Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 161 J'aime
  • 0 Commentaire

Jasmine : princesse et salope

Chapitre 3

Hétéro
Le génie passa son doigt sur la vulve humide de Jasmine et fit rouler son clitoris. Il insista aussi sur son anus mais sans le pénétrer. Il décrivait de petits cercles avec son doigt sur son clitoris et enfonçait parfois une phalange dans sa chatte. Il était le plus délicat possible mais alors qu’il jouait avec son petit bouton rose, un gémissement particulièrement expressif de Jasmine le fit craquer. Il se releva d’un coup, souleva Jasmine et le projeta sur son lit.
— MAITRE ?? Que faites-vous ??
Sans répondre, le génie baissant son pantalon et exposa fièrement son énorme queue à Jasmine qui paraissait horrifiée. Elle replia ses jambes sur elle et l’implora :
— Non, Maître, je vous en prie !!! Pas là, pas comme ça !! Je ne suis pas prête ! Vous allez me déchirer !!
Le Génie se jeta malgré tout sur elle. Il prit ses jambes et les écarta d’un grand coup brutal. Alors qu’il empoignait son sexe, Jasmine commença à pleurer et continuait de le supplier. Les larmes et hurlements de Jasmine, ainsi que son visage plus terrifié que jamais, eurent finalement raison de la bestialité du Génie. Il s’arrêta net alors que son gland effleurait le sexe de la Princesse puis sortit de la chambre sans dire un mot et en claquant les portes, la laissant sur le lit, nue et en pleur.
Il sortit dans la rue, en direction du bordel, fermement décider à défoncer une pute. Il frappa de toutes ses forces à la porte mais aucune réponse ne lui parvint. Sur la porte était affiché un papier :« La maison est fermée sur ordre du Sultan ».
Toujours aussi excité et déterminé à se soulager, le génie erra dans les rues à la recherche d’une esclave offerte par son généreux maître. Mais il était trop tard et ne croisa personne à part des mendiants. Il échoua finalement devant l’APJ et frappa la porte de l’établissement. C’est maîtresse Rose qui lui ouvrit. Elle n’était vêtue que d’une robe de nuit très légère et quasi transparente. Sa robe était négligemment fermée au niveau de sa taille par une ceinture de soie mais restait largement ouverte en haut sur ses seins, et en bas sur ses jambes.
Le génie avala sa salive lorsqu’il l’aperçut et failli éjaculer dans son pantalon.
— Que puis-je pour vous à cette heure tardive ?— Je me demandais si l’une de vos élève était disponible…— Oohh, pas à cette heure, j’en suis navrée… Elles dorment toute ou sont rentrées chez leurs maîtres.— Je vois, veuillez m’excuser.— Vous voulez entrer un instant ?— Avec plaisir.
Rose fit entrer le génie dans son appartement privé. La proximité et la lumière des bougies de son appartement accentuant encore plus la transparence de sa robe et le Génie pouvait contempler la moindre parcelle de son corps.

— Que vous arrive-t-il, Monseigneur ? Votre esclave vous cause des soucis ?— C’est-à-dire… Elle est vierge et c’est refusé à moi ce soir… Je n’ai pas voulu la violer… Ai-je eu tort ?— Non, vous avez eu raison. Cela aurait pu la braquer pour un long moment et ralentir considérablement son apprentissage. D’autant que la première expérience sexuelle est très importante pour une jeune fille, esclave ou pas. Mais du coup, je suppose que vous êtes terriblement frustré ?— Effectivement…— Voyons, je suis sûr que nous pouvons arranger cela…
En prononçant ces mots, Rose avait hotté d’un geste ample sa robe et se montra totalement nue devant le génie qui n’en croyait pas ses yeux. La poitrine de Rose était imposante, légèrement tombante du fait de son âge, sa taille était très étroite, ce qui mettait encore plus en valeur un cul absolument divin. Son sexe était orné d’une petite toison rousse, parfaitement taillée tandis que son clitoris et ses lèvres étaient, eux, totalement glabres.
Sans prononcer un mot, maîtresse Rose s’approcha du génie, lui baissa son pantalon et laissa jaillir un sexe turgescent, gonflé par plusieurs jours de désir et de frustration.
— Ouh la…. s’inquiète Rose, on dirait qu’elle est prête à exploser !
Elle se saisit du sexe du génie avec sa main droite et commença à le masturber avec une très grande maîtrise.
— Alors comme ça votre esclave ne veut pas se laisser baiser ?— Non…— Et vous vous êtes dit que le cul d’une de mes élèves pourrait compenser ? Rajoute-elle en accélérant un peu la cadence.— Mmhh oui…— Ne vous inquiétez pas… Bientôt, c’est elle qui réclamera de lui déchirer son beau petit cul vierge ! — Oui, j’espère….— Vous avez envie de l’enculer, n’est-ce pas ? De lui exploser le fion… De la faire hurler avec votre énorme chibre…— Oui… Ça… Ça vient….— Vraiment ? Déjà ?
