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Jeux entre frères

Chapitre 3

Inceste
Julien, les cousines et moi.
Pendant toute la durée du voyage, mon esprit fut préoccupé par mon rêve : celui de maman nue. Son image était en ce moment encrée dans mon esprit et devenait une obsession car elle apparaissait en permanence dans mon esprit. Par moment, j’avais le sentiment que c’était elle qui venait me tourmenter en me disant : « Regarde-moi, mon petit. Avoue que tu me trouves belle et désirable. »
 J’avais essayé d’imaginer à quoi ressemblaient nos deux cousines. Je ne les avais pas vues depuis plus de dix ans et les seuls souvenirs que j’avais d’elles étaient les silhouettes de deux gamines coquines et impudiques.
À notre descente du car, notre oncle nous accueillit avec toujours la même joie et la bonne humeur qui le caractérisaient.
— Bonjour, les garçons, vous me reconnaissez ? Je suis Fernand, votre oncle.— Oui, bonjour tonton, lui répondîmes-nous.— Holà, les gars ! Pas de mondanités entre nous ; appelez-moi Fernand.— Bien, Fernand.— Alors comment ça va ? Vous avez fait bon voyage ? Alors comme ça vous venez passer quelques temps avec nous ? L’air de la montagne vous fera le plus grand bien.— Oui, Maman n’est pas bien en ce moment…— Je sais, je suis au courant, mais ne soyez pas inquiets ; je la connais bien, ma frangine. Elle va vite refaire surface et un peu de solitude lui permettra de mettre de l’ordre dans ses affaires.— Si tu le dis…— Faites-moi confiance. Allez, en route !
Après avoir récupéré nos sacs dans le car, Fernand se dirigea en boitant vers un énorme 4x4 Land Rover d’un autre âge ; il semblait sortir d’un musée. Une fois que nous nous fûmes installés, il démarra le moteur qui fit un bruit assourdissant puis il passa la première. Les engrenages de la boite de vitesse poussèrent des hurlements et le vieux Land Rover s’ébranla dans un nuage de fumée suffocante. Une fois lancé, le tas de ferraille roulait à vive allure sur cette route étroite et escarpée des Alpes de Haute Provence. Je m’accrochai à mon siège pour ne pas tomber à la renverse dans les virages que mon oncle abordait avec rage tout en jurant après ces ingénieurs incapables de tracer des routes droites. Comme nous venions de dépasser le village du Fugeret, il s’exclama :
— Nous voici arrivés !
Au bout d’une bonne heure de virages et de jurons, notre périple se termina enfin dans la cour de leur ferme. Une femme arriva à notre rencontre, c’était Lucienne, sa femme. Comme Fernand, elle avait ce visage de montagnard buriné par le temps et ses quarante-cinq ans en paraissaient dix de plus. Elle nous accueillit avec la chaleur habituelle et si caractéristique de ces gens ; elle nous fit entrer dans la maison et nous fit nous assoir.
— Et bien, dites-moi : vous avez bien changé tous les deux, vous voilà devenus des hommes, maintenant !— Oui, tata, ça fait un sacré bout de temps que nous ne nous sommes pas vus.— Oubliez, le « tata » : ici on, s’appelle par nos prénoms. Installez-vous à table, vous devez avoir faim, car après il y aura du boulot ; je vais vous expliquer.
