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Jeune et salope, une autostopeuse comme je les aime

Chapitre 3

Hétéro
On a passé une chaude journée avec Camille et Anne-laure, et si ma coiffeuse est fatiguée, mon autostoppeuse a envie de jouer les prolongations. Elle accepte de passer la nuit chez moi, et que je la ramène le lendemain. On est à la chambre, on se déshabille, et elle lorgne ma bite molle:— Tu vas rebander j’espère?— Tu as encore envie de baiser?— Oui, vous m’avez mis le feu avec ta nièce. Je te revois en train de lui démolir le cul, et j’ai envie.— Mais tu as eu ta part toi aussi!— Oui, c’est vrai, tu m’as enculée, très bien d’ailleurs, mais mon cul a toujours faim, il n’en a jamais assez.Je lui promets de lui remettre une bonne ramonée, mais pas de suite, il faut que je récupère.
On se couche, à poil, et j’éteins la lumière. On est en chien de fusil et elle vient se blottir, se lover contre moi. Je passe mon bras par dessus elle et je la maintiens collée à moi. On discute en attendant que ma forme revienne:— Tu repars quand chez toi?— Dans trois semaines.— Ca te plairait que l’on te raccompagne. On pourrait s’amuser en voiture, et puis on pourrait aller voir un ami que l’on a là-bas pour une baise à quatre. Elle semble intéressée mais suppose que l’on a déjà baisé tous les trois, ma nièce moi et notre ami, et a du mal à comprendre, puisque Patricia s’est offerte à moi, aujourd’hui, pour la première fois. Il est temps que je rétablisse la vérité.
Je lui explique alors que Patricia s’appelle Anne-laure, que ce n’est pas ma nièce mais ma coiffeuse, que l’on fait l’amour ensemble tous les deux, et qu’elle a inventé ce jeu de rôle pour s’amuser, pour m’allumer. Elle a un oncle avec qui elle baise aussi, et ça ce n’est pas du bluff, c’est la vérité. Son oncle est bi, moi aussi, et on a passé un long week-end de débauche tous les trois. C’est de chez lui que l’on revenait quand on l’a prise en stop. Je rajoute aussi, et ça lui fait un grand plaisir, qu’Anne-laure n’a jamais connu de fille avant elle, qu’elle est sa première expérience, et que je la connais assez bien pour savoir qu’elle a aimé ça, peut-être pas au point de recommencer avec une autre, mais sans aucun doute avec elle.Elle est partante pour ce bon plan, et il faudra qu’Anne-laure appelle tonton, après que je lui ai donné le scénario que l’on va mettre au point avec Camille.Ces quelques premiers échanges ,ajoutés à son corps plaqué contre le mien, me mettent la bite en émoi. Elle sent ma raideur renaissante contre ses reins et passe sa main dans son dos pour se saisir de mon manche et me branler. Je durcis rapidement et elle me supplie de la prendre, par derrière bien sûr, par le derrière. Je glisse mes doigts dans sa chatte que je sais dégoulinante, pour les lubrifier, puis je doigte sa rondelle. Elle est aussitôt ouverte et je lui plante ma bite dans le cul. Je la lime en douceur, en même temps que l’on fignole notre petite partie chez Philippe, l’oncle d’Anne-laure.Je lui explique qu’il préfère les hommes aux femmes, qu’il fait une exception pour sa nièce, mais qu’il voudra bien s’occuper d’elle dans une partie à quatre. On imagine alors au moins deux nuits et un jour: une nuit où elle couchera avec moi, et tonton avec sa nièce - une nuit où elle couchera avec Anne-laure, et moi avec son oncle - une journée où on baisera à quatre, et où elle pourrait avoir une double sodomie pour satisfaire son cul insatiable.On a planté le décor, espérant que nos deux complices seront d’accord, et on va se concentrer sur notre baise. J’accélère mes mouvements pour son plus grand plaisir:— Oui, c’est bon ta bite.— Ca te plait une grosse queue dans le cul? Salope!— Oui, c’est trop bon, mais tu dois savoir ce que je ressens, salaud.— Oui, tu as raison, j’adore ça moi aussi. Tu es toujours d’accord pour me brouter le fion?
