle ne savait plus où se mettre, personne n’aurait dû être au courant de ses perversions. A présent tout le monde allait savoir qu’elle servait de sac à foutre et sa carrière ainsi que son mariage seraient fichu. La panique la gagna et elle s’agitait de plus en plus, son maître essayait de la tenir mais elle se défendait. Lassé de ses gesticulations l’homme la gifla et elle s’immobilisa immédiatement en se cachant le plus possible le visage et ses formes.— Ça fait deux ans que Nathaniel est esclave, lui dit-il avec trop de calme, il ne dira rien, il est bien plus soumis que toi !« Deux ans » ? Le jeune homme travaillait avec elle depuis un peu plus d’un an et jamais elle ne l’aurait soupçonné, elle pensait qu’il était un homme à femme avec une jeune femme différente dans son lit chaque soir, pas un objet sexuel utilisé par un autre homme. Les larmes coulaient à flot sur son visage et son maître vint lui essuyer.— Tu n’as aucun soucis à te faire, la rassura-t-il, tu vas rester ma petite pute pour un long moment.Elle hésitait encore, jamais elle n’avait ressenti une telle honte et celle-ci ne la faisait pas mouiller. Agacé par son manque de réaction l’homme l’allongea à même le sol et elle ne réagit pas. Il lui écarta les cuisses et elle ne réagit toujours pas. Son string disparue et il sortit les boules de geisha et Isabelle n’émit aucun son. Lentement il attrapa la tête de Nathaniel et la plaça entre les cuisses de la femme. Immédiatement il entreprit de la lécher, les lèvres, le clitoris, de le mordiller même un peu, d’introduire sa langue dans son vagin. Enfin elle commença à réagir, à s’agiter sur le sol sous les assauts de son employé. Quand elle ouvrit les yeux elle vit la tête blonde entres ses cuisses et ses yeux vert qui la fixait, une fois encore elle eut un mouvement de recule mais le mur l’empêcha de se dérober et elle se retrouva adossée sur cet amas de plâtre qui l’empêchait de partir, son maître la saisit par les cheveux et lui présenta son gland.— Maintenant tu arrêtes ton cinéma, sale pute, lui dit-il, et tu me suce pendant que l’autre salope te fait jouir, encore !Sans attendre de réaction son maître l’enjamba et lui mit la bouche dans la baisa lentement mais profondément. Ainsi placé il lui bloquait la vue de Nathaniel et cela la détendit, elle serra ses lèvres sur la tige qu’elle avait en bouche malaxa même les couilles. — OOOO petite pute tu te réveilles enfin, gémit-il en accélérant le rythme.Isabelle voulait reculer un peu pour pouvoir respirer mais le mur sur lequel elle était appuyé l’en empêchait, de plus la langue de Nathaniel la fouillait en des vas et viens saccadés. Son maître la saisit par les cheveux pour la pénétrer plus en profondeur. Elle s’était bien entraînée comme il lui avait ordonné et elle avait gagné quelques centimètres de profondeur mais il poussait encore plus loin et elle ne pouvait toujours pas reculer. Le sexe dans sa bouche se fit plus dur, tellement dur et la langue du jeune homme bien que tremblante la faisait montrer dans les plus hautes sphères du plaisir. La bite dans sa bouche cracha son sperme, une grande partie fut dans sa bouche, mais son maître sortit rapidement pour poser les dernières giclées sur son visage, ses cheveux et son sein exhibé. Il lui dit qu’elle était belle ainsi et le compliment lui plus. Il se retira et alla s’asseoir et alors Isabelle pu voir ce qu’il se passait devant elle. Nathaniel était penché entre ses cuisses le visage dans sa chatte et le cul en l’air et derrière lui se trouvait maître F qui l’enculait durement. Cela expliquait les mouvements peu certains qu’il lui procurait mais le voir se faire baiser ainsi excita suffisamment la soumise pour jouir sous les lèvres de son employé. Presque au même moment le maître F se retira pour éjaculer sur fesses de son esclave.