Nous fûmes tous les quatre autour de la table garnie de victuailles plus odorantes les unes que les autres. Il y avait de tout ; du jambon sec, qui à sa vue, me donnait envie de le croquer à pleine dents. Outre le jambon, il y avait une terrine de pâté qui ne venait certainement pas de chez le charcutier et encore plein de bonnes choses. Tout en mangeant, Lucienne prit la parole :
— Les garçons, j’ai eu votre mère au téléphone et elle m’a parlé de ce qu’il s’est passé. C’est pour cela qu’on a décidé de vous accueillir quelque temps ; elle a besoin de faire du tri et du ménage dans son esprit, alors le mieux c’est qu’elle soit seule. Si cela vous dit, vous pouvez rester le temps que vous voulez. Un ou deux mois ; à vous de voir. Et puis il y a vos cousines ; depuis le temps que vous ne vous êtes pas vus, vous allez pouvoir vous raconter tout un tas de choses.— Ben, oui, mais qu’est-ce qu’on va faire ici, il n’y a rien, reprit Julien.— En réalité, vous pourriez nous être d’un grand secours.— Et comment cela ?— Vous avez vu que Fernand boite.— Oui, qu’est-ce qu’il lui est arrivé ? demandai-je.— Un accident bête : il est tombé dans un ravin alors qu’il était seul avec le troupeau de moutons dans la montagne et il s’est cassé le bassin. Si nous n’avions pas eu les chiens, il ne serait plus là aujourd’hui. La chienne Sully a donné l’alerte en allant chercher un berger sur l’autre versant de la montagne.— Il a eu de la chance et vous avez une bonne chienne. Et le troupeau ? dis-je.— Oui, maintenant nous sommes embêtés, les filles gardent le troupeau et nous avons démarré une production de fromage là haut. Au marché, les clients en sont friands. Seulement, elles ont du mal à s’en sortir car le travail est considérable et avec Fernand blessé, c’est très compliqué.— Et nous, on peut vous aider sans doute.— Ce serait formidable, vous pourriez monter aider les filles et puis entre jeunes c’est mieux.— Et bien, c’est d’accord. Ça te dit, frangin ?— Moi, je marche, et puis il y a la montagne et le paysage, répondis-je— Oui mais il n’y a pas de réseau téléphonique. Vous savez, c’est la montagne. Mais je pense que cela va bien se passer avec vos cousines, conclut ma tante.
Notre tante nous expliqua tout sur ce qui nous attendait là-haut. Nous serions seuls avec nos cousines pour garder les bêtes et aussi aider à la traite et à la fabrication des fromages. Elle nous informa que le confort y était spartiate : pas de réseau téléphonique, pas d’électricité. Il faillait aller chercher l’eau à une cascade toute proche pour se laver ou s’y doucher directement à condition de ne pas être trop frileux. Elle nous dit en riant que cela était bon pour la santé, raffermissait la peau et réveillait les sens.
L’idée de nous transformer en homme de Cro-Magnon était loin de nous déplaire. Nous acceptâmes la proposition tout en sachant que nous partions au minimum pour une semaine complète. Eux ne montaient qu’une fois par semaine pour assurer le ravitaillement et pour redescendre la production de fromage.
Après avoir mangé comme des ogres, nous aidâmes à charger le 4x4 destiné au ravitaillement. Différent de l’autre, il était équipé d’une caisse isotherme et ne pouvait embarquer que trois personnes à l’avant. Nous fîmes auss du tri dans nos sacs ; Lucienne nous suggéra de laisser les beaux vêtements à la ferme et nous prêta des chaussures de montagne. Elle prit le volant et nous partîmes dans l’engin qui semblait neuf et dont le moteur rugissait dès qu’elle appuyait sur le champignon.
— Je suis certain qu’il y a un V8 là dedans, dis-je.— Tu es perspicace, Antoine, et tu vas voir qu’il n’y a rien de trop avec les 250 chevaux qu’il a sous le capot pour monter là-haut.
Après avoir quitté la route, nous prîmes une route forestière abrupte et chaotique ; le monstre passait partout. Puis nous arrivâmes au pied d’une montée ; elle était si raide qu’on aurait dit un mur dressé à la verticale. Lucienne stoppa le 4x4 et descendit. Nous la suivîmes. Elle inspecta la pente, marmonna deux ou trois phrases dont je ne saisis pas le sens puisqu’elle parlait en patois.
— Bon, ça va aller, en route.
 Elle prit son temps et énuméra :
— Alors : pont autobloquant sur ON, vitesse petit lente, première à deux mille tours et en avant !
