Je viens de quitter de Camille, avec beaucoup d’émotion et de regrets, et j’attend impatiemment pour appeler Anne-laure. Elle me ressert du "vous" et je finis par la persuader de me tutoyer disant que c’était trop bien quand elle le faisait sous prétexte d’être ma nièce, et puis que la différence d’âge n’est pas un problème: la preuve en est Camille, plus jeune qu’elle, et qui m’a tutoyé d’emblée, le plus naturellement possible.On discute longuement, on se remémore ce long et inoubliable week-end hyper chaud. Je lui raconte ma nuit avec notre conquête et lui parle du plan que l’on s’est imaginé avec elle et son oncle. Elle trouve l’idée géniale et contacte tonton dans la foulée. Elle me rappelle plus tard dans la soirée et me dit que c’est ok, que son oncle sera ravi de nous recevoir.Il nous reste trois semaines à attendre, trois semaines durant lesquelles on va s’offrir des baises orgiaques avec ma coiffeuse et que je vous raconterais plus tard. Dans l’immédiat et n’ayant qu’elle en tête je continue avec Camille. Le jour J arrive enfin. J’ai pris le vendredi en congé, Anne-laure le vendredi et samedi, et on va chercher Camille en priant pour qu’elle ne nous ait pas posé un lapin. Elle est là, juste à l’heure, ravissante dans son mini short.On se fait une bise des plus correctes au cas où ses hôtes nous observeraient, et on démarre.Je m’arrête après le péage et Anne-laure passe à l’arrière.Comme pour l’aller elle vont se caresser, s’embrasser, se masturber, se bouffer la chatte à tour de rôle, jusqu’à ce que je m’arrête pour déjeuner. On repart, ma copine conduit, et je suis à l’arrière avec Camille. Je vais avoir droit à une magistrale pipe, dans les règles de l’art, en même temps qu’un excellent fouillage de cul. Cette petite salope est très douée et s’applique à ne pas me faire jouir pour prolonger notre plaisir. Notre chauffeuse nous prévient assez à l’avance de l’approche du péage, et on va pouvoir conclure. Elle me pompe le dard avec cette fois la ferme intention de me faire venir et obtient sa récompense: de chaudes giclées qu’elle savoure avant d’avaler.On arrive dans sa ville et on passe chez elle pour récupérer son gode ceinture, avant d’aller chez tonton qui habite tout prêt. On est chez Philippe vers 17 heures, et on décide de ne pas commencer nos séances de suite. On prend une douche et on sort pour s’aérer, se balader, boire un coup puis diner en terrasse au bord de la mer.On rentre vers 23 heures, on décide de se coucher et on forme les couples pour notre première nuit: les filles se retrouvent ensemble, et moi avec Philippe.A peine la porte fermée, et avant même de se déshabiller, on est dans les bras l’un de l’autre et on se roule une chaude pelle:— C’est bon de te revoir, je ne pensais que tu reviendrais si vite!— C’est grâce à Camille. Elle aimerait essayer une double sodomie, et j’ai pensé à toi, à toi et à ta belle queue. Déshabille toi, je la veux ta bite. — Et moi la tienne.On se fout à poil vite fait puis on s’enlace à nouveau, on s’embrasse encore, on se caresse intimement, avant de s’allonger sur le lit. On est en 69, on va se sucer longuement puis on va s’enculer chacun son tour et finir dans nos bouches gourmandes. On s’endort et on remet le couvert dans la nuit. On se lève de bonne heure, et on est prêt pour aller au marché. Les filles dorment encore et on leur laisse un petit mot sur la table de la cuisine. Quand on revient avec les courses elles déjeunent, et on attend qu’elles aient fini pour aller faire un tour. On a prévu une baise à quatre, et on la programme pour l’après midi. En attendant on se questionne sur notre nuit et on se répond sans aucune pudeur, dans les moindres détails.On revient vers 14 heures et on va ouvrir la séance.On est assis sur le canapé, Philippe et moi, Anne-laure s’agenouille entres ses jambes et Camille entre les miennes. Elles nous enlèvent pantalons et dessous, et entament chacune une fellation. Philippe ne pratique plus les femmes, fait une exception pour sa nièce, on avait prévu qu’il se limiterait à sodomiser Camille. Mais dans la chaleur de l’ambiance et à m’entendre la complimenter pour ses talents de suceuses il veut bien changer de partenaire. Camille est ravie, flatte sa queue plus belle que la mienne, joue de tout son savoir faire et de son charme craquant, et il finit par lui dire qu’il va l’aimer comme sa nièce, qu’il va tout lui faire comme à elle. Elle le remercie et s’applique encore mieux pour lui éplucher le poireau. Elles nous pompent maintenant goulument et nous font jouir, chacune sa dose de foutre qu’elles avalent jusqu’à la dernière goutte. On leur a promis de bien les baiser, par tous les orifices, mais il faut que l’on récupère. En attendant ce sont elles qui vont s’occuper de nous, de nos trous à bites.Elles vont chercher leurs godes et on se met tous à poil. Je me met à quatre pattes, tonton aussi, et elle nous prépare le fion. Elles nous lèchent, nous broutent, nous