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Itinéraire d'un voyeur

Chapitre 6

On se dit tout

Voyeur / Exhibition
Chapitre 6 : On se dit tout.
Après avoir vécu cette expérience inédite dans les dunes, je remontais au pas de course vers la villa. Je n’en revenais toujours pas de ce que je venais de vivre. Voir ces deux filles faire l’amour devant moi m’avait émoustillé. Mais le fait que je me laisse toucher par un autre homme me troublait davantage.Étant vendredi après-midi, Catherine se trouvait à la maison. Je la rejoignis dans la véranda.Elle était assise dans son fauteuil en osier (le même que dans le film Emmanuelle). Elle portait une chemise en jeans de mon oncle avec les trois boutons du haut ouverts. Son décolleté n’en était que plus pigeonnant. Je restais pantois pendant quelques secondes devant cette vue.En bas, le jambes nues me firent penser qu’elle ne portait rien sous sa chemise. Dans cette tenue, elle était très belle.
Bronzée, bien coiffée, légèrement maquillée et quelque peu dévêtue, j’aurais du être aux anges en la regardant. Mais le choc de cette main d’homme qui avait toucher mon sexe me bloquait littéralement.
Ma tante remarqua mon désarroi et en se levant elle me questionna.
" Que t’arrive-t-il ? Tu es tout en sueur ?    • Rien Cathy, ça doit être la chaleur, je suis rentré trop vite peut-être.    • Est- ce ma tenue qui te donne si chaud ? Ne t’inquiète pas je porte mon bas de maillot.
Elle sourit et leva sa chemise pour que je puisse constater que c’était la vérité.
    • Non ce n’est pas ça qui me chagrine ; bien au contraire tu es comme à ton habitude ravissante et très belle. Me surpris-je à lui répondre.    • Alors dis-moi mon chou ; que t’arrive-t-il ? On peut tout se dire tu sais.    • C’est gênant....    • Il n’y a pas de gène entre nous tu le sais bien. En disant cela elle me rassurait un peu.    • C’est que heu…. Enfin je ne sais pas... Balbutiais-je
    • Vas-y n’est pas peur."
Elle me prit par le bras et me fit asseoir sur le canapé en osier assorti au fauteuil. Elle s’installa à mes côtés.Je n’osais pas soutenir son regard. Aussi pour lui expliquer, j’égarais mes yeux dans son décolleté qui était vraiment beau et équivoque aujourd’hui.Je pris mon courage à bras le corps et lui expliquais tout sans parler de ma motivation « voyeuristique ». Je lui annonçai mon envie d’aller bronzer sur la plage naturiste. Que pour manger je m’étais installé dans les dunes. Je revins sur les cris des demoiselles et sur leur scène de sexe endiablée.Catherine m’écoutait très attentivement. Surtout quand j’allais dans les détails. Je voyais ses jambes se serrer, se desserrer, se frotter l’une contre l’autre et sa bouche s’entrouvrir. Mon récit ne la laissait pas insensible.J’arrivais à la partie avec l’homme. Je lui énumérai le fait que l’on se soit caressé en les regardant. Puis, malgré toute mon hésitation, je lui expliquai qu’il m’avait branlé et m’avait "forcé" à le lui faire également. Je lui avouai que j’avais joui et que l’homme aussi.
Une fois mon histoire terminée, elle prit la parole.
    " Bah dit donc ! Sacrée après-midi ! Dit-elle en souriant.    • Ne te moque pas de moi tata. Je suis dégoûté de ce que j’ai fait.    • Pourquoi ? N’as-tu pas aimé voir ses filles ? Me demanda-t-elle.    • Oui    • N’as-tu pas aimé te caresser devant-elle ?    • Oui    • Enfin, n’as-tu pas aimé le faire à plusieurs ?    • Oui, mais..."
Elle me coupa la parole et me rassura.
    "Tu as peur d’être gay c’est ça ? Tu sais ce n’est pas parce que tu prends du plaisir avec un autre homme que tu n’aimes pas les femmes et vice versa.    • Ah bon ? T’es sure ? La questionnai-je.    • Oh oui, fais moi confiance. Tu sais ce n’est pas parce qu’on mange de la viande qu’on aime pas le poisson ; surtout la morue."
Cette métaphore me surpris et m’amusa. Malgré mon âge, je comprenais vaguement ce qu’elle voulait dire. Nous rigolâmes à l’unisson. Cependant au bout de quelques minutes, des larmes commençaient à couler sur mes joues.
