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Jeux entre frères

Chapitre 11

La partouze.

Orgie / Partouze
François avait perdu, alors je jetais mon dévolu sur la plus blonde des deux, celle dont le sourire enjoué me laissait à penser qu’elle avait envie de moi. Elle, Aurélie de son prénom, était magnifiquement blonde, d’un blond presque or ; je ne pus m’empêcher de passer ma main dans ses cheveux et de l’embrasser. J’avais envie d’un baiser tendre et doux à la fois. Alors nous nous sommes embrassés tendrement, tout d’abord avec un peu de timidité, puis à l’appel des sens nos bouches se gouttèrent, son souffle était chaud, nos mains se touchèrent, et découvrir nos corps. Nous restions enlacés l’un contre l’autre, sa poitrine appliquée contre mon torse m’excitait. Je pensais qu’elle faisait exprès de se plaquer à moi très fort et de frotter son pubis contre le sien. Mon sexe ne pouvait se redresser me faisait mal, car elle serrait les jambes et ma pauvre bestiole, dur comme la pierre, ne pouvait que rester la tête en bas.
Quand nous ouvrions les yeux, je ne voyais que son regard coquin qui semblait dire : « Tu as vu comme je te tiens ! ». Puis, elle ouvrait lentement un peu les cuisses et laissait ainsi ma queue se redresser son « Thigh gap » qui forme un creux entre…Bon tout le monde sait ce que c’est… moi, c’était grâce à Lyli.
Elle me l’avait coincée et bougeait doucement son bassin, ce qui avait pour effet de me masturber lentement ; un délice que je ne connaissais pas. Quand elle gardait les yeux fermés, je l’observais, et à chaque fois que mon gland passait sur son clitoris, elle se mordillait les lèvres et grimaçait un peu. J’eus la bonne idée de forcer mon sexe à se redresser à chaque passage jusqu’au moment où elle ouvrit les yeux d’un coup. Elle me fixa, et je sentis son ventre se contracter, ses seins devenir tout dur et ses mains m’agripper les fesses avec une force terrible ; je venais de lui offrir un petit orgasme. Elle prit ma bouche et m’offrit un doux baiser que mon esprit s’emballait ; j’étais comme sur un nuage. Le fond de son regard bleu, presque électrique, m’envoyait une vague de tendresse et de douceur ; mon cœur était devenu tout mon. J’avais cette sensation de bien-être, de douceur et d’un je-ne-sais-quoi que je ne connaissais pas.
Je ne connaissais rien de cette femme avec qui j’allais faire l’amour, j’étais impressionné ; timidement je lui demandai en chuchotant :
— Tu veux bien qu’on le fasse ensemble ?— Tu me parais bien timide, c’est la première fois ?— Non…c’est juste qu’on ne se connait pas, répondis-je un peu vexé.— Dommage… j’aurais bien aimé jouer avec un puceau. Il fait chaud, on pourrait prendre une douche avant histoire d’être un peu mieux ?
Elle avait chaud, moi je bouillonnais d’impatience, mon sexe me brûlait d’envie, et une bonne douche bien fraiche calmerait un instant mes ardeurs.
— D’accord, suis-moi je vais te montrer notre « salle de bain ».— Vous avez une salle de bain, ici ? s’étonna-t-elle. — Oui, et NAturelle en plus ! — Et bien alors c’est parti. Eh ! Tout le monde ! Il parait qu’il y a une salle de bain naturelle ici. Allez les enculés venez vous laver ! ordonna Aurélie.— Et avec une grande baignoire, la classe non ! ajouta Lyli.
Je pris Aurélie par la main et l’entraina vers la cascade, les autres nous emboitèrent le pas. Arrivés à la cascade un « Waouh ! » général accueillit la découverte de notre salle de bain tout confort, seul le plombier avait oublié d’y installer l’eau chaude.
Pour s’encourager, Elsa proposa que nous plongions tous en même temps, nous l’avions fait et c’est transi de froid, mais propres, que nous sommes ressortis de l’eau. Nous sommes redescendus vers la petite maison et la fête put commencer ; j’avais hâte que cela commence !
Les cousines avaient annoncé la couleur : tout était permis ! Les cousines avaient sorti tout le matériel dont elles disposaient, et à la vue des crayons, Aurélie demanda à quoi pouvaient-ils bien servir ?
— À se les mettre dans les fesses, lui dis-je.— Tu plaisantes ! Et tu as déjà essayé ?
