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Jeune femme au Père

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Valérie, j’ai 31 ans. Lorsque j’avais 17 ans, j’ai épousé un homme qui avait l’âge d’être mon grand-père. Il avait en effet 58 ans. J’ai vécu avec lui 9 ans de bonheur, il m’a fait 4 enfants, toutes des filles et puis il s’est consumé d’un cancer foudroyant alors que j’étais enceinte du 5ème, un garçon. Il m’a laissé heureusement largement de quoi vivre et d’élever mes enfants confortablement. J’ai entamé des études il y a deux ans et mon père est venu habiter chez nous pour s’occuper des enfants. Ancien militaire, il est un jeune retraité de 56 ans. A cause de sa profession, je l’ai peu connu et je lui en ai beaucoup voulu de ne pas être près de moi lorsque ma mère est morte. J’étais donc très contente de pouvoir renouer avec lui et mieux le connaître. Il s’est donc installé avec nous et les enfants l’ont tout de suite adoré. Rapidement, notre vie de famille s’est organisée. Mon père se comportait comme un parfait père au foyer. Finalement, c’était "comme avant". C’est là que j’ai pris conscience de l’ardent désir que j’éprouvais pour mon père, désir que j’avais concrétisé avec mon mari, "par procuration". Je me caressais chaque nuit en imaginant mon père se glisser dans ma couche et me faire l’amour. J’ai commencé à observer quel genre de femme l’attiraient. Il les aime très féminines, sexy et plutôt soumises. J’ai alors banni mes pantalons et me suis achetée quelques jupes courtes, je suis retournée chez l’esthéticienne. Je l’ai laissé prendre les rennes à la maison, ce qu’il s’est empressé de faire. Très rapidement, on a fonctionné comme un "vrai" couple, à part que l’on n’avait pas de relations sexuelles. Il y a une année, la maison devenait trop petite. Ma fille aînée avait besoin de plus d’intimité et il lui fallait sa propre chambre. En attendant que la nouvelle maison soit construite, ma cadette a proposé que mon père dorme avec moi et que mon aînée prenne sa chambre. C’est ce que nous avons fait. Le premier soir, nous nous sommes retrouvés face à face, chacun d’un côté du lit, moi en longue chemise de nuit et lui dans son vieux pyjama. Ni l’un ni l’autre n’osait bouger. Mon père a alors dit, "nous y voilà, finalement". J’ai compris ce qu’il voulait dire. J’ai ôté ma chemise et ma culotte et me suis retrouvée nue devant lui. Il s’est lui aussi déshabillé et j’ai vu son merveilleux pénis en érection, tellement gonflé et plein de désir que j’ai fondu en larmes. Il s’est approché de moi et a doucement essuyé mes larmes avec des baisers, puis nous nous sommes embrassés sur la bouche, d’abord doucement, puis nos lèvres, nos langues et nos salives se sont unies et c’était délicieux. Puis il m’a dit, "Valérie, ma chérie, veux-tu être ma femme?". "oui, Pap... mon amour", ais-je répondu dans un souffle. Il m’a alors couchée sur le lit et m’a longuement embrassée et caressée. Ses mains et ses lèvres glissaient sur mon ventre, mes seins, mon cou, mes cuisses et ma chatte et je sentais un puissant désir monter du plus profond de moi, une excitation comme je n’en avais jamais connu dans les bras de mon mari aimé. Puis ses doigts ont exploré ma chatte humide et je l’ai supplié de venir visiter ma grotte toute chaude. Il ne s’est pas fait prié, me pénétrant avec empressement. Je n’étais pas encore tout-à-fait dilatée et j’ai poussé un cri de douleur. Il s’est aussitôt arrêté et est resté immobile, son gland juste à l’entrée de mon vagin, jusqu’à ce que je lui fasse signe qu’il pouvait à nouveau essayer. Au bout de 3 ou 4 tentatives, il était dedans et il s’est enfoncé doucement jusqu’au fond et il a commencé doucement à aller et venir. C’était comme un archet sur une corde de violon, je vibrais au rythme de son sexe, je devenais folle d’excitation. Il a adopté d’abord un rythme lent et continu. J’ai alors repensé à mon mari. Lui était très doux et mon intimité n’avait connu jusqu’à lors que son seul pénis. Celui de mon père était bien plus gros, plus dur, plus impérieux, il me possédait toute entière et j’aimais cela. Mon père sentit mon excitation monter et se mit à me pilonner avec plus de force. Je voyais qu’il se retenait et alors que je sentais que j’allais jouir, je lui ai dit, "Plus fort! Laisse-toi aller! Sois brutal!". Ses va-et-vient ont alors pris un rythme frénétique. Il me malaxait brutalement un sein puis l’autre. Moi, je remontais mes jambes au maximum, les cuisses bien écartées et je me cramponnais à son torse. Je crois que j’ai hurlé en jouissant, le sperme de mon père s’écoulant en moi, parce qu’il a plaqué une main devant ma bouche. Nous avons joui intensément, mais en silence. Je me suis blottie contre lui et lorsqu’il a voulu parler, je lui ai dit "Chut! on parlera demain", et je me suis endormie, épuisée.
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