Notre long trajet se termine, et on se retrouve tous les trois chez ma petite copine. Quand je dis tous les trois, il y a:— Anne-laure, ma jeune ex-coiffeuse de 25 ans, et avec qui je baise une fois par semaine.— Camille, une jolie salope de 22 ans que l’on a prise en stop, et qui nous a fait passer un très agréable voyage.— et moi, un vieux vicieux de 60 ans. Dès que l’on a embarqué Camille, Anne-laure s’est faite passer pour Patricia, ma nièce, celle là même dont je lui ai parlé, avec qui il ne s’est jamais rien passé, mais que je rêve de me faire. Elle m’a balancé du tonton toute la journée, m’a tutoyé pour la première fois, forcément, et n’a pas arrêté de m’allumer. Elle a en plus une petite ressemblance avec ma nièce, j’ai entendu trente-six fois son prénom, je l’ai prononcé moi même plusieurs fois et je me suis persuadé que c’est elle qui est là.On a prévu de baiser tous les trois, et on tout prêt à commencer, Camille, moi et PATRICIA. A peine arrivé chez ma nièce on commence par une douche, chacun son tour. Je sors le premier, en short et torse nu, et m’installe au bout du canapé. Camille me rejoint bientôt avec juste une petite culotte. Patricia nous sert à boire, puis revient elle aussi, vêtue comme sur une photo que j’ai d’elle: tee-shirt moulant, pantalon bien serré et talons hauts. Je la félicite, lui dit qu’elle est trop belle, trop bandante, puis lui demande de se déshabiller lentement, lascivement, comme un striptease, un nu intégral.Elle nous tourne le dos pour ne pas voir ma queue, pas déjà, l’imaginer encore, et commence son effeuillage. J’enlève mon short et Camille s’allonge pour me sucer. Je passe ma main dans ses cheveux, la caresse gentiment, mais surtout je mâte ma nièce de mes yeux exorbités. Elle a enlevé son tee-shirt et son pantalon, et roule lentement un de ses bas autofixants avant de l’enlever en même temps que sa chaussure qu’elle remet aussitôt. Le deuxième bas suit et elle est en culotte et soutien-gorge, une culotte petit bateau, très sage, trop sage, mais tant pis. Elle se déhanche pour la retirer, comme elle l’a fait pour son pantalon, la salope: elle a un string en dessous qui m’empêche de voir sa chatte, alors qu’elle a les mains aux chevilles, jambes tendues. Le soutien gorge disparait lui aussi, et c’est enfin au tour de son string. Elle est toute nue, penchée en avant pour le passer aux pieds. Je bande comme un âne:— Ne bouge plus, ne bouge plus salope, tu es trop belle.Je me lève, et viens me coller à elle, me frotter à elle.— Oh, Patricia, salope, tu ne peux pas savoir depuis combien de temps j’attends ce moment. Il est beau ton cul, il est bien ferme, il est chaud. Tu la veux toujours la grosse bite à tonton?— Oui tonton, mais pas à sec s’il te plait, il faut m’ouvrir un peu avant et me lubrifier. — Mais bien sûr ma chérie, ne t’inquiètes pas, je ne suis pas un sauvage, et je ne veux pas non plus m’abimer la queue. Je vais te préparer, et puis non, c’est Camille qui va le faire, elle doit aimer ça cette coquine. Oui, c’est ça, elle va s’occuper de ton fion et tu vas t’occuper de ma queue. Elle s’installe à quatre pattes en travers du canapé, le cul au bord. Je m’assois au milieu, ma bite à portée de sa bouche, et Camille s’agenouille au pied du canapé, face à son cul. Elle enfouit son museau entre les miches de ma nièce qui a déjà entrepris sa gâterie:-Oh, Patricia, tu suces bien, j’étais sûr que tu aimais la queue, salope. Pompes moi ma nièce, fais moi bander dur et je vais t’enculer comme tu le mérites.Je pose mes mains sur sa tête et elle ne peut se dégager pour me répondre. Je m’adresse maintenant à Camille:— Tu as l’air de l’aimer son cul, petite cochonne?— Oui, il est trop bon son petit trou.