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Jacuzzi entre collègues

Chapitre 1

Histoire médaillée
Lesbienne
Anna et moi, on travaille ensemble depuis 3 ans. Sur le papier, je suis sa chef mais le fait que nous avons presque le même âge, moi 25, elle 24, rend nos rapports beaucoup plus amicaux que professionnels. Nous sommes consultantes pour un grand cabinet et partons souvent en déplacement chez nos clients. Des horaires de fous chaque semaine alors heureusement que l’ambiance est bonne entre nous sinon ça ne serait pas tenable.

L’un des avantages de notre métier, c’est qu’on avait souvent l’occasion de séjourner dans des hôtels très sympas. Surtout en province où, grâce au coût moins élevé, on pouvait choisir des 3 ou 4 étoiles.
C’était le cas cette semaine là en Alsace. Un petit hôtel familial qui avait choisit un positionnement haut de gamme. Un super spa et certaines chambres façon suite avaient leur propre jacuzzi. Le spa fermait à 19h, l’heure à laquelle on partait de chez notre client, mais j’ai eu la chance d’être surclassée et d’avoir une suite avec jacuzzi.
Au milieu de la semaine, on avait déjà enchaîné les journées chargées et on voulait s’offrir une petite soirée détente. J’ai donc proposé à Anna qu’on se fasse livrer notre dîner dans ma chambre et qu’on profite toutes les deux du jacuzzi.
Appel au room service où on m’annonça que le repas serait livré 30 minutes plus tard. Juste le temps qu’il nous fallait pour remplir le jacuzzi et faire une première trempette.
Anna alla dans sa chambre pour enfiler son maillot pendant que je faisais de même en surveillant le remplissage du jacuzzi. Elle réapparut vêtue du peignoir de l’hôtel, qu’elle accrocha dans la salle de bains.
Mes yeux ne pouvaient pas se détacher de son corps. C’est la première fois que je la voyais aussi dénudée. Je savais que c’était une belle femme mais je n’avais jamais vu ses courbes aussi distinctement. Une poitrine merveilleusement mise en valeur, une chute de reins à tomber, des fesses bien galbées. Je ne suis pas complexée par mon corps, mais en la regardant, j’étais un peu jalouse. Mes seins étaient plus gros que les siens mais elle était plus élancée que moi. Heureusement qu’elle était occupée à régler l’intensité des bulles du jacuzzi, elle ne m’a pas vue détailler sa plastique.
Toc, toc, room service. J’ai ouvert au serveur qui nous déposa les plateaux sur la petite table de la chambre. J’ai appelé Anna qui n’avait pas pu attendre et s’était glissée dans le jacuzzi. Alors que je rapprochais deux fauteuils pour que l’on s’installe à table, elle apparut vêtue du peignoir.
"- J’ai enlevé mon maillot, sinon je vais tremper leur fauteuil."
On dîna l’une en face de l’autre, une salade en entrée, puis des brushettas. Pas très local, mais on avait voulu faire léger pour savourer un délicieux moelleux au chocolat en dessert. Le tout avec une bonne bouteille de Pinot blanc. On a parlé de tout et de rien. Au fur et à mesure du repas, son peignoir s’ouvrait me donnant une vue de plus en plus large sur sa poitrine. J’étais vraiment troublée mais j’essayais qu’elle ne s’en aperçoive pas. Même si on se connaissait plutôt bien, il y a un sujet dont nous n’avions jamais parlé ensemble, c’était notre vie amoureuse. Elle n’avait jamais évoqué quoique ce soit et par pudeur, je ne lui avais jamais posé de questions ou raconté la mienne.
Une fois le repas terminé, nous avions hâte de profiter du jacuzzi. J’ai emmené le reste de notre bouteille et mon verre pour les poser sur le bord du jacuzzi et me suis plongée dans le bain bouillonnant. La température était idéale. Ne voyant pas Anna arriver, je lui demandai ce qu’elle faisait."- Attend, j’ai oublié mon téléphone dans ma chambre, je vais le chercher, j’ai une playlist super pour mettre l’ambiance."