Maîtresse Rose s’accroupit alors devant le sexe du génie, l’empoigna à deux mains et accélèra furieusement la cadence pour le finir. Un premier jet brulant sortit alors de l’énorme gland et vint s’abattre sur le visage de Rose. Elle ouvrit la bouche de surprise devant une telle puissance tandis que d’autres jets vinrent lui maculer les cheveux, les joues, la poitrine et lui remplir la bouche. Elle dût avaler une première gorgée tandis que l’éjaculation se terminait en souillant ses mains et ses avant-bras, encore accrochés au sexe secoué de spasme de plaisir.
— Monseigneur, quelle puissance ! Quelle réserve ! s’exclame Rose, recouverte de sperme. Vous aviez vraiment besoin de vous soulager…— Oui…. Pfffuuu, vous êtes très douée, Maîtresse Rose…— Merci, mais je suis sûr que vous auriez préféré me baiser, n’est-ce pas ?— Je dois avouer…— Sachez que je ne couche que très rarement avec des clients. Je sélectionne mes amants sur des critères très précis et exigeants. Et je me sépare sans hésiter de ceux qui me déçoivent. — Je vois, dit le Génie manifestement déçu.— Mais j’avoue, repris Rose, l’air coquine, que votre désarroi et surtout la taille de votre… hum… engin m’ont… touchés. Mais si vous voulez un jour me baiser, il vous faut être un expert, un génie du sexe, capable de me faire jouir, plusieurs fois, ce qui n’est pas à la portée de tout le monde. En attendant, mes élèves peuvent vous aider, mais ce ne sont pas des prostituées, disponibles à volonté. Elles appartiennent à des seigneurs parfois peu prêteurs et sont là avant tout pour apprendre. Je vous conseille de vous exercer au bordel, plus bas dans la ville.— Il est malheureusement fermé, sur ordre de Jafar…— Mmhh, c’est vrai… C’est ennuyeux… Mais je suis sûr que vous trouverez une solution. Si vous voulez m’excuser, je vais aller prendre un bain chaud maintenant… Vous m’avez mise dans un de ces états ! — Bien sûr, encore merci Rose. A bientôt.
Le génie sortit de l’école et se promena dans les rues d’Agrabah, apaisé et souriant. Il avait à présent un objectif en plus que celui de dresser Jasmine : baiser Maîtresse Rose. Mais pour cela, il devait devenir une bête de sexe car, comme il l’avait compris, il n’aurait droit qu’à une seule chance avec elle. Il comptait bien casser des petits culs à l’APJ mais ce n’est pas ces gamines qui allaient pouvoir le faire progresser. Il fallait que ce bordel rouvre !
Il alla boire un verre dans la taverne du coin. Le tavernier, un ancien bandit reconvertit dans l’alcoolisation de masse, avait accepté de prendre Jasmine à l’essai à condition qu’elle soit formée.
— Envoie-moi ton esclave demain, je verrai ce que je peux lui apprendre.— Parfait, merci mon ami !— De rien… Ma fille ne peut pas servir tout le monde toute seule et mes autre serveuses ont la fâcheuse tendance à tomber enceinte… Je ne sais pas pourquoi !!— Ta fille ?— Oui, Iris, la grande brune au comptoir…
Le génie avait remarqué cette beauté rebelle, tatouée et au visage marqué par une cicatrice sur une joue. Elle était effectivement grande, relativement musclée mais très féminine avec des courbes avantageuse. Elle se promenait entre les tables en exposant ses seins à peine masqués par son haut aux clients et ses fesses mise en valeur par un pantalon de cuir fin.
Le génie eut immédiatement envie de cette fille mais se retint de tout commentaire impoli en présence de son père et nouvel ami.
Lorsqu’il rentra chez lui, le génie se rendit dans la chambre de Jasmine où il la trouvât endormie, entièrement nue, presque dans la même position que lorsqu’il était partit. Il prit plaisir à l’observer ainsi exposée, contempla sa belle poitrine, ses langues jambes qui, à peine croisées, laissaient apparaitre une petite partie de son intimité.
Au matin, Jasmine vint s’excuser auprès de lui en baissant la tête :
— Je n’étais pas prête, maître, et j’ai paniqué…. Vous étiez si excité et si… gros que cela fait peur. Je vous prie de m’excuser. — D’accord, esclave. Je vais tâcher de me contrôler… Mais mets-toit dans la tête que cela arrivera bien un jour. Et qu’au final, Jafar sera moins compréhensif que moi.— Je le sais, Maître.— Bien. Et surtout, ne me fais plus jamais une scène pareille, c’est clair ?— Très clair… Que faisons-nous aujourd’hui ? — Tu verras.
