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Jeux de rôle

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Jeux de rôle : la femme adultère
Sophie s’est finalement décidée à venir s’installer chez moi. Il a bien fallu que je lui fasse un peu de place en sacrifiant quelques... que dis-je : de nombreux tiroirs et étagères, mais son installation s’est passée à merveille.
Je craignais que la routine du quotidien ne vienne ternir notre sexualité effrénée, mais cela n’a pas été le cas. Bien au contraire, le rangement de la lingerie de Sophie dans sa nouvelle demeure a occasionné quelques essayages sauvages et les débordements habituels qui s’ensuivent.
Dans la même soirée j’ai donc eu droit à l’avocate, puis à mon infirmière préférée. L’arrivée de Sophie a seulement un impact négatif sur mon sommeil. Il faut dire que nous avons instauré un petit jeu entre nous qui consiste à faire craquer l’autre pendant son sommeil.
Pendant qu’elle dort je viens me blottir derrière elle et nicher mon sexe entre le sillon de ses fesses. Mon esprit envahi de pensées obscènes ne tarde pas à donner de la vigueur à mon membre qui grossit contre le fessier de ma douce. Je passe alors ma main sur son ventre et m’empare d’un de ses seins que je commence à caresser.
Je sens qu’elle se réveille quand son bassin se met au rythme du mien. Une fois Sophie bien réceptive, je la prends dans cette position, nos deux corps blottis l’un derrière l’autre. Elle empoigne mes fesses, me labourant la peau avec ses ongles comme si elle voulait me punir de l’avoir réveillée. À l’issue de cette étreinte nocturne, nous finissons finalement par trouver le sommeil, toujours serrés l’un contre l’autre.
Sophie aussi aime jouer. Généralement, elle se "venge" dès le lendemain. Quand j’émerge de mon sommeil, je sens ses doigts enserrant mon sexe déjà bien dur. Elle attend ensuite que je sois bien réveillé pour se hisser et s’allonger sur moi, plaquant sa poitrine contre mon torse. Elle continue à me tourmenter en frottant les lèvres de son sexe contre ma queue. J’empoigne alors ses fesses et j’accompagne leurs allers et retours contre ma tige qui s’imprègne progressivement de la moiteur de sa fente. Quand elle n’en peut plus, elle vient s’empaler sur moi, enlace ses jambes autour des miennes et s’active le long de mon membre.
Je reste immobile à subir stoïquement la fougueuse cavalcade dont le rythme varie au gré des humeurs et envies de ma belle. Quand elle ralentit la cadence, elle expulse la quasi-totalité de mon membre de son doux fourreau, ne gardant que mon gland en elle pour tout engloutir de plus belle quelques instants plus tard. Je ne suis qu’un jouet entre ses mains au service de son plaisir.
Une fois son orgasme atteint, elle se désarçonne et retombe dans les bras de Morphée, m’abandonnant à mon triste sort si je n’ai pas eu la chance de jouir avant elle. Je ne lui en veux pas, c’est sa manière de se venger. Et puis elle sait qu’en agissant ainsi, cela ne fera que titiller mon imagination pour lui inventer des gages encore plus lubriques.
En plus de nos ébats torrides, Sophie me confie d’autres fantasmes qui s’entrechoquent dans son esprit. Un jour lors d’un long échange de SMS alors que j’étais au travail, elle m’a fait part de ses envies de voyeurisme et d’exhibition.
Elle aimerait beaucoup se faire baiser, selon ses propres termes, par un autre homme devant moi sans que je ne puisse me joindre à eux. Elle aimerait elle aussi que je prenne une autre femme en sa présence, mais sans qu’elle se joigne à nous.
Je reste partagé sur le sujet. Si je n’ai aucun doute sur l’état d’excitation dans lequel je me trouverai en assistant à ses ébats avec un autre mâle, j’imagine avec angoisse ce que je pourrai ressentir au plus profond de moi en la voyant se faire posséder par un autre homme. De la tristesse, de la peine, de la jalousie...
