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Jean, Retraité

Chapitre 7

Voyeur / Exhibition
Ayant baisé sa sœur, Nicolas aborde les épreuves du bac l’esprit libéré et réussi haut la main l’examen. Il profite de la permission accordée pour venir dans l’appartement pendant les vacances avec la jeune fille. Si on l’avait laissé faire il y aurait amené sa sœur tous les jours. Jean doit le retenir : — Si vous venez trop souvent vos parents le sauront et poseront des questions. Ils pourraient interdire vos visites. En réalité il ménage à Camille la possibilité de rejoindre chez lui Thomas et à celui-ci de venir avec Laura. Voir jouir les trois couples comble le voyeur qu’il est devenu. Souvent il retient la fille du jour pour une caresse de remerciement que chacune prodigue avec reconnaissance, mais malgré son insistance il ne parvient pas à les réunir tous les quatre. Les mois passent et à la rentrée, Nicolas rejoint la même faculté que Laura et comme celle-ci, ne revient que pour les vacances puis plus rarement et enfin plus du tout. Jean doit se contenter d’assister aux amours de Camille et Thomas qui lui restent fidèles… Mais tout a une fin. Après le bac, les études séparent les deux jeunes gens : lui rejoint sa sœur à l’université et elle prépare les grandes écoles. Les étreintes chez Jean s’espacent et finissent par cesser…
Plusieurs années après, Jean, en réponse à un coup de sonnette, a la surprise de voir Camille sur le seuil. — Entre ma chérie, entre. Une fois au salon il l’interroge. — Que me vaut le plaisir de ta visite ? Cela fait plusieurs années que tu avais oublié le chemin de mon humble demeure. — Je viens t’inviter à mon mariage qui a lieu dans trois mois, le 7 Juillet. — Ah ? Félicitation, je te remercie ! Sois sûre que j’y assisterai. Qui est l’heureux élu, Thomas ? — Non, nous ne nous sommes pratiquement plus vus depuis le lycée. Il s’agit d’un jeune étudiant en médecine qui s’appelle Bruno et qui a su me le faire oublier. Nous vivons déjà ensemble depuis trois ans. Nous terminons cette années nos études, lui comme médecin moi comme ingénieur, et nous avons décidé d’officialiser notre liaison. — Je te souhaite tout le bonheur possible… Veux-tu boire ? — Si tu as du coca je veux bien. Tout en dégustant son breuvage, Camille fait eu regard le tour de la pièce. — Rien n’a changé depuis mes visites. — Non, je n’en voyais pas l’utilité. La jeune femme se plonge dans ses souvenirs. — J’ai éprouvé dans ce décor de belles jouissances avec Thomas, dit-elle rêveuse. — Et aussi avec ton frère Nicolas. — Oh lui ! Il n’a jamais réussi à me faire monter aux rideaux ! D’accord je mentirais si je disais qu’il me forçait et que je ne venais qu’à contre cœur. J’ai passé avec lui dans ce salon de bien agréables moments et j’en garde un bon souvenir, mais cela ne valait pas les orgasmes que me procuraient Thomas… Qui ne supportent pas la comparaison avec pas ceux que j’éprouve maintenant dans les bras de Bruno… Je me souviens aussi des caresses que tu me prodiguais quand Thomas et moi faisions 69… C’est peut être ce que je regrette le plus, ajoute-t-elle songeuse. — Tu appréciais l’intrusion de mon doigt dans ton cul, n’est-ce pas ? Cela ne t’a pas donné envie d’essayer la sodomie ?— La quoi ? Ah oui, me faire enculer, non merci ! J’ai essayé une fois. Que ça m’a fait mal ! — Tu as eu à faire à un goujat. — Peut être mais j’ai juré de ne plus recommencer. — Il ne faut pas dire fontaine je ne boirai plus de ton eau. — Ça m’étonnerait que je change d’avis. — On verra, on verra… Sais-tu ce qui me ferait plaisir ? — Que je te fasse un pompier n’est-ce pas ? Tu vois je n’ai pas oublié. Assieds-toi dans ce fauteuil et laisse-toi faire. — Euh… Pas seulement. J’aimerais aussi que tu te déshabilles pour que je te pelote comme je faisais dans la salle de bain. — Oh ! Tu es un gros cochon ! — Hé ! Oh ! Si ça te déplaisait tant que ça tu pouvais refuser ou au moins marquer ta désapprobation ! — Déshabille-moi au lieu de dire des bêtises. Jean déboutonne le corsage, le fait glisser sur les bras. Il dégrafe le soutien-gorge, l’ôte puis il descend le jean et enroule la mini culotte sur les cuisses jusqu’aux chevilles. Entièrement nue Camille le place au centre de la pièce. — A ton tour… Oui laisse-moi te déshabiller toi aussi… Jean a honte de sa virilité défaillante. La jeune femme le pousse sur le sofa. — Caresse-moi, demande-t-elle en se plaçant tête bêche au dessus de lui. Il pose les lèvres sur le sexe qui lui fait face pendant que Camille embouche sa queue. D’un doigt il recherche l’anus et enfonce une phalange. — Oh oui ! Continue.— Hein que tu aimes ça ! — Oui… Que c’est bon… Aaah ! Il pistonne dedans au grand plaisir de la jeune femme tout en mordillant le clitoris. Chacun s’efforce de donner un maximum de plaisir au partenaire tout en jouissant des caresses reçues. Le premier Jean sent le contrôle lui échapper. Il éjacule avec un grognement dans la bouche de Camille qui le rejoint dans la jouissance… — Merci, merci, c’est aussi bon que dans mon souvenir, remercie-t-elle.
— N’oublie pas la date de mon mariage, lui rappelle-t-elle au moment de le quitter. — Je n’aurais garde de l’oublier. Tu sais, ma porte te sera toujours ouverte, reviens quand tu veux, surtout pour une caresse comme aujourd’hui. — Oh Monsieur ! N’avez-vous pas honte de faire une telle proposition à une femme mariée… Euh… Enfin presque ? badine Camille. Blague à part, les prochains mois je peux rien promettre, je serai trop occupée. Après le mariage… Peut-être.
FIN.
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