Le génie emmena Jasmine à la taverne pour être formée au service, ce qui consista principalement à se faire peloter par le patron sans renverser les plateaux qu’elle portait. D’abord énervée par le comportement du patron, elle s’habitua à ses mains baladeuses et parvint à se faire embaucher. Le génie, quand à lui, passa la matinée à parler et à flirter avec Iris, la fille du tavernier.
— Mon ami, ton esclave fera une excellente serveuse !! s’exclama le tavernier. Envoie-moi là demain, aujourd’hui c’est calme, je n’aurai pas besoin d’elle…— Merci mon ami, à demain. Iris… dit le Génie en s’inclinant devant la demoiselle.— Monseigneur…
Jasmine alla ensuite au marché pour travailler à l’étale de fruits.
Le soir venu, le génie lui demanda comment c’était passé sa journée.
— Rien de particulier, maître, à part les mains baladeuses du marchant et les commentaires graveleux des clients.— Des gens t’ont-ils reconnus ?— Non, je ne crois pas. En même temps, avec cette tenue…— C’est exact. D’ailleurs, enlève là…
Jasmine obéit aussitôt et retira son manteau de villageoise. Elle se retrouva alors avec son éternelle tenue bleue de princesse.
— C’est beaucoup mieux ainsi… Déshabille-toi.— …— Esclave ?— Oui… maître.
En baissant le regard, Jasmine hotta son haut bleu et fit glisser délicatement son pantalon, se montrant ainsi totalement nue devant son maître. Répondant ensuite aux ordres de son maître, que ce soit par des mots ou de simples gestes, Jasmine commença par écarter ses jambes puis s’allongea sur le lit. Elle attrapa ses jambes et les écarta les plus possible pour exposer son sexe à son maître qui sourit, satisfait de la vue et de l’obéissance de son esclave.
— T’es-tu déjà caressée, esclave ?— Oui, maître— Jusqu’à l’orgasme ?— Oui, parfois…— Et pour tes cours, tu as dû te caresser devant la classe ?— Pas encore… Et ça me fait peur.— Alors écoute : ce soir, je ne vais pas te baiser. Tu vas te branler devant moi et te faire jouir.— Bien maître… Mais…— Mais ?— Mais vous ? Qu’allez-vous faire ?— Te regarder et me masturber…— Vous n’essaierai pas de me prendre ?— Non, je te le jure.
Jasmine cligne alors des yeux en guise de consentement et approche timidement une main de son sexe. Alors qu’elle commence à se caresser, le génie se redresse, sort son énorme sexe déjà très dure et se branle doucement en regardant Jasmine. Celle-ci est clairement impressionnée par la taille de l’engin mais n’est pas apeurée. Au contraire, alors qu’il accélère le mouvement, elle-même s’active sur son clito avec plus d’envie. Son doigt va de gauche à droite, de haut en bas ou encore tourne de plus en plus vite sur son bouton rose.
Le génie, conscient de l’excitation croissante de Jasmine et frustré par plusieurs jours d’abstinence, sent qu’il ne pourra pas tenir éternellement.
— Esclave, tu es superbe et je ne vais pas tarder à jouir !— Ooohh maître… je ne suis pas loin non plus… Oohh… Voulez-vous… venir sur moi ?— Tu veux que je jouisse sur toi ?— Oui… je crois…
Jasmine ouvre alors encore un peu plus les jambes, ferme les yeux et accélère son mouvement en gémissant. Je génie, la voyant ainsi s’abandonner au plaisir, se masturbe furieusement et craque. Un premier jet puissant sort du gland et bien s’abattre sur un sein de Jasmine tandis que le reste lui recouvre le ventre et la main qui caresse son sexe. Les râles de plaisir du génie, couplés à la sensation du sperme sur sa peau font également craquer Jasmine qui jouit en criant de plaisir, la main droite enduite de foutre.
Après avoir repris sa respiration, Jasmine se redresse sur le lit :
— Merci, maître, pour cet orgasme… Je crois que j’en avais besoin. — Ce n’est rien, esclave. Dorénavant, lorsque j’aurai envie de me masturber, peu importe l’heure, peu importe l’endroit, je me finirai sur toi et jouirai sur la partie de ton corps de mon choix. — C… Comme il vous plaira, maître. — Parfait. Tu peux aller te laver, maintenant. Couche-toi tôt, demain, tu iras à l’école, puis travailler à la taverne.— Bien, maître.
Diffuse en direct !
Regarder son live