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Jasmine : princesse et salope

Chapitre 4

Avec plusieurs femmes
Suite :
Le lendemain, le génie emmena Jasmine à l’APJ, toujours en la tirant par une chaine. Dans le couloir régnait un silence inhabituel. Alors que Jasmine se rendait à son cours de dressage où elle serait insultée, giflée, humiliée, le Génie croisa Mme Rose.
— Mes hommages, madame.— Bonjour Monseigneur, comment allez-vous ? — Fort bien, j’avance plutôt bien avec mon esclave. Mais quelle ambiance triste dans votre école aujourd’hui.— C’est à cause de la punition… Les élèves sont particulièrement calmes vu ce qui est arrivé à deux d’entre elles. Venez avec moi.
Mme Rose conduisit le génie dans une cour extérieur de l’école, qui donnait sur une rue passante. Là, il découvrit deux jeunes filles qui lui faisaient face, chacune enfermée dans un carcan. Elles étaient coincées au niveau du cou et des bras, maintenues à quatre pattes, les pieds enchainés. Leurs culs tendus dépassaient de la cours et étaient donc en « libre accès » directement depuis la rue. Elles avaient le visage baissé et étaient manifestement épuisées. Lorsque le génie les contourna pour regarder derrière elles, il vit que leurs orifices étaient défoncés, distendus, enduits et dégoulinants du sperme de probablement une dizaine de passants. Du foutre maculait également leurs fesses et leur dos.
— Mais ?!? Cette punition est terrible !! Et, pour le coup, c’est clairement du viol ! — Détrompez-vous… Ces deux jeunes filles sont des étudiantes fraichement « diplômées » qui allaient être rendues à leur maître. Mais elles se sont enfuies pour se faire engager dans un bordel d’une autre ville. Lorsqu’on les a repris, elles ont déclaré qu’elle ne voulait pas être les putes d’un seul homme, qu’il leur en fallait plus… — Donc votre punition est…— … de leur en donner plus ! Elles se font baiser ainsi depuis la nuit dernière et ont probablement jouis des dizaines de fois. Là, voyant le sperme sécher, je constate que les gens se lassent d’elle et je pense qu’elles ont compris la leçon. Vous voulez les prendre une fois avant que je les rende à leurs maîtres ?— Leurs trous sont répugnants… et ça me gêne de les savoir ainsi contrainte…— Alors allez leur demander l’autorisation ! Quant à leurs trous, je m’en occupe…
Alors que Mme Rose retournait à l’intérieur, le génie se mit face aux deux filles :— Esclaves… — O…Oui… maître ? répondirent les filles en relevant la tête
Il se rend alors compte qu’elles sont les yeux révulsés et qu’elles tirent la langue, comme possédées. De la bave coule de leur bouche alors qu’elles essaient de parler :— Encore… B.. Baisez-nous… Jouir encore….— V… Vraiment ? hésita le génie.
— Jouir… Sperme…. Encore… répondit une des filles qui ouvrit ensuite la bouche en grand.
Sans se poser de question, le génie sortit son sexe déjà très dur et l’enfonça dans le gosier de la jeune fille. Il lui baisa la bouche copieusement puis en fit de même avec sa copine qui regardait son membre viril avec envie.
Mme Rose refit son apparition avec deux élèves, manifestement jeunes et en début de formation. Elle leur ordonna de nettoyer les arrière-trains et orifices suintants des deux filles punies. Évidemment, Rose n’avait pas prévu d’éponge ou de serviette et c’est avec leurs langues que les adolescentes nettoyèrent leurs camarades.
Elles semblaient écœurées d’avaler tout ce sperme froid, provenant de dizaines d’hommes différents. Elles durent fouiller profondément dans les orifices distendus pour récupérer du foutre vieux de plusieurs heures. Quand elles eurent fini, les fesses, anus et sexes des filles étaient comme neufs et elles purent retourner à l’école, au bord de la nausée. A l’invitation de Rose, le génie délaissa les bouches des deux esclaves punies et passa derrière elles. Il les besogna puissamment et sans précaution tant leurs trous étaient larges. Quand il en baisait une, il enfonçait trois doigts dans le cul de l’autre, juste à côté. Et quand il en enculait une, il enfonçait entièrement son poing dans la chatte de l’autre. Les deux esclaves gémissaient comme des chiennes et en redemandaient toujours plus. Il leur claquait les fesses aussi fort qu’il pouvait pour les faire taire mais elles étaient comme possédées, en trance et jouissait d’autant plus fort qu’il était violent.
Il les baisait si fort que les carcans menaçaient de craquer sous les coups de boutoir. Mme Rose, restée à coté pour observer la scène se caressait par-dessous son pantalon de soie, impressionnée par la puissance et la virilité du génie.
