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Jeux de rôle

Chapitre 2

Hétéro
Jeux de rôle : l’avocate.
Je continue à découvrir Sophie et sa sexualité débridée jour après jour. Elle vient dormir de plus en plus souvent à la maison et je suis loin de m’en plaindre. Après avoir fait l’amour, elle me parle souvent de ses expériences passées. J’ai notamment appris qu’elle avait des penchants bisexuels. Elle m’avoue adorer les hommes, mais qu’elle garde un excellent souvenir de ses expérimentations lesbiennes.
En fait, j’ai l’impression que c’est une façon de me parler de ses fantasmes ; en ce moment, je sens qu’elle a envie d’un trio avec une autre femme. Elle ne me le dit pas directement, mais mon intuition masculine le ressent.
On est vendredi soir, je rentre du travail et suis d’humeur guillerette. Sophie doit passer chez moi en début de soirée ; j’imagine déjà sa langue agile sur mon corps et les ébats torrides qui vont s’ensuivre. Elle doit juste passer voir une copine en sortant du travail, et après elle m’a dit qu’elle consacrerait sa soirée à mon plaisir. Bref, une belle soirée lubrique en perspective... Je me demande même si elle ne va pas inventer un nouveau scénario coquin comme celui de la policière ?
Même si sur le coup j’avais été un peu surpris, j’ai finalement beaucoup apprécié. Je ne sais pas vraiment si cela venait de l’effet de surprise ou bien si c’était le fait d’être dominé, mais j’en garde un souvenir mémorable.
J’arrive chez moi et pose ma veste sur le porte-manteau. Je crois percevoir dans l’air les effluves de "Hot Couture", le parfum de Sophie. Effectivement, je rentre dans le salon et je vois Sophie qui m’attend sagement assise à la table en train de feuilleter un épais dossier.
En y regardant de plus près, sa tenue est différente de ce qu’elle porte d’habitude. Déjà, elle porte ses lunettes ; elle ne les met généralement que pour lire, mais je lui dis souvent qu’elle est très craquante quand elle les porte.
Elle porte un tailleur gris assez strict et près du corps qui met en évidence ses délicieuses courbes. Elle reste assise mais je vois qu’elle porte de nouveau ses escarpins et des bas (ou un collant) noirs.
Sur le coup, je reste assez intrigué par sa tenue et je me dis « Tiens, elle s’est mise sur son trente-et-un ; elle a envie de se faire un restaurant. »
Puis Sophie se lève et me tend la main.
— Bonjour Monsieur Durand ; je suis Sophie, votre avocate commise d’office.
Un large sourire vient illuminer mon visage : c’est encore un scénario coquin de ma Sophie, qui me dit d’un ton désabusé :— Cela vous fait sourire apparemment, Monsieur Durand ; pourtant, vu les faits qui vous sont reprochés, cela me paraît un peu déplacé.
Bon, Sophie – une fois de plus – prend très à cœur la crédibilité de mon jeu d’acteur. Mon visage se referme et j’essaie de me mettre dans la peau du personnage.
— Excusez-moi, Madame : c’était un sourire de nervosité.— Bien. Nous allons examiner ensemble les faits qui vous sont reprochés.
Alors que Sophie me parle, j’essaie d’imaginer la lingerie qu’elle a mise en dessous. J’hésite entre une paire de bas autofixants genre Dim up, ou alors des collants, mais portés sans culotte. Je visualise son sexe glabre et humide collé à son collant. Rien que ces pensées produisent sur moi un début d’érection.Mais mon avocate me sort de mes pensées :
— Monsieur Durand, votre femme a demandé le divorce pour faute. Comme raison, elle invoque des besoins sexuels démesurés. D’après elle, vous la sollicitez parfois jusqu’à sept ou huit fois par nuit.
J’essaie de mettre dans la peau du personnage.
— Ah bon, elle demande le divorce pour cela ? Elle n’avait pourtant pas l’air de s’en plaindre…
Sophie se lève et d’un ton sec me répond :— Écoutez, ceci n’est pas le sujet de notre discussion. Notre ligne de défense sera simple : éviter le divorce pour faute en prétextant que les arguments de votre femme sont purement imaginaires. Sept ou huit fois dans la nuit, quel juge pourrait croire cela ?
