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Jeux entre frères

Chapitre 4

La surprise

Inceste
Une fois que nous fûmes rhabillés, la visite continua. La bergerie, la salle de traite et dans un local voisin, un groupe électrogène fournissait juste assez d’électricité pour alimenter la salle de traite et un peu la maison. Lily expliqua qu’elles ne le mettaient que très rarement, par souci d’économie de carburant ; ce soir, à quatre, nous ne devrions pas en avoir besoin. Nos cousines nous avaient bien fait sentir leur implication pour l’écologie, la nature et leur volonté de produire leur fromage de façon traditionnelle. Puis elles nous montrèrent la salle où elles produisaient le fromage ; j’étais impressionné par leur discours qu’elles déroulaient avec passion.
Puis elles nous accompagnèrent vers un petit bâtiment qui était l’habitation où nos sacs attendaient patiemment devant la porte d’entrée. Cette petite maison, construite en pierre et de façon traditionnelle avait un certain charme. Elsa nous expliqua qu’elle avait été construite par son arrière grand-père et qu’elles tenaient à faire perdurer cet héritage. Lily poussa la porte qui n’était pas fermée à clef ; elle n’avait d’ailleurs pas de serrure.
À l’intérieur, une seule et unique pièce au confort très spartiate : près de la porte un évier sans robinet, à côté une cuisinière d’un autre âge et sa bouteille de gaz posée à côté attendait que quelqu’un veuille bien cuire quelques aliments. Une table en bois massif et deux bancs taillés dans le même bois faisaient face à la porte. Au fond de la pièce très longue : deux grands lits se faisaient face, juste séparés par un rideau. Entre les lits trônait une belle cheminée et pierres noircies par les feux.
— Voilà où nous vivons, comment vous trouvez ça ?— Mais il n’y a que deux lits et vous n’avez pas de frigo, comment va-t-on faire ?— Pour le frigo, il y en a un naturel, je vous le montrerai, et pour le couchage, vous allez dormir ensemble ? À moins que vous préfériez dormir avec l’une d’entre nous ? Pour nous, cela ne nous pose aucun problème. Et puis rappelez-vous, nous avons déjà dormi ensemble.— Oui Lily, mais nous étions des gamins à l’époque.— Vous vous souvenez comment on s’était bien amusés le soir ?
Devant notre silence elle enchérit :
— La bataille de polochons, tous nus, vous vous souvenez ?— C’est vrai, reprit mon frère, et après on avait dormi les uns contre les autres.— Et tu m’avais touché partout. Alors ne faites pas les timides, bon, nous verrons cela tout à l’heure. En attendant il faut traire les brebis et parquer le troupeau pour la nuit.
Sitôt dit, sitôt fait ; à leur demande, nous assistons et donnons un coup de main pour regrouper les animaux dans l’enclos bardé de grillage. Lily raccorda le fil barbelé au système électrique autonome, non pas pour empêcher les évasions mais pour éviter l’intrusion des prédateurs. Les deux chiens bergers mettaient de l’ordre dans cette population désordonnée et les brebis se mirent à faire la queue leu leu devant le portillon donnant accès à la salle de traite.
Elsa nous expliquait comment s’y prendre pour traire une brebis :
— Regardez bien, voila comment il faut faire ; c’est un peu comme avec une femme, mais en plus viril, dit-elle le sourire aux lèvres en nous regardant.
Devant mon air béat, elle ajouta :

