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Isabelle nouvelle soumise

Chapitre 5

Trash
5) Des visions de la séance précédente envahissaient l’esprit d’Isabelle, Nathaniel nu avec de collier de cuir autour du cou et les deux maîtres qui n’avaient fait que sortir leur bite de leur pantalon en ouvrant leur braguette. Une fois qu’il l’avait baisé et laissé sur le sol comme un objet usé, ils avaient rangé leur bite et discuté de prochaines séances en l’ignorant totalement. Elle avait honte mais elle avait adoré ça.Quand ils eurent finit toutes leurs préparations, son maître, maître P, lui avait ordonné de se lever. Cette fois ci il lui avait demandé de se laver avant de la ramener chez lui.Là-bas une fois à quatre pattes il lui avait retiré son string et avait placé trois pinces à linge, une sur chaque lèvre et une sur le clitoris. Il l’avait fait marcher dans tout l’appartement ainsi et lorsqu’elle fut bien mouillée il la fit s’asseoir sur lui sans lui ôter les pinces. Elle lui tournait le dos et prenait appuie sur une petite table face à elle pour se lever et se baisser sur la bite de l’homme. Elle avait tellement mal mais c’était si bon, c’était vraiment étrange comme sensation. Dans un miroir un peu plus loin elle vit ce qu’elle faisait, elle avait vraiment l’air d’une salope, ce que confirma son maître en la traitant de putain et en la fessant. Cette image était tellement dégradante mais elle n’arrivait pas à la quitter des yeux. Elle se voyait monter et descendre sur la queue d’un homme dont elle ne connaissait même pas le nom, il l’insultait, lui faisait rougir les fesses, lui tirait les cheveux et elle en mouillait de plus belle. Quelle honte, quelle honte mais qu’est-ce qu’elle aimait ça. C’était si dégradant, si humiliant et lorsqu’il la poussa pour qu’elle soit à plat ventre sur la table et qu’il la bourra comme une chienne pour jouir dans sa chatte elle se sentit si honteuse qu’elle en rougie avant d’en jouir. Son maître l’avait laissé dans cette position plusieurs minutes pour que son sperme coule sur les cuisses d’Isabelle et il avait retiré les pinces en tirant dessus sans les ouvrir. Elle avait crié de douleur et son maître l’avait traité de bonne truie et laissé sur place encore un peu. Quand il en eut assez de la reluquer ainsi il la renvoya chez elle sans se laver et lui avait ordonné de se faire enculer par son mari, ce qu’elle avait docilement fait en jouissant pour son maître.
Isabelle était rêveuse dans son bureau, rêveuse, mais efficace, les dossiers défilaient devant ses yeux et elle les traitait avec une compétence désarmante. Au milieu de l’après-midi quelqu’un entra sans frapper ; c’était Nathaniel. Dans un premier temps elle voulait le réprimander pour son impolitesse mais rapidement la honte de sa dernière séance la rattrapa. Elle baissa les yeux et le jeune homme utilisa ce cours laps de temps pour s’approcher vraiment près de sa patronne. Il était si proche qu’elle pouvait sentir son souffle sur son coup. Elle leva la tête pour le regarder mais son regard à lui était plongé dans son décolleté. Choquée Isabelle plaqua sa main sur sa poitrine et se leva si vite que son fauteuil tapa sur le mur derrière eux. Elle recula de deux pas mais Nathaniel combla la distance qu’elle essayait de créer. Lentement mais fermement il posa une main sur sa cuisse et remonta jusqu’au début de sa jupe. Isabelle recula jusqu’au mur ou Nathaniel la suivit, elle ne pouvait plus fuir à présent et le petit soumis continuait à remonter sa main le long de sa cuisse. Gênée la patronne baissa les yeux, maintenant qu’il était au courant était-ce à cela que son quotidien allait ressembler ? Être baisée continuellement par cet employé et par les autres puisque tout allait se savoir, elle ne serait plus la patronne, elle serait la salope du bureau. Quelque part au fond d’elle cette idée la séduisait mais elle aimait vraiment son travail et le pouvoir qu’elle avait sur ses employés lui donnait la force et l’envie d’être la soumise qu’elle était. Puis soudain, alors que Nathaniel atteignait le haut de ses bas une phrase de son maître lui revient à l’esprit : « Nathaniel est bien plus soumis que toi ! ». Alors, forte de cette nouvelle conviction et lui retira sa main avec autorité.— Où vous croyez vous ?— Je ne fais qu’exécuter les ordres, dit-il d’une voix grave.Isabelle le regarda sans comprendre.— Je n’obéis pas à maître F.— Votre maître vous a ordonné de ne plus mettre de sous-vêtements, reprit-il d’un ton neutre, et d’un commun accord ils m’ont ordonné de vérifier votre dévotion.C’était bien dit, mais il n’en restait pas moins qu’elle devait obéir s’il elle ne voulait pas être puni, mais il était hors de question qu’elle se laisse ainsi tripoter au travail. Nathaniel compris qu’il n’arrivera pas à ses fins, il retira donc sa main et se dirigea vers la porte.— Attendez, le reteint Isabelle.Il la regarda sans comprendre chacun à un bout du bureau. Doucement elle releva sa jupe jusqu’à la taille et exhiba ainsi sa chatte toute épilée. Les jambes écartées, habillée de ses talons hauts de ses bas et de son porte-jarretelles avec la jupe autour de la taille elle se sentait vraiment salope et cela la fit ardemment mouiller.— Satisfait ? demanda-t-elle sans bouger.Le jeune homme la scruta et fit demi-tour pour ouvrir la porte et partir rapidement. Isabelle était satisfaite, elle avait obéit sans suivre vraiment les ordres. Serait-elle punit pour avoir envoyé baladé son employé ? Quelque par elle l’espérait.
