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Jasmine : princesse et salope

Chapitre 2

Hétéro
Suite :
Le génie enlève son doigt, se redresse et sors son sexe. Un membre imposant, long, large et très dur. Maitresse Rose regarde avec délectation la superbe queue pendant que Jasmine, horrifiée par ce qui se prépare, se cache les yeux.
Sans sommation et en ayant tout juste craché dans sa main pour lubrifier sa queue, le génie enfonce son gland dans l’anus déjà bien ouvert de l’esclave et commence à l’enculer puissamment. Les cris qu’il lui arrache sont autant dû au plaisir qu’à la douleur car le génie est large et bourrin.
Cette peste de Jasmine, dans sa tenue de princesse bleue qui met si bien en valeur ses hanches et sa poitrine, et maîtresse Rose, dans sa tenue de salope dominatrice… Tout cela l’avait énormément excité et il se vengeait et se soulageait avec cette jeune trainée, fille de bourgeois. Il ne lui fallut pas plus de cinq minutes pour jouir et remplir le cul de la belle. Il sortit ensuite d’elle, se plaça juste devant sa bouche pour qu’elle nettoie sa queue souillée puis la laissa ainsi à quatre pattes, essoufflée, l’anus grand ouvert pour aller se rassoir à côté d’une Jasmine médusée et choquée.
— Vous m’avez convaincu ! dit le génie, apaisé. Mon esclave se présentera dès demain pour assister à vos cours. J’ai hâte qu’elle devienne aussi obéissante et douée que votre élève.— Magnifique ! répond Rose, enthousiaste. Mais je dois vous prévenir… Autant les cours pour débutants sont abordables, autant ceux plus élaborés nécessiteront un certain budget.— Je comprends tout à fait. Si mon esclave doit travailler pour payer ses cours, elle le fera. Pas vrai ? demande-t-il à Jasmine.— ….— PAS VRAI ? répète-il en montrant sa puissante main prête à la gifler.— Oui… « maître ». Je travaillerai s’il le faut.— Voilà qui est bien. — Alors marché conclu ! dit Rose avec joie.
Puis se tournant vers l’esclave toujours à quatre pattes au sol :
— Relève-toi, mon enfant. Tu as fait du bon travail, tu mérites une récompense.
Alors que l’esclave se relève, maîtresse Rose se saisi d’un superbe verre de cristal, signe d’une grande richesse pour cette époque reculée du moyen-âge oriental, et le place sous les fesses de la jeune fille. Elle lui demande de se cambrer vers l’arrière pour bien dégager son anus et permettre un meilleur écoulement du liquide blanchâtre qui commence à suinter. Un flot imposant commence à remplir le verre, aidé en cela par l’esclave qui pousse pour expulser la moindre goutte de sperme de son colon.
Alors que la dernière goutte tombe dans le verre à moitié rempli, Rose enfonce sa tête entre les deux fesses de son élève et lui lèche goulument son anus souillé et son sexe baveux. Puis elle se relève et déclare :
— Monsieur à bon gout… Tant pour choisir ses esclaves que pour sa semence…— Merci !— De rien… Tiens, mon enfant, goutte à ce précieux breuvage qui te redonnera des forces.
Elle tend alors le verre à la jeune fille qui boit le sperme par grosses gorgées, en fermant les yeux, comme s’il s’agissait d’un vin fin provenant de la lointaine Grèce.
— Alors ? demande-t-elle à l’esclave — Monsieur a effectivement très bon gout, déclare la jeune élève en baissant les yeux. Il peut venir m’abreuver avec quand il le souhaite.— Excellente éducation, chère maitresse Rose, dit le génie en se levant. Totalement soumise mais prenant tout de même des initiatives perverses. C’est exactement ce que je veux pour mon esclave !— Je m’y attèle dès demain. Au revoir cher monsieur.
En sortant de l’école, Jasmine resta silencieuse, résignée sur le fait qu’elle allait suivre ce type d’éducation. Le génie, qui la trainait toujours par une chaine attachée à son cou, décide de se promener en ville pour voir les employeurs susceptibles de faire travailler Jasmine.