Je fais part de mes doutes à Sophie ; elle me comprend, mais reste persuadée que le plaisir prendra le pas sur les remords et que je ne regretterai pas l’expérience. Je reste dubitatif, mais Sophie est tellement persuasive quand elle le veut que je finis par céder, lui promettant qu’on le fera, sans toutefois lui donner un blanc-seing.

Bizarrement, dans les jours qui ont suivi, Sophie est devenue un peu plus distante ; elle rentrait plus tard du travail, passait beaucoup de temps à papoter avec ses copines sur son smartphone. Quand je lui posais la question, elle me rassurait, me disant que je me faisais des idées.
Un soir en semaine je rentre à la maison ; il est tard, j’avais prévenu Sophie que je ne serais pas en avance à cause d’une de ces inutiles et interminables réunions de travail. À peine rentré dans l’appartement, je perçois un parfum d’encens qui flotte dans l’air. Je pénètre dans le salon. Il fait sombre, seule la lueur de quelques bougies disséminées ici et là me permet d’avancer dans la pénombre.
Sophie m’attend sur le canapé. Je sais aussitôt que la soirée va être torride. Elle arbore une nuisette en tulle noir transparent qui rend sa poitrine encore plus attirante. Elle porte le boxer assorti et lui aussi transparent au travers duquel je distingue la fine bande de poils qui trône au-dessus de son pubis. Elle porte également une paire de bas noirs ainsi que des chaussures à talons de la même couleur.
Un frisson de plaisir me parcourt le dos, et aussitôt mon sexe commence à se durcir. Me voyant entrer dans le salon, elle vient à ma rencontre et me saute au cou :
— Mon chéri, tu en as été long... j’ai failli commencer sans toi.— Il ne manquerait plus que ça !— Allez, viens t’asseoir, j’ai une surprise pour toi ; je suis sûre que tu vas aimer...
Elle m’attire sur le canapé et m’y assoit sans ménagement. Elle vient se positionner à cheval sur mes genoux. Puis, tout en me narguant avec ses seins, elle commence à desserrer ma cravate et défaire les premiers boutons de ma chemise.
— Mets-toi à l’aise, mon chéri, pour bien profiter du spectacle.
Je profite qu’elle soit occupée à me mettre à l’aise pour lancer mes mains à l’assaut de son corps. Mais une tape vient aussitôt s’abattre sur une de mes mains avec comme seule explication :
— Pas touche : laisse-moi faire, je m’occupe de tout.
Le ton est solennel ; j’espère d’un seul coup ne pas finir en laisse attaché au radiateur, quoique finalement cela pourrait être sympathique...
Une fois que Sophie a fini de me mettre à l’aise, elle se lève et se saisit de la télécommande pour allumer la télévision. Je l’observe ensuite d’un air dubitatif prendre une clé USB qui était posée sur la table basse et l’insérer sur le côté de l’écran LCD.
Elle navigue dans le menu et lance la vidéo qui, une fraction de seconde plus tard, commence à défiler sous mes yeux. Je vois Sophie qui s’éloigne de la caméra. Elle se trouve dans ma chambre : je reconnais le lit et les meubles derrière elle. Sophie s’adresse à moi dans la vidéo :
— Coucou, mon chéri ! Voici une petite surprise que je t’ai préparée dans le plus grand secret. J’espère que tu ne m’en voudras pas trop pour ces petites cachoteries. Mets-toi bien en l’aise et profite du spectacle. Espérant que cela te plaise...
Sur ces paroles, Sophie m’envoie un baiser et disparaît du champ de la caméra.
Je regarde d’un air inquiet Sophie qui entre-temps est venue s’asseoir à côté de moi. J’allais ouvrir la bouche pour lui demander des explications lorsqu’elle vient poser son index sur mes lèvres pour me signifier de garder le silence.
Elle vient alors m’embrasser tout en commençant à défaire la ceinture de mon pantalon. Mon sexe se retrouve vite à l’air et droit comme un i entre ses doigts habiles.
Sophie vient ensuite à la manière d’un félin s’accroupir entre mes jambes. Elle envoie voler mes chaussures dans la pièce et m’enlève mon pantalon et mon boxer avec un empressement non feint.