— Nettoie, ordonna-t-il à Isabelle.Elle eut un instant d’hésitation et regarda son maître qui, d’un signe de la main lui ordonna de s’exécuter. Docilement et sans croiser le regard de Nathaniel elle se mit à quatre pattes pour aller derrière lui et admirer son cul grand ouvert. Au départ timidement elle lui lécha les fesses pour ramasser son sperme et son maitre se leva pour lui plaquer d’un coup le visage entre ses fesses. Dans un état second et particulièrement excitée Isabelle sortie sa langue et commença à lécher l’anus du jeune homme et à récupérer tout le sperme que le maître F avait laissé. Prise d’une soif sexuelle qu’elle ne se connaissait pas elle descendit le long de la raie jusqu’aux testicules qu’elle goda d’un coup. Doucement elle le lécha et les remua dans sa bouche. Nathaniel gémis de plaisir et les maîtres discutaient avec satisfaction et l’insultez face à ses actes mais étant elle était si excité qu’elle n’entendait presque rien se contentant de baver sur les couilles qu’elle avait dans la bouche. Soudain la voix de son maître retentit fort :— Il t’a fait jouir sale pute, suce-le.Sans hésitation Isabelle se glissa entre les cuisses du jeune homme et commença à lécher son gland, d’un coup de hanche Nathaniel entra sa bite au fond de sa gorge. La soumise s’appuya sur ses bras et serra les lèvres en agitant sa langue. Lentement elle posa sa main sur les fesses du jeune homme et entre deux doigts dans le cul. Le jeune homme lâcha un petit cri de plaisir et immédiatement s’assit sur la poitrine de la femme. Dans cette position il lui entra sa bite dans la bouche, si loin qu’Isabelle en avait du mal à respirer. Il faisait de petit va et viens pour s’enfoncer plus loin. Chaque centimètre était à la fois une souffrance et une satisfaction de battre son record. Nathaniel prenait plaisir à cette fellation forcée, ses jambes appuyées sur les bras de la soumise l’empêchaient ainsi de bouger et faisait de lui le seul acteur de cet acte. Il lui attrapait les cheveux en s’enfonçant encore ; parfois il ressortait complètement, lui laissant le temps d’avaler un peu d’air et retourna au fond de la gorge d’Isabelle. Elle était rouge, elle bavait sur la tige et sur son menton et d’après le coup d’œil qu’elle jeta aux maîtres ils appréciaient. Nathaniel se faisait plus virulent, plus violent, plus profond, plus dur.— Cette petite salope va juter, lança maître F.— Sur sa gueule de chienne, renchérie l’autre homme.Nathaniel poursuivit son rituel encore quelques secondes avant de sortir totalement et de se branler avec énergie. Isabelle regardait, hypnotisée et enfin le jus de son employé sortit, une seconde elle ferma les yeux et un liquide chaud lui atterrie sur les paupières. Le jeune homme poussa un râle jouissif et d’autres jets sortirent pour lui tomber sur les cheveux et sur d’autres parties de son visage. Quand il fut vidé, il resta un instant en place à la regarder. Isabelle aurait dû ressentir de la honte mais au lieu de cela elle sentie une vulnérabilité qui l’excita plus encore, jamais elle aurait cru cela possible, elle avait envie de bites, là maintenant tout de suite, elle voulait être baisée pour assouvir ce feu qui lui ravageait le bas ventre. Lorsque le jeune homme lui présenta son gland pour le nettoyer elle l’avala avec tant d’avidité qu’il en gémi de surprise. Isabelle se redressa un peu et recommença à le sucer comme si elle mourrait de faim. Le jeune homme recula mais sa bouche resta accrochée à la bite. Sa langue s’agitait, et il recommença à durcir. Isabelle redoubla d’efforts et se mit à genoux pour malaxer les couilles. Nathaniel recula encore ne tenant plus sur ses jambes et lorsqu’il tomba au sol elle se mit à quatre pattes le cul en l’air pour le sucer encore. — Mais quelle salope, applaudit maître F, elle va me l’épuiser.— Baise-le, ordonna son maître avec un râle d’excitation.Immédiatement Isabelle se redressa pour chevaucher le jeune homme. Elle mouillait tant qu’elle entra d’un coup en criant de plaisir. Nathaniel ne bougeai pas, une grande perplexité se lisait sur son visage mais surtout il semblait ne croire ce qu’il lui arrivait. Obéissant à son maître, la soumise se souleva avant de se laisser retomber en soupirant de satisfaction. Elle recommença plusieurs fois et se redressa un peu pour se caresser les seins en mouillant et criant plus fort. Tout cela était tellement exquis. Une main sur sa nuque lui indiqua la présence de son