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Jeune salope sans culotte à l'aéroport

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Madison et je suis une étudiante américaine de 24 ans. J’ai l’esprit aventureux et aime les expériences en tout genre... Je refuse rarement un nouveau truc à tester !
Cet été, des amies de ma fac partaient en road-trip en Thaïlande et m’avaient proposé de me joindre à elles. J’aimais beaucoup trainer avec ces filles, on se complétait bien : trois bombes à la drôle de dames, chacune un style différent ! J’assurais pour ma part le rôle des petits seins rebondis et des cheveux noirs, souples et sensuels. A nous trois, on laissait rarement un seul mec indifférent... Et on aimait ça. Le regard des mecs sur nous nous électrisait, nous donnant envie d’aller toujours plus loin dans la provocation, histoire d’en mettre plein la vue... et plus si affinités ! Donc partir draguer à l’autre bout du monde avec elles, c’était carrément le pied.
Seulement voilà, suite à un problème de valise, j’avais du prendre un autre avion et je débarquais seule à Bangkok, la capitale de la Thaïlande, dix heures après mes copines... Et nos bagages. La moiteur du climat local me fit vite enlever ma petite veste, ne laissant qu’un débardeur crème mouler mes formes. Par chance, j’avais opté pour une jupe courte et noire, histoire d’être à l’aise. Je trouvais mon ensemble plutôt sexy, et je crois bien que les autres voyageurs aussi ! Plusieurs touristes s’arrêtaient même avec leurs valises pour me regarder un instant. J’étais d’autant plus excitée par l’effet que je produisais que je me demandais s’ils devinaient la cerise sur le gâteau... En effet, j’avais retiré mon string dans les toilettes de l’avion, incommodée par les frottements du tissu tout au long des heures interminables de vol. Il était bien mieux glissé dans mon sac à main, et ma petite chatte épilée pouvait enfin respirer !
Perdue dans mes pensées, je me sentis tout à coup bousculée et poussée vers l’avant. Un homme m’arracha mon sac Tout ce que je n’eus le temps d’en voir était qu’il me semblait être de taille moyenne et que ses cheveux tiraient plutôt sur le sombre... J’étais dans de beaux draps ! Plus de téléphone, de carte de crédit... Ni de string de rechange ! Je rougis intérieurement. J’étais coincée dans un pays inconnu dont je ne parlais pas la langue et je n’avais plus de téléphone ni de monnaie pour contacter mes amies. Sans réfléchir davantage, je fonçais sur les traces de mon voleur, courant dans les couloirs de l’aéroport aussi vite que mes talons le permettaient. Bien sûr, il avait pris de l’avance, et ma tenue n’était pas très appropriée à un sprint : mes seins menaçaient de glisser par dessus mon débardeur à chaque enjambée tandis que mon intimité risquait d’être exposée à tout moment... Lorsque je m’arrêtais, essoufflée et certaine d’avoir perdu mon voleur de vue, je constatais surprise que cette étrange course poursuite m’avait curieusement un peu plus excitée encore. Courir en mini-jupe et sans sous-vêtements me faisait donc mouiller, découverte intéressante !
— C’est à vous ?
Je me retournais. L’homme qui venait de m’apostropher en anglais se tenait dans un coin reculé de l’aéroport... Et il agitait mon string en dentelle comme s’il s’agissait d’un vulgaire jouet. Toujours impulsive, je bondis sur lui, sans plus réfléchir, et lui demandais de me le rendre.
