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Jasmine : princesse et salope

Chapitre 13

Hétéro
Suite :
Le lendemain, le Génie exigea de Jasmine qu’elle aille travailler à la taverne habillée avec une nouvelle tenue très provocatrice et se rendit à l’APJ pour parler à Mme Rose.
— Que me vaut le plaisir de votre visite, Monseigneur ? demanda Rose en l’accueillant dans son bureau.— C’est à propos de Jasmine, dont vous connaissez la vraie identité, d’après ce qu’elle m’a dit.— En effet…— Autant elle est totalement soumise avec moi, autant il faut maintenant qu’elle accepte de se donner à n’importe qui et devant n’importe qui. Il faut intensifier vos enseignements en ce sens…— J’y comptais bien ! Mais si je dois solliciter mes esclaves plus souvent pour elle, cela vous coûtera plus cher, j’en ai peur. — Aucun problème, je la ferai travailler pour cela… Par contre, j’ai une exigence…— Laquelle ?— Mon implication… Je veux que Jasmine baise avec moi et non avec un de vos esclaves pour sa première fois en public.— Normalement nous n’acceptons pas la participation des maîtres de nos élèves…— Sauf que vous savez pour qui je travaille… Donc c’est réglé. De la même manière, si vous donner Jasmine à plusieurs esclaves, je veux être là. Au moins les premières fois, pour la rassurer. Il est hors de question de la braquer si près du but.— Je vois… C’est d’accord, Jasmine vous fera savoir la veille si un cours nécessite votre présence.— Parfait ! Maintenant, si vous voulez m’excuser, je dois voir Mme Salima, la prof de Jasmine en exhibition.— Mme Salima ? Et pourquoi ?— Je ne sais pas si je devrais vous le dire… Elle m’a fait passer un mot suite à la fois où je l’ai… punie, sur ordre de Jafar. Elle semble finalement avoir apprécié et m’invite à la rejoindre aussi souvent que possible. — Vraiment ?? Cela m’étonne, Salima est une professionnelle qui dispose de tous les esclaves qu’elle veut pour assouvir ses besoins…— Et bien il faut croire qu’ils ne lui suffisent plus… répondit le Génie en se levant, un sourire au coin des lèvres.
Il baisa ensuite la main de Rose qui paraissait troublée et sortit de son bureau. Il rejoignit ensuite Salima et s’empressa de l’honorer du mieux qu’il put, avant que les cours de commencent. Il la prit dehors, dans l’espace réservé aux professeurs, à quelques pas seulement du bureau de Rose. Les gémissements continu de Salima ainsi que ces orgasmes répétés n’échappèrent à personne dans l’école et encore moins à Mme Rose qui, de son bureau, ne rata rien de l’extase de son employée, pourtant habituée à la chose, sous toutes ses formes, dans tous ses excès.
Dans son ventre et entre ses jambes, Rose ressentit une étrange sensation faite d’excitation et de jalousie. Le Génie venait de planter une graine qui ne demandait qu’à germer et grandir. En attendant, Rose, frustrée, se précipita vers son armoire à « gode » et se soulagea comme elle pût. Elle avait calmé la frustration naissante, pour l’instant.
Lui aussi calmé, Le Génie quitta l’école en laissant derrière lui une Salima aux orifices défoncés mais heureuse, et se rendit à la taverne pour observer Jasmine. Ce qui l’y découvrit le stupéfia : Jasmine se promenait seins nus dans la taverne, servant çà et là bière, vin, nourriture, à des clients aux anges.
La tenue que lui avait donné le Génie était pourtant déjà très révélatrice : le haut était constitué d’un court bustier presque transparent et d’un pantalon de soie taille basse lui arrivant tout juste au-dessus du pubis. Il était fendu sur les côtés, ce qui révélait une grande partie de ses jambes lorsqu’elle marchait vivement pour aller d’une table à l’autre. Cette tenue, déjà provoquante, n’avait sans doute pas suffit à Jasmine…
Lorsqu’elle l’aperçût s’assoir à une table, elle se précipita vers lui, heureuse.
— Vous voilà, maître, qu’elle bonne surprise !— Trainée, où est ton haut ??— J’ai fini par l’enlever car les clients me demandaient tout le temps des gobelets royaux ! C’était plus pratique…— Des quoi ??— Des gobelets royaux… Comme les clients trouvent que je ressemble à la princesse ou pensent que c’est vraiment moi, le patron a inventé un type de service « spécial » que les clients adorent !— Et ça consiste en quoi ?