— Avec plaisir, mais d’abord tu t’occupes bien de mon cul. Je veux que tu me le défonces, et je veux sentir ton sperme s’écouler entre mes reins.— J’aurais aimé finir dans ta bouche, mais si tu veux on peut se faire un final cochon, comme je les aime.— Dis moi ton truc, je suis prête à tout.— Je décharge en toi, je t’inonde, et on se fait un 69. Tu me nettoies la queue et je ne nettoie le cul. Je récupère mon foutre sans l’avaler et puis on se roule une longue pelle gourmande et tu avales petit à petit.— J’en ai connu des vicieux, mais tu es le pire de tous, Ca m’excite ton plan, salaud, vas-y, je suis ta pute soumise, ta chienne obéissante, comme ta soi-disant nièce. Je peux jouer son rôle moi aussi, ça a eu l’air de te plaire.Elle est maligne cette petite salope, elle sait que ça va m’exciter de penser à ma nièce. Je me déchaine, et je lui matraque le cul jusqu’à enfin éjaculer à l’intérieur et l’inonder de ma sauce. Je rallume la lumière et on termine comme prévu.
On est ravi tous les deux d’être aussi salopes et de s’assumer.J’ai satisfait son cul, et c’est à son tour de s’occuper du mien.
Je suis à quatre pattes sur le lit, la tête appuyée sur l’oreiller, et je m’écarte largement les fesses:— Eh, mais il tout poilu ton cul!— Excuses moi, si j’avais su je me serais rasé.— Non, ce n’est pas ce que je veux dire, c’est juste que je ne connais que le cul de filles, bien rasé. Mais elle est magnifique ta raie avec tous ces poils. Ca m’excite, et tes couilles aussi, tes grosses couilles qui pendent.Elle a à peine fini sa phrase que je sens son museau s’enfouir dans mon sillon, et sa main s’emparer de mes boules flasques après avoir tant joui. Sa langue parcourt ma fente, s’attarde sur mon œillet, tandis que sa main tripote mes couilles, les pelote, les masse, les pétrit. Elle dégage sa bouche, puis me tâte la rondelle:— Je peux te mettre un doigt?— Oui ma chérie, et même plus, tous les doigts que tu veux.Elle enfile un doigt, deux, trois, je ne sais pas, mais je sais qu’elle m’a assez ouvert pour enfouir sa langue gourmande. Elle me lèche le trou et me branle en même temps. Je gémis, l’encourage, et elle veut aller plus loin:— Tu aimes ça salaud, il est bon ton cul. Je vais te faire bander encore, puis te baiser. — Je veux bien, mais il va falloir que tu sois très douée pour me refaire triquer.— Et un bon petit fist, ça pourrait t’aider.J’accepte sa proposition et elle me fait me mettre sur le dos, les jambes relevées et que je maintiens en l’air, l’oreiller sous les reins pour soulever mon cul, mieux l’offrir à ses envies. Elle me fouille à nouveau et commente l’avancement des travaux. Trois doigts, la langue, quatre doigts, la langue, la paume de la main, la langue. Elle s’assure que tout va bien puis rajoute le pouce, et c’est la main entière qui disparait dans mon cul. Je grogne comme un porc, lui dit que c’est trop bon, l’encourage à bien me fouiller:- Humm, c’est bon Camille, meilleur qu’ Anne-laure qui m’encule. Fouilles moi ma chérie.— C’était toi le gros porc dont elle parlait et qui va prendre cher la prochaine fois?— Oui j’ai bien reçu le message et il me tarde. Mais en attendant je suis à toi, dis moi que je suis ton gros porc, ta pute, ta salope, ta chienne.— Et pourquoi des insultes au féminin? Vous êtes pire que nous. Tu es un salaud, un vicieux, un porc, un chien, un enculé. J’en ai connu des pervers, mais jamais comme toi. Jamais un mec ne m’a offert son cul, tu es un putain de sa race.— Oui, c’est bon mon amour, insulte moi, défonce moi le cul, traite moi comme la dernière des trainées; oh pardon, comme le dernier des vicelards.Elle a sa main bien enfouie, ferme le poing, et le tourne pour frotter mes parois; je mouille tellement c’est bon. Elle regarde ma bite toujours molle et m’ordonne de me branler. Je voudrais bien, mais ce n’est pas évident en me tenant les jambes relevées. On fait une mini pause et je vais chercher de quoi m’attacher les chevilles à la tête du lit; elle en profite pour prendre un préservatif dans son sac. On se remet en place et j’ai les mains libres pour m’astiquer le manche tandis qu’elle me fiste à nouveau.— C’est pourquoi cette capote?— Tu vas te branler salaud, et quand ta queue sera en forme je vais te baiser. Ma bouche et mon cul connaissent bien ta bite, mais pas ma petite chatte. Et de la façon dont elle mouille elle en a très envie. Et toi, tu en as envie?— Oui, mais je préfèrerais sans capote. J’ai envie de sentir ta chair sur la mienne, ma chair dans la tienne.— Moi aussi, salaud. je vais te baiser sans rien et ne vais te recouvrir que juste avant que tu n’éjacules; tu auras intérêt à me prévenir à l’avance.Elle me pénètre maintenant à poing fermé, entre et sort rapidement, puis me lèche comme pour se faire pardonner ses agressions. C’est ma meilleure expérience anale, et je crois que je banderais sans même me masturber.— Ohhh, Camille, c’est bon ma chérie, je voudrais que ça n’en finisse pas. C’est bon ta main et ta langue, on ne m’a jamais aimé aussi bien. Je suis à toi, tout offert, un chien soumis, un putain d’enculé...................