Alors qu’elle réapparaît sur la vidéo, elle commence à me sucer d’une manière lente et sensuelle comme elle sait si bien le faire. Mon regard navigue entre la Sophie de la télévision et celle qui a mon sexe entre les lèvres.
Sur le grand écran, je vois Sophie nue dans la chambre ; elle a posé un petit tas de vêtements sur le lit. Elle se saisit de l’un d’entre eux : c’est sa guêpière noire qu’elle est en train d’enfiler religieusement.
J’essaie de me souvenir de la dernière fois qu’elle l’a portée ; bizarrement, il ne me semble pas qu’elle l’ait remise depuis qu’elle a emménagé ici. Ma mémoire doit sûrement me jouer des tours...
Sophie me suce toujours langoureusement pendant que je la regarde s’habiller à la télévision. Elle se saisit maintenant de ses bas. Elle s’assoit sur le bord du lit, enfile délicatement un premier bas et le fixe à l’attache de sa guêpière. Elle en fait de même pour le deuxième bas.
Elle se saisit ensuite du string assorti, se glisse dedans et s’admire dans la glace de l’armoire de la chambre. Elle revient ensuite vers la caméra, fait une volte-face et me lance :
— Alors, mon chéri, ça te plaît ?
Je regarde, amusé, Sophie qui se trouve toujours accroupie entre mes jambes. Elle me sourit d’un air mutin tout en lapant la tige de mon sexe. Arrivant en haut, sa langue vient agacer mon gland puis elle redescend à la base, s’attarde un peu sur mes testicules et remonte toujours aussi lentement.
J’adore tellement quand elle déguste mon sexe comme ça, j’aimerais que cela dure des heures et des heures.
Dans son petit film, Sophie sort une fois de plus du champ de la caméra ; je la vois revenir avec des préservatifs, son tube de gel lubrifiant et un des ses nombreux vibromasseurs. Je me demande d’un seul coup de quand date cette vidéo : cela fait longtemps que nous ne nous protégeons plus lors de nos rapports.
Voyant sans doute mon air circonspect, Sophie interrompt quelques instants sa sublime fellation :
— Un peu de patience, mon chéri, ça va commencer...
Effectivement, quelques secondes plus tard je vois Sophie s’allonger sur le lit. Je remarque qu’elle porte ses escarpins noirs, les mêmes que ceux qu’elle a en ce moment. Elle a dû les mettre la dernière fois qu’elle est sortie du champ de la caméra.
Subitement mon esprit s’embrume : nous avons acheté ces chaussures le week-end dernier. Mais quand a-t-elle fait cette vidéo de nous deux ?
Sophie est toujours sur le lit ; elle écarte ses jambes et vient lentement se caresser par-dessus son string. Ses mouvements sont de plus en plus rapides, je devine aisément l’excitation prendre possession de son bas ventre.
Elle se lève d’un seul coup en sursaut et sort de la chambre.
Je fixe Sophie d’un air impatient. Elle suçote toujours mon gland tout en me caressant les testicules. Elle soutient mon regard tout en m’aspirant le bout du sexe.
Subitement, Sophie réapparaît sur le petit écran, mais... elle n’est pas seule, et surtout elle est avec un autre homme que moi. Je tombe des nues. Je regarde attentivement la vidéo : effectivement, ce n’est pas moi !!!
Je fusille Sophie du regard. Elle ne dit rien, se contentant de promener sa langue sur ma tige. Je veux me lever du canapé, mais elle m’en empêche et me dit d’une voix rassurante :
— Profites bien du spectacle, mon chéri, je suis sûre que cela va te plaire...
Je relève les yeux vers la télé. Sophie et l’inconnu sont debout à côté du lit, ils s’embrassent fougueusement. Les mains de l’homme explorent chaque parcelle de ma chérie, ses seins, ses fesses. Elle n’est pas en reste non plus et se met à masser le sexe de l’inconnu par-dessus son pantalon.
Je sens mon cœur se serrer comme s’il était pris dans un étau. Comment a-t-elle pu me faire cela ? On en avait à peine parlé. La frustration et la jalousie s’emparent de moi ; je lui en veux tellement !