Je me suis alors allongée complètement dans le jacuzzi et ai fermé les yeux pour profiter de ce moment de décontraction. J’avais en tête les courbes d’Anna. Jamais je n’avais regardé une fille comme ça. Jamais je n’ai même imaginé des choses avec une fille. Mais à la voir ainsi, je pensais à poser mes mains sur elle pour caresser ses courbes, sa poitrine, ses hanches, ses fesses, et tout cela me mettait dans un état d’excitation sur lequel je n’avais pas tellement de maîtrise.

Lorsqu’elle rentra dans la salle de bain, j’étais encore dans mes rêveries."- Tu dors ?, me dit-elle."- Presque.", lui répondis-je en riant.
Elle lança la playlist, des musiques douces, genre relaxation, elle baissa l’intensité lumineuse des spots et rentra dans l’eau. Je sentis ses jambes frôler les miennes."- Eh Marie, t’es gentille mais tu prends un peu trop de place là", dit-elle en rigolant.Je me redressai un peu et rouvrit les yeux pour attraper mon verre et boire une gorgée de vin. Et là, mes yeux tombent sur les seins d’Anna."- T’as pas oublié un truc là ?— Oh écoute, on est entre filles non ? T’as déjà renfilé un maillot mouillé ? Alors bon...— D’accord, ca me gêne pas, mais déjà que c’est mon premier bain avec une fille, je pensais pas que tu serais nue en plus.— Si tu veux que ce soit équitable, t’as qu’à enlever ton maillot aussi. De toute façon avec les bulles, on voit rien à travers l’eau."
C’était vrai. J’ai rapidement pesé le pour et le contre et j’ai enlevé mon maillot. On riait ensemble de la situation et on a trinqué à notre soirée. Il n’était pas encore 21h, on avait le temps d’en profiter. On finit tranquillement de boire nos verres, chacune plongée dans ses rêveries, totalement détendues dans cette atmosphère chaude et douce, avec cette musique qui nous berçait. Au bout de 20 minutes, je dis en rigolant à Anna : "- Il faut qu’on fasse quelque chose parce que sinon on va s’endormir là-dedans et on va se noyer.— T’as raison. Action ou vérité, ça te dit ?— Ca fait longtemps que j’ai pas joué à ça, depuis mon dernier voyage scolaire au lycée en fait. Mais pourquoi pas.— Vas-y, commence.— Vérité.— À quel âge as-tu couché pour la première fois ?— 16 ans. Et toi ?— 19, c’était pendant des vacances, j’ai jamais revu le gars. À moi, action."Je ne savais pas quoi lui demander. J’avais peur de la choquer. Finalement, je lui dis :"- Masse moi le dos pendant 2 minutes."
Je me tournais donc dos à elle, elle posa ses mains sur mes épaules et commença à me masser la nuque. Elle descendit ensuite le long de ma colonne vertébrale jusque sur mes reins et remonta lentement sur les côtés. Le bout de ses doigts effleurèrent mes seins. Puis elle revint sur les épaules et recommença plusieurs fois jusqu’à me dire :"- C’est bon, ça fait 2 minutes ?— J’aurais dû te dire plus longtemps, c’était très agréable, j’adore qu’on me papouille. — À toi alors.— Vérité.— Encore ? Bon, qu’est-ce que tu préfères que ton mec te fasse au lit ?— T’es cash dans tes demandes dis moi... Si je dois choisir, le cunni, j’adore ça.— Je valide, j’adore ça aussi, quand c’est bien fait. Tu sais ce qu’on dit d’ailleurs ? Les hommes qui disent que leur femme est frigide sont de mauvaises langues !— Pas mal, je la ressortirai à l’occasion. À ton tour.— Je change, vérité.— Avec combien de mecs as-tu déjà couché ?— Alors...3... attends, non, 4. Et aussi avec une fille."