— Vous l’avez déjà fait à une fille au moins ? Bon, vu vos tronches, vous n’avez jamais touché une fille, je me trompe ?— Non, dis-je timidement.— Lily ! hurla-t-elle, nos cousins sont puceaux !— Vrai ? Ça c’est cool, on va bien s’amuser alors !
À peine le temps d’ouvrir la bouche qu’Elsa reprit :
— C’n’est pas grave, les gars, nous allons arranger cela, d’accord ?— Mais…— Les garçons, je vous le dis, il va falloir vous y faire ; et faites pas chier avec vos préjugés à la con ; ici il n’y a que nous, alors…— Vous voulez qu’on fasse l’amour ?— Non, pas l’amour mais de la baise, du cul ; ne me dites pas que vous n’aimez pas ça ? Ou alors vous êtes séminaristes ou pédés !
J’étais rouge jusqu’aux oreilles mais dans mon for intérieur, j’espérais tout à coup que nos vacances se transforment en une gigantesque partie de cul.
— Vous êtes encore puceaux ; c’est cela ?— Oui, répondis-je.— À la bonne heure, n’ayez pas peur, nous allons remédier à cela ; allez, au boulot, ce soir c’est la fête, on va bien s’amuser tous les quatre.— Lily ! On met la trayeuse en route ; histoire de gagner du temps.
Vu les moyens mis en œuvre, la traite ne fut qu’une formalité, puis vint l’heure du repas. Nous avions découvert qu’elles utilisaient un container étanche qu’elles immergeaient près de la cascade pour conserver les aliments au frais. Le repas à base de charcuterie fut pris dans une ambiance chaleureuse, taquine et grivoise, puis Lyli proposa :
— Je suppose que vous devez être fatigués de cette journée.— Un peu, répondit Julien.— Bien une bonne douche et au lit, ça vous va ?
Après avoir acquiescé, nous nous dirigeâmes vers la cascade qui au premier contact me parût moins froide qu’à notre arrivée, sans doute à cause de la fraicheur du soir.
— Bien, les garçons ! Vous dormez ensembles ou avec l’une d’entre nous ?— Comme vous voulez, reprîmes-nous en cœur.— Alors, les petits ensembles et la prochaine fois on inverse, d’accord ?— D’accord.
Je me couchais aux côtés d’Elsa qui était la plus jeune des deux, et d’un an mon aînée. C’était la première fois que je dormais avec une fille et nu en plus. Dans mon for intérieur, j’espérais pouvoir la toucher un peu et qu’elle me fasse quelques caresses ; histoire de fleureter avec l’interdit.
Je ne croyais pas si bien penser quand, dans la pénombre, je sentis sur mes lèvres le souffle d’Elsa qui me chuchota :
— Tu n’as pas envie de t’amuser un peu ?— Mais on n’a pas le droit, c’est interdit.— Tu ne trouves pas cela excitant quand c’est interdit ?
Elle n’avait pas vraiment tort, j’étais très excité. Tout en chuchotant, elle passait sa main sur mon torse imberbe et était très rapidement descendue vers mon pubis, puis elle attrapa mon sexe qui grandissait déjà.
— Alors, à ce que je sens, ne me dis pas que tu n’en as pas envie ?— Si, mais je…— Tu es puceau, ce n’est pas grave, tu as la trouille c’est normal ; je vais te guider et tu vas voir comme c’est super.— Oui, soufflais-je.
L’appel des sens était alors plus fort que ma volonté de respecter les bons principes de notre éducation ; je craquai et je me laissai aller vers le plaisir interdit.
Elle avait raison, j’avais la trouille, et si maman apprenait ça, que penserait-elle de moi, de nous ?
Elsa me sortit de ma réflexion en passant directement aux choses sérieuses ; je sentis sa langue caresser mes lèvres. Bien décidé à me laisser aller, j’ouvris la bouche pour ce premier baiser avec une fille. Ce baiser partit rapidement en galoche torride et gourmande. Sa langue pénétra dans ma bouche et chercha immédiatement ma langue qu’elle trouva très rapidement. Ce baiser n’avait rien à voir avec ce que j’avais pu faire avec mon frère ; celui-ci brillait par sa douceur et sa sensualité, il m’excitait énormément. Puis, Elsa tourna un peu sur elle-même et appliqua un de ses seins contre mon torse. Je sentais son téton, dur et pointu contre ma peau, se promener et chercher un des miens ; à chaque fois qu’il en touchait un, je frémissais. Une de ses mains, la droite, je crois, s’occupait de mon torse et s’attardait sur mon autre téton en le titillant et en le pinçant légèrement ; à chaque fois, je sentais ma queue durcir de plus en plus.
Sa main quitta mon torse pour descendre sur mon ventre, s’emmêler les doigts dans mes poils pubiens et glisser sur ma verge, tourner autour de mes testicules puis remonter caresser mon gland qu’elle mettait à nu. Son petit doigt tentait alors de pénétrer dans mon urètre mais sans succès ; j’ondulais de plaisir. Quand elle me mordillait les tétons, je m’entendis gémir. Une voix se fit entendre, c’était celle de Lily :
— Alors les jeunes, on s’amuse bien ?
Elsa mit son doigt sur ma bouche.
— Viens, Julien, ils me donnent envie ces deux là !
Nous étions démasqués, mais ceci ne fit qu’amplifier mon plaisir ; j’avais envie de la toucher, mais je n’osais pas. Comme si elle venait d’entendre ma pensée, elle se mit sur le dos, pris ma main, la posa sur son sein et me souffla :