Le monstre rugit et s’ébranla. Il leva du nez au fur et à mesure qu’il attaquait la pente. Ma tante, silencieuse, attentive, évitait les pierres et les ornières ; l’engin grimpait lentement, sans sourciller. Nous étions, mon frère et moi impressionnés et un peu angoissés. Pour éviter de donner des coups à la conductrice, elle nous conseilla de nous accrocher à notre siège. Enfin, nous arrivâmes en haut de la pente ; elle accéléra et passa les vitesses pour reprendre une vitesse de croisière correcte.
— Vous voyez là-bas, c’est le pré avec, en blanc, les moutons ; nous y serons dans trois quarts d’heure. Vous comprenez pourquoi on ne peut pas faire le trajet souvent.— Mais s’il y a un problème là-haut, comment vous faites ? demanda Julien.— Maintenant, nous avons une VHF et ainsi les filles peuvent nous appeler au cas où et aussi nous faire un petit coucou de temps en temps. Tiens, je vais les appeler.
Elle alluma la radio :
— Ici, maman à bergères, à vous.— Ici, bergères, qu’y a-t-il ? À vous.— Tout va bien, je monte avec une surprise, à vous.— Cool, c’est quoi, tu es là dans combien de temps ? À vous.— Dans quarante minutes. Terminé.— Ok, bonne route. Terminé.
Le 4x4 fonçait sur le chemin à flanc de montagne, Lucienne pilotait son engin avec la dextérité d’un pilote de rallye, c’était un vrai plaisir. Au bout de trois heures de sensations forte, nous arrivâmes à la fameuse bergerie. Nos cousines vinrent à notre rencontre, accompagnées des chiens qui semblaient ravis de nous voir.
— Ça va, mes chéries ?— Tout va bien. Ah, c’est ça la surprise ! s’exclama l’une d’elles.— Bonjour, dis-je.— C’est Julien et Antoine ? Mais vous êtes craquants tous les deux, pas vrai, Lily ?— Tu l’as dit, sœurette. On les mange tout de suite, ou on attend ?— Oh, les filles ! N’oubliez pas que ce sont vos cousins, alors pas de bêtises !— T’inquiète maman, on plaisantait.— Allez, on décharge, et on charge les fromages pourque je redescende avant la nuit.
Tout le monde s’y mit et Lucienne put repartir rapidement, nous laissant seuls avec nos deux cousines.
Nos cousines : Lily s’appelait en réalité Lysiane et l’autre Elsa tout simplement. C’étaient deux splendides jeunes filles d’un an plus vieilles que nous. Physiquement, elles avaient les traits de montagnardes charpentées comme des hommes. Leur poitrine développée et majestueuse avait tendance à dilater plus que de raison leur chemisier noué au niveau du nombril. Leur mini short avait un mal fou à contenir leurs fesses rebondies et il n’y avait pas un poil de graisse sur leurs cuisses aux muscles saillants.


— Mais dites-nous, les garçons, ça fait un bail qu’on ne s’est pas vus, dix ans ? Et pourquoi vous êtes ici, votre mère vous a foutus dehors ?
 Ce fut Julien qui répondit et expliqua les tracas de maman.
— Putain, mais il est con, votre père ! Et vous là-dedans, vous allez faire quoi ?— Pour le moment, laisser maman régler ses problèmes et après on verra ; on est venu prendre l’air et comme l’a dit votre mère aussi pour vous filer un coup de main…— Et un coup de queue aussi ?— Vous êtes folles, on ne peut pas faire ça, c’est dégueu…— On verra. Pour l’instant, on va vous faire visiter et vous expliquer comment on fonctionne toutes les deux.— Ok, on fera comme vous voulez.— Parfait, alors voilà : pour commencer, la douche c’est là-bas, vous voyez la cascade ?— Oui, elle a l’air magnifique, elle n’est pas trop froide au moins ?— Tout dépend ce que tu entends par « trop froide », vous voulez tester ?— Pourquoi pas…— Alors on y va. Ah, j’oubliais : nous, on y va directement à poil, c’est plus simple, reprit Lily en se déshabillant.