Je bande suffisamment à son goût et on va passer à la suite. Elle me détache les jambes, je suis allongé, les reins relevés avec l’oreiller dessous, et ma bite bien érigée. Elle vient sur moi, m’enfourche, et sa chatte ne fait qu’une bouchée de ma virilité mise à mal précédemment. Ma queue a une sensation de bonheur comme elle en a rarement connu. Sa chatte n’est pas chaude mais brûlante, pas mouillée mais inondée, pas ouverte ni écartelée mais délicieusement étroite, le meilleur des fourreaux à bite. Elle monte et descend sur ma hampe, fait du yoyo, me chevauche alternant les cadences, au pas, au trot, au galop. Je la regarde me baiser, elle est magnifique: les yeux fermés, la bouche entrouverte pour haleter et gémir, ses petits seins pourtant bien fermes qui sautent au rythme de ses va et vient. Elle ne dit pas un mot et je me refuse à l’insulter; je respecte son silence tellement le moment est magique, silence relatif du fait de ses gémissements retenus et surtout des flop-flop de sa petite huître dégoulinante qui coulisse sur ma colonne.Je suis emporté au septième ciel mais reviens les pieds sur terre pour la prévenir de mon plaisir qui monte. Elle se dégage, un peu à regret, et recouvre mon sexe de ce caoutchouc que je n’aime pas. Elle a apprécié tout à l’heure mon final cochon et m’annonce une fin au moins aussi cradingue. Elle revient sur moi, me monte au grand galop, et a raison de ma queue. Je jouis, je jouis, je jouis et sa chatte n’en finis pas de gober ma queue jusqu’à ce que je débande. Elle se dégage et vient sur moi en 69. Elle me masse la gueule de ses lèvres juteuses, et me suce à travers le préservatif. J’étire ma langue au maximum pour laper sa délicieuse cyprine, tandis qu’elle retire ma protection pour nettoyer ma queue, mais aussi mon ventre, mes cuisses, mes couilles recouverts de sa mouille. Elle n’avale rien, puis se relève. Elle retourne la capote, déverse le contenu sur sa langue, la suce pour nettoyer l’intérieur, toujours sans avaler. Elle salive, se gargarise, puis recrache tout dans ma bouche: un onctueux mélange de mouille de sperme et de salive. Elle me roule une longue pelle, mais cette fois c’est moi qui doit tout avaler, ce que je fais avec grand plaisir.Je la remercie pour ce moment incroyable, les larmes aux yeux à l’idée de savoir que ce n’était qu’éphémère. On se fait un câlin et on s’endort dans les bras l’un de l’autre.
J’ai pris la journée du lendemain pour la raccompagner, et on s’offre une grasse matinée. Je suis réveillé, il fait un peu jour dans la chambre, et je dégage le drap pour la regarder. Elle dort dans sa parfaite nudité, et je bande sans oser la réveiller. Elle ouvre enfin l’œil et je lui dit que j’ai envie d’elle. Mauvaise pioche, elle ne peut rien faire avant d’avoir bien déjeuner. On va à la cuisine, je l’aide à préparer son petit déjeuner, et je me branle pendant qu’elle se restaure:— Dépêche toi salope, je n’en peux plus de ton cul. Il doit avoir faim lui aussi!J’enfonce mes doigts dans la barquette de beurre mou et m’en recouvre le sexe. — Regarde comme elle coulisse bien ma queue dans ma main. Je vais te la mettre petite pute, ça va entrer tout seul.Elle a fini de déjeuner, je débarrasse la table et la fait s’allonger dessus. Je reprends une noisette de beure et lui graisse la raie, huile sa rondelle frétillante d’impatience. Je plaque mon gland et m’enfonce comme dans du beurre, c’est le cas de le dire. Elle a les jambes relevées, les chevilles sur mes épaules, et je la lime comme un bourrin jusqu’à décharger entre ses reins. Je me retire et lui bouffe le cul, dévore mon foutre.On prend une douche et on se nettoie intimement.
Je l’emmène à sa destination et on échange nos téléphones. Dans trois semaines, c’est promis, on la remonte chez elle et on va voir tonton.
A suivre.........................
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