Après avoir un peu hésité, je lui ai répondu que oui.
— Waouh… ! C’est cool ça, j’ai envie d’essayer aussi ; tu me le fais ? Et quand tu m’en auras mis plein tu me prendras.
Ouf ! J’eus un gros coup de chaud tout à coup, car j’étais terriblement excité à l’idée de lui faire subir l’épreuve des crayons ; sauf que je ne savais pas comment faire exactement. Pendant qu’Aurèlie s’installait sur la table, j’allais voir discrètement Lyli qui s’occupait des autres garçons, et je lui chuchotai à l’oreille.
— Dis-moi, Aurélie veut que je lui mette les crayons ; mais je ne sais pas trop comment faire.— C’est super ça ! Tu vas voir comment on va bien s’amuser ; j’arrive, me répondit-elle en quittant le groupe qui s’amusait parfaitement bien.
Les filles avaient attaché les deux garçons là où mon frère et moi l’étions tout à l’heure, et dans la même posture. C’est mon frère qui jouait le rôle du bourreau, il claquait le cul des mecs pendant qu’Elsa et l’autre fille s’occupèrent de leur poser les pinces et poids. Je jubilais de voir les deux mecs ainsi maltraités ; mais moi j’avais autre chose à faire.
Aurelie attendait tranquillement allongée sur le dos, les mains derrière les genoux et jambes en l’air, avec les fesses au bord de la table comme elle l’aurait fait pour un accouchement. J’avais devant moi le joli spectacle de sa minette toute rose et déjà bien ouverte et aussi son petit trou tout rond. Lyli nous rejoignit, me chuchota à l’oreille le mode d’emploi des crayons et commença à s’amuser avec les lèvres d’Aurèlie.
Que c’était excitant de voir deux filles s’embrasser à pleine bouche, je les regardais et observais leur manège ; elles s’embrassaient à grand coup de langue, on aurait dit de chattes en train de se lécher le museau. Alors qu’elles s’embrassaient et gémissaient doucement ; j’enfilais les crayons un à un avec délicatesse ; en enfilant le crayon toujours au milieu des autres, c’était la consigne !
C’était rigolo de voir son anus s’élargir doucement. À chaque morceau de bois de couleur elle gémissait un peu ou lâchait des « Humm ! » ou des « Oh, oui ! » Étouffés. Les mains de Lyli semblaient connaître le corps d’Aurèlie par cœur, chaque geste était précis, chaque caresse allait là ou il fallait et juste au bon moment pour faire onduler Aurelie. Les ondulations appelaient sans cesse des « Encore plus et encore plus fort ! », ses petits mamelons se dressaient petit à petit à chaque passage des mains de Lyli qui pressaient les petits seins tout ronds et tout mignons de la belle blonde. J’enfilais toujours les crayons, Lyli dévorait maintenant les tétons exacerbés de la belle dont le souffle devenait plus rapide et plus puissant. Son ventre réclamait en se creusant comme pour appeler un je ne savais pas quoi ; par contre Lyli le savait, ses doigts avaient ouvert le passage. Elle me jeta un regard qui voulait me dire: « Alors tu te bouges, tu ne vois pas qu’elle réclame, idiot ! ».
Elle avait raison, j’étais un peu gauche ou plutôt intimidé. Il faillait que j’y aille.
J’avais le trac comme un acteur entrant en scène, mais le regard foudroyant de Lyli me fit comprendre qu’il était plus que temps d’agir. Je pris une grande respiration, guida mon engin gonflé à bloc, et pénétra doucement dans l’antre de la belle qui gémit instantanément. Que c’était doux, légèrement humidifiée, ma verge entra en entier dans son vagin, puis je reculais un peu. Lorsque mon gland arrivait à presque sortir de son vagin je rentrais d’un coup sec en la burinant pour finir par presque ressortir encore, et recommencer.
Mon gland sentait la proéminence que faisaient les crayons prisonniers dans son derrière ; je les lui avais tous mis. Son ventre ondulait, elle avait lâché ses genoux et posé ses talons sur mes épaules ; ses mains se déplaçaient nerveusement en permanence. Au fur et à mesure que j’allais et venait en elle, elle posait ses mains sur son ventre, attrapait le bras de Lyli ou le bord de la table puis, elle se crispa les poings fermés d’un coup. Et là, les choses allèrent très vite, elle se cramponna à nouveau aux rebords de la table. J’accélérais, son souffle devint fort et saccadé, son vagin se referma sur le mien si fort que je le frottement déclencha en moi une jouissance extrême. J’avais l’impression de lui envoyer des flots de sperme, elle venait tout comme moi d’arriver à un orgasme terriblement bon. Puis je me retirais en douceur, elle me tendit la main, elle me dit :
— Viens, tu as été formidable ; t’es un champion.
Punaise, je venais d’obtenir le diplôme du parfait queutard ! J’étais heureux
Les deux garçons attachés avaient joui sous la torture si excitante des coups de paddle. Puis nous fîmes une pose casse-croute. J’avais réussi à m’assoir à côté d’Aurélie et comme les bancs étaient à peine suffisamment grands pour contenir tout le monde ; je me collais à elle. Je passais ma main sur sa cuisse et lorsque je tentai d’atteindre sa minette, elle me regarda fixement. Elle me fit un petit sourire malicieux et ses yeux coquins elle me fit fondre de bonheur. Elle me donnait une étrange envie, pas de lui faire l’amour, mais plutôt comme l’attirance d’être à ces côtés ; je m’enflammais de plus en plus. Petit à petit et le soleil descendait doucement ; la nuit, surtout en montagne, arrivait très vite.
— Vous n’allez pas pouvoir redescendre ce soir, il va bientôt faire nuit, informa Elsa.— Si ! Si ! Ça va y aller, repris Michel sur de lui.— Pas question, vous ne connaissez pas la montagne et si vous vous perdez, c’est tant pis pour vous, et vous risquez de vous faire attaquer par des renards ; alors vous dormirez ici ! ordonna Elsa.— Oui, mais on ne voudrait pas abuser, repris Aurèlie.— Ne vous inquiétez pas, ici tout le monde est toujours le bienvenu, et il y a la bergerie au cas où ! repris Lyli.
Alors ils restèrent, nous avions baisé une bonne partie de la nuit. Les filles insatiables en voulaient toujours plus, quand nos queues refusaient de monter, elles nous suçaient à tout de rôle jusqu’à ce qu’elles se redressent. À un moment les filles me portèrent sur la table et se jetèrent toutes les quatre sur moi comme une pieuvre, avec ses huit tentacules et quatre bouches. Je ne sais pas si vous arrivez à imaginer l’effet que cela peut provoquer chez un homme. Je n’arrivais pas à savoir à qui appartenait telle ou telle main ni bouche ou langue. Ma jouissance était à son comble. À un moment une bouche me faisait une fellation d’enfer pendant qu’une autre avait englouti mes bourses et les malaxait avec la langue et les dents. Alors qu’une autre m’entrainait dans une valse linguale et la dernière mordillait mes tétines. Sans compter les huit mains aux doigts agiles où certains décidèrent même d’inspecter mon rectum, je sentis deux doigts puis presque une main entière forcer mon trou. Elles m’ont tenu immobiles, elles m’encourageaient pour que je me relâche et me disaient :
— Allez Antoine décontracte toi, ça va aller tu vas voir comme c’est bon !
En effet ce fut bon. Il y avait tout un mélange de sensation, celle de se sentir totalement prisonnier et totalement à leur merci. Il y avait aussi cette intromission si jouissive, au fur et à mesure que la main (je sus après que c’était celle d’Aurélie) pénétrait en moi et plus je voulais qu’elle entre encore plus. L’apothéose fut quand l’autre fille (je ne me rappelle plus de son prénom) pris mon sexe en bouche, me malaxa les testicules et que les trois autres me donnaient des instructions :
— Allez Antoine, concentre-toi, retiens-toi le plus que tu peux tu va voir comme ça va être bon.— Oh oui ! C’est bon, entre encore plus dans mon cul ; vas-y mets moi toute ta main !
Et comme pour lui faciliter la tâche, j’agrippais mes fesses et tirais très fort pour ouvrir mon trou du cul. Je me retenais, cela devenait de plus en plus difficile ; je sentais le sperme qui voulait sortir, mais je me tendais le plus possible. Je n’en pouvais plus de me retenir, alors j’ai tout lâché d’un coup, une, deux, trois et peut-être même quatre salves de sperme qui montèrent très haut au-dessus de moi. Celle qui me suçait avait eu le réflexe de se retirer juste à temps.
Vidé de mon sperme et de mes forces, les quatre filles m’abandonnèrent et firent subir le même sort aux autres garçons ; mais vu le nombre ils n’eurent le droit qu’à deux filles chacun au lieu de quatre. Mon frère en pose technique me rejoignit.
— Putain ! J’n’en peu plus ! Alors frérot, c’était cool, non ! me dit-il.— Tu l’as dit, dommage que demain il faille repartir.— Mai on va revoir Maman, c’est bien aussi, non ?— Oui, c’est vrai et j’ai hâte de la revoir, pas toi ?— Si, mais je pense à un truc ; qu’est-ce qu’on va lui raconter ?— On verra bien, et si on lui disait la vérité ; tu crois que ça l’exciterait ?— Tu es fou, de quoi tu parles ; ne me dis pas que tu voudrais faire ça avec Maman ?— Non, pas tout, mais juste un câlin, concluais-je.— Oh ! Tu es devenu obsédé où quoi ?— Ne me dis pas que quand tu la vois toute nue, c’la n’te fout pas la trique ? — Tu as raison, et c’est vrai qu’elle est belle.— Et en plus, papa est parti ; elle est sans doute triste.
Il faisait presque nuit noire et j’avais sommeil.
— On va se coucher ? demandai-je
Il y eu un « Oh que oui ! » général qui accueillit ma proposition
— Et on fait comment, car nous n’avons que deux lits ? m’inquiétai-je— Et bien, comme les garçons sont galants ; ils vont dormir sur la paille avec les bêtes, et nous les filles dans la maison, ça vous va ? proposa Lyli.
Nous avons bien évidemment accepté cette offre afin de prouver notre galanterie, mais Michel s’inquiéta :
— Mais la paille, ça gratte ? se plaignit Michel.— Ah ! Ah ! T’es bien un gars d’la ville toi ! J’vais t’montrer ! repris-je.
Dans mon rôle de parfait paysan dur à cuire, je lui fis la démonstration de comment faire un lit confortable avec de la paille. Avant de s’endormir Michel nous posa une question embarrassante :
— Dis-te moi les mecs, les deux filles, ce sont vos cousines ?— Bah, oui ?— Et vous les baisez aussi ?— Non, on regarde, c’est tout ! répondis-je d’un air peu convainquant.— Ne me prenez pas pour des truffes, et bien mes salauds ! Et vous n’avez pas peur que cela se sache ?— Tu vois, mec ! Ici il n’y a rien alors on s’occupe comme on peu, répondit-Julien.— Et elles sont d’accord ?— Évidemment, Pff… ! Allez, bonne nuit.
Alors qu’il faisait à peine jour, je sentis quelque chose bouger près de moi, au début je crus que c’était un des chiens, mais je compris très vite quand une main se posa sur mes fesses. Comme il faisait très chaud, je n’avais rien mis sur moi. Je mes retournai et aussitôt une bouche vint chercher mes lèvres, mon cœur s’emballa et je touchais le corps inconnu. C’était Aurélie.
— Je suis venue te dire bonjour, tu me fais une petite place ; j’ai froid.
Alors, elle s’est blottie tout contre moi, sa tête posée dans le creux de mon bras qui l’enlaçait. Elle parlait avec ses mains en me caressant le torse, le ventre, le pubis et m’empoigna le sexe qu’elle massait doucement.
— J’ai envie de toi, me chuchota-t-elle.— Mais il y a les autres qui dorment juste à côté, on ne va pas faire ça ici ?— Si, ça m’excite, pas toi ? On va le faire, mais sans les réveiller, d’accord ?— Oui.
Nous l’avons fait doucement, en silence, chaque geste était précis ; à chaque mouvement de mon frère ou d’un des garçons, nous arrêtions tout en retenant notre respiration pour ne pas se faire piquer. Elle avait raison c’était super excitant de faire l’amour à côté de quelqu’un sans qu’il s’en aperçoive. J’étais maintenant certain que j’étais bel et bien tombé amoureux d’elle, le coup de fondre ; comme on dit. Ce genre de truc qui vous prend aux trippes avec cette sensation indescriptible de bien être où tout est beau, tout est grand.
Quand elle eut envie, c’était elle qui mena la cadence, quand elle eut son orgasme ; je n’étais pas prêt. Elle se retira et me fit une fellation douce et lente. J’avais éjaculé dans sa bouche, alors elle remonta sur moi, prit ma tête entre ses deux mains et me roula une pelle avec sa salive et mon sperme ; il avait un gout de guimauve, je crois que ce fut le plus beau baiser que j’ai jamais fait.
[À suivre]
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