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Jeune fille au pair

Chapitre 3

Divers
Le sexe de son professeur entrait et sortait de sa bouche juvénile. En regardant ses yeux ont voyait le plaisir qu’elle pouvait ressentir. Des yeux absents, vaporeux. Elle montait et descendait sur sa verge comme une femme, elle acceptait facilement ces 22 cm au fond de sa gorge. Cette queue qui était de plus en plus luisante de salive... J’étais comme une gamine en regardant ces images. Si belles et si perverses. Je venais à peine de commencer un travail de jeune fille au pair dans une famille que je pensais respectable et j’étais déjà en train de me plier aux volontés de la jeune déesse de la maison, qui m’infligeait des visions obscènes de sa bouche scellée autour de la queue d’un de ses professeur. Et je me retrouvais sans arme face à elle, car j’en étais déjà tombée amoureuse...
-Et juste après il a versé sa crème dans ma gorge.
Ces mots de Cynthia me propulsèrent dans la réalité à nouveau.
Elle retira d’un coup le mobile de mon champ de vision ( à ce moment j’ai cru que j’allais lui sauter à la gorge pour pouvoir voir la suite des images...) et dit : - Tu ne mérites pas encore de me voire avaler une pleine gorgée de sperme ! Elle éteignit son écran et se tourna vers moi, yeux bleus magiques grands ouverts.
— Tu n’oublies pas ton examen j’espère, belle Astrid ?
Voilà ; Moi la prof, la jeune fille au pair, qui devait normalement surveiller l’éducation d’une jeune fille et lui inculquer des repaires, voilà que JE devais passer un examen...
— Je, mais mademoiselle Cynthia (lui parler en ces thermes, qui étaient sortis d’eux-même de ma bouche, me rendait encore plus folle de désir pour son jeune corps) de quel examen parlez-vous ?
Elle fit un quart de tour vers la droite, fixant la seule fenêtre de sa chambre et me dit : - Tu connais déjà Ebo le jardinier non ?
Je suivis son regard et il se posa sur la carrure imposante du grand black que j’avais entre-aperçu à mon arrivée en ces lieux. Il était en jeans, torse nu, et il passait la tondeuse. Une grosse tondeuse rouge qui fumait et crachait. Je n’avais même pas fait attention au bruit de l’engin, perdue comme j’étais avec ma jeune diablesse. Maintenant que je le détaillais, il était magnifique. Au dessus du jeans il ne portait rien, un torse noir brillant sous les rayons du soleil, taillé dans le roc, des abdos puissants, moins fins que le bellâtre que nous avions regardé sur internet quelques instants plus tôt, mais une musculature ferme à la place. Il passait la tondeuse en ce temps radieux, et de fines particules d’herbe lui parsemaient le corps, mêlées à sa transpiration luisante...
— Je...oui, je l’ai vu en arrivant....
— Bien... Et tu crois qu’il en a une aussi grosse ?
— Euh une aussi grosse ? que quoi ?
— Que celle du mec sur le site idiote !

— Oh je, je n’en sais rien... Il est beau en tout cas...
Je n’en revenais pas, je parlais avec cette gamine comme si j’avais son âge. Mon cerveau ne réagissait plus normalement...
— Moi je parie qu’elle est grande et aussi plus épaisse.. Mmmhhh.
Cynthia s’était mise à plat ventre devant la fenêtre et elle suçotait ses doigts en regardant intensément Ebo, les bras harnachés à sa tondeuse. - Oh il me fait mouiller grave le salaud, dit-elle et une de ses mains se glissa sous son ventre pour se glisser dans son shorty.
— Oh Astrid... J’aimerai tellement le sentir au fond de moi... mmmhhhh.
Elle se caressais maintenant réellement, elle agitait son petit cul, toujours caché à moitié par ce t-shirt ridicule. Je voyais sa main se fourrer sous son ventre, et le mien devenait brûlant. Je ne savais que faire. Elle relevait son cul bien haut et je voyais sa main toute entière soulever ce bout de tissus « Hello Kitty ». J’en devenais folle. Quand tout à coup elle se retourna, se mit accroupie et me fixa de ses incroyables yeux bleus.
— Tu l’as ton examen belle Astrid !
— Je quoi ?