— Caresse-moi à ton tour.
Je commençai par lui prendre les seins un à un, ils étaient rond et ferme comme des petits ballons, ces tétons durs et saillants me donnèrent envie de les téter ; ce que je fis. Tel un bébé je les léchais, les mordillais comme elle me l’avait fait. Elle se tortillait et comme pour m’encourager, une de ses mains me parcourait le dos jusqu’aux fesses et revenait en passant par ma verge que je sentais au bord de l’explosion et de l’éjaculation. Je lui chuchotais :
— Je crois que je vais jouir, chuchotais-je.— Déjà ! Alors, allonge-toi sur le dos.
Je m’exécutais et elle passa par-dessus moi en mettant sa vulve sur le nez ; elle emboucha mon sexe et me suça avec vigueur. En une faction de seconde je lui envoyais un jet de sperme dans la bouche puis un second et encore un troisième ; la jouissance était extraordinaire. J’étais secoué par les spasmes du bonheur, ma tête me tournait ; que c’était bien. Les jeux entre mon frère et moi ne m’avaient jamais apporté un tel plaisir. Il était rempli de miel, doux comme du coton ; j’étais dans les nuages. Oh ! Que c’était bon !
Elsa se retourna et s’allongea sur moi ; ces lèvres touchèrent les miennes, gourmand, j’ouvris la bouche. Elle me rendit ce qui m’appartenait dans une galoche monumentale, avec ce mélange de salive et de sperme. J’avais du mal à ne pas vomir.
— Avale, me souffla-t-elle.
Ce que je fis immédiatement. La situation et le goût de ce mélange infâme avaient fait retomber mon érection. Mais la galoche et le frottement du pubis de mon professeur raviva rapidement ma flamme ; je bandais dur à présent.
— Tu vas me sucer la minette et quand je te dirai de venir, tu viens en moi.
À l’aveuglette, je fis connaissance avec sa minette ; elle avait une odeur particulière et envoûtante. Je passai ma langue sur cet endroit totalement inconnu, il était humide et chaud. Au toucher, je découvris ses grandes et petites lèvres ; ma langue entra dans une cavité toute douce. J’aspirais le liquide qui en sortait, légèrement collant, il avait un goût un peu âpre. Je sentais le corps d’Elsa onduler sous moi. Elle avait repris mon sexe en bouche et me léchait le gland qu’elle avait totalement découvert, puis elle l’engloutit et mon gland touchais le fond de sa gorge. Elle ondulait de plus en plus sous les effets de ma langue ; j’étais ravi de l’effet que je lui faisais, puis, me tapotant sur la fesse, elle me souffla mot magique : « Viens ! »
Je me retournais rapidement et me plaçai entre ses cuisses ; le moment fatidique approchait, mon cœur battait la chamade, enfin j’allais connaître le plaisir de la pénétration.
Elle passa sa main entre nous deux, s’empara de mon sexe et le guida vers l’entrée de son écrin puis, elle m’agrippa les fesses et me tira en elle. Ma verge coulissait doucement à l’intérieur de son vagin, largement lubrifié, il coulissant presque tout seul. Mon gland glissait contre les parois de son vagin ; c’était tout doux, bon. Pendant un court instant, je me suis arrêté pour savourer cette sensation. J’écrasais ses seins contre mon torse, son pubis frottait le mien et je lui offris mes lèvres qu’elle accueillit en ouvrant sa bouche. Je pris sa tête entre mes mains et j’enfonçai ma langue gourmande dans sa bouche ouverte ; nous avions mélangé nos salives puis elle se dégagea :
— Ça va ? me demanda-t-elle.— Oui, c’est super.— Alors montre-moi que tu es un homme maintenant.
Elle plaça ses mains sur les côté de mes fesses et me donna la cadence. Doucement au début, ma verge sortait presque en totalité de son écrin puis, elle me faisait lui donner de petits mouvements, juste à l’entrée de son vagin. Je sentais l’excitation monter de plus en plus fort, quand elle me libérait, je m’enfonçais en elle ; j’avais compris et je reproduisais le mouvement. Elle ondulait de plus en plus, sa respiration devenait de plus en plus rapide ; instinctivement, j’accélérai la cadence qui devint rapide. Je sentais l’éjaculation arriver au moment où elle se mit à jouir. Son vagin se contractait, elle m’entoura la taille de ses jambes, me retenant ainsi prisonnier au moment où à mon tour je lui envoyai plusieurs puissants jets de sperme en elle.
Elle m’avait retenu ainsi prisonnier pendant un long moment le temps d’échanger un long baiser qui me remplissait de bonheur. C’était l’extase totale, cette première fois était sublime ; je venais de découvrir quelque chose d’extraordinaire. J’en avais oublié tous les beaux principes de la vie : qu’on ne devait pas faire ça avec des membres de la famille ! En réalité, je m’en foutais. Je gardais juste en tête ce plaisir interdit. Nous nous étions endormis collés l’un à l’autre, moi dans ses bras et la nuit fut douce et remplie de jolis rêves.

[À suivre]
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