À l’inverse, mon sexe durcit de plus en plus ; il en devient ainsi plus sensible encore. La fellation qu’est en train de me faire Sophie en devient presque douloureuse.
Cette dernière s’interrompt :
— Eh bien, mon chéri, vu comment tu bandes, on dirait que cela t’excite ce que tu es en train de regarder.
Sans me laisser le temps de répondre, elle enfourne de nouveau mon sexe entre ses lèvres et m’extirpe un profond râle de plaisir. À la télé, ils s’embrassent toujours. Les seins de Sophie ont jailli de sa guêpière, tout comme le sexe de l’homme qui vibre entre les doigts de ma jolie métisse.
Je regarde la scène, toujours abasourdi. Je suis comme dans un songe, ne sachant plus trop s’il s’agit d’un cauchemar ou d’un rêve.
L’homme appuie sur les épaules de Sophie. Sans même broncher, elle s’agenouille devant lui et se saisit de son pantalon qu’elle descend jusqu’à ses chevilles. Elle empoigne ensuite sa queue déjà bien raide. Elle la caresse quelques instants et se met à donner des petits coups de langue. Je n’entends pas bien ce que l’homme dit, mais il a l’air de l’encourager.
Incrédule, je ne peux détacher mon regard de la bouche de Sophie qui emprisonne le membre de l’homme entre ses lèvres. Elle le fait s’asseoir sur le lit et lui ôte ses chaussures, son pantalon et son boxer.
L’excitation prend le dessus, et j’ai hâte que l’effeuillage se finisse afin de voir ce qu’il va ensuite advenir. Pendant ce temps-là, Sophie joue toujours avec mon sexe. Je sens qu’elle prend soin de me retarder au maximum ma jouissance, mais inéluctablement je sens le plaisir monter crescendo.
Sur l’écran, Sophie s’est faufilée à quatre pattes entre les jambes de l’homme. Elle a posé ses bras sur ses cuisses et commence maintenant à lui laper les testicules tout en lui caressant et lui griffant le bas-ventre avec ses ongles. Elle se saisit finalement de sa queue et la masturbe vigoureusement alors que sa langue s’affaire toujours sur les deux petits globes de l’homme.
L’homme est allongé sur le lit ; il relève son visage de temps à autre pour regarder ma Sophie, mais sous les caresses habiles de sa partenaire, il rejette aussitôt la tête en arrière.
Sophie se redresse un peu et gobe le gland de l’homme tout en le branlant énergiquement. Je ne distingue pas très bien, mais je pense qu’elle doit être en train de le mettre au supplice avec sa langue. À mon avis, il va bientôt rendre les armes ; d’ailleurs, il ne va pas être le seul...
Sophie, dont le regard est illuminé par une folie sexuelle me pousse dans mes derniers retranchements :
— Mmmm, elle était bonne, sa queue ! Si tu savais tout ce qu’il m’a envoyé au fond de la gorge...
À peine sa phrase finie, elle se déchaîne sur mon sexe, emprisonnant à son tour mon gland entre ses lèvres tout en glissant en catimini un doigt vers mon anus. D’abord réticent, j’essaie de me dégager de son emprise, mais avec son autre main elle appuie sur mon torse pour me maintenir en place.
Elle se contente de me masser entre mon petit trou et mes testicules. La sensation s’avère de prime abord assez étrange, puis finalement très agréable, faisant monter en moi l’excitation de manière exponentielle.
Je finis par me vider dans sa bouche. Fidèle à son habitude, elle n’en perd pas une goutte, continuant à suçoter mon membre jusqu’à le rendre vierge de toute trace de ma jouissance.
Soulagé, je lui lance d’un ton vindicatif :
— Tu es vraiment une petite...— Salope ?— Oui, tu es vraiment une vraie petite salope !— C’est vrai, mais je suis ta salope... Continue de profiter du spectacle pendant que je te ranime. On dirait que cela ne va pas être compliqué : tu as à peine débandé...