— Je t’explique. Ebo n’est chez nous que depuis deux mois et demi. Avant lui, le mec qui s’occupait du jardin était un vieux connard désagréable. J’ai fait le nécessaire pour qu’il se fasse virer, mais je n’ai pas eu à trop exagérer, ma mère ne l’aimait pas non plus, et on l’a soupçonné de nous voler du fric. Bref, pour le remplacer, ma mère a trouver Ebo. Et même si je la soupçonne de coucher avec lui dans le dos de mon père, je lui en suis reconnaissante, car je ne compte plus le nombre de fois ou je me suis soulagée la chatte en regardant son magnifique corps travailler... Mmhhhhhh Mais regardes-le Astride ! Et en disant cela elle me saisit par le menton et me redirigea vers son fantasme. Un fantasme noir, musclé, recouvert d’herbe et de sueur.
— Dis ça te fait pas envie ?
Je regardais cette nana, toujours une main dans son mini shorty (qui persistait à me cacher ses charmes), les yeux embrumés vers ce magnifique étalon black. Je décidais de jouer le jeu jusqu’au bout...
— Oui, il doit en avoir une belle ....
La jeune fille de mes rêves se retourna avec un grand sourire aux lèvres et me dit : - Voilà le sujet de ton examen jolie Astrid. Tu vas devoir descendre dans le jardin et parler à Ebo. Tu vas devoir lui dire que, lorsqu’il aura fini de s’occuper du jardin, il devra venir s’occuper du mien de petit jardin...Il n’aura pas besoin de le tailler, juste de l’arroser !
Elle me regarda droit dans les yeux, et à nouveau, fit courir sa langue autour de ses belles lèvres pulpeuses.
— Voilà presque trois mois que je fantasme sur sa queue en moi, dit elle avec une voix de petite fille suppliante. Mais je n’oserai jamais lui demander de venir me la mettre... Tu es l’alibi idéal Astrid ! Si il est choqué, c’est toi qui sera virée, ma mère ne croira jamais tes explications si ça devait en arriver jusque-là... à toi de faire le nécessaire pour qu’il accepte de monter dans ma chambre me baiser bien fort, mmhhh... Et si tu es bien sage tu pourras peut-être participer...
Je me tournai vers elle, estomaquée. Elle avait sorti les doigts de sa jeune chatte toujours dramatiquement couverte, et se les léchais goulûment en me fixant. Et ce qui m’énervait le plus c’était toujours de ne pas pouvoir dévorer son sexe du regard...
— Mais je, commencais-je, mais je ne pourrai jamais...
— A toi de voir ma beauté, soit tu y vas et tu es assez convaincante et tu le ramène ici pour qu’on puisse jouir comme de vraies petites salopes toi et moi, soit tu l’effraies et tu es virée, soit tu ne fais rien et JE te vire personnellement !D’un coup elle avait de nouveau ce regard noir, elle s’était redressée à genoux sur son lit et me fixait d’un air de défi.
— Alors tu choisis quoi mon amour ?
Ces mots m’avaient achetée. Cette petite garce était très forte.
— Et avant d’y aller, fais toi une beauté, tu es dégoulinante ma belle ! La salle de bain est par là.Elle me désigna un angle approximatif avec sa main, et ensuite se replongea dans la contemplation de son apollon nègre. Pleine de honte et d’excitation mélangées, je me précipitais dans la direction que ma "maîtresse" m’indiquait, Je trouvais la salle d’eau : magnifique série de vasques en pierres, un jacuzzi à même le sol et une immense douche pleine de jets futuristes. Je me mis en face du miroir et j’eu un choc : J’étais rouge comme une pivoine... et pleine de transpiration. On aurait vraiment dit que j’avais treize ans... Je me débarbouillais rapidement et m’aspergeais aussi un peu d’eau sous les aisselles et même dans ma culotte qui était plus chaude qu’un micro-onde. Ce faisant j’hésitais à me caresser un petit moment, mais mon esprit me ramena à l’ordre. Une claque sur chaque joue, et hop me dis-je, allons conquérir ce beau black !!!
Je rajustais encore mes habits et me dirigeais vers la porte principale. Je descendis l’escalier chancelante. Mon esprit était en feu. En même pas quelques heures je me sentais devenir une traînée, mais le pire c’est que j’adorais ça. Cette fille, Cynthia : je n’avais jamais vu être vivant plus beau qu’elle. J’étais devenue en quelques heures, folle amoureuse de sa gueule d’ange, et à présent je me devais de réussir son premier examen...
