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Jeux entre frères

Chapitre 13

Maman, les retrouvailles.

Divers
Maman, les retrouvailles.
Je me trouvais un peu con avec mes doigts gluants et ma poche inondée de sperme. Il fallait maintenant que je trouve une solution pour me sortir du merdier dans lequel je m’étais fourré, je saisis mon téléphone de ma main libre et regardais l’heure. Nous arrivions dans un quart d’heure, et comment cacher la tache ? J’étais en panique et je regrettais déjà ce que je venais de faire, mais il était trop tard et la seule solution était de me changer. Heureusement pour moi, j’avais posé mon sac à dos à mes pieds ; je le saisis et le remonta sur mes cuisses. Le désastre sur mon short était devenu invisible, je fus soulagé. Sauf que mon short et moi étions intiment liés par ma cuisse, et avec la chaleur je commençais à sentir l’odeur de mon sperme ; mon frère ouvrit les yeux.
— Qu’est-ce que tu fais ? me demanda-t-il— On arrive, je vais attendre à la porte.— Tu as encore le temps, il reste plus de dix minutes, répliqua-t-il en regardant son téléphone.— Je sais mais je dois aller aux toilettes.— Ah, oui ; c’est vrai ! Il faut que tu te changes mon salop, car je t’ai vu te branler ; t’es vraiment un obsédé !— …
Sans répondre je pris mon sac, le plaçai juste devant moi et me dirigeai vers les toilettes sans me retourner ; je supposais que mon frère devait se foutre de ma tronche. Quand le train commença à ralentir, je finissais tout juste de me nettoyer, d’enfiler un short propre, et de rouler mon short souillé au fond de mon sac.
Je n’avais pas mis de caleçon, car j’avais bien l’intention de monter à l’avant de la voiture et d’aguicher Maman en remontant mon short très haut, et à m’arranger pour que mon zob sorte un peu par la jambe du vêtement. L’idée de coucher avec ma mère était devenue une véritable obsession, et j’étais bien décidé à tout faire pour arriver à mes fins.
Nous sortîmes du train et en arrivant dans le hall de la gare, la surprise ! Mon cœur fit un bond en voyant Maman en face de nous, elle était ravissante avec sa minijupe noire très courte qui dévoilait ses jambes fines ; j’eus même l’impression qu’elle avait maigri un peu. Son chemisier blanc et suffisamment transparent laissait deviner un soutien-gorge noir à dentelles. Elle était souriante et belle comme un cœur, car elle avait changé sa coiffure et sa coupe courte lui donnait dix ans de moins. Elle nous tendit les bras, nous nous précipitâmes vers elle comme des gosses au retour de colo, et après avoir échangé trois mille bises elle nous dit :
— Alors mes chatons, ces vacances ? Comme je suis contente de vous revoir, vous m’avez un peu manqué !— Tu es belle comme un cœur Maman, et tu as changé de coiffure ! — Waouh…très observateur, et…— Et…tu as maigri aussi, tu es magnifique ; tu as trouvé quelqu’un ?— Je n’ai pas besoin de trouver quelqu’un pour me faire belle ! J’ai décidé de m’occuper de moi, et puis des mecs ; j’en ai deux, pas vrai ? Allez en route !
Notre habitude à mon frère et à moi était que le premier qui parlait pour monter devant dans la voiture avait la place. Alors que nous nous approchions de la Fiat 500 dernier model de Maman, je m’exclamais :
— C’est moi qui monte devant !— M’en fous, je vais dormir car je n’ai pas dormi durant le trajet ; n’est-ce pas frangin !
Maman ne releva pas, nous nous sommes installés dans la voiture ; et elle démarra. Pendant que nous roulions, j’étais hypnotisé par la vue des cuisses de ma mère dont la minijupe impudique était remontée très haut, et j’aperçus furtivement le tissu noir de son string. Je savais qu’elle ne portait que ça.
Au bout de deux ou trois kilomètres, je jetai un coup d’œil derrière ; mon frère dormait déjà. Je profitais de l’instant où Maman, arrêtée à un -stop- regardait sur sa gauche, le temps de vérifier que personne n’arrivait, pour remonter les jambes de mon short très haut et je tirais sur mon sexe pour qu’il arrive à la limite du tissu. Maintenant il me restait plus qu’à espérer qu’elle s’en aperçoive.
— Alors Antoine, ces vacances ; raconte ?— Non toi d’abord, tu as dit que tu avais des surprises ; c’est quoi ?— Ah, ah ! Tu veux tout savoir ?— Bah, oui !— Et bien vous allez trouver du changement à la maison, comme ton père a récupéré la chambre à coucher, j’en ai acheté une autre mais plus belle. Et puis j’ai fait du rangement et du ménage.