À peine sa phrase finie, mon avocate vient s’asseoir sur le coin de la table. D’une manière innocente elle croise ses jambes ; sa jupe remonte légèrement sur ses cuisses et je découvre un bas noir tenu par une attache de porte-jarretelles noir lui aussi.
Bien que perturbé par la vue avenante qui s’offre à moi, je crois savoir où Sophie veut en venir. Je me lance :— Je vous assure que c’est possible pourtant, et je peux vous assurer que ma femme était loin de s’en plaindre.
Sophie me répond, l’air offusqué :— Ah écoutez, n’aggravez pas votre cas ! D’après mon expérience personnelle, je sais que ce n’est pas possible.
Je commence à me fondre dans mon personnage :— Et elle se résume à quoi ou à qui, votre expérience personnelle ?— Avec mon mari, nous ne l’avons jamais fait autant de fois.— Et alors, ce n’est pas parce que ton mari ne vaut rien au lit que tous les hommes sont pareils.
Ce petit jeu commence à me plaire. Ce soir, j’ai envie de prendre l’initiative ; je ne sais pas ce que Sophie a prévu, mais j’ai décidé de prendre les commandes. J’enchaîne aussitôt en lui désignant ses jambes :— C’est pour lui que tu mets des dessous de salope ?
Je sens Sophie prise au dépourvu, mais sa réponse me fait comprendre qu’elle va dans mon sens :— Oui, c’est pour lui : il me dit qu’il me trouve excitante comme ça.— C’est vrai qu’il a raison ton mari, tu es franchement bandante comme ça, Madame l’avocate. Par contre, cela me gêne que vous assuriez ma défense vu que vous ne me croyez pas.
Sophie a compris ou je voulais en venir :— Oui, c’est vrai que j’ai du mal à vous croire ; il me faudrait une preuve.— Si c’est une preuve que tu veux, il n’y a pas de problèmes : on va régler ça tout de suite...
Je me lève et prends la main de Sophie pour qu’elle en fasse de même. Je la fais pivoter sur elle-même et constate avec bonheur qu’elle ne porte pas des bas ordinaires : ce sont de vrais bas avec des coutures. Elle a aussi mis sa petite chaînette à la cheville qui lui donne un air terriblement sensuel.
— Eh bien, il a bon goût, ton mari, pour la lingerie ; dommage qu’il ne vaille rien au lit.— Je ne peux pas vous laisser dire ça !— T’inquiète : tu constateras par toi-même lorsque je t’aurai baisée.— Ah non, il n’en est pas question !— Si je ne me trompe pas, en tant qu’avocate, tu dois défendre au mieux les intérêts de ton client ?— Oui, mais cela ne veut pas dire que je doive baiser avec eux.— Il faut que je te prouve que je suis un super coup ; alors je vais te baiser pour que tu me croies et que tu me défendes correctement.
Sophie finit par lâcher. Ce n’était sans doute pas ce qu’elle avait prévu, mais elle se laisse tenter par l’orientation que prend mon scénario :— Bon, d’accord ; mais c’est uniquement pour vous assurer la meilleure défense possible.
Je viens me coller derrière Sophie, je me plaque contre elle pour lui faire sentir mon degré d’excitation. Mes mains viennent caresser son ventre et remontent vers sa poitrine pour saisir ses seins. Je les caresse mais je trouve que les obstacles sont trop nombreux. J’ouvre son tailleur en défaisant les boutons un a un. Je m’attaque ensuite à son chemiser que j’entrouvre juste assez pour me permettre d’avoir accès à sa lourde poitrine.
J’extirpe ses seins du soutien-gorge et commence à jouer avec ses tétons déjà tout durs.
— Alors, Madame l’avocate, on a déjà les tétons tout durs : ça t’excite ?
Tout en commençant à frotter son fessier contre mon membre, Sophie me répond :— Mm ... oui, vous m’excitez avec vos manières de rustre.
Je continue à jouer avec ses seins tandis que mon avocate agite sa croupe de plus belle contre mon sexe.