Une fois la grande double porte ouverte, je fus submergée par l’odeur de l’herbe coupée. Je descendis les dernières marches me séparant des jardins et, déambulant tel un zombie en jupe, me mis à la recherche d’Ebo le beau...Le bruit de la tondeuse me guida, et entre deux rayons de soleil éblouissants, sa carrure magnifique m’apparut au bout d’une allée. Il venait de faire taire son monstre de tondeuse et s’étira avant de me voir dans la lumière éblouissante. Je m’approchais, chancelante. Je me répétais dans ma tête ce que je devais, ce que je pourrais, ce que je ne devrais jamais lui dire...Heureusement c’est lui qui brisa le silence.
— Oh bonjour mademoiselle Astrid ! Alors comment ce premier jour chez les Rougemont !? Ca va ?En plus d’être un fantasme black, il avait une voix grave, très envoûtante...
— Je...euh, je m’y fait, je commence à connaître les membres de la famille...
— Bien bien...Il avait lâché la tondeuse et me faisait face, ces 1m90 de muscles respirant l’herbe fraîchement coupée. - Et comment ça ce fait que vous veniez me voir ? Envie d’un peu d’air frais déjà ?
Il était tellement imposant, j’étais à peine à 20 centimètres de son corps et je pouvais sentir un mélange d’herbe et de sueur musquée. De nouveau, ma chatte s’ouvrit d’un coup et un jet abondant de mouille vint s’écraser sur le tissus de ma petite culotte, je vacillais.
— Non, en fait (je pris mon courage à quatre mains), mademoiselle Cynthia se demandait si vous ne pourriez pas venir vous occuper de son petit jardin, lorsque vous aurez fini ici... Je baissais les yeux et ajoutais : - Il n’y aura pas besoin de la tondre, juste de l’arroser, je...
Son grand sourire plein de dents blanches se rétracta d’un coup.
— Quoi ? La jeune Cynthia ? Son petit jardin ? Mais de quoi vous parlez Astrid ???
Voilà, j’en étais sûre que ça se passerait mal, mon esprit était en mode pornographique et pervers depuis que j’avais posé les yeux sur le portrait de cette fille angélique dans la montée de cet escalier luxueux.... Mais la réalité me rattrapait. J’allais être dénoncée par le beau noir à Mme Rougemont pour mes propos indécents, et je ne reverrais plus jamais Cynthia... Je me mis à pleurer au milieu du gazon, entre deux statues de Bouddha, face à la montagne Ebo.
— Hey Astrid, me dit-il. Hey ne pleures pas ! C’est elle qui t’as demandé de venir me voir pas vrai ?
— Euuhhh oui oui c’est elle mais je...
— Pas de soucis à te faire ! Ça fait tellement longtemps que j’attends de pouvoir lui montrer ma queue ! Cette jeune nénette se trémousse tout le temps devant sa fenêtre pendant que je suis au boulot. Elle est diaboliquement belle non ? Il n’attendit pas de réponse de ma part et enchaîna : - Depuis que je suis arrivé ici, j’espère pouvoir la défoncer comme il faut cette petite garce...
D’un côté je fus rassurée par ses paroles, mais un peu effrayée aussi. Il avait tout à coup l’air différent, presque animal. Il avait mis une main sur son entre-jambe et se caressait en me regardant dans les yeux. L’odeur de son corps africain mêlé à celle de l’herbe coupée me rendait folle. Et son regard au fond de mes yeux, comme si il me suppliait de l’emmener vers sa proie...
Comme si j’étais sortie de mon corps, je lui saisi la main droite et lui dis - Si vous voulez bien me suivre monsieur Ebo... Et je l’entraînais dans l’entrée de la demeure.
Je le devançais dans les escaliers et je me surprenais moi-même à tortiller des fesses dans l’espoir qu’il me complimente sur mon cul. Il fit mieux que ça. Une de ses énorme mains se mit à me le peloter quand on montait les marches. Au lieu de me dérober, je me mis à gémir et à tortiller encore plus des fesses.
— Mmmmmhhhhh
— Je crois que je vais bien m’amuser aujourd’hui, dit-il satisfait. Et il continua a masser mon petit cul à travers ma jupe jusqu’à l’entrée de la chambre de Cynthia... J’étais au paradis...
Je pris une grande respiration.
— Mademoiselle Cynthia, je vous amène monsieur Ebo.
Et je poussais la porte de sa chambre pour la deuxième fois aujourd’hui.
Quand elle fut ouverte, nous furent tous les deux en état de choc devant la vision qui nous attendait ; Moi car je ne m’attendais pas à un quelconque changement, et Ebo car évidement, il ne s’attendait à rien !