L’homme rit et cacha le string dans son dos en déclarant que pour ça, il allait falloir que je sois très gentille, et que vu ma tenue, c’était certainement dans mes habitudes. J’étais surprise par son accent américain parfait et son sourire à la fois espiègle et charmeur. Son effronterie dans un moment pareil m’excitait. Avait-il ramassé le string, tombée de mon sac ? S’agissait-il du voleur lui-même ? Je m’en moquais désormais, bien trop occupée que j’étais à me pencher à sa droite, puis à sa gauche, pour tenter de récupérer mon bien... Tout en sachant que je n’y arriverais pas. A chaque fois, l’inconnu esquivait ma main, la détournait sur son corps, se rapprochant de moi sans cesse. Nous finîmes collés l’un contre l’autre au fond du recoin, et je tentais le tout pour le tout en plaquant ma main sur son entrejambe. Nullement désarçonné, l’homme m’embrassa tout en glissant sa main sous ma jupe, comme pour vérifier que le string manquant m’appartenait bien. Il n’allait pas être déçu. Déjà mes lèvres gonflées s’écartaient pour le laisser me pénétrer d’un, puis deux, puis trois doigts explorateurs, aussi avides de découvertes que moi. Je me laissais aller en arrière contre le mur, cambrée et offerte à ce contrôle d’identité un peu spécial... Avant de reprendre à mon tour les choses en main. Je m’agenouillais et extirpais le sexe de l’inconnu avant de me jeter dessus comme si le retour de mon sac en dépendait. Coincée entre le mur et les couilles de celui qui pouvait aussi bien être mon voleur, je me laissais aller à toutes mes envies réfrénées lors du trajet. Quitte à faire un atterrissage étrange dans ce pays, autant en profiter non ?
Brusquement, l’homme me releva sans me ménager et me retourna contre le mur. Il releva brutalement mon débardeur, plaquant mes seins aux tétons durcis contre les briques froides et me pénétra sans attendre. Cette levrette avait un goût exotique que je n’avais encore jamais connu, un vrai régal. Etre prise par un étranger était un fantasme à mon goût, et le faire dans un lieu public m’excitait plus encore. Et je sentais à son sexe bien bandé qui me ramonait la chatte par secousses brutales que je n’étais pas la seule dans ce cas ! Je sentais tout mon corps se tendre tandis qu’il m’écrasait un peu plus contre le mur, à la merci de ses coups de butoir. A vrai dire, je ne pus retenir un râle de plaisir tellement l’orgasme qui m’atteignit fut fulgurant. J’en avais rarement eu d’aussi bons et rapides à la fois. L’homme m’engueula et me dit que j’allais attirer l’attention à faire autant de bruit, et que pour la peine il valait mieux m’occuper la bouche. M’empoignant à nouveau, il me dirigea la tête sur son sexe, prêt à exploser. Je l’emprisonnais à nouveau de mes lèvres avides, tout en me masturbant pour combler le vide laissé en moi. Je voulais le faire venir, là, tout de suite. Je voulais sentir son sperme, essayer de deviner à son goût s’il aurait pu s’agir de celui d’un voleur. C’était impossible, bien sûr, mais mes fantasmes ne me répondaient plus vraiment. J’étais une salope, seins à l’air dans un aéroport occupée à sucer un inconnu pour récupérer un vulgaire string. Fébrile, je léchais donc vigoureusement le dard planté en moi, tremblante d’excitation. Tout à coup, la chaleur de son éjaculation se répandit en moi... Et sur moi, puisque l’homme se retira juste à temps pour recouvrir une partie de mon visage de foutre épais et visqueux. Je commençais à le lécher, et alors qu’il n’en restait plus que sur des parties inatteignables par ma langue, l’homme sourit et acheva de me nettoyer le visage... Avec mon propre string. Je me relevais, vaguement titubante après autant d’émotions fortes, et l’homme me pris par l’épaule pour me retourner, plus doucement cette fois. Mes deux amies étaient là, dans l’aéroport, un large sourire sur les lèvres. Dans la voiture, Patricia m’expliqua que c’était son idée d’avoir envoyé son ami John, lui aussi invité, pour m’accueillir. Elle pensait qu’entre étudiants américains « ouverts » on se seraient bien entendus.
Après un échange de regard avec John, j’étais à présent convaincue que non seulement c’était une sacrément bonne idée et que je pouvais compter sur de telles amies... Mais aussi que nos vacances seraient mémorables. Quand à mon sac, je m’en souciais alors bien peu !
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