J’abandonne sa poitrine à regret et défais la fermeture Éclair de sa jupe, qui tombe aussitôt à ses pieds. Je contemple avec délectation la lingerie affriolante qui s’offre à moi. Elle porte un boxer noir en dentelle. Par-dessus, elle a mis le porte-jarretelles assorti ; je suis comme hypnotisé par la couture de ses bas qui file le long de ses jambes.
Un soir, lors de nos sessions de confidences sur l’oreiller, je lui avais avoué que la lingerie était mon péché mignon, notamment les bas et porte-jarretelles. On peut dire qu’elle m’a pris au mot, et je trouve cette attention aussi touchante qu’excitante.
Ma main vient caresser son sexe par-dessus la dentelle de son sous-vêtement. Je sens sa peau lisse sous le fin tissu. De mon autre main je m’empare à nouveau d’un de ses seins. Très vite, mes doigts se faufilent sous son boxer et je constate que Sophie ruisselle déjà de désir. J’enfonce sauvagement mon index dans sa fente, ce qui arrache un petit gémissement à mon avocate commise d’office.Je me souviens qu’on est dans un jeu de rôle :
— Eh bien, Madame l’avocate, on est déjà toute mouillée à ce que je vois ; comment ça se fait ?— Je ne sais pas, c’est vous... Je me sens toute... bizarre.— Je suis sûr que tu aimes porter de la lingerie de traînée sous ton tailleur BCBG ?— Oui, j’aime beaucoup, ça m’excite...— Toi aussi tu m’excites avec tes dessous.
Puis en frottant mon sexe – qui est d’ailleurs bien à l’étroit dans mon pantalon – contre ses fesses, je lui dis :— Tu sens comme tu me fais de l’effet ?— Oui, je la sens bien ...
La situation m’excite incroyablement… Je me prends au jeu, j’ai envie de soumettre cette petite snobinarde d’avocate. Je la retourne, et tout en commençant à défaire la ceinture de mon pantalon :— Allez, viens me sucer !
Sophie s’accroupit docilement devant moi. Une fois mon pantalon et mon boxer à terre, elle se saisit timidement de ma tige et commence à la caresser doucement :— Je ne sais pas s’il faut que je le fasse, ce n’est pas bien...
J’hallucine ! Elle aussi prend son rôle d’ingénue à cœur ; je sais pourtant qu’elle meurt d’envie de me prendre en bouche. Mais tant pis : ce soir, c’est moi qui commande. Je l’attrape par les cheveux et lui fourre ma queue entre les lèvres.
— Tais-toi et suce !
Mon avocate commence alors une divine fellation. J’ai l’impression qu’il y a plusieurs langues dans sa bouche tellement je sens sa présence sur moi. Elle passe en revue chaque partie de mon membre, le gland, le méat...Mais il manque un endroit, en fait.
— Allez, lèche-moi bien les couilles aussi.
Sophie, toujours aussi obéissante, se met à me masturber doucement et vient s’occuper de mes testicules tout lisses. C’est un pur délice, c’est une véritable experte en fellation, sa bouche est un miracle.Prenant toujours mon rôle très à cœur, je lui dis :— Caresse-toi aussi pendant que tu me suces !
Mon avocate, qui semble désormais m’obéir au doigt et à l’œil, descend sa main gauche entre ses jambes et commence à s’activer sur sa fente. Cela a comme effet de rendre sa fellation encore plus intense.Elle alterne maintenant d’elle-même entre mon sexe et mes testicules, et tout en faisant ça elle me regarde dans les yeux avec un regard plein de naïveté. D’un ton innocent, elle me demande :— Cela vous convient comme ça ?— Oui, c’est parfait. Tu es une sacrée suceuse, toi !— C’est gentil, Monsieur, vous allez me faire rougir...
Qu’est-ce qu’elle m’excite quand elle prend son air de jeune femme prude ! D’ailleurs, je sens que je ne vais pas résister très longtemps aux assauts de sa lange si agile.
— Je vais venir ; ouvre bien la bouche.