— Pourquoi devrais-je travailler ?? Jafar te donne tout l’or dont tu as besoin !— Parce que le travail t’apprendra à obéir ! A respecter les ordres ! Et parce que Jafar ne me donne que le strict nécessaire… Si tu veux améliorer ton quotidien, tu devras donner de ta personne, Princesse…
Il proposa à un marchant qu’il embauche Jasmine comme vendeuse de temps en temps et convainc un tavernier de la prendre comme serveuse, sous réserve qu’elle ait la tenue adéquate et un minimum de compétences dans ce domaine.
Il était déjà tard lorsqu’ils rentrèrent dans leur modeste maison. Alors que Jasmine c’était retirée dans sa chambre, le génie frappa à sa porte. A sa grande surprise, Jasmine accepta de le faire entrer sans protester.
— Que me voulez-vous, encore ? demanda-t-elle sur un ton malgré tout agressif.— Ecoutez, Jasmine, commença le Génie en la vouvoyant. Je veux que les choses soient claires. Vous n’êtes plus la princesse d’Agrabah mais vous pouvez en devenir la Sultane. Il vous suffit de devenir aimante ou au moins obéissante envers votre maître. — Envers Jafar, ce chien ?? JAMAIS !

— C’est justement pour cela que Jafar a fait appel à moi… Vous refusez obstinément de vous soumettre à lui et il déteste ça.— Je ne me soumettrai jamais à ce batard, ce traitre ! — Dites-vous que pour l’instant, c’est moi votre maître. Vous me devez une obéissance totale. Et si je ne l’obtiens pas, je peux user de tous les moyens ! C’est à vous de voir si vous voulez que cela se passe bien ou pas…
Voyant que Jasmine ne répondait pas, le génie se lève.
— Votre instruction commence demain. Reposez-vous.
Le lendemain, Jasmine fût conduite à l’école des courtisanes. Maîtresse Rose la pris en charge pour la journée. Le génie en profita alors pour aller sonder les rues d’Agrabah afin de connaître la popularité de la Princesse. Comme il le pensait, tous l’adoraient, feraient n’importe quoi pour elle et tous souhaitaient la mort de Jafar et le retour de l’ancien Sultan. Sa tâche n’allait pas être aisée mais il avait quelques idées en tête pour casser l’image parfaite de la princesse. Car il avait remarqué une chose : le mépris flagrant de la population pour ces filles, esclaves sexuelles, dévergondées et perverses, que les nobles promenaient enchainées. Les gens crachaient au sol sur le passage, leur jetaient des fruits pourris ou les humiliaient quand leur maître les offraient pour quelques instants au peuple. Le génie avait ainsi assisté à une scène à la fois choquante et terriblement excitante où une de ces esclaves, agenouillée nue et enchaînée au milieu d’une ruelle, s’est faite recouvrir de sperme et de crachat par des dizaines de passants. Le génie, lui-même, a finalement participé à la curée en rajoutant une couche de foutre dans la bouche ouverte de la jeune fille.
Le pire est que le maître de cette esclave était venu la récupérer peu après, apparemment satisfait du résultat… Un jour, se promis le génie, Jasmine se trouvera dans cette situation et, surtout, elle aimera ça !
Pendant ce temps, Jasmine découvrait les cours qui allaient faire d’elle une chienne. Ces cours étaient à la fois conçus pour la rendre obéissante et lui enlever toute fierté, toute pudeur. Au programme aujourd’hui : cours théoriques sur le fait de servir avec soin son maître, séance de fessées, deux heures à rester enchainée à quatre pattes au sol… L’après-midi, Jasmine dût, entre autre, regarder une jeune élève se mettre nue et se masturber devant toute l’école. Tous les élèves qui osaient détourner le regard d’elle était durement corrigés.
Quand Jasmine rentra à la maison, elle était cassée et épuisée. Le génie la testa :
— Viens ici, Jasmine.
Elle s’exécuta sans relever le tutoiement.