Mais si c’est vrai que je suis très excité par la situation, je préfère de ne pas lui répondre. J’ai toujours en travers de la gorge le fait qu’elle ait couché avec un autre homme alors que je lui avais pourtant dit qu’il faudrait qu’on en reparle ensemble.
Face à mon silence, Sophie se remet à me suçoter négligemment le sexe.
Sur la télé, l’homme a posé ses mains derrière la tête de Sophie ; il essaie de lui baiser la bouche en lui donnant des croups de reins de manière maladroite et désordonnée. Sophie n’en a apparemment pas envie, et après lui avoir enlevé ses mains de manière autoritaire, elle se met à le sucer de plus belle.
L’abdomen de l’homme est pris de spasmes et je vois ses doigts s’agripper au drap du lit. Malgré ses soubresauts, la bouche de Sophie enserre toujours la bite de son partenaire. Je devine aisément qu’elle doit être en train de déguster son nectar. Comme à son habitude, elle lui nettoie consciencieusement le sexe.
Sophie interrompt la fellation qu’elle était en train de me faire et me lance d’un ton narquois :
— D’après lui, je suis la reine des suceuses !— Forcément, il ne va pas te dire que sa femme suce mieux que toi...
Courroucée, Sophie me fusille du regard. Elle ajoute quand même :
— Enfin, vu comment tu bandes, je ne dois pas m’y prendre si mal que ça.
Et puis elle retourne jouer avec mon gland, allant même jusqu’à le mordiller et m’arracher un profond gémissement.
Sur l’écran, les deux protagonistes ont changé de position. Sophie est allongée sur le dos, les fesses au bord du lit. L’homme qui est maintenant nu comme un ver s’est accroupi entre ses jambes et se met aussitôt à la butiner. Sophie commence à s’agiter, elle se saisit de ses seins et commence à s’agacer les tétons.
Je vois la tête de l’homme s’activer entre son compas ; une de ses mains s’est également aventurée vers son entrejambe. L’autre main est en train de caresser l’extérieur de la cuisse de ma tendre coquine.
Sophie décide également de changer de positon avec moi. Elle vient s’asseoir sur moi, plaquant son dos contre mon torse. Mon sexe est coincé entre ses fesses. Elle attrape mes mains et en pose une sur sa poitrine. Elle vient mettre mon autre main sur son ventre, sous sa nuisette. Elle me glisse ensuite à l’oreille :
— Mmmm… Regarde, mon chéri, comme je suis tout excitée...
J’ai effectivement envie de voir. Le regard toujours vissé sur l’écran du téléviseur, je descends doucement ma main vers sur son ventre. Je tombe sur son boxer, je viens la caresser subrepticement par-dessus. Elle accompagne mon mouvement en écartant les jambes pour me libérer l’accès à son trésor.
Je remonte ma main sur son ventre et la replonge, mais cette fois sous son boxer. J’arrive sur sa fine toison si délicatement dessinée ; je passe mes doigts quelques instants dans son duvet pour la faire languir. Ils descendent encore un peu et arrivent sur son abricot. Effectivement, elle est incroyablement excitée : sa fente est gorgée de cyprine.
Je me mets à la caresser doucement sans la pénétrer. Elle se met à onduler et à frotter son fessier contre mon membre au rythme de mes caresses. Une de ses mains vient rejoindre la mienne pour caresser ses seins. Elle passe son autre main derrière ma tête et me griffe légèrement le cuir chevelu.
Elle me susurre des mots coquins à l’oreille :
— La prochaine fois, ce sera toi qui baiseras une autre fille devant moi. Je me caresserai pendant que je la regarderai te sucer la bite. Mmmm, j’ai hâte...— On verra...— Je suis sûre que tu aimeras ; regarde déjà comment tu es excité en ce moment. Avoue-le...— Disons que c’est étrange : j’ai été surpris, mais finalement c’est excitant, je dois le reconnaître.— Et attends, ce n’est pas fini. Si tu savais comment il m’a léché mon petit trou, le salaud !
Sans pouvoir distinguer ce qu’il se passe, force est de constater que l’homme s’active entre les jambes de Sophie. Il l’a délestée de son string et lui a relevé le fessier et les cuisses. Il a effectivement l’air de s’activer sur son anus.