— Régales toi, mais n’oublies pas de me prévenir quand elle est prête, il me tarde de l’enfiler.En quelques minutes elle est prête et on va pouvoir passer au choses sérieuses. On se lève, on fait le tour du canapé, et elle reste debout, penchée en avant pour prendre appui sur le dossier. Camille écarte ses fesses et je n’ai plus qu’à plaquer mon gland sur sa rondelle ouverte, et pousser. Je m’enfonce d’un seul coup, bien profond, je l’embroche comme un vulgaire morceau de viande, lui arrachant un petit cri dont je me fous. Je me mets en mouvement et la matraque:— Salope Patricia, salope de nièce, tu te rends compte si on nous voyait. On penserait que j’abuse de toi, alors que c’est toi qui a insisté pour avoir la bite de ton oncle entre tes fesses. Tu es une salope ma nièce, une garce, une vicieuse, une putain, et je vais te faire payer ta perversité.— Oui tonton, je suis une nièce incestueuse et je mérite d’être punie.
— Mais qui parle de punition, la punition ce serait si je ne t’enculais pas. C’est une récompense que je t’offre, une récompense dont tu vas te souvenir longtemps tellement je vais te casser le cul.— Oh oui, tonton, c’est le plus beau cadeau que tu ne m’as jamais fait.Je la lime sauvagement, et Camille intervient:— Ouah, ce que tu lui mets, retires toi, je veux voir son trou.— Pour le lécher encore, morpionne!— Oui, si tu veux bien sûr, mais aussi pour sucer ta queue.— Ok pour son cul, mais pour ma queue j’aimerais bien mais c’est non. Je veux que ce soit ma pute de nièce qui me la nettoie.Patricia parvient à aligner quelques mots entrecoupés de soupirs et gémissements pour me dire qu’elle n’aime pas sucer après s’être faite sodomiser, qu’elle ne veut pas. Ma réponse est immédiate:— Mais je m’en fous de ce que tu veux ou pas, tu as voulu baiser avec moi et on va le faire à ma façon. Je vais t’utiliser comme un vide couilles et tu vas pomper ma queue parfumée à ton trou à merde..— Non tonton, s’il te plait.— Trop tard ma salope, il fallait y penser avant. Tu vas être ma pute soumise, et je vais t’éduquer un peu plus à chaque fois. — Non, il n’y aura pas d’autre fois. C’est juste c...Je ne lui laisse pas finir sa phrase et la relève par les cheveux pour lui parler sèchement à l’oreille:— Ecoute moi bien salope de nièce, je veux que tu sois ma pute, pas la pute d’un jour, la pute de tous les jours. Alors tu vas répéter ce que je te dis et surtout le mettre en pratique.Elle ne se rebelle plus, et répète docilement:— Oui tonton, je vais être ta putain offerte et gratuite, et je ferais tout ce que tu veux comme une chienne obéissante.Je continue à la sodomiser profond en me retirant de temps en temps pour souffler un peu et permettre à Camille de s’empiffrer de ce trou béant qu’elle lèche le plus loin possible:— Tu aimes le cul, petite chienne?— Oui, j’adore tout ce qui est anal.— Tu broutes les mecs aussi?— Je ne l’ai jamais fait, mais si tu veux, pas de problème.— Pourquoi pas, on verra plus tard. Tu te fais enculer?— Oui, heureusement, il n’y a rien de meilleur qu’une grosse bite dans le cul. Tu vas me le prendre j’espère.Bien sûr que je vais me le faire son petit trou, mais d’abord il faut que j’en termine avec ma nièce. Je lui donne mon dernier assaut, y mets toutes mes forces, puis me retire:— Tournes toi putain et suces moi. Et ne t’avises pas de refuser, ou tu en prends une. Elle s’exécute docilement, un peu hésitante au début, puis elle se déchaine sur mon manche, tandis que l’on se roule des pelles avec Camille qui s’est relevée. Je vais bientôt jouir et préviens Patricia en lui conseillant vivement de tout prendre et tout avaler. C’est ce qu’elle fait avec talent. J’ai promis à Camille de la sodomiser elle aussi, mais il faut que je reprenne des forces. On va à la chambre et les filles vont se gouiner sous mes yeux. Camille qui a l’expérience des femmes prend les commandes, et Patricia se laisse faire, se laisse diriger. Elle y prend un réel plaisir, et n’hésites pas à prendre des initiatives très vite. Je fais le tour du lit, la queue à la main, pour les mâter sous toutes les coutures. Elles se caressent, elles s’embrassent, se masturbent, se lèchent, pour m’offrir un merveilleux spectacle. Je les encourage, leur adresse des obscénités et insultes, et je me branle, je m’astique le manche, mon sport favori. J’aimerais les voir s’enfiler et m’adresse à elles:— Il n’y pas une des deux qui a un gode par hasard?Camille me dit que non, elle en a un mais l’a laissé chez elle, et c’est au tour de Patricia de répondre:— Moi j’en ai un tonton, un gode ceinture.