J’étais surprise, elle l’a vu sur mon visage alors elle a précisé :"- Oui, c’était avec une copine, c’était pas prévu. Je suis allée dormir chez elle, on a partagé son lit, on a discuté jusque tard dans la nuit et quand on a décidé d’éteindre pour dormir, on s’est rapprochées pour se faire un câlin et c’est parti en sucette. On s’est embrassées et on a fait l’amour.— Tu la vois toujours ?— Non, plus beaucoup, elle a déménagé mais on est toujours en contact. Avant qu’elle parte, on se voyait très souvent mais on a couché ensemble que cette fois-là. On a pas regretté ni rien, mais disons que c’étaient les circonstances qui nous avaient amenées à ça et on a jamais reparlé de le refaire. Bon à toi, action ou vérité ?— Vérité.— Marie, c’est le dernier tour où j’accepte une vérité de ta part, va falloir changer ! Quel est l’endroit le plus insolite où tu aies fait l’amour ?— Ben, tu sais, je suis plutôt dans le classique, lit, douche aussi. Mais une fois, on a fait l’amour avec mon copain au fond du jardin chez ses parents.— Intéressant, ils étaient là ses parents ?— Ils étaient dans la maison oui, mais ils ne pouvaient pas voir là où on était.— Bon, ben, raconte, faut vraiment te tirer les vers du nez !— Ca s’est passé assez vite, on était parti ramasser des framboises et mon chéri en a profité pour me prendre dans ses bras, passer sa main sous ma jupe. Il a ouvert son pantalon, m’a retourné contre un arbre et m’a fait l’amour. En bonus, il m’a confisqué ma culotte avant de retourner à l’intérieur !— J’imagine la situation, nue sous ta jupe avec ses parents à côté... À moi, vérité.— Qu’est-ce que tu ressens avec notre petit jeu ?— Hmmm, je dois dire que je ne te voyais pas coquine, en fait j’avais jamais imaginé quoi que ce soit à ce sujet à ton égard. Et pour ce que je ressens, pour être honnête ça m’excite un peu."
Elle rougissait en disant ça mais elle me semblait parfaitement à l’aise. La fatigue, le vin, cette ambiance, c’était étrange, je n’avais pas l’impression d’être tout à fait moi, et je pense que c’est ce qu’elle ressentait aussi. Elle continua :"- À toi, action, tu n’as pas le choix. Caresse toi les seins et simule un orgasme.— T’y vas fort là ! Je sais pas simuler de toute façon, ça va être nul. Bon j’essaie."
J’ai posé mes mains sur ma poitrine et ai commencé à me caresser, à venir titiller mes tétons. J’ai fermé les yeux, je ne pouvais pas voir Anna en train de me regarder faire ça. Ensuite, j’ai commencé à faire quelques gémissements, un peu façon film porno mais encore moins réaliste. Vraiment, simuler c’était pas mon truc. C’est alors que j’ai senti le pied d’Anna glisser contre ma jambe et venir se poser entre mes cuisses. Pendant un instant, elle s’arrêta, voulant sans doute juger de ma réaction, puis elle commença à remuer ses orteils sur mon pubis. Mes gémissements devinrent plus naturels, normal, je n’avais plus besoin de simuler, la caresse d’Anna commençait à m’électriser. Elle plaça son gros orteil en haut de ma fente et descendit le long avant de remonter et de faire comme des petits ronds sur mon clitoris. Je gémissais sans simuler, toujours en me caressant les seins.
"- C’est pas mal me dit-elle, t’avais juste besoin d’un peu d’aide", dit-elle en arrêtant son petit jeu. J’étais pleine d’excitation, je ne voulais pas qu’elle arrête, je voulais qu’elle me fasse jouir. Elle me regardait d’un air satisfait, les yeux pétillants de coquinerie. Elle me dit : "- A moi, action !— Finis ce que tu as commencé alors", lui ai-je répondu.
Elle s’approcha de moi, posa sa main sur ma chatte et commença ses caresses. Rien à voir avec les caresses d’un homme, une douceur incroyable dans ses gestes. Elle glissait ses doigts entre mes lèvres, venait titiller mon petit bouton qui grossissait au fur et à mesure, et s’arrêtait chaque fois qu’elle sentait que j’étais prête à décoller. Lorsqu’elle l’eût décidé, elle resta sur mon clitoris et accélérant sa caresse m’emmena vers un orgasme profond. C’était la fin de notre petit jeu. On s’est regardées, j’ai posé mes mains sur ses hanches et on s’est embrassées."- Vient, on sort", me dit-elle
On enfila chacune un peignoir et elle m’entraîna sur le lit.
À suivre...
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