Sophie me répond d’un ton faussement outré :— Ah non, hors de question : je n’ai jamais fait ça, c’est dégoûtant...— Il y a un début à tout. Tais-toi et suce !
Elle emprisonne alors mon gland entre ses lèvres et se met à me branler de plus en plus vite. Avec son autre main, elle me caresse délicatement les couilles. L’effet conjugué de sa langue et de ses doigts m’emmène rapidement vers l’éruption et je me répands dans de longs et puissants jets dans sa bouche.Sophie se délecte de ma liqueur tout en continuant sa douce fellation. Elle allait se relever quand je lui dis :— Reste accroupie et remets-toi à me sucer : je n’en ai pas fini avec toi.
Un court instant, la surprise se lit sur le visage de Sophie, mais très vite une étincelle vient enflammer son regard. C’est donc toujours aussi docilement qu’elle se rabaisse et se remet à me sucer.Au bout de quelques secondes, je suis à nouveau au meilleur de ma forme.
— Viens t’allonger sur la table ; je vais te baiser maintenant. Tu vas voir la différence avec ton mari…
Elle s’allonge le dos sur la table ; je viens entre ses jambes et lui enlève son boxer. Elle est là, offerte devant moi, à moitié dénudée mais portant toujours sa lingerie sexy, ce qui la rend encore plus désirable.
Je reste là à la contempler ; je ne peux m’empêcher de lui caresser tendrement le ventre et les jambes. Même si cela n’est pas très adapté au scénario, je ne résiste pas à l’envie de plonger mon visage entre ses jambes et de goûter à son intimité. Je fouille délicatement avec ma langue chacun de ses replis les plus intimes.Sophie gémit doucement et se caresse les seins :— Oh... C’est si bon...
Je la torturerais ainsi pendant des heures, mais là, j’ai envie de la prendre sur la table, de manière bestiale. Je prends ses chevilles que je pose sur mes épaules, et je m’introduis d’un seul coup en elle.
Je m’accroche à son porte-jarretelles et me mets à lui donner de grands coups de reins. Pour la première fois depuis notre relation, je ne lui fais pas l’amour : je la baise. Je suis complètement pris dans le scénario, j’ai une folle envie de la soumettre et de la pervertir. Si tant est que cela soit possible...
Mon avocate semble apprécier le traitement que je lui fais subir ; ses mains s’agitent sur sa lourde poitrine, qui suit le rythme de mes coups de boutoir. Je frotte ma joue contre sa jambe gainée de nylon ; cette sensation m’électrise et me met dans un état second. J’ai envie de la faire hurler de plaisir… Tout en continuant à aller et venir dans son étroit fourreau, je me mets à caresser son clitoris avec mon pouce. Je vois Sophie se pincer les lèvres pour ne pas gémir ; elle résiste.
Je la sens à ma merci, prête à céder ; mais avant de lui porter le coup de grâce, j’ai une envie subite de sentir de nouveau sa langue sur ma queue. Je me retire et fais le tour de la table ; je la tire légèrement par les épaules pour que sa tête soit dans le vide, puis je plonge mon sexe dans sa bouche.Pendant qu’elle me suce, je joue avec ses seins. Elle me suce du mieux qu’elle peut dans cette position assez confortable, mais même comme ça, cela reste divin.Je sens ses ongles me déchirer la peau des fesses. Je pense qu’elle se venge...
Je réaffirme mon autorité :— N’oublie pas de me lécher les couilles aussi !
Toujours aussi docilement, je sens la langue de Sophie aller le long de ma tige et commencer à venir lécher mes testicules. Vu la façon dont elle est positionnée, elle les lèche par en dessous, c’est vraiment divin.Sa langue va parfois se perdre un peu plus loin vers mon anus. Elle s’y arrête avant de l’atteindre ; c’est une sensation réellement agréable et intrigante pour moi : je n’avais jamais subi de caresses buccales dans cette zone, et c’est finalement loin d’être désagréable.