— Un gode ceinture! Et il te sert à quoi puisque tu ne baises pas avec des filles?— C’est pour un homme qui vient me voir, un vieux gros porc qui aime se faire mettre. Il vient tous les lundi cet enculé et je peux te dire que la prochaine fois je vais me venger de tout ce que tu m’as mis, il va prendre cher ce fumier.— Ca devrait lui plaire s’il aime ca. mais en attendant va le chercher et baisez vous.Elle s’en mette plein la chatte, chacune son tour, et je me branle sans interruption. Je bande dur à nouveau et je vais pouvoir me farcir notre autostoppeuse. Mais avant de la pénétrer je veux qu’elle me suce, et que Patricia la prépare à me recevoir. Ma nièce ne veut pas et je dois lui rappeler la situation: elle est ma pute soumise et doit tout accepter. Je lui conseille de s’exécuter sans faire d’histoires ou sinon je lui fais bouffer de force, et mon cul en prime. Camille gémit, dit que c’est bon, et je sais que ma nièce a pris la bonne solution.Je me branle toujours, sous les yeux de Camille, et lui exhibe mon engin:— Regarde cette trique que je me tiens, vous me faites trop fait bander mes salopes.— Oui, elle est belle ta queue, ça va faire du bien de la prendre.— Je l’ai rarement eu aussi grosse, tu n’as pas peur pour ton petit trou?— Non, ne t’en fais pas, j’ai un cul qui prend tous les calibres. Je n’ai pas encore trouvé une bite qui lui fasse peur.— Tu as essayé les blacks?— Non, je n’ai pas eu l’occasion. Et puis je crois qu’ils ont surtout des longues queues, moi c’est l’épaisseur que je cherche.— Et la double sodo?— Ca m’arrive d’y penser, mais j’hésite, et puis il faut trouver deux hommes d’accord.Elle cesse de parler et me prend en bouche. Patricia a l’air de se régaler entre les fesses de la petite, elle doit être prête depuis longtemps, mais je laisse faire, ça semble arranger tout le monde: Patricia qui découvre un nouveau plaisir, Camille qui a deux partenaires pour elle, et moi qui me repose en me faisant pomper comme un roi fainéant. On met fin à cette position et je me lève pour venir derrière ma future monture qui est à quatre pattes au bord du lit. Patricia écarte ses fesses, comme Camille l’a fait pour elle auparavant, et je peux constater qu’elle a fait un excellent travail en voyant une rondelle super dilatée. Je m’enfonce sans hésiter et la lime comme un bourrin. Je l’encule aussi longtemps et aussi fort que pour ma nièce, puis je finis dans sa bouche. Je décharge et elle engloutit tout. Il est bientôt 21h et on n’a pas mangé. Ma nièce a des plats surgelés et ca fera l’affaire. On dine, on discute, et je rappelle à ma nièce mon intention de la revoir:— Je vais te laisser tranquille cette semaine, mais tu prévois déjà de me recevoir le week-end prochain. Je me ferais ta chatte, en plus de ta bouche et de ton cul.— Ah non tonton, désolée, mais ça ne va pas être possible.— Tu ne vas recommencer, je te ...— Ne te fâches pas tonton, mais c’est juste que j’aurais mes règles.— Eh alors, tu ne seras la première à baiser dans ces conditions.— Mais c’est dégueulasse, surtout pour toi. — Ne t’en fais pas pour moi, je veux ta chatte et je l’aurais, même si tu saignes, même si tu pisses.— Excuses moi tonton mais tu es un beau cochon.— Oui je sais, et plus que tu ne le penses. Alors, tu es d’accord.— Oui, si tu veux. Tu l’as déjà fait?— Non, mais je suis sûr que l’on va s’éclater. On passe à autre chose, puis elle nous dit qu’elle est fatiguée et souhaite dormir. Je refais ma proposition à Camille: soit je l’emmène maintenant à sa destination, soit elle dort chez moi et je l’accompagne demain. Elle choisit la deuxième solution, d’un air malicieux, cette petite salope.On quitte notre hôtesse et on s’en va. A suivre..............
