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Jeux entre frères

Chapitre 5

Seul avec Elsa dans la montagne.

Inceste
Au réveil, mon frère et moi étions seuls. Les filles s’étaient levées de bonne heure pour la traite des brebis. Lorsque nous sortîmes sur le pas de la bergerie que nous franchîmes entièrement nu et le sexe raide comme un bâton, nos cousines qui étaient restées dans le pré, juste à côté de la bergerie, nous virent. 

— Coucou, les garçons ! Bien dormi à ce que je vois ?— Oui, super bien, et vous ?— On arrive, mettez de l’eau à chauffer, nous allons boire un café avec vous. Et surtout ne vous habillez pas ; vous êtes trop bien comme ça.
Après tout, nous pouvions leur faire ce plaisir ; mon frère m’avait confié que lui aussi avait fait l’amour avec Lyli. Nous sommes rentrés faire chauffer l’eau et nous étirer comme des chats en attendant. Nos cousines firent leur apparition dans la pièce à vivre et nous interpellèrent.
— Alors, vous avez aimé votre séance d’hier soir ? À vous voir, le contraire serait étonnant.— Oui, c’était génial, répondit mon frère— Vous n’avez plus de préjugés avec l’inceste alors ? Vous avez vu comment franchir les interdits est excitant ?— C’est vrai que c’était excitant, mais si on se fait gauler, que ce passera-t-il ?— Tout dépend de vous les garçons, à vous de tenir votre langue car chez nous il n’y a pas de tabous. Donc si votre mère l’apprend, ce sera de votre faute ; à vous de voir.— Tu n’es pas en train de nous dire que vous faites des trucs avec vos parents ?— Hum…hum.— Vous êtes un peu bizarres, non ?— Mais non, on aime le cul, c’est tout.— Donc on va le refaire, demandai-je tout excité.— Si vous le voulez, pas de soucis ; nous ne demandons que cela. Vous allez voir, on va faire des petits jeux et on va s’éclater. Mais en attendant, il faut bosser, il y a les fromages à faire.
Pendant les deux semaines de ces vacances, le rythme des journées était organisé comme une partition de musique :
Le matin, au lever, petit déjeuner tous les quatre et nus, puis douche à la cascade à laquelle je m’habituais assez bien. Puis légèrement habillés, les garçons en short comme les filles qui ajoutaient un débardeur ; ainsi nous démarions la journée de travail. Lyli avait formé les équipes ; pendant que deux surveillaient le troupeau, les autres s’occupaient de la fabrication des fromages.
Je faisais équipe avec Elsa ; j’avais pour elle une préférence toute particulière, sans doute parce que c’était elle qui m’avait procuré mes premiers plaisirs hétéro, mais aussi à cause de son physique. Comparativement à Lyli, elle était plus fine et plus sensuelle ; son regard me faisait un effet terrible. Je l’aimais bien, avec son petit air, elle me surprenait tout le temps, avec ses allusions et ses gestes coquins.
Un jour où nous devions déplacer tout le troupeau vers un autre pré abondamment fourni en herbe, Elsa et moi étions partis très tôt le matin, équipés comme pour une grande randonnée, nous avions marché plus de deux heures. Les chiens s’occupaient de garder les bêtes en ordre et nous arrivâmes à destination. Après avoir parqué le troupeau et mis nos sacs dans la petite bergerie, nous pûmes faire une pause.
— Antoine, on fait une pause casse-croute, j’ai faim.— Moi aussi, répondis-je.— Nous passerons toute la journée ici et ça te dirais de te mettre tout nu ?— Oh, oui, on va bronzer, c’est cool.
Nous nous déshabillâmes aussitôt et, assis dans l’herbe, nous avions commencé à manger. Je dévorai mon casse-croute mais aussi les formes de ma cousine et je commençai alors à bander. Elle s’en aperçut et me jeta un regard aussi complice que coquin, puis posa son repas sur une serviette. Son regard se figea dans le mien et elle commença à se caresser les seins et me demanda :
— Tu ne t’es jamais masturbé avec une fille ? Alors regarde mais ne me touche pas.