Sophie se redresse et s’adresse à l’homme en lui désignant la table de nuit. Il se saisit du vibromasseur et le donne à Sophie, puis il prend un préservatif sur la table, ouvre l’emballage avec hâte et enfile le capuchon sur sexe.
Elle ouvre les jambes pour l’accueillir. L’inconnu lui attrape les jambes aux chevilles et vient les poser sur ses épaules. Il dirige ensuite son sexe vers l’entrejambe de Sophie et se met aussitôt à la besogner et la reprenant par les chevilles.
Vu la facilité avec laquelle il l’a pénétrée, je suppose qu’il n’est pas passé par la porte de derrière. J’en suis à la fois soulagé et déçu. Soulagé car j’aurais été jaloux qu’elle partage cet orifice avec un autre homme, et un peu déçu car, commençant à être pris dans cet engrenage pervers, je pense que cela m’aurait beaucoup excité de la voir se faire enculer sauvagement par un inconnu.
Pendant que l’homme la baise énergiquement, Sophie essaie tant bien que mal de lécher son vibromasseur. Je vois qu’elle fixe la caméra en le léchant : c’est sans doute encore une de ses nombreuses provocations à mon attention. Je décide de rentrer dans son jeu :
— Tu aurais bien aimé que je sois là pour que tu me suces pendant qu’il te baisait ?— Oui : j’aurais adoré, mon chéri...— Une autre fois peut-être, lui dis-je en plongeant aussitôt un doigt dans sa fente.
Surprise, elle ne dit plus rien et bouge lascivement autour de mon doigt planté dans son intimité. Mon sexe est bandé à l’extrême, j’ai envie de la prendre maintenant. Mais mon regard ne peut quitter l’écran et le spectacle qui s’y déroule.
Justement, l’homme fait signe à Sophie de se mettre à quatre pattes. Il la fait ensuite reculer jusqu’au bord du lit. Elle attrape un oreiller pour y poser son visage. L’inconnu lui fait un peu baisser sa croupe pour qu’il soit à bonne hauteur. Ils perdent quelques secondes à chercher la meilleure position, puis enfin l’homme se saisit de son membre et vient le diriger vers le fessier de Sophie. Il s’immisce lentement en elle. Cette fois c’est certain : il passe par derrière ! Je demande aussitôt confirmation à Sophie :
— Il t’a sodomisée ?— Oui, je lui avais dit que j’adorais ça.— Il n’a pas pris de lubrifiant ?— Il n’en a pas eu besoin tellement il m’avait bien préparée en me léchant mon petit trou.
À la fois vexé et excité, je me défoule sur sa fente en y plongeant un deuxième doigt. Sophie va bientôt craquer et réclamer mon sexe en elle. Elle se frotte de plus en plus fort contre ma queue. D’ailleurs elle finit par se lever, la fait passer sous elle et se rassoit sur moi. Elle peut désormais frotter son entrejambe contre ma tige. Je sens la moiteur de son sexe mouiller son boxer et venir humidifier ma queue.
Elle se saisit de mon sexe et commence à caresser le sommet de mon pieu avec sa paume et ses doigts. Elle m’arrache des sursauts quand elle vient frotter sa bague contre la couronne de mon gland. La garce, je sais qu’elle le fait exprès pour me torturer !
Je lui rends coup pour coup en replongeant ma main dans son boxer et lui pinçant doucement le clitoris. Elle sursaute à son tour en poussant un petit gloussement.
À l’écran, l’homme a pris un rythme de croisière ; il sodomise Sophie à une allure de métronome. Cette dernière n’est pas en reste et utilise son vibromasseur pour son autre orifice.
Sophie est déchaînée ; de profonds soupirs et des petits cris éructent des hauts parleurs de la télévision. L’homme s’agrippe aux hanches de sa partenaire et commence à s’essouffler derrière elle ; je sens qu’il va bientôt céder.
Sophie aussi va bientôt craquer : elle a écarté son boxer et frotte mon gland contre sa fente ; elle ne va pas résister longtemps et bientôt elle va engloutir ma queue entre ses lèvres détrempées.