Catherine vit mon trouble. Elle voulut me réconforter. Elle me serra dans ses bras et m’embrassa sur le front. Sentir sa voluptueuse poitrine contre mon torse me redonnais du baume au cœur. Mais je ne le fis point voir. Je voulais en profiter encore.
    "Dis-moi mon cœur, tu as l’air de vraiment t’inquiéter. Mais rassures toi plusieurs choses montrent bien que tu aimes les femmes. Le fait que tu m’espionnes tout le temps…Que tu essaies de voir sous mes jupes… Que tu te caresses quand je fais le ménage… Que tu te caches dans ma chambre quand je me change… Quand je me touche…Tout ça se sont des signes."
Ces derniers mots me clouèrent sur le canapé. Je ne savais pas comment réagir et je me sentais honteux. Je ne savais plus où me mettre. Je commençais à rougir. Ma tante sentit cette gêne.Et pour ne pas me mettre dans l’embarras elle reprit immédiatement la parole.
    "Ne t’en fais pas. C’est normal à ton âge. Tu deviens un homme. Tu te cherches et je dois avouer que ça ne me déplaît pas de plaire et de me montrer à un si beau jeune homme. Ne t’inquiète pas ce sera notre secret. Dis-moi mon chou est- ce que tu veux que je te prouve que tu aimes les femmes…Que tu aimes ta chère tata ?"
Cette dernière question me stoppa nette dans mon raisonnement. Moi qui cherchais des bonnes excuses. Je restais muet. Mais, timidement, je fis quand même un oui de la tête hésitant.
    "Allé ! Ne fais pas ton timide. Souris moi ! Et dis-moi oui ma tata chérie !" M’ordonna-t-elle.
Je me redressai. Je bloquai mon regard dans le sien et il sortit de mes lèvres un "oui tata" fort et clair.
Alors, elle se leva et vint se placer juste devant moi. Elle déboutonna sa chemise et la laissa tomber au sol. Je la voyais dénouée de haut. Juste habillée de son bas de maillot rouge. Elle me laissait regarder ses seins. Elle m’y autorisait officiellement.Sa peau bronzée laissait bien apparaître la marque du maillot autour de sa poitrine. Voir ses deux gros globes libérés me fit sans attendre de l’effet. Elle avait vraiment une poitrine magnifique qui malgré ses 46ans restait bien haut placée. Ses tétons se dressaient fièrement. Elle semblait elle aussi apprécier ce moment. Elle se caressa naturellement et machinalement ses mamelons bien foncés pour qu’ils durcissent davantage.    "Alors...Dis moi ça te plaît ? Dit-elle.    • Oh oui ! Oh oui tata. Tu es vraiment très belle.    • Je sais que tu aimes me regarder. Vas-y profite mon neveu adoré. Regardes chez le voisin tu n’es pas le seul à aimer me reluquer"
je fis ce qu’elle me demanda et je regardais vers chez le voisin. Je le vis à sa fenêtre. Il était nu et lui aussi regardait ma tante. Il avait sa bite à la main et se caressait sans se cacher. Il était plutôt gros et pas très beau. Mais je dois avouer que son sexe paraissait être plutôt grand et surtout très gros. Sa main n’en arrivait pas à y faire le tour.
    " On va lui faire plaisir à notre cher voisin et à nous aussi. Dis moi mon cœur, tu veux les toucher ?" Elle me demanda ça en prenant ma main gauche et en la déposant sur son sein droit. Je me retrouvais maintenant debout, face à ma tante, entrain de la peloter. J’avais l’impression de rêver.Je n’en revenais pas. Je mis naturellement ma seconde main sur le droit. Machinalement je commençais à les caresser, les pétrir. J’étais aux anges. Ma queue durcissait comme jamais dans mon bermuda. Je jouais avec les extrémités. Je les faisais rouler entre mes doigts tout en regardant notre voisin se toucher devant ce spectacle.j’avais de plus en plus de mal à dissimuler mon excitation. Ma tante ne tarda pas à le voir et elle me demanda dans un soupir de plaisir de retirer mon short et de sortir mon sexe à l’air libre.Je ne me fis pas prier. J’obéis immédiatement. Je me retrouvais nu devant ma tante. Je savais que je n’avais pas un aussi gros sexe qu’un homme d’expérience et j’avais peur de la décevoir. Mais, elle posa directement son regard sur ma verge dressée, prête à exploser. Et avec un grand sourire, elle déposa sa main droite sur mon engin. Commença alors une douce branlette qui me transportait vers des plaisirs dont j’ignorais jusqu’à lors l’existence.Je remis mes mains sur sa grosse poitrine et repris mes palpations avec beaucoup d’application. Elle aussi semblait vraiment prendre du plaisir. Ces gémissements se transformaient en petits cris étouffés, en râles de bonheur.