Le samedi suivant Isabelle arrive tôt le matin, son mari étant en voyage pour son travail elle avait tout le weekend pour son maître. Il lui avait dit qu’elle être comblée et vu le ton de sa voix Isabelle avait bien compris qu’il parlait au sens propre et une fois encore un peu d’appréhension la ralentissait.Dans l’appartement, son maître la fit totalement se déshabiller et lui offrit une jupe ridiculement courte que le lui couvrait même pas tout le cul et un soutient gorge qui ne lui couvrait pas les tétons et lui relevait sa poitrine mieux qu’un wonderbra. Ensuite il la fit se mettre à quatre pattes et elle le suivit dans le salon comme une chienne.— J’ai un une petite conversation avec maître F, lui dit-il.Isabelle pris peur une seconde, elle savait quel était le sujet de la conversation avec l’autre homme mais elle n’arrivait pas à deviner ce qu’il allait se passer à présent. Sans un mot supplémentaire elle sentit un pincement sur son téton droit et lorsque la main de son maître éloigna sa main elle sentit son sein tirer vers le bas. Elle baissa la tête et vis qu’au bout de la pince qui tenait le téton se trouvait un poids. Sans qu’elle ait le temps de réagir son autre sein subit le même traitement. Ainsi lestée sa poitrine tirait par le bas et les pinces appuyaient fort pour qu’elles tiennent en place tout en faisant agir le poids. Le maître la fit ainsi marcher dans l’appartement et les poids faisaient balancer les seins de la femme de gauche à droite et cette douleur faisait mouiller Isabelle. Elle avait tellement honte d’aimer ce genre de chose. Après dix minutes d’aller et retour dans l’appartement l’homme alla s’assoir dans son fauteuil. Il ne la regardait pas, il jouait avec des petits disques — Mes ordres ont été exécuté, dit-il dans le vide, pas comme je m’y attendais mais la petite salope de maître F m’a confirmé, malgré tout que tu ne portais pas de culotte.Isabelle fut soulagée de ne pas avoir provoqué la colère de son maître, docilement elle vient prendre place devant le fauteuil et s’assied sur ses talons. Il la regarda avec plaisir, elle fixait le sol, sa jupe couvrait à peine sa petite chatte, ses seins était tiré vers le sol et commençaient à rougir. Il lui ordonna se s’avancer et sans hésitation elle s’exécuta. L’homme la fit se relever un peu et posa les petits disques de métal sur les poids ce qui tira un peu plus sur ses seins. L’homme se mit a rire, à se moquer de ses mamelles qui pendaient de façon ridicule par-dessus le soutient gorge. Puis, après cinq minutes de cette exhibition humiliante il lui ordonna de le sucer. La soumise vint se placer à genoux entre les cuisses de son maître qui avait placé une petite couverture au sol. Ses rotules apprécièrent ce geste inhabituel et Isabelle compris rapidement que si cela avait été mis en place c’était très certainement par ce qu’elle allait garder cette position un long moment. Lentement elle ouvrit sa braguette et sortie le sexe à demi mou de son maître. Elle commença à y mettre des coups de langue pour faire durcir la tige et ce faisant il lui caressa la tête. Avant qu’elle ne commence à la prendre en bouche son maître la redressa et lui mis son masque, puis il lui saisit les poignets.