Effectivement, d’une simple poussée, elle vient s’empaler sur moi, sa chatte accueillant avec bienveillance ma virilité. Je l’entends soupirer de satisfaction, puis elle me chuchote à l’oreille :
— Regarde : il m’en a mis partout, le cochon !
Alors que le sexe de Sophie se met à coulisser le long du mien, face à nous sur l’écran l’homme se retire et parle à Sophie. Cette dernière vient s’asseoir sur le bord du lit face à l’homme. Elle retire en vitesse le préservatif et prend le sexe qui se trouve devant elle en bouche. Puis elle se met à le branler devant son visage. Au bout de quelques secondes, l’inconnu décharge sur elle. Elle guide ses jets vers son visage et ses seins. Une fois l’homme complètement vidé, elle se remet à le sucer doucement tout en étalant de son autre main la semence qui était sur sa poitrine.
Ils échangent ensuite quelques mots ; Sophie lui parle en lui indiquant une direction. L’homme rassemble ses affaires et sort de la chambre. Sophie se rapproche alors de la caméra. Je vois des traces de sperme sur son visage. Avec la sueur, quelques mèches de ses cheveux se sont collées sur son front. Elle est terriblement sexy comme ça...
Puis, face à la caméra, elle me dit en m’envoyant un bisou de la main :
— J’espère que ça t’a plu, mon gros pervers de chéri ! Je t’aime...
Puis la vidéo se termine. Sophie tourne son visage vers le mien comme elle peut dans la position où nous nous trouvons et vient m’embrasser à pleine bouche.
Tout en lui agrippant les seins, je mets alors à la pistonner de plus en plus vite,. Son bassin se met au rythme du mien et je sens ses fesses venir à la rencontre de mon bas ventre. Le contact de son arrière train venait se frotter contre moi est terriblement grisant.
J’en profite pour m’amuser un peu avec sa lourde poitrine par-dessus la fine étoffe de sa nuisette. Je descends aussi négligemment une main vers son abricot et commence à flatter son clitoris gorgé de désir. Elle se met alors à me mordiller la lèvre inférieure et à me donner des coups de rein profonds et désordonnés. Je sens qu’un orgasme va bientôt l’envahir. Mais avant de se laisser aller elle me murmure à l’oreille :
— Je te veux dans mon cul.
Sans me laisser le choix elle se lève et vient s’asseoir sur moi à califourchon. Elle s’empare de mon sexe qu’elle dirige vers son petit trou. Elle vient s’empaler en douceur sur mon pieu, puis une fois le passage forcé, elle se met à aller et venir délicatement sur ma tige.
J’adore me laisser guider et me faire absorber par son étroit fourreau. Elle est d’humeur féline, ses coups de rein sont tout en en finesse. Elle se met à me mordiller le lobe de l’oreille ainsi que la lèvre. Ses ongles labourent en douceur mon torse glabre.
J’aime quand elle prend le contrôle de la situation et n’être qu’un simple objet au service de son plaisir. Je me contente de lui caresser les seins et les fesses. Je finis tout de même par la débarrasser de sa nuisette, j’ai envie de passer ma langue sur ses tétons durcis par l’excitation. Débarrassée de ce dernier et dérisoire obstacle, je peux enfin partir à l’assaut de sa poitrine avec ma langue. Elle se redresse un peu pour me laisser le champ libre, je lui suçote les tétons tout en pétrissant ses seins. Je remonte un petit à petit pour l’embrasser dans le cou, et finalement mes lèvres viennent rejoindre les siennes pour un baiser passionné.
Toujours soudés l’un à l’autre elle accélère progressivement le rythme sa cavalcade, je coulisse de plus en plus vite dans son fondement et finit par capituler et déverser mon jus entre ses fesses. Elle continue encore quelques instants d’aller de plus en plus vite sur ma tige et finit par s’écrouler sur moi en poussant un dernier râle de délivrance.
Nous restons de longues et interminables minutés imbriqués l’un dans l’autre sans prononcer le moindre mot. Il faudra pourtant bien que l’on parle de ce qui s’est passé …
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