fouillent, nous fistent. On leur a demandé de nous insulter et elles ne s’en privent pas. Elles se relèvent et s’équipent de leurs beaux engins. On est debout nous aussi , les jambes un peu fléchies pour avoir le trou à la bonne hauteur. Je prends une claque sur le cul, c’est Camille:— Ecartes tes fesses salaud, que je te mette ma grosse queue. Je vais te défoncer, enculé.Anne-laure traite son oncle de la même façon, et l’enfile en même temps que je sens ma maîtresse me pénétrer profondément. On est positionné tête à cul avec Philippe, et on peut assister au spectacle de l’autre qui en prend plein le cul. Elles se retirent et ma coiffeuse vient dans ma bouche:— Hummm, c’est bon ça vicieux, ma bite parfumée du cul de mon putain d’oncle!J’entend Camille s’adresser à Philippe et il a droit au même petit jeu. Elles sortent de nos bouches et se déplacent en cercle: c’est maintenant Anne-laure qui me sodomise, et notre petite copine qui matraque notre hôte. Elle nous remettent une bonne ramonée en nous injuriant, puis se déplacent à nouveau. On les prend plusieurs fois chacune, dans le cul et dans la gorge.C’est bon ce qu’elles nous mettent, et on rebande bien dur. Elles nous donnent leur dernière saille et détachent leur ceinture pour nous laisser le gode planté entre les reins. Elles s’allongent sur le sol et nous demande de venir sur elles en 69 pour leur bouffer la chatte tandis qu’elles s’amusent avec nos queues, nos couilles, nos culs bien garnis. Elles retirent les toys et on va passer à la suite, s’occuper d’elles. On commence par les prendre en levrette, et on va tourner nous aussi, comme elles l’ont fait avec nous, leur faire gouter nos manches couverts de la mouille de l’autre. On les a pris une fois chacune par la chatte, et on s’intéresse à leur petit trou. On les travaille en même temps qu’on les baise, qu’on les insultent. Je m’occupe de Camille:— Tu aimes ça petite pute, ma bite dans ton huître et mes pouces dans ton cul. On va t’enculer salope, on va le massacrer ton joli petit cul. Tonton est vulgaire lui aussi avec sa nièce, et on passe plusieurs fois chacun dans leurs trois putains d’orifices. On les prend maintenant en double, chacune son tour. On commence par Anne-laure, un dans la chatte, un dans le cul, debout, et on la fait sauter sur nos triques tendues à mort. On la retourne pour profiter chacun des deux trous, puis c’est au tour de Camille. On la soulève par en dessous les cuisses, et on la fait coulisser sur nos tringles. Je lui demande si elle est toujours d’accord pour une double sodomie, et la réponse est affirmative.On va à la chambre et Philippe s’allonge sur le lit. Camille vient sur lui et se met la bite dans le fion avant de se coucher sur lui. Je suis derrière, glisse quelques doigts pour m’assurer de la faisabilité, puis je plaque mon gland dans sa raie , collé à la queue de tonton. Je pousse de toutes mes forces, et mon sexe s’enfonce sans vraiment de résistance. Je me mets en mouvements lents et courts du fait de la position, en l’insultant : je la traite de garage à bites, de putain d’enculée de salope, j’en passe et des meilleures.Tonton ne bouge pas et sa bite profite du massage que lui fait la mienne. Je sens que ça vient et je décharge longuement dans son vide couilles. Je me retire, m’allonge à côté de Philippe, et elle se dégage rapidement pour venir m’enfourcher avant que je ne débande. Notre partenaire vient derrière elle et je sens sa matraque pénétrer et écraser ma queue. Il la lime, l’injurie, se déchaine encore plus que moi, et éjacule à son tour. Il se retire, s’allonge, et sa nièce va nettoyer nos deux queues, tandis que Camille se fouille le cul pour récupérer nos sauces et les dévorer. On se félicite pour cette bonne baise, on se douche et on sort. On rentre tard pour une deuxième et dernière nuit. Je vais coucher avec Camille, et Philippe avec sa nièce.Je m’inquiète pour son petit cul et lui dit que je comprendrais bien si elle ne voulait pas se faire mettre, après tout ce qu’elle a pris. Elle me répond que je peux y aller, que son cul n’en a jamais assez, mais de ne oublier sa petite chatte. On passe une chaude nuit, et elle se prend à sa demande une nouvelle double sodomie, avec ma queue et son gode. Elle me remercie en me cassant le cul avec son joujou et son poing fermé. On se réveille tard et tonton est levé depuis un bon moment et a été nous chercher des croissants. Anne-laure nous rejoint et on se restaure en regrettant que ce week-end soit trop vite passé. On quitte tonton à regrets et on se promet de remettre ça, tous les quatre. On ramène Camille chez elle et on prend la route du retour. On se raconte notre nuit avec Anne-laure, puis on parle de Camille, de notre première rencontre avec elle. C’est suite à cette rencontre que l’on s’est fait les baises orgiaques dont je parlais en début de récit. Je vais vous les raconter maintenant, enfin, bientôt. A suivre.........................