Elsa l’imita. La vue de nos deux cousines « à poil » nous laissa sans voix.
— Vous vous bougez ou faut-il qu’on vous désape ?
Pas facile de se désaper quand vous avez deux femelles nues à faire bander tout un régiment devant vous et vous mettent une trique d’enfer.
— Lily, tu as vu comme on les fait bander, les cousins ?— Ouais ! Super ! Allez, suivez-moi.— Et si quelqu’un nous surprend, on fait quoi ? demandai-je un peu mal à l’aise.— Ne vous inquiétez pas ; nous ne rencontrerons personne, ce n’est pas un coin à touristes ici.
Rassuré, nous les suivîmes. Je constatai avec délice que marcher nu dans cette nature au cadre idyllique entourée de montagnes et de forêts était tout simplement jubilatoire. Arrivées devant la cascade qui semblait s’écouler depuis le ciel, les filles firent une pause.
— C’est beau n’est-ce pas ?— Magnifique, reprit Julien.— Nous allons passer par ce côté-là, ainsi nous serons derrière la cascade. Au bout là-bas - en désignant l’endroit du doigt - l’eau tombe sur le rocher qu’elle a creusé pour former comme un bac à douche, c’est là que nous nous lavons, expliqua Lily.— Ça doit fouetter vu la hauteur de la cascade, fis-je remarquer.— Pas mal. Au début, ça surprend mais si vous arrivez à tenir, vous vous apercevrez que c’est revigorant et très agréable ; ça vaut largement un soin d’hydro massage et en plus c’est gratos. Là devant, l’eau a creusé une piscine etil y pas mal de fond ; nous nous y baignons après la douche, vous verrez comme c’est bien. Allez, on y va.
Lily ouvrit la marche devant moi et ce fut à la queue leu-leu que nous parcourûmes la centaine de mètres qui nous séparait de la cascade ; Elsa fermait la marche. Quant à moi, je me délectais, Lily marchait devant moi et ses fesses roulaient à chaque pas avec ce côté très sexy que j’adorais chez les filles. Au fond de moi, je me disais que c’était dommage qu’elles soient nos cousines car une envie d’explorer cette croupe magnifique commençait à me démanger.
— Lily ! Tu sais que nos cousins ont de jolis petits culs ! s’exclama Elsa— J’avais remarqué, sœurette ! Préparez-vous les garçons, il va faire un peu frais.
Effectivement, nous étions entre la cascade et la paroi rocheuse ; un spectacle magnifique s’offrait à nos yeux. D’un côté, ce rideau d’eau à travers lequel le paysage apparaissait déformé. De l’autre, une caverne creusée dans la roche par l’eau où une partie s’engouffrait comme dans une gorge grande ouverte. Puis, nous arrivâmes à l’endroit où elles nous avaient indiqué prendre leur douche. Le bruit assourdissant de l’eau empêchait toute conversation et c’est du bout du doigt que Lily nous indiqua l’endroit.
Elle fit un pas en avant et s’immobilisa sous la cascade quelques instants, puis elle plongea dans l’eau de l’espèce de piscine située derrière. C’était à mon tour.
Je m’avançai courageusement car pour avoir passé ma main dans l’eau auparavant ; je l’avais trouvée glaciale. Pour ne pas faillir à la réputation d’homme courageux et supérieur au sexe féminin - selon la théorie de mon père - je me plaçai sous la cascade. Je fus immédiatement saisi par cette eau glacée qui me tombait en trombe sur la tête et les épaules ; saisi par le froid, je poussai un cri puis plongeai dans l’eau tout aussi glaciale.
Lorsque je ressortis la tête de l’eau, Julien et Elsa nous avaient rejoint. Nous sortîmes de l’eau et Elsa s’exclama :
— Eh, les garçons, vous voulez qu’on vous réchauffe vos kikis parce que là, ils ont complètement disparu !— Merci ça va aller, répondit mon frère.
Les filles ne relevèrent pas mais j’avais le sentiment qu’elles avaient une idée derrière la tête et la visite continua.
[À suivre]
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