— Comment c’est passée ta journée ?— C’était horrible… Je ne veux pas y retourner ! Je vous en prie !!— Il le faut pourtant. Voyons si tu as appris des choses… Dorénavant j’exige que tu m’appelles « maître ».— Bien, maître…— Et qui es-tu ?— Jasmine, price…
Une petite gifle vint alors fouetter la joue de Jasmine qui rougit mais ne broncha pas.
— Qui es-tu ?— Votre… esclave…— Très bien… Tu peux aller te coucher, esclave. Demain, tu iras travailler, ton école coute cher.
Jasmine passa la journée suivante à vendre des fruits derrière l’étale d’un marchant, sa robe bleue recouverte d’un modeste manteau gris, le bas de son visage masqué par un voile. Le génie en profita pour continuer son exploration de la ville et découvrit notamment un bordel. Mais il était malheureusement fermé sur ordre de Jafar. Déçu, car il aurait bien aimé se soulager, le génie alla acheter une tenue de serveuse dans une boutique. Cet achat vida sa bourse mais il se dit que servir dans une taverne bien glauque apprendrait l’humilité et l’obéissance à Jasmine au moins autant qu’à l’APJ !
Quand il rentra, Jasmine l’attendait déjà devant la maison.
— Que fais-tu déjà là ?? Il est encore tôt !— Le marchand m’a renvoyé…— PARDON ?!? Et peut-on savoir pourquoi, esclave ?— Un client qui voulait acheter des pastèques a fait une blague sur ma poitrine et m’a… touché les seins… Je l’ai giflé…— Espèce d’idiote !! Si le marchand a accepté de te faire travailler, ce n’est pas pour tes talents de vendeuse mais justement pour tes seins !— Pardon, maître… mais ce manant…. Avec ses mains répugnantes sur moi… Je n’ai pas supporté !— Jasmine… Que tu le veuilles ou non, tu vas devenir une courtisane. Ou pour être plus clair, une esclave sexuelle, une salope, une trainée, un jouet pour ton actuel maître, moi et ton futur époux, Jafar. — Je sais, mais…— SILENCE ! Lève-toi !
Jasmine se leva et baissa la tête. Le génie s’approcha d’elle et posa alors ses mains sur sa grosse poitrine. Malgré qu’il soit son maître, il n’avait encore jamais eu de relation si intime avec elle. Jasmine serra les dents mais ne broncha pas alors qu’il malaxait ses gros seins au travers de son beau haut bleu.— Pourquoi ne me gifles-tu pas alors que je te touche les seins ?— Parce que… vous êtes mon maître…— Alors souviens-toi de ça : ton maître t’ordonne de ne rien dire si des hommes au marché te touchent. Compris ?— Oui, maitre.— Bien, retournons au marché et essayons de récupérer ta place.
Le marchand accepta de reprendre Jasmine et de lui payer sa journée à condition que cela ne se reproduise plus et en aillant, évidemment, palpé lui-même la généreuse poitrine de la princesse.
Les jours suivants, Jasmine retourna travailler au marché et alla une nouvelle fois passer une journée à l’école des courtisanes. Le génie décida de ne pas la brusquer et de gagner sa confiance plutôt que de la forcer à lui obéir. Il ne chercha donc pas à la baiser ou à l’humilier comme il en crevait pourtant d’envie.
Cela faisait une petite semaine qu’il avait été chargé de cette mission par Jafar et la situation se normalisait entre Jasmine et lui. Elle l’appelait systématiquement maître et se nommait elle-même « esclave ». Elle n’était plus jamais agressive avec lui et lui se montrait à la fois ferme et juste. Durant ces journées de travail et d’école, Jasmine appris à ne plus s’offusquer des attouchements ou des remarques des hommes envers elle. Elle comprit qu’en laissant entrevoir la beauté de ses seins ou la rondeur de ses fesses, elle ramenait plus d’argent à son maître qui améliorait considérablement son quotidien, tant pour la nourriture que pour le confort. A l’école, elle sût se familiariser avec la nudité des autres élèves et assumer la sienne. Elle dût, en effet, se dénuder dans sa classe et ses professeurs. Mais, heureusement pour elle, elle n’eut pas à se masturber… Elle en serait morte de honte.