maître dans son dos. Il la tira en arrière pour lui entrer sa langue dans la bouche. Bien qu’un peu surprise Isabelle se laissa faire et lorsque qu’il eut finit de lui rouler une grosse pelle, il lui prit un peu de sperme sur son visage avec deux doigts pour lui fourrer dans la bouche. Elle les nettoya avec délectation en continuant ses va et viens sur la bite de Nathaniel. Quand le maître fut satisfait il la pencha en avant, tant que ses seins se retrouvèrent sur le visage du jeune homme, qui lui lécha avec plaisir. Isabelle sentit les mains de son maître lui écarter le cul. Une double pénétration ? Oooh mon Dieu, elle n’avait seulement rêvé un moment pareil et à peine eut-elle le temps de comprendre ce qu’il allait lui arriver qu’une seconde bite entra dans son anus. Les deux bites se bougèrent dans un même mouvement. Nathaniel lui pétrissait les seins et son maître lui tirait les cheveux pour bien la pilonner. C’était si bon, elle se sentait si salope, si pute.— T’aime ça pétasse ? Lui demanda son maître.Oui, oui elle aimait ça ! Elle en voulait plus, elle en voulait encore. Elle se sentait remplit, et si pute, oh oui si pute, c’était encore mieux que ce qu’elle avait imaginé même si les mouvements étaient très saccadé. Et alors qu’elle pensait que ça ne pouvait être mieux maître F lui présenta son gland. Elle n’eut pas le temps d’hésiter, son maître poussa sa tête en avant, mais elle n’eut pas le temps de le prendre en bouche car l’homme se retira.— Dit que tu la veux, lui ordonna-t-il.Isabelle hésita une demi-seconde. Jusqu’ici elle pouvait dire qu’elle n’avait presque que subit mais là elle devait en demander d’avantage. Elle en avait envie, ça oui, mais voulait-elle vraiment le dire à haute voix ?— Alors salope ?— Je veux votre bite maître ! dit-elle d’une voix roque de désir.A peine eut-elle finit sa phrase que l’homme lui fourra sa tige au font de la gorge pour lui baiser. « Prise par tous les trous » ça aussi elle en avait rêvé et ça aussi c’était mieux que dans ses désirs. Son maître la traitait de bonne pute, de salope, de pétasse, de chienne et tant d’autres encore, l’autre maître lançait aussi des insultes et même Nathaniel lâchait des « putain » de temps à autres. C’était mieux qu’un fantasme, elle était une pute et elle aimait ça, elle aimait tellement ça… Elle jouit sur les bites des hommes et cela contracta ses trous ce qui fit jouir Nathaniel dans sa chatte. Les maîtres n’avaient pas fini, donc le jeune homme resta en Isabelle alors qu’elle se faisait pilonner comme une chienne. Isabelle ne bougeait plus subissant les assauts des deux hommes durs en elles, son maître lui fessa le cul et cela suffit pour faire monter un nouvel orgasme. Maître F le sentit et accéléra les coups de queue. Son maître la baisait sauvagement, si fort qu’il fit sortir la queue ramollie de Nathaniel et elle sentie son sperme couler de ses cuisses sur le bas ventre du jeune homme, cela suffit à la faire jouir de nouveau avec une intensité qui la surprit tant qu’elle eut du mal à tenir en place. En lui tirant les cheveux son maître la rappela à l’ordre mais la fatigue de tous ces orgasmes et de cette après-midi commençait à se faire sentir. Maître F lança un violent « putain » en éjaculant dans la bouche d’Isabelle. Il laissa sa bite ne place, le temps pour elle d’avaler et de lui nettoyer le gland tandis que l’homme qui l’enculait arrivait au point de rupture. Lorsqu’il eut jouir il sortit sa tige su cul de sa soumise, appuya sur son ventre pour en faire sortir le sperme et le faire couler sur ses cuisses. Lorsque cela fut fait il la poussa sans délicatesse et la fit tomber sur Nathaniel qui ne pouvait pas bouger non plus. Elle sentait le sperme couler de son visage et de ses trous et quand Nathaniel bougea un peu elle sentie sa semence entre eux. Le jeune homme la poussa, sous les ordres de maître F, et la laissa au sol comme un objet qu’on avait fini d’utiliser. Elle aurait dû ressentir de la honte, mais les trois dernières semaines avait suffi à faire d’elle une femme bien plus salope que ce qu’elle se serait cru capable.
Diffuse en direct !
Regarder son live