Elle continua à se caresser les seins, ronds comme des ballons et certainement habitués à ce genre de traitement ; ses tétons pointèrent fièrement. Elle accompagnait ses gestes de gloussements étouffées mais qui s’amplifièrent quand elle atteignit sa vulve trempée de désir.
Je bandais comme un diable et comme pour lui donner envie de continuer et d’aller plus loin, je l’imitai. Pendant que je faisais rouler mes tétons entre mon pouce et mon index, mon autre main s’était emparée de ma verge qui n’avait nul besoin d’être stimulée pour la forme d’un pieu pointant vers le ciel.
Assise face à moi les jambes grandes ouvertes, elle s’enfilait deux doigts dans la chatte et se frottant les lèvres. Elle gémissait de plus en plus fort, ce qui avait pour effet de m’exciter de plus en plus et quand elle me fixa du regard en m’ordonnant d’une voix forte et autoritaire :
— Branle-toi !
Cet ordre eut pour effet de me donner l’envie de lui gicler dessus ; alors je me suis branlé avec force. Elle ne me quittait pas des yeux, s’astiquait la chatte, se maltraitait les tétons et, au moment où je lui envoyais une puissante giclée de sperme sur son ventre, elle poussa un cri. Je la voyais se tordre de plaisir et jurer des : « Oh, putain ; que c’est bon ! ».
Et moi, j’étais dans un état d’excitation avancé, une main secouant mon vit avec toute la force que je pouvais donner. Ma seconde main passait sur mes tétons que j’adorais maltraiter en les pinçant très fort ; mais j’aimais m’attraper les testicules et tirer dessus. J’avais découvert que la douleur de cet étirement retardait pour quelque temps l’éjaculation et quand je me détruisais les tétons, l’envie de tout envoyer revenait.
Quand elle se mit à jouir, elle cria et jura aussi fort que lorsqu’elle appelait ses brebis. Heureusement que nous étions loin de toute habitation. Seules les montagnes pouvaient entendre les cris de plaisir de ma cousine. Voir ma cousine s’astiquer le minou, ses cris et les supplices que je m’infligeais, provoquèrent chez moi une réaction ; je lui envoyais une puissante giclée de sperme entre les seins.
Elle ne pouvait pas mieux dire, que c’était bon cet orgasme. Je venais de découvrir le plaisir de cette masturbation.
— Eh bien, mon cochon ; quand tu envoies, c’n’est pas pour rigoler.— Excuse-moi, je ne croyais pas que ça irait si loin.— C’n’est pas grave, au contraire, j’ai grave apprécié. Et, dis moi ça n’a plus l’air de te déranger de faire ça en famille ?— Non je crois que j’y prends goût et puis nous sommes entre nous.
Une question me taraudait l’esprit, je pris une grande respiration et :
— Dis-moi, Elsa, je voudrais te demander un truc ; mais c’est un peu compliqué.— Toi et Lyli, vous faites plein d’allusion au sujet de vous et vos parents, vous faites ça aussi avec eux ? Et si…— Si quoi, si on couche avec nos parents ? C’est ça ?— Oui, mais si tu ne veux pas le dire, tant pis.— D’accord, mais tu le gardes pour toi ; je te raconterai des trucs…à une condition.— Tout ce que tu veux cousine, je ferai ce que tu veux.— D’accord, vous êtes tous les mêmes les mecs : prêt à tout quand il s’agit de cul et je suis aussi certaine que tu as envie de faire ça avec ta mère, je me trompe ?— Non, répondis-je.
Puis, je ne sais pas pourquoi, mais je me suis dévoilé. Je lui ai tout raconté, mes rêves incestueux, les jeux avec mon frère, les sites, mes envies et mes fantasmes.