Cynthia était sur son lit, a plat ventre, mais elle avait troqué le t-shirt bien trop large contre la tenue d’étudiante qu’elle arborait dans la vidéo obscène qu’elle m’avait infligée pour mon plus grand plaisir : petite jupette rayée bleue et blanche qui montait jusqu’à mi-cuisses, et chemisier blanc ouvert aux trois quarts jusqu’au bas de ses beaux petits melons biens fermes. Ses yeux nous regardaient comme a travers une autre dimension. Elle respirait l’envie de sexe à des kilomètres...
Je m’avançais, toujours avec Ebo à la main et je dis :
— Je vous amène un cadeau pour vos efforts dans vos études miss Cynthia. (je me surpris à dire ça avec naturel et même en adressant un clin d’oeil à l’intéressée)
— Ohhhh merciiii Astriiiid ! C’est un beau cadeau dis-donc ! Mais amenez-le près de moi et déballez le pour moi !
J’étais vraiment devenue un robot débordante de mouille et répondant aux ordres d’une gamine. Mais de cette gamine, j’étais devenue folle. J’avançais donc, traînant par la main le mastodonte black en fixant dans les yeux mon amour de jeune fille. Je me mis presque automatiquement à genoux, approchant encore Ebo du lit en poussant son cul musclé à travers son jeans vers le lit rond de ma maîtresse.
— Allez, déballes-le Astrid ! Cria-t-elle en tapant dans ses mains.
Et donc, sans me faire prier, je me saisi des boucles de la ceinture épaisse du jardinier et la défit tant bien que mal., puis je fit sauter un à un les boutons de son jeans. Ma tête était toute proche de son boxer. Les effluves épicées et enivrantes ne faisaient rien pour calmer ma petite chatte en manque. Cynthia s’était retournée et faisait face au sous-vêtement d’Ebo, a plat ventre sur son lit. Les yeux equarquillés de bonheur. C’est lui qui prit la parole le premier...
— Alors Cynthia, tu envoies tes employées me chercher ? Tu n’avais pas le courage de me demander en face de te baiser comme il faut ?!, tu me fais pitié !!!
Là ce fut au tour de Cynthia de changer de visage. D’ ingénue hyper-sexuée, elle se mut en véritable petite fille sans le mot. Intérieurement je jubilais...
— Non mais Ebo, je n’ai jamais pensé ça qu’est-ce que tu crois, je t’ai toujours apprécié en tant que...
— Ta gueule petite chienne ! Tu oses envoyer la pauvre, nouvelle employée me chercher pour venir t’enfiler car tu n’as pas le courage de te présenter toi-même ? C’est nul ! Saches-le !
Cynthia paraissait choquée, et par la réaction d’Ebo, et par la façon dont il s’exprimait. Elle ne l’avait jamais imaginé intelligent. Elle ne l’avait jamais imaginé être autre chose qu’un de ses fantasme... Elle était recourbée sur son lit rond dans sa tenue d’écolière avec les larmes aux yeux.
Je la connaissais à peine. J’en étais amoureuse folle. Voir ces larmes souiller ce visage d’ange, je ne pouvais pas le supporter. Je m’approchais d’elle, essuyais ses larmes et approchais ma bouche de son oreille pour lui murmurer : - Vous voulez toujours que je déballe votre cadeau Cynthia ? Et d’un coup, elle tourna sa tête vers moi et murmura presque en suppliant : - Oui s’il te plait Astrid....
Je me relevais d’un bon et, à son oreille, chuchotai au géant black : - Tu veux la baiser ? Alors sois correct et on sera très gentilles avec toi ok ?
Le regard noir d’Ebo se mut en sourire étincelant. Je me mis à genoux et déboutonnai son jeans. La sueur et l’herbe me montait aux narines c’était très érotique... Une fois le jeans en bas je me trouvais devant un boxer bleu marine de bon goût que je voyais déformer par ce qui semblait être un bel attirail.D’un coup Cynthia parût avoir oublié l’humiliation et se manifesta à nouveau envers moi comme la maîtresse vicieuse que j’espérai retrouver tout au fond de moi.
— Ok, maintenant, baisses son boxer avec la bouche Astrid hop hop hop !
Je levais les yeux sur cette diablesse, elle était à genoux sur son lit, une main fourrée sous sa mini jupe d’écolière et elle me fixait les yeux brillants.
— Vas-y Belle Astrid, tu en crève d’envie !!!