    "hummmm oui  mon chéri, masses les biens...Oui comme ça c’est bon.. Vas y délicatement... Hum oui, tu aimes ce que je te fais en même temps. Tu vois c’est mieux qu’une main d’homme. N’est ce pas ?...Oui continue vas y mon cœur..." Elle me disait ça tout en se retournant pour regarder son voisin qui ne ratait rien du spectacle.Mes mains prodiguaient des cercles réguliers sur l’ensemble de sa poitrine. J’aillais de haut jusqu’en bas, puis je remontais encore pour arriver à ces deux tétons bien bandés et tout durs.Une envie me prit et j’approchai ma bouche. Ces mamelons se retrouvèrent à quelques millimètres de mes lèvres. Alors, elle s’avança et je ne pus m’empêcher de les embrasser.En guise de réponse de Catherine, j’entendis des gémissements de plaisir. J’en pouvais plus, je sentais la jouissance monter dans tout mon corps. Je regardais le voisin à sa fenêtre tout en mangeant littéralement les gros seins de ma si belle et pulpeuse tata. Je m’amusais à les téter comme un bébé. J’aurai aimé que du lait en sorte, j’aurai tout bu. Sous ses mains expertes je ressentais de plus en plus de mal à rester sur mes jambes.
    "Oh oui Catherine, c’est trop bon! Hummm je sens que je vais venir..Oui humm oui!!!    • Vas-y mon chou, oui donne tout à ta tata dévouée... Vas-y ne te retiens plus . J’aime qu’on jouisse pour moi, grâce à moi...Vas-y!" Me Supplia-t-elle.
Et là, la délivrance arriva. J’éjaculai de longs jets de spermes tout en poussant de grand cris de jouissance. Ma tante s’abaissa pour recueillir ma semence. Elle se retrouvait avec plein de foutre sur ses seins pulpeux. Elle les massa alors pour y faire pénétrer ce liquide si particulier tout en regardant la fenêtre de la maison d’à côté. Le voisin éjacula à son tour et disparu aussitôt. Enfin, elle lécha ses doigts et me parla.
    "Merci mon doux neveu pour cette crème antirides. Alors tu vois, tu as apprécié. Es-tu rassuré ?    • Oh oui Catherine c’était trop bon. Merci beaucoup. Comment pourrais-je te remercier ?    • En ne disant rien à Bernard. Il est très ouvert d’esprit mais je ne pense pas qu’il soit d’accord sur le fait que j’ai branlé le fils de ma sœur. ça doit rester entre nous.    • Bien sur . Lui dis-je. Je serai muet comme une tombe.    • OK c’est bon alors. Je vais me laver. M’informa-t-elle. Rhabille toi, ton Oncle ne va pas tarder." Je pris la direction de ma chambre pour me changer et repenser à ce qui venait de se passer. Je m’assoupis et rêva de cette après-midi inoubliable.
Vers 20h Bernard vint me réveiller et me salua. Il me demanda si j’avais passé une bonne semaine. Je ne pu m’empêcher de lui répondre que c’était les meilleures vacances de toute ma vie. Il fut étonné par mon enthousiasme mais il était ravi pour moi. Nous mangeâmes tranquillement. Je ne pouvais m’empêcher de regarder ma tante. Elle aussi me faisait des petits sourires. Après le souper, ils allèrent s’isoler dans leur chambre et moi dans la mienne. j’entendis les cris de jouissances de mon Oncle et ma tante. J’imaginais que j’y étais pour quelque chose.Je me caressai de nouveau pour jouir rapidement. Puis, la tristesse commença à arriver. En effet, le lendemain c’était ma dernière journée. Mon père venait me chercher à 19h00 le samedi.
Je pensais avoir vécu la meilleure expérience de ma vie. Ce n’était sans connaître ce qui allait se passer lendemain. A suivre dans l’ultime chapitre de ses vacances inoubliables.
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