— Et bien, toi ! Tu vas voir comme on va bien s’amuser. Et puis si ta mère est aussi cochonne que son frère. Tu devrais lui en parler et t’occuper d’elle ; elle va en avoir besoin.— Tu crois ?— À toi de voir. Tu n’auras qu’à dire ce qu’on a fait, dis-le que ce n’est pas bien et qu’elle doit vous punir je suis certaine que ça va marcher. En attendant je vais te raconter deux ou trois trucs, mon cher petit esclave.— Pourquoi dis- tu : esclave ?— C’est ce que tu es devenu depuis que tu m’as dit que tu ferais tout ce que je veux.— Alors c’est d’accord.— Tu vas commencer par lécher ce que tu m’as envoyé entre les seins.
Esclave ! Je devenais son jouet. Trop curieux de l’écouter me raconter, avide de connaitre de nouveaux plaisirs, mon vit se redressa vigoureusement et je l’arborais fièrement. À genoux entre ses jambes ouvertes et la vue de son abricot ouvert me donnaient qu’une envie ; celle de la pénétrer, d’effiler mon sexe au bord de l’explosion dans son écrin.
— Lèche, tu as compris ; lèche !
Elle venait de crier cet ordre avec une telle force que je sursautai de surprise pendant qu’un frisson parcourait mon échine ; je m’agenouillai pour nettoyer ce que j’avais fait. Lécher les seins d’Elsa m’enchantait beaucoup plus que de devoir avaler mon sperme qui à chaque tentative me donnait des nausées.
Faisant bon cœur contre mauvaise fortune, je m’attelai à la tâche et le nettoyage commença. Pour ne pas décevoir ma maîtresse, je lapai avec soin les milliards de têtards agglutinés dans des flaques éparses ; j’en découvris sur ses tétons qui eurent droit à un traitement de faveur.
Pendant ce temps, je la sentais s’occuper de sa minette et pour mon plus grand plaisir : elle me malaxait les testicules et le sexe qui ne demandait qu’à grandir à nouveau. Quand il atteignit la taille réglementaire elle m’ordonna :
— Viens mon cochon, baise-moi fort avant que je m’occupe de toi !— Oui, Maîtresse.— À la bonne heure ! Tu comprends vite et c’est bien. Tu vas devenir le plus grand queutard de l’univers, c’est moi qui te le dis.
Cette révélation me motiva encore plus et je la burinai avec enthousiasme. Mes mouvements de va-et-vient la poussaient à chaque coup, ses seins rebondissaient ; elle criait de bonheur. Quand son orgasme arriva, elle me lacéra le dos avec ses ongles pourtant coupés courts et elle m’emprisonna de ses jambes. Je ne pouvais plus bouger et par conséquent, je ne pouvais plus arriver au bout. Puis, après un long moment, elle relâcha son étreinte et me dit :
— Sors et mets-toi à quatre pattes, face à la montagne ; que je vois ton cul.— Mais que vas-tu me faire ?— Tu vas voir, je suis certaine que tu vas apprécier. Et tais-toi, sinon je te bâillonne.
À quatre pattes le nez tourné vers la montagne, j’attendais.
— Écarte les fesses, je veux voir ton cul.
Elle voulait me mater la rondelle ; j’étais mal à l’aise, jamais je n’avais dévoilé cette partie de mon anatomie à personne d’autre qu’à mon frère. Le rouge me montait aux joues, j’avais la gorge sèche, seule l’envie d’écouter Elsa me raconter leurs ébats familiaux me retenait dans cette posture aussi inconfortable qu’humiliante.
— Tu sais que tu as un joli petit trou ? Je vais l’explorer, ne dis rien je sais que tu en meurs d’envie ; tu es en train d’espérer que je te fourre le trou avec un gode.
Encore une fois, elle avait raison. Son doigt me fit bander instantanément quand il entra dans mon derrière.
[À suivre]
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