Le génie était, lui aussi comme possédé. Il ne comprenait pas ce qui se passait en lui mais il se sentait fort, très fort lorsqu’il était ainsi excité. Et il avait l’impression que son sexe répondait à sa volonté de déchirer les fions de ces deux esclaves : son sexe grossissait. Déjà imposant, il était presque sûr que son diamètre augmentait et que l’intromission de cet énorme chibre dans les culs pourtant explosés des filles se faisait plus compliquée.
Mais il n’eut pas le temps de se poser plus de question, car il sentait monter l’orgasme, d’autant que les esclaves jouissaient presque en continu et que tous ces cris orgasmiques le rendaient fou d’excitation. Il craqua dans le cul de l’une d’entre elle qui le remercia, en pleurant, de l’avoir rempli. L’autre, jalouse et en manque, réclama, la langue pendante et encore vibrante de jouissance, de se faire remplir le cul également.
— Pas de problème, dit alors le génie en changeant de fille avec un sexe en train de ramollir légèrement.
Alors dans l’anus de l’autre, il dit en soupirant :— Tu veux que je te remplisse, salope, alors soit…
Le génie ferma les yeux, fit un grand sourire de satisfaction et resta ainsi sans bouger, enfoncé dans le cul de la jeune fille.
— Vous… Vous n’êtes pas en train de… hésita Mme Rose.— Oh que si… répondit le Géni qui sortit alors son sexe ramollit et humide.— C’est… si pervers… J’adore ! Dire que j’ai cru, à un moment, que vous étiez de nature sensible… Vous me rassurez !
Alors qu’il remballait son sexe, le Géni se plaça devant Mme Rose, la dépassant d’au moins deux têtes :— Je ne suis pas sensible… J’aime simplement que la femme que je défonce soit consentante. Après cette petite vérification effectuée, je suis capable de tout. Ma chère Rose, lorsque je vous baiserai, je vous montrerai à quel point je peux être pervers, puissant et dominateur.
Mme Rose ne sût que répondre, impressionnée par un homme pour la première fois de sa vie. Pour masquer sa gêne, elle alla ouvrir le carcan des filles pour enfin les libérer. Lorsqu’elles se redressèrent avec peine, du sperme coula du cul de l’une d’elle, et un flot de pisse chaude sortit du fion de l’autre.
Le Génie sortit de l’école, à la fois satisfait d’avoir baisé et d’avoir autant impressionné Rose.
Pendant ce temps, à l’école, Jasmine continuait ses cours. Durant cette matinée, elle fût attachée à une chaise puis insultée, humiliée, giflée par une éducatrice. Elle se fit également cracher au visage et devait se contenter de subir cela sans broncher. Plusieurs fois elle pleura, serra les dents de colère et n’arriva pas paraître suffisamment insensible et soumise à ce traitement. Elle fut donc punie et fut promenée nue, enchainée, dans les couloirs de l’école.
Alors qu’elle passait, la tête baissée, devant les salles de classe, certaines élèves détournaient le regard tandis que d’autres, plus âgées et plus expérimentées, riaient, lui claquaient les fesses, les pinçaient les tétons. Les profs, uniquement des femmes (à part quand Jafar venait donner des cours lui-même) restaient de marbre face à ce spectacle, très classique en ces lieux. Les seuls hommes de l’école étaient des esclaves, provenant du royaume ou du lointain continent noir et étaient choisis pour leur virilité et la taille de leur engin.
Ce réservoir de bite servait pour les travaux pratiques, pour les punitions ou pour les récompenses… Le tout était de choisir la bonne bite pour la bonne fonction ! Les moins bien membrés (mais toute de même largement mieux dotés que la moyenne d’Agrabah) et les moins violents se chargeaient des débutantes tandis que les géants aux membres monstrueux étaient pour les élèves confirmées, les profs ou Mme Rose elle-même qui se réservait parfois certains esclaves aux proportions impressionnantes. On recrutait aussi dans les prisons de Jafar des hommes sans pitiés et à la perversité sans limite en cas punition sévère à donner.
Jasmine, pour sa part, était pour l’instant épargnée de rapport sexuel du fait de son inexpérience totale et tant que son maître n’avait pas donné son autorisation (et ne l’avait pas défloré lui-même avant). Par contre, tout l’après-midi, elle dût regarder, avec d’autre débutantes, des filles se faire baiser devant elles. Ils y eu de jeunes nobles défoncées et enculées par des black très bien membrés. Puis il y eu deux filles, en fin de formation, baisées en gangbang par plusieurs mâles surexcités. Elles finirent ravagées mais manifestement comblées de plaisirs et de foutre.
Le plus difficile dans cette expérience n’a pas été la vision de ces jeunes filles défoncées par des mâles en rut, ni la quantité impressionnante de sperme par laquelle elles se sont fait recouvrir, ni l’allure de leurs orifices après l’acte… Non, ce qui a été le plus difficile pour Jasmine c’est d’avoir été attachée à sa chaise, nue, les mains dans le dos, les jambes grandes ouvertes et de n’avoir pas pu se caresser. Car d’abord horrifiée, Jasmine n’a plus été que gênée et enfin carrément excitée par cette débauche. Sa chatte offerte mais inaccessible, ni pour elle, ni pour un homme qui aurait pu la soulager, palpitait de désir et suintait de mouille. Elle ne fût détachée et rhabillée que lorsque son maître revint à l’école la chercher.
A peine étaient-ils rentrés dans leur petite maison que Jasmine demanda à aller prendre un bain. Le Génie accepta. Quelques minutes, alors qu’il passait devant la porte de la salle d’eau, il entendit les gémissements et des bruits de clapotis caractéristiques.
Sans frapper, il entra dans la pièce et surpris Jasmine en train de se masturber dans sa baignoire.
— Maître !!! Comment osez-vous ??— Pardon ?!? Tu me demandes si « j’ose » entrer dans MA salle de bain occupée par MON esclave ? C’est ça ??— Je… Je vous prie de m’excuser, maître… Je voulais juste un peu d’intimité.— Esclave… Sache que tu n’as plus droit d’avoir à une quelconque intimité dorénavant. Si je veux te laisser tranquille lorsque tu te laves, c’est mon choix. Mais si j’ai envie de te regarder, que ce soit pour te laver, pour pisser ou pour chier, tu n’as rien à dire ! Compris ?— Oui, maître…— Que faisais-tu ?— Je me lavais… — Veux-tu que je te corrige pour m’avoir menti ?? — Non ! Je… Je me caressais… — Et pourquoi tant d’empressement après tes cours ?— Parce que j’étais très excitée par ce que j’y ai vu.— C’est-à-dire ?— Des élèves se faire…. prendre par plusieurs hommes.— Pourquoi ne t’être caressée devant eux ?— J’étais enchainée.— Je vois… Donc tu as mouillé comme une chienne tout l’après-midi sans pouvoir te soulager jusqu’à maintenant.— Oui, maître… j’ai beaucoup mouillé… Je… maître ?— Oui esclave ?— Pouvez-vous me faire jouir ? — Ahhh, j’attendais que tu me pose cette question ! Évidemment, je vais te faire jouir mais à une condition : tu me feras jouir également.— Moi ? Mais je ne saurais jamais ! Je n’ai jamais touché… une verge…— Oh quel vilain mot ! Je veux que tu dises queue, bite, chibre… Mais surtout pas verge ou pénis ! Ce sont des mots pour les bourgeoises, pas pour les esclaves comme toi.— Bien maître… Je n’ai jamais touché une… bite. C… Comment dois-je faire ?— Laisse-moi te montrer.
Le Génie aida Jasmine à sortir de son bain et la sécha un peu. Puis il lui embrasse le sexe, donne quelques petits coups de langues sur son clito déjà bien gonflé et enfonce prudemment un doigt en elle, constatant, aux gémissements qu’elle poussa et à l’humidité et la chaleur de son vagin, qu’elle était toujours très excitée.
Il lui titilla le clito et vit Jasmine se mordre la lèvre de plaisir alors qu’il ne l’avait qu’effleuré. Il comprit alors qu’elle pouvait jouir en quelques secondes et que, s’il voulait profiter de son état d’excitation pour la faire aller plus loin, il devait le faire maintenant !
Il sortit donc son doigt du sexe serré mais humide de Jasmine et bassa son pantalon. Il dévoila ainsi son gros sexe très dur à la princesse qui, même si elle l’avait déjà vu, parût à nouveau impressionnée.
— Maître ? Tous les hommes ont-ils une verg… une queue aussi grosse ?— Non pas tous, esclave… Beaucoup ont une bite bien plus petite, souvent parmi ceux qui ont des esclaves sexuelles… Ils compensent, en quelque sorte… Mais il existe aussi des queues bien plus grosses que la mienne !— Chez les noirs ? — Notamment, oui. Comment le sais-tu ?— Un des hommes que j’ai vu cet après-midi était noir et avait un sexe monstrueux !— Cela t’a donné envie ?— Mon dieu, non !! Comment peut-on avoir le moindre plaisir avec un engin qui vous déchire de l’intérieur ?!?— Tu verras que lorsque tu auras gouté aux grosses queues, tu ne pourras plus t’en passer ! Mais assez parlé, commence par t’occuper de la mienne, de queue !
A suivre...
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