— Maintenant tu te mets au travail, lui ordonna-t-il, et tu ne bouges plus.Sans se poser de question Isabelle commença à prendre le gland de son maître en bouche. Sa langue s’activa sur la tige de l’homme et celui-ci soupira d’aise. Après cinq ou dix minutes maître P claqua des doigts et la porte de la chambre s’ouvrit. Isabelle voulu voir ce qu’il se passait et leva la tête pour le savoir, immédiatement l’homme lui saisit les cheveux pour la forcer à se remettre en place et à poursuivre son travail. Docilement la soumise se remit à sucer de son mieux pour se faire pardonner de sa distraction.— Dans la chatte, dit son maître.Isabelle se demanda de quoi il parlait mais elle ne voulut pas cesser son activité pour ne pas se faire punir, mais elle comprit rapidement lorsqu’une personne lui écarta les fesses. Après quelques secondes de pétrissage un gland se présenta sur ses lèvres et pénétra son sexe. La femme voulu gémir mais son maître en profita pour pénétrer sa bouche plus profondément. Elle sentait l’autre la ramoner, il avait mis une capote et la burinait durement. Isabelle utilisa ce mouvement pour faire des va et viens sur la bite de son maître. Rapidement l’inconnu se mit à râler et se contracta. Il sortit du sexe de la femme et après un court instant Isabelle sentit du liquide se répandre sur ses fesses et elle comprit que l’homme avait joui. Isabelle se concentra à présent sur la bite de son maître et une autre bite entre dans sa chatte. Celle-ci n’avait pas de préservatif et était un peu plus grosse que la précédente. Elle la burina tout aussi durement et de temps en temps de petites fessées lui cinglaient les fesses. Après plusieurs minutes de ce traitement le nouvel inconnue éjacula dans la chatte d’Isabelle en la traitant de salope. Trois autres bites la bourrèrent de cette façon sans qu’elle puisse les voir. S’ils avaient des capotes ils jouissaient sur son corps, dans le cas contraire ils lui remplissaient son trou de sperme. Lorsque le dernier homme se retira laissant couler le sperme le long de sa cuisse son maître jouit à son tour dans sa bouche. Elle avala bien évidemment et lorsque son membre ramollie elle se redressa.— Ce n’est pas fini salope, lui dit son maître en la giflant, je ne t’ai pas dit d’arrêter ; suce !Sans attendre Isabelle reprit le sexe mou de l’homme en bouche et se remit en position. Il lui tenait toujours les poignets sur les accoudoirs du fauteuil. Alors que la tige durcissait lentement des doigts ramassèrent un peu de sperme sur le cul de la soumise s’en servit pour lui lubrifier l’anus. Isabelle savait ce qu’il allait lui arriver, et elle l’attendait avec une certaine impatience. Cet homme qui allait l’enculé l’avait-il déjà baisé ? Était-ce un nouveau ? Peu importe, le temps qu’elle y pense l’homme était entré doucement en la traitant de pute. Elle en mouilla davantage et l’intrusion dans son cul diminua son espace sans son vagin et fit sortir un peu plus de sperme sur ses cuisses. A ses gémissements le sexe de son maître se redressa rapidement et la danse continua.Plusieurs bites se succédèrent dans son cul et Isabelle en perdit rapidement le compte. Mais lorsque l’homme joui une seconde fois dans sa bouche les choses s’accélérèrent et les bites se succédèrent alternativement dans son cul et sa chatte jouissant dans ses trous ou dans son corps, la recouvrant, la remplissant. Un homme l’encula d’un coup si fort que la femme se redressa de surprise et de douleur, surpris son maître lui jouit en partie sur le visage et sur ses seins lesté avant de lui attraper les cheveux et de lui empaler la bouche sur sa bite pour qu’elle le finisse et le fasse encore bander. Cette scène fit rire les hommes présents dans la pièce.— Ouais salope t’arrête pas, entendit-elle.— T’es bonne qu’à ça salope, ouvre-toi bien.— Putain quelle garage à bites elle est trop bonne !