Cela ne pouvait être plus vrai : Mon corps, mon ventre, ma chatte et mon cul brûlaient devant ce corps offert. Je me mis donc à terre, sur la moquette de la chambre et, en plantant mes yeux dans ceux de la montagne Ebo, agrippais l’élastique de son caleçon. Et d’un coup de mâchoire plus assuré, je saisi une plus grande portion de tissus. Je descendis ma bouche en serrant bien fort le caleçon, et mon visage passa devant des poils pubiens bien fournis et plus bas je découvris centimètre par centimètre, l’énorme bite du jardinier. Une fois son boxer sur les chevilles je me redressais et contemplais, l’air niais ce beau bout de chair qui pendait entre ses jambes.
Pendant quelques secondes nous sommes restées interdites devant cette grosse bête. Puis, évidement c’est Cynthia qui prit les devants.
— Donne la moi à téter Astrid, donne la moiiii !!! La belle s’était redressée à la vue de l’engin et elle approcha sa bouche pulpeuse tout prêt du point de non retour.Je levais mon regard vers Ebo qui me sourit de toutes ses dents. Je saisis donc son membre et le dirigeais doucement jusqu’aux lèvres de Cynthia. Moi qui, il y’a même pas deux heures, m’offusquais de voir une vidéo de cette fille en pleine félation avec son professeur d’anglais, là c’est comme si j’allais la nourrir avec une énorme queue black.
Je saisi le boudin de chair frétillant et dirigeai inexorablement le gland luisant vers la bouche de ma Cynthia. Sans se faire prier, la garce l’engloba de sa bouche rosée, et ce d’un coup.
Et c’est là que je compris vraiment que ma vie d’avant était terminée et que je lui appartenais.Tandis qu’elle ouvrait la bouche au maximum pour gober le gland d’Ebo, en lui caressant les cheveux je lui dit : - Doucement mademoiselle Cynthia, ne vous étouffez pas. Vous n’arriverez jamais à manger ça toute seule, me permettez-vous de me joindre à vous ?Toute absorbée qu’elle était avec le gland rosé de son jardinier, elle tourna seulement des yeux vitreux vers moi et me murmura un : - Hum Hum, avant de se replonger à sa tâche.
En une seconde j’eus ma main autour de cette merveille de la nature et ma bouche sur son côté. Je suçais, mordillais cette verge, avec, toujours les yeux fixés sur le spectacle indicible de Cynthia, de MA Cynthia, affairée à suçoter le bout turgescent de l’employé de maison. Je fis quelques allers-retours et fus attirée d’un coup par sa paire de couilles démesurées. je les pris à pleines mains, les cajolais, et les gobais une après l’autre. Je ne pouvais plus retenir mes gémissements. J’étais devenue chose de sexe, chose de cul, au bon vouloir de cette compagnie dépravée, et j’en redemandais. Je pouvais sentir régulièrement la salive de ma belle couler jusqu’à ma bouche à moi, je n’en perdais pas un millilitre. Douce, parfumée, mmmhhh, un délice infernal...
Alors que nous étions en pleine action et que rien au monde ne paraissait pouvoir nous en détacher, la voix grave et autoritaire du jardinier nous rappela à l’ordre.
— Oooohh les filles, vous êtes douéééeesss mmhhhh. Laissez retomber la pression, sinon je vais vous asperger trop vite ! Ce disant il se recula un peu et nous laissa, penaudes sur le lit.— Je vous trouve bien trop habillées mes belles cochonnes, si vous vous délaissiez de vos atours pour le grand Ebo ? Déshabillez vous l’une l’autre pour moi mes chattes !!!
Non seulement il nous avait coupées dans notre élan, nous laissant la bouche pleine de bave, mais en plus il s’exprimait de mieux en mieux, ce con était vraiment très intelligent. Cela rajoutait énormément à son charme animal. Sans nous en rendre compte, comme dans un ballet mécanique, nous nous retrouvèrent, Cynthia et moi, l’une face à l’autre. Les yeux dans les yeux. J’étais aux anges, enfin j’allais pouvoir me délecter de ce corps qui me rendait dingue en pensées. Et elle aussi semblait d’un coup subjuguée en me dévisageant... Je voulais faire sauter les boutons de son chemisier et gober ses seins, retourner sa jupette et enfiler tous mes doigts en elle comme une folle, mais je ne pouvais pas bouger un seul membre, j’étais tétanisée par cette situation et surtout par cette beauté adolescente qui me faisait face.
C’est forcément elle qui fit le premier pas...
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