Un soir, dans leur maison, le génie décida de profiter de son esclave. Cela faisait plusieurs jours qu’il la désirait mais se retenait. Bien sûr, il avait pu se soulager dans l’anus chaleureux d’une élève de l’APJ mais il voulait Jasmine. Trois jours d’abstinence allaient prendre fin ce soir, se dit-il !
Il frappa à sa porte :
— Entrez, maître, répondit Jasmine.— Bonsoir. Comment c’est passé ta journée au marché ?— B… Bien, répondit Jasmine en baissant la tête.— Ne me ment pas, esclave, tu me caches quelque chose ! — C’est trop humiliant… — Raconte-moi !— Et bien, c’est le marchant… Alors que je vendais des fruits à un client, il s’est approché et m’a… touché les fesses…— Haha ! C’est tout ? Tu n’as pas à être humiliée pour ça ! Le client t’as vu ?— Non, il me caressait derrière le comptoir… Mais ce n’est pas ça dont j’ai honte…— De quoi alors ?— Il… Il a passé sa main sous mon manteau… Puis dans mon pantalon… Il m’a touché les fesses et a passé sa main entre mes cuisses. Mon dieu…— Et qu’est-ce qu’il y a d’humiliant à ça ??— J’ai… j’ai aimé… dit-elle en baissant les yeux.— Pardon ??— J’ai aimé ses caresses et j’étais excitée…— Tu mouillais ? — Oui… Mon dieu, j’ai honte !!— Il s’en est aperçu ?— Non, je ne crois pas, il n’a pas osé me toucher le… Bref, il a retiré sa main et n’a rien dit…— Alors tu n’as pas à avoir honte. Tu as aimé qu’un homme te touche, quoi de plus normal ?— Mais c’était un sale pervers dégoutant !! J’aurais dû vomir à son contact et non pas être excitée !!— Tu es encore excitée ?— Non, bien sûr que non…— Tu es sûr ? Le fait de repenser à ses mains glissant entre tes fesses alors que tu parles à un client… Sentir ses doigts si près de ton sexe… Sentir ta cyprine couler le long de ta cuisse…— Maître, arrêtez… Vous me gênez… Je…— Esclave ?— Oui, maître ?— Déshabille-toi !— Pardon ?? — Je veux te voir entièrement nue, maintenant !— B… Bien, maître…
Le génie fut agréablement surpris que Jasmine accède si facilement à sa requête. Elle enleva son beau haut bleu, révélant alors une grosse et ferme poitrine, puis baissa son pantalon de soie pour, enfin, s’exposer totalement nue devant son maître. Son sexe était masqué par ses cuisses fermement serrées et par une toison de poils bruns bien taillés mais épais.
— Tu es superbe… Je comprends pourquoi Jafar te veux absolument !— Je ne veux pas parler de lui ! Il me dégoute… C’est… C’est vous mon seul maître… Voulez-vous voir mes fesses, maître ?— Absolument ! répondit le Génie, pris au dépourvu.
Jasmine se tourna alors, présentant un superbe cul rebondit au génie qui sentait une énorme érection déformer son pantalon.
— Elles sont magnifiques. Le marchant a eu de la chance de les toucher.
Jasmine comprit la demande à peine masquée.
— Voulez-vous les toucher, maître ?
Sans se faire prier, le génie empoigna les fesses de Jasmine à pleines mains et les malaxa avec envie. Il se pencha à hauteur du magnifique cul et écarta les globes. Il découvrit alors un vagin humide, avec des poils enduits de mouille et un anus bien fermé mais terriblement attirant.
— Tu me confirme que le marchant ne t’as pas touché ici ?— Non, maître, il ne m’a pas touché. Personne d’autre, d’ailleurs…— Personne ne t’a jamais touché le sexe ??— Grand dieu, non. Je me suis toujours réservée pour mon futur mari. Comme toute Princesse qui se respecte !— Tu es vierge, donc…— Oui…— Je serais donc le premier homme à caresser ton sexe. C’est un grand honneur.
A suivre...
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