Elle posa sa main sur ma cuisse nue, me regarda. Mon cœur tapait dans ma poitrine, allait-elle regarder ? Avec un sourire au coin des lèvres, elle refixa rapidement la route et continua :
— Et surtout dans ta chambre…— …
En disant cela, elle me serra la cuisse, et une bouffée de chaleur m’envahit, mes tempes cognaient à tout rompre. J’étais mal à l’aise mais excité car je sentais mon sexe gonfler. Elle déplaça sa main vers le haut de ma cuisse et se mit à me la caresser doucement.
— Tu as de la chance d’avoir une peau toujours aussi douce, mon chéri ; l’air de la montagne et l’eau de la cascade ont dû te faire le plus grand bien.— Oui, s’était chouette.
Sa main n’était plus qu’à deux centimètres de ma queue, je commençais à bander ; le sang afflua jusqu’à mes oreilles. Elle détourna son regard de la route et me scanna de la tête aux cuisses, il était obligé qu’elle voie le bout de ma queue. Elle me sourit et détourna son regard.
— Tu as entendu ce que je t’ai dit ?— Oui, Maman.
Dans ma tête il y eut comme un éclair :
« Oh, putain, les strings ! Elle les a trouvés ! Je suis mal ! » pensai-je.
En effet, je lui en avais dérobé deux dans la panière à linge. De temps en temps quand j’étais seul, je me déshabillais entièrement, j’enfilais un des strings puis je me caressais à travers la dentelle du minuscule triangle noir ou rouge suivant lequel j’utilisais. Je bandais très rapidement et mon vit sortait par le haut de la ceinture tandis que mes couilles s’échappaient et sortaient en bas du triangle de tissu ; cela finissait toujours par une belle branlette dans le second string qui me servait de capote.
Elle jeta un coup d’œil dans le rétro et reprit.
— Depuis un bon moment, j’avais perdu de trucs à moi, et je suis contente de les avoir retrouvés ; mais j’ai dû les jetés. Par contre je ne sais pas comment ils étaient arrivés dans ta chambre et bien cachés en plus, tu n’aurais pas une idée, par hasard ?
J’étais mal à l’aise, je baissais le front, elle me serra encore plus la cuisse me la tapota amicalement et retira sa main.
— Alors ?… Regarde-moi !— Pardon Maman, je…
Je sentis son regard se poser sur moi, mon menton se frisa et trembla ; rouge comme une pivoine, j’étais au bord des larmes. Elle prit ma main et la posa sur sa cuisse.
— C’n’est pas grave mon chaton, tu sais ; je comprends que tu aies des envies.
Je levais le nez, une larme au coin de l’œil, et tout en tenant ma main sur sa cuisse si douce, elle reprit.
— Je te fais tant d’effet que ça, et tu as envie de moi n’est-ce pas ?
Je la regardais, elle avait son joli regard si doux, si maternel, si excitant ; elle me faisait vibrer tout simplement, mais du coup ma queue était rentrée dans sa coquille.
— Ne t’inquiète pas, nous allons arranger ça tout à l’heure, d’accord ?— Oui Maman, lui répondis-je la gorge encore serrée.— Bon et vous, raconte !— Bah, comme l’oncle s’est blessé il a quelque temps ; nous sommes montés aider les cousines pour nous occuper des bêtes et leur donner un coup de main pour fabriquer les fromages, et voilà.— Ah oui ! Lucienne m’avait prévenue que mon frère avait eu un souci ; tant pis pour lui, il n’a qu’à moins picoler ! Et vous n’avez pas fait que ça ? Et tes cousines, depuis le temps que je les ai vues, elles doivent être devenues de vraies femmes maintenant. Et à part ça ?— Et bien on s’est baladé, avec Julien nous avons fait du sport dans la montagne, et nous nous sommes faits bronzer aussi.— Tout nu je suppose, car là-haut il n’y a personne ; vous allez me montrer ça tout à l’heure. D’ailleurs à ce propos, j’ai changé les règles de la maison : maintenant dès que je rentre, je me mets toute nue, et j’espère que vous en ferez autant ; on est tellement bien tout nu, n’est-ce -pas ?— …
Tout à coup je me sentis mieux, elle m’avait dit : qu’on allait arranger ça, et en plus il faudra se mettre tout nu à la maison ; alors je lui caressais le haut de sa cuisse. Elle avait donc aussi envie de moi ; j’étais soulagé et même heureux de cette nouvelle.
[À suivre]
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