— Je l’ai baisé deux fois et j’ai encore envie de la fourrer cette pute. J’ai bien fait de venir.C’était si humiliant et Isabelle avait honte d’aimer ça et pourtant c’était le cas. Quand l’homme qui l’enculait durement la fessa elle sentit le sperme éclabousser son corps. Elle devait en avoir partout pour qu’une simple claque fasse tant de gouttes. Quand les autres se succédèrent en elle Isabelle sentit encore ses seins bouger sous les poids qui y était accrochés et la douleur devenait de moins en moins supportable mais elle n’osait bouger ou faire une remarque.Quand son maître jouit une quatrième fois dans sa bouche, il l’autorisa à le lâcher et elle resta à quatre pattes comme une bonne chienne jusqu’à ce que l’homme dans sa chatte se finisse sur son dos. Il éjacula si loin qu’elle en eut jusque dans la nuque. Malgré elle Isabelle crache un peu de sperme au sol, elle n’en pouvait plus et en baissant la tête elle vit la couverture au sol couverte de sperme au niveau de ses genoux et elle comprit alors que si elle était là ce n’était pas pour son confort mais pour protéger le parquet du jus de ses baiseurs.Quand elle fut autorisé à s’assoir la soumise compta au moins quinze hommes plus ou moins habillé dans la pièce. Elle n’était pas certaine d’avoir eu que quinze bites en elle mais savoir qu’elle avait servi de vide couilles à autant de mâles la fit rougir.— N’était-elle pas mignonne, se moqua son maître, aller à la douche sale chienne, il faut que tu sois propre pour le repas de ce soir.Se faisant il lui avait retirer les poids sans ménagement et ses seins lui firent encore plus mal, elle les massa un moment avant de baisser les yeux et se rendre dans la salle de bain, à quatre pattes, elle écouta docilement les insultes que les hommes lui lancèrent sur son chemin et alors qu’elle entra dans la baignoire et qu’elle se déshabilla, elle entendit maître P dire au revoir à tout ses amis qui le félicitèrent en retour.Dans la salle de bain l’homme se mit nu et entra dans la baignoire face à Isabelle. Il lui fit couler du gel douche et du shampoing sur elle et en restant à genoux elle dut se frotter et se laver. Le sexe de son maître grossit et elle s’apprêta à le prendre en bouche mais il lui saisit les cheveux et la mit debout avant de la plaque contre la paroi lui écrasant les seins contre la vitre. La fraîcheur de la surface la soulagea un peu mais sans attendre son maître lui écarta les cuisses et l’encula. Il entra durement et sans aucune préparation. Ca faisait mal et Isabelle cria à chaque entrée ce qui rendait son maître plus dur. Elle sentait un peu de sperme des autres sortir de ses trous, son maître également.— T’es encore plaine sale truie, râla-t-il en la besognant plus durement, il faudra bien te vider pour passer la nuit, il ne faudrait pas salir mon parquet ma petite pute.Pendant encore cinq bonnes minutes il l’encula en l’insultant et fini par jouir en lui tirant les cheveux. Il resta en elle quelques instants et lui embrassa tendrement le coup. Dans cette position il lui dit qu’il était fier d’elle, qu’elle lui avait fait honneur et qu’il l’enculait ainsi pour la récompenser de son après-midi. Durant ce petit discourt il lui caressait le clitoris.— Tu n’as pas jouit de l’après-midi ? lui demanda-t-il.Isabelle fit simplement non de la tête et les doigts de son maître s’agitèrent plus vite sans pour autant sortir sa queue de son cul. La douche coulait toujours sur eux et la soumise se sentait totalement épuisait mais elle acceptait avec délectation le cadeau de son maître. Lorsqu’enfin l’orgasme le submergea les images de l’après-midi lui traversèrent l’esprit et elle se revit à quatre pattes bourrée comme une chienne par des bites inconnues tandis qu’elle suçait la bite de son maître car elle était son esclave et qu’elle aimait ça de plus en plus. La fatigue la submergea et elle tomba à genoux de fatigue. Maître P la mit une fois de plus à quatre pattes dans la baignoire et utilisa le jet de la douche pour lui nettoyer les trous en profondeur avec le jet et avec ses doigts.Quand l’homme fut satisfait tout deux sortirent de la baignoire pour s’essuyer et dès qu’Isabelle fut sèche il la remit dans sa position de chienne et lui mit un collier autour du cou. Elle passa toute la soirée ainsi, nue avec le collier dessus il y avait une médaille sur laquelle son nom était gravé. C’était un collier de chienne et cela la fit mouiller en plus du lui faire honte. Quand elle arriva dans la cuisine son maître lui montra une gamelle avec également son nom dessus et des légumes dedans.— Une chienne mange dans sa gamelle, lui dit-il avec un regard mauvais, et sans les mains bien évidemment.Rouge de honte Isabelle se dirigea comme une chienne pour se nourrir et n’osait pas réagir aux insultes et aux rires de son maître. Comment avait-elle pu tomber si bas et aimer ça ?
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