Sophie se contente maintenant de cette partie de mon anatomie : elle a définitivement abandonné mes testicules, et sa langue vient flirter avec mon anus. Je fonds littéralement sous ses caresses. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu’elle prépare quelque chose et souhaite retourner le déroulement du scénario à son avantage. Je décide alors de passer au final.Je me retire de son étreinte et fais le tour de la table pour revenir entre son compas. Je l’attrape par les cuisses pour la tirer jusqu’au bord de la table et je pose ses chevilles sur mes épaules. Je lui lance :— On va passer au final, Madame l’avocate.
Faussement inquiète, Sophie me répond :— Mais qu’allez-vous me faire ?— Tu vas le voir tout de suite...
J’empoigne mon membre et je commence à venir frotter mon gland à l’entrée du petit trou de mon avocate. Celle-ci réagit aussitôt :— Non, pitié, pas par-là, je ne l’ai jamais fait...
« Qu’elle joue bien la comédie ! » me dis-je en moi-même. Je sais qu’elle en meurt d’envie pourtant. Mais ce soir, je vais la torturer, la faire languir. Tout en continuant à frotter mon sexe contre son anus, je lui dis :— Vraiment, tu ne t’es jamais fait enculer ?
Elle me répond d’un ton réellement agacé :— Non, jamais !— Ton mari n’a jamais voulu ?
Cachant de moins en moins son impatience, Sophie me répond :— Si, mais je ne le voulais pas.
Ses réponses sont minimalistes ; tout ce qu’elle veut, c’est que je la prenne. Son bassin ondule doucement ; c’est elle qui vient se frotter contre moi désormais. Sa main est descendue sur son bas-ventre ; je parie que d’ici quelques secondes, elle va commencer à jouer avec son clitoris.Je m’en veux presque de la faire languir ainsi, mais c’est tellement excitant de voir les réactions de son corps qui réclame mon sexe... Je continue de la tourmenter :— Ça ne te donne pas envie, ça ?
Et je me mets à appuyer un peu plus fort avec mon gland sur sa rosette.Je l’entends murmurer quelque chose d’inaudible et sa main descend sur sa fente. Elle se met à se caresser. Je lui dis :— Tu disais quoi ?
Et là, Sophie craque :— Putain, je n’en peux plus ! Prends-moi le c...
Je ne lui laisse même pas finir sa phrase que j’enfonce aussitôt mon gland en elle. Elle pousse un petit cri ; difficile de dire si c’est l’effet de surprise ou l’excitation. Je reste immobile, planté en elle pendant quelques secondes. Elle me dit :
— Ah, quand même… J’en pouvais plus d’attendre.
Je viens d’obtenir une capitulation en règle. Tout en l’agrippant fermement par le haut des chevilles, je me mets alors à coulisser en elle. Le corps de Sophie se met en branle sous l’effet de mes coups de reins. Elle joue avec sa chatte et ses seins tandis que je prends possession de son cul si excitant.
Je tiens quand même à rappeler à ma chère Sophie qu’elle est quelque peu sortie du scénario :— Alors, Madame l’avocate, c’est bon de se faire sodomiser ?— Ah oui, c’est tellement bon…
Au moins pour ça, elle n’avait pas besoin de jouer : elle adore la sodomie, ma chère coquine. Je continue de faire coulisser mon sexe dans son rectum ; pendant ce temps, elle s’affaire avec fougue sur son clitoris. Ses gémissements résonnent dans la pièce.Chez moi aussi l’excitation est extrême, je suis au bord de la rupture. Je caresse avec bonheur les jambes de mon avocate ; le contact du fin tissu de ses bas est presque comme une drogue pour moi. Je me lance dans une dernière ruade qui arrache des longs cris rauques de la gorge de Sophie et je me répands en elle.Je fais encore quelques allers-retours dans son fondement tout en léchant ses mollets.Elle m’a épuisé, mais si elle me le demande, je pense que je saurais encore l’honorer.Je me penche vers elle et l’embrasse tendrement ; je me saisis de sa lèvre inférieure pour la mordiller, puis je l’embrasse dans le cou et lui susurre à l’oreille :— Alors, Madame l’avocate, vous êtes prête à assurer ma défense ?
Elle me répond alors d’un ton malicieux :— Oui, mais je crois qu’il va falloir que nous nous revoyions plusieurs fois afin d’élaborer une stratégie de défense efficace...
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