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Job d'été, jeu d'été

Chapitre 3

Hétéro
Le jeudi, j’arrive au garage avec la ferme envie de passer à l’action. Hélas, je ne sais pas comment nous ménager un peu de temps en privé, puisque nous sommes sans cesse interrompus. Ce jour-là, je ne croise même pas Didier. Je suis déçue.
Le vendredi, je ne le croise pas non plus. Décidément ! Il va falloir que je me fasse une raison. Je suis sur le parking et je m’apprête à reprendre ma voiture quand, finalement, je l’aperçois. Ne sachant que dire, que faire, que proposer, je fais semblant de ne pas l’avoir vu, pour que ce soit à lui de faire le premier pas. Ce qu’il fait. Il me salue et me demande :
— Qu’est-ce que tu fais cet après-midi ?— Je me la coule douce ! J’ai fini ma semaine.— Il me semblait bien, en effet, que tu m’avais dit que tu avais fini après ici le vendredi.
Un court silence. Je ne sais pas quoi dire. Je joue avec mes clés et songe à m’en aller quand il ajoute : "J’ai posé mon après-midi. Ça te dirait que l’on fasse un saut chez moi ? On pourrait y discuter plus à l’aise qu’ici." Sa voix s’est à peine modifiée sur le "discuter" ; pourtant, aucun de nous deux n’est dupe.
La proposition est tentante. Je suis très excitée suite aux évènements de mercredi. Néanmoins, j’hésite. Il fait une chaleur à mourir, j’ai travaillé toute la journée, je me sens dégoutante. Face à mon hésitation, il dit : "ça ne semble pas trop te plaire. J’espère que la proposition n’était pas déplacée." Il s’est toujours montré ouvert d’esprit jusque-là, alors je lui avoue : "Oh, non, pas du tout. À vrai dire, c’est juste qu’il fait très chaud aujourd’hui et que je ne me sens pas très à l’aise pour discuter sans avoir pris de douche avant." Il me propose de prendre une douche chez lui.
J’hésite toujours. Je réfléchis. Je ne vois pas quelle meilleure opportunité nous pourrions avoir. J’accepte. Nous prenons chacun notre voiture. Je le suis. Nous arrivons devant sa résidence. Il semble légèrement nerveux et, dans ses efforts pour le cacher, n’apparaît qu’encore plus nerveux. Je m’en amuse mais, honnêtement, je suis un peu nerveuse moi aussi.
Il peine à ouvrir sa porte, les mains tremblantes. Quand il y parvient, nous entrons dans une pièce de taille moyenne, qui remplit la double fonction de cuisine et de salon. Je repère immédiatement le grand canapé, qui semble confortable. Il s’excuse pour le désordre - quel désordre ? -. Il me demande si je veux boire quelque chose. Je le remercie, mais je préfère vraiment commencer par prendre une douche. Il me fournit une serviette et m’escorte à la salle de bains, comme une invitée, et s’éclipse. Que diable se passe-t-il dans la tête de cet homme pour qu’un jour il me tripote, m’invite chez lui deux jours plus tard pour finalement être nerveux et ne pas savoir quoi faire ? D’autant plus que sa douche à l’italienne autorise des idées intéressantes.
Visiblement, je vais devoir prendre les choses en main. Je me déshabille et, nue, je le rejoins dans le salon - cuisine. Je passe la tête et le haut du corps par la porte. Assez pour qu’il sache que je suis au moins partiellement nue. Je lui demande : "Tu sais, j’ai un peu l’âme écolo. Tu ne veux pas que l’on prenne une douche ensemble ?" Il accepte avec joie, visiblement soulagé que je prenne les choses en main. Je retourne à la salle de bains en courant et me glisse sous la douche. Il se déshabille et me rejoint.
Il parcourt des yeux mon corps. Il me dit que je suis vraiment bien faite et me demande de me tourner, qu’il puisse voir mon cul. Je me retourne et, à l’inspiration brusque qu’il prend, je comprends qu’il le trouve à son goût. Je glisse ma tête sous l’eau, j’agite mes cheveux, je glisse mes mains sur mon corps. Je lui demande : "Tu vas m’obliger à me savonner toute seule ?". Il sourit, attrape un gel douche et commence à me savonner... les seins. Je prends ses mains, les glisse vers mes épaules et, sur un ton de réprimande, lui dis : "Je crois qu’il y a un autre ordre possible pour me savonner. En commençant par le haut, par exemple." Il se plie à mes instructions, de bonne volonté. Il a savonné mes épaules, mon dos, mes bras, mes seins et mon ventre. Ses mains descendent et, en dépit de ma grande excitation, je l’arrête : "Tu n’as pas voulu descendre vers mon entrejambe, l’autre jour, et j’en étais frustrée ; je ne sais pas si je vais te laisser y accéder aujourd’hui." Il grimace.
J’ajoute : "C’est à moi de te savonner." et je le savonne, partout. Il tente bien de poser ses mains sur moi, mais je me dérobe. Alors il tente de guider mes mains sur son corps, vers les zones sensibles. Mais c’est à mon tour de jouer l’innocente et de m’en approcher, de les caresser et de les abandonner. À son regard, en grande partie excité, partiellement agacé, je comprends qu’il sait très bien à quel jeu je joue...
Je me mets à genoux et lui procure une fellation. Son sexe est déjà extrêmement dur quand je le prends dans ma bouche. Je le pompe vivement. Il place ses deux mains derrière ma tête et m’encourage à aller plus loin. Je le prends tout au fond de ma bouche et il laisse échapper des râles d’excitation. Je continue à la pomper, vite, fort et jusqu’au fond de ma bouche. L’eau qui coule sur moi me gêne, par moments, et je suis tentée de ralentir pour reprendre ma respiration, mais ses mains derrière ma tête m’encouragent à continuer à donner le maximum. Il baise pour ainsi dire ma bouche. Il ne faut que quelques minutes pour qu’il me dise : "Arrête. Tu aimes tellement ça, tu vas me faire venir. Et cette fois, je veux, je vais prendre ta chatte." Je réponds : "Alors viens. Je n’ai pas peur d’attendre un peu pour que tu me prennes." Il hésite, comme si la proposition lui semblait trop belle pour être vraie. Je ne lui laisse pas vraiment le choix, en mettant son gland dans ma bouche et en jouant avec ma langