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Itinéraire d'un voyeur

Chapitre 5

Chez les nudistes

Voyeur / Exhibition
Après avoir vécu mes premiers émois de voyeur sur les côtes bretonnes, me voici à Montalivet prisonnier des charmes de ma Tante. Je vous conseille de lire les premiers chapitres, ils sont intéressants.
Chapitre 5 : Chez les nudistes
La Suite du week-end fût sage. Une fois que mon oncle était revenu de son déplacement, tout redevint paisible. Ma tante ne fit aucune allusion à ce qui s’était passé l’après-midi. Cependant, durant ses deux jours, son comportement avait évolué. Ça se traduisait notamment dans ses tenues. Elles devenaient de plus en plus courtes et terriblement échancrées. Ses sourires à mon égard lorsqu’elle me croisait ou qu’elle me surprenait à regarder ses courbes, me troublaient et me rappelaient à ce doux souvenir de l’après-midi passée à l’espionner dans sa chambre.
Le week-end se passa naturellement, je profitais de Bernard et l’accompagnais faire du surf. Le Vendredi soir et le samedi soir je les entendis faire l’amour mais je n’osais aller les espionner de peur de leur réaction. Par contre je me suis caressé en les écoutant. J’ai joui en même temps qu’eux. Comme ce fût bon !
Le Lundi mon oncle repartit tôt pour un déplacement dans le sud. Catherine s’en alla à 9h00 pour travailler. Je me retrouvais seul. Après avoir été faire un tour dans le linge sale et m’être masturbé dans un string sale, je décidais de reprendre mes observations sur la plage.Lorsqu’elle rentra le soir, mon cœur s’emballa. Je m’attendais soit à ce qu’elle me parle de vendredi dernier, soit qu’elle me laisse encore profiter d’un peu d’elle. Mais rien.  Déçus, j’allai me coucher tôt.
Le mardi, malgré la possibilité d’observer ma chère tata dans un tailleur très sexy qui moulait à merveille ses fesses plantureuses et ses jambes galbées dans de jolis bas résilles, je ne vis rien de plus. Son corps me manquait. J’avais l’impression qu’elle jouait avec mes nerfs. Elle aimait se pencher devant moi pour que je regarde dans son décolleté. Elle jouait à me frôler lorsqu’on se croisait. Mais, les portes de la salle de bain, les toilettes et celle de sa chambre restaient désespérément fermées.Lors d’une de mes branlettes du soir, tout en pensant à Catherine, je décidai de pimenter mon voyeurisme à l’extérieur puisque dans la maison il était limité.
Le mercredi et le jeudi, il plut. J’étais dégoutté. Il ne me restait plus beaucoup de jours de vacances. Le Dimanche ma mère venait me chercher pour me ramener dans la grisaille du nord. Je passais alors les deux jours à regarder des films pornographiques et à me caresser dans les sous-vêtements de ma tante.
Le jeudi soir alors que Catherine était allongée sur le canapé devant la télé. Je m’approchai d’elle. Je me penchai pour l’embrasser sur la joue.Elle portait sa nuisette petit bateau pour dormir. Je sentis son parfum qui me troubla immédiatement.Ses tétons pointaient sous l’étoffe et comme elle était en chien de fusil le bas de la nuisette montait outrageusement sur le haut de ses cuisses.Je bandais dans mon bas de survêtement. Je lui expliquai que demain je voulais passer toute la journée sur la plage pour profiter de mes derniers jours ici. Elle me répondit que c’était une bonne idée et retourna à son émission.Comme je voulais passer un peu de temps avec elle je m’assis sur le fauteuil à côté du canapé. J’avais une vue de trois quarts sur ma tante. Je pouvais donc l’épier discrètement tout en faisant semblant de regarder la télé. Elle était belle presque nue sur le canapé.Tout un coup, elle regarda furtivement dans ma direction. Tout en retournant à son visionnage, elle changea de position. Elle leva une de ses jambes et posa juste la plante du pied sur le canapé.
Ainsi installée, elle écartait son entre jambe. Elle ne portait rien sous sa nuisette.Je vis durant de longues minutes toute son intimité : Ses poils finement taillés, ses lèvres si belles et bien proportionnées. Elle alla jusqu’à déposer quelques caresses légères sur sa vulve. Je n’en croyais pas mes yeux. Elle se caressait devant moi tout en regardant la télé.Je ne savais pas quoi faire, je n’en perdais pas une miette. Quand elle se retourna et qu’elle vit ma tête toute rouge. Elle me demanda avec un petit sourire en coin ce que j’avais. J’avalai ma salive. Je l’informai que j’avais chaud. Puis je me précipitai dehors pour prendre l’air.
A mon retour, elle n’était plus sur le canapé. Elle était partie se coucher. Je fis de même et me branlai frénétiquement en repensant à ce que j’avais vu. Je m’endormis aussitôt après avoir éjaculé comme jamais.
Le vendredi matin, comme à l’accoutumé nous primes notre petit déjeuner ensemble. Elle portait un chemisier rose et une jupe de tailleur blanche fendue sur la jambe droite. Elle resplendissait de beautés. Les trois boutons non agrafés laissaient entrevoir un décolleté déconcertant. Et, je pouvais aussi admirer le haut de son soutien-gorge qui était du même rose. Lorsqu’elle s’assit, sa jupe courte fit apparaître le liseré de ses bas couleur chair.Avant de partir, elle me serra dans ses bras pour me souhaiter bonne journée. Je sentis alors sa grosse poitrine contre mon torse et son bassin vint se coller au mien. Ma réaction ne se fit pas attendre et mon érection devint importante. Cependant, elle ne se poussa pas. Elle resta comme cela et me frotta le dos. Elle me fit quatre bises et partit. A la porte d’entrée elle se retourna, me dévisagea de la tête aux pieds en s’arrêtant sur mon entre jambe. Mon érection n’était nullement cachée par mon bermuda. Elle me sourit. Et, en me souhaitant une très bonne journée, elle ferma la porte derrière elle.
Moi aussi, j’allais au travail. Munis de mon maillot de bain, de ma serviette, d’une bouteille d’eau, d’un sandwich, et surtout de mes jumelles, j’avais décidé qu’aujourd’hui je verrai d’autres femmes nues.Je décidai alors d’aller du côté des "culs nus" comme disait Bernard. Il fallait être discret. Certes, il y avait le plus grand centre naturiste d’Europe à Montalivet. Mais ce dernier était étroitement surveillé. Heureusement, les dunes tout autour facilitaient l’espionnage.Arrivé sur le site, je cherchais un coin tranquille et regardais la plage. Je vis beaucoup d’hommes sans aucun vêtement. De plus les femmes présentes moins nombreuses n’avaient pas la beauté de ma tante. Agées souvent entre 50 et 60 ans, leurs seins tombaient, leurs fesses également. Elles n’étaient pas vraiment bandantes. Mais le fait de voir leurs minous sans gêne me donnait quand même quelques émotions.Les hommes, eux de tous âges représentaient une attraction. Avec mes jumelles je pouvais admirer des sexes de toutes sortes et de différentes tailles. Je me surprenais à les mater autant que la gente féminine.
La matinée se déroulait sans accrocs. Bien caché, je pouvais laisser libre court à ma passion du voyeurisme. Cependant, vers midi je pris la décision de prendre un peu de recul pour me restaurer.Je m’installais tranquillement un peu plus loin dans les dunes à l’abri du vent. Je mangeais mon frugale repas tout en repensant à tous ses corps entrevus le matin.Comme je me sentais quelque peu à l’étroit dans mon maillot, je décidai de le retirer. De plus le fait d’être nu me donnera un meilleur alibi si on me surprenait. Sentir le vent contre mon sexe libéré me fit bander rapidement. Je me touchai rapidement, allant jusqu’à la limite de l’éjaculation. Puis je me calmai et d’un pas résolu je retournai vers la plage. Comme je ne portais plus de vêtement je pensais m’installer sur la plage pour pouvoir mieux observer les vacanciers.
En chemin, j’entendis des cris étouffés. Ils venaient d’un petit bosquet en contre bas des dunes. Ma curiosité me poussa à aller voir. Plus je me rapprochais et plus les cris se transformaient en gémissements, en râles de plaisir. A quelques encablures je vis enfin ce qui se passait.Je tombais nez à nez avec un spectacle qui me cloua sur place. Là, juste devant moi, deux jeunes toutes nues. Assises l’une en face de l’autre, elles avaient les jambes entrelacées. Leurs bassins ondulaient en rythme. Elles étaient belles. La plus jeune avait des cheveux blonds très longs et la peau bronzée. Ses yeux bleus lui donnaient un regard d’ange mais sa bouche trahissait des cris de petite diablesse. Sa poitrine développée ne pendait pas. Bien hauts et ronds, ses seins ressemblaient à deux beaux et gros melons. Ses mamelons se finissaient par deux jolis tétons bien dressés par l’excitation des caresses.Malgré quelques kilos en trop qu’on remarquait sur son ventre, elle était plus pulpeuse que grosse. Ses fesses bien charnues en étaient d’ailleurs le résultat et semblaient très appétissantes.La seconde, qui devait être légèrement plus âgée, avaient une poitrine plus petite mais tout aussi enivrante. Ses tétons était plus gros et plus long que sa copine. Blonde aussi, elle avait plus de poils pubiens que son amie. Elle était aussi plus bronzée Sa taille fine et son ventre plat rajoutaient à sa beauté un charme fou.Je vis les deux demoiselles mettre chacune sa main sur le vagin de l’autre. Elles se caressaient mutuellement. Puis, la plus jeune se pencha vers sa copine et lui embrassa les seins. Elle mordillait les deux tétons dressés. Elle les suçait avidement. La seconde sous les caresses gémissait de plus en fort. Elle prenait beaucoup de plaisir.
Par la suite, la cadette s’allongea sur le dos et écarta les jambes. Je vis une chatte toute lisse, dénouée de tout poil. Elle appelait aux caresses. Son regard mutin et son corps de jouvencelle la rendait tellement désirable.L’aînée ne se fit pas prier. Elle vint placer sa tête entre les cuisses de sa compagne. Tout en écartant délicatement les lèvres, elle y plaça sa langue et commença à la lécher de tout son long. Elle s’attardait sur son petit clitoris. Elle aimait aussi la pénétrer littéralement avec sa langue. Toutes les deux devaient ressentir une certaine extase car leurs corps bougeaient au rythme de leurs cris de plaisir.
D’où j’étais, je voyais tout. Je bandais comme un âne. A moins de cinq mètres d’elles, avec les cris qui devenaient de plus en plus fort, je ne pouvais pas m’empêcher de me branler. Au beau milieu de mes caresses frénétiques, je vis que je n’étais pas le seul à observer le spectacle. Un homme de 50 ans environ admirait nos deux tigresses.Nu aussi, sa queue était bien plus grosse et grande que la mienne. Je n’en n’avais jamais vu d’aussi imposante. Elle dépassait facilement les 25 cm. Cheveux grisonnants, la peau bien bronzée sans marque de maillot et avec des poils sur le torse, il était à la fois terriblement viril et séduisant. Il me regarda, me sourit et disparu.Je fus surpris tout d’abord par sa présence et sa disparition subite. Mais je retournais très vite au spectacle que m’offraient ses deux demoiselles.Elles avaient inversé les rôles. La plus jeune avait maintenant la tête entre les jambes de l’autre. Toute aussi adroite, elle lui donnait du plaisir, beaucoup de plaisir.
C’est alors que l’homme réapparu. Il n’était plus en face de moi mais juste sur ma gauche. Je voulu m’enfuir. Mais il m’était impossible de laisser ce spectacle de deux belles filles qui se gouinent.Son sexe à côté du mien rendait ma verge ridicule. Il me sourit de nouveau et se caressa tout comme moi. J’étais troublé.Les filles nous virent mais ne s’arrêtèrent pas pour autant. La plus fine se mit alors à quatre pattes, les fesses bien en face de nous. Son amie se releva. Tout en nous regardant nous branler, elle fit le tour de ce petit cul et vint installer sa tête en dessous pour pouvoir continuer à lui lécher sa belle chatte. Les deux filles étaient toutes mouillées. Tout en suçant le clitoris de la plus vieille, elle se caressait la vulve devant nous. On voyait bien la cyprine couler des deux vagins détrempés. Mais, on ne pouvait pas non plus ignorer à la fois le petit cul musclé de l’une et les gros seins de l’autre. Aux combles du bonheur, tout en se rapprochant de moi, l’homme  me parla.
"Le spectacle te plaît ?-Bien sûr et à vous ? Lui répondis-je-tu peux me tutoyer tu sais. Moi c’est Philippe et toi ?-Moi c’est XXX.-Tu aime te caresser devant elles ? Me demanda-t-il.-oh oui monsieur… Pardon Philippe.-Tu aimes que je me caresse avec toi ?-Vous… Euh... Tu fais ce que tu veux. Lui dis-je alors tout en continuant de me branler en me régalant du spectacle.-Je vois que t’aimes ça petit coquin. Tu veux toucher ?"
Et là, à moins d’un mètre des filles, il prit ma main libre et la posa sur son sexe dur. Je n’osai pas la retirer. La peur et l’excitation me paralysaient.Les filles devenaient alors spectatrices. Elles étaient maintenant assises en face de nous, l’une caressant l’autre et réciproquement. L’homme mit alors sa main sur mon sexe et commença à me branler. Il m’ordonna de faire pareil. Je m’exécutai bien sagement. Les filles gémissaient. Elles ne lâchaient pas du regard nos sexes caressés par la main de l’autre. Philippe aussi commençait à pousser des petits cris. J’avais du mal à tenir son énorme verge dans ma main. Mais tant bien que mal, j’exerçais des va et vient réguliers qui ne le laissait pas indifférent. De mon côté aussi j’éprouvais du plaisir. C’était la première fois que quelqu’un d’autre que moi me touchait le sexe. J’aurai préféré une femme mais la sensation n’était pas désagréable ; bien au contraire.L’homme accéléra alors son mouvement. Je l’imitai. Je sentais tellement la jouissance venir que j’avais du mal à me tenir sur mes jambes. Les filles continuaient leurs caresses. Je pouvais distinguer trois doigts pénétrer le sanctuaire de la plus fine et quatre dans celle à la plantureuse poitrine.L’homme criai de plus en plus fort. Moi aussi, j’avais du mal à refréner mon plaisir et je le branlais de plus en plus fort. "OUI... OUI... vas-y ...OUI... CONTINUE MON MIGNON...PLUS VITE ENCORE !!!!!" Me suppliait-il. D’un seul coup il éjacula. La dose de sperme était vraiment très importante. Les jets jaillirent tellement fort que cela arriva jusque sur les seins de la plus jeune que son amie lécha tout de suite. Puis elles s’embrassèrent pour partager le nectar.Sur cette image, je jouis à mon tour. Philippe réceptionna alors mon jus dans sa main et l’amena vers sa bouche. Il lécha ses doigts et avala mon sperme. Il me remercia pour cette "dose de vitamine «et me complimenta sur son goût. Les filles sourirent et rigolèrent. J’étais honteux. Je rougis vivement. Je pris mes affaires et détala vers la Villa où ma tante devait être rentrée.

 Catherine sera-t-elle là ? Va-t-elle remarquer mon émoi ? Comment vais-je pouvoir accepter tout ce qui vient de se passer ? Vous le serez dans le prochain chapitre...
Si l’Histoire vous plait n’hésitez pas à voter et à laisser des commentaires.   
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