A ce moment, un client commanda une bière avec la formule « gobelet royal ».
— Ha, vous allez voir, maître… J’arrive ! cria-t-elle ensuite au client.
Elle se dirigea vers le bar où le patron lui remplit une chope de bière puis elle s’approchât de la table du client. Elle trempa alors ses seins dans la mousse fraiche de la bière puis les tendit vers le client. Bouche grande ouverte, celui-ci récupérât les gouttes de bière qui tombait des tétons de Jasmine qui, enfin, lui donna sa chope et reçut un pourboire ainsi qu’une tape sur les fesses.
Jasmine retourna vers son maître et lui dit :
— Vous comprenez pourquoi j’ai enlevé le haut ? C’était bien plus pratique ! — Je vois… et ça paie bien on dirait, rajouta-t-il en soupesant la bourse de cuir attachée à la taille de Jasmine. — Oui ! Mais le patron en prend une partie…— J’imagine… Allez, va me servir une bière et trempes-y des seins. Je veux gouter au gobelet royal.
Les jours suivants, Jasmine travailla à la taverne afin de réunir la somme nécessaire pour se payer une semaine de cours à un niveau plus élevé à l’APJ. Le Génie resta avec elle une bonne partie de la journée et de la soirée pour l’observer avec délice se faire toucher et peloter par les clients, sans rien dire. Il était bluffé par le comportement de Jasmine. Elle se faisait toucher les fesses tous les 2 minutes, finissait par enlever son haut pour assurer le rythme effréné des gobelets royaux, se faisait aussi bien complimenter qu’insulter, sans broncher. Un client, particulièrement aviné l’appela toute la soirée « princesse salope » pour lui commander des verres sans que cela ne gêne Jasmine et glissa sa main poisseuse de vinasse dans son pantalon pour enfoncer son pourboire directement dans sa chatte.
Cela donna d’ailleurs une idée au Génie et dès le lendemain, le service « bourse royale » était créé. Ainsi, Jasmine se fit régulièrement enfiler des pièces de bronze dans le sexe afin de récupérer les généreux pourboires. Et à nouveau, au grand étonnement du Génie, son esclave ne disait rien de ses attouchements répétés. Le clou du spectacle était lorsque Jasmine, une fois la « bourse » pleine, devait récupérer les pièces pour les donner au patron. Elle mettait la main dans son pantalon et fouillait dans sa chatte en gémissant et grimaçant et en sortait des pièces dégoulinantes de mouille. Le show se finissait par une salve d’applaudissement lorsque Jasmine retirait la dernière pièce.
Les soirs, Jasmine devait également danser sur une table au milieu de la taverne. Elle commençait habillée de manière assez sexy mais avait assez de vêtements pour tenir en haleine la clientèle alors qu’elle se déshabillait lentement et finissait généralement nue ou presque.
Ces journées étaient terriblement excitantes pour le Génie car il voyait son esclave devenir en directe la reine des salopes. Les moments où il la quittait des yeux, c’était justement pour aller se soulager.
Cela pouvait être auprès d’Iris qui servait également dans la taverne mais dans des conditions plus classique, son père lui interdisant ce qu’il demandait à Jasmine. Lors de ces pauses, Iris et le Génie faisaient retomber leur frustration. En journée, c’étaient de simples pipes qu’Iris prodiguait au Génie et le soir, elle exigeait que le Génie l’encule car elle voulait qu’ensuite, une fois rentré chez eux, Jasmine goute à la bite épicée de son maître. Iris éprouvait une certaines jalousie pour Jasmine car, en tant qu’esclave, sa vie était vouée en sexe et surtout parce que son maître était beau et fort et semblait être à la fois juste et bon amant. Elle aurait échangé cette vie contre sa pseudo liberté sans hésiter !
Lors de ces séances avec Iris, celle-ci recherchait avant tout la violence de l’acte, la douleur, la domination de son amant. Libéré de toute retenue par une fille qui lui hurlait de lui faire mal, le Génie lui ravageait le cul avec toute la bestialité dont il pouvait faire preuve. Il perfectionnait donc la maîtrise de ce qu’il commençait à appeler des « pouvoirs » en faisait grossir son sexe pendant qu’il enculait Iris, en atteignant des proportions monstrueuses. Iris pleurait et criait de douleur mais en redemandait toujours plus au Génie qui, malgré le mal qu’il lui faisait, lui procurait également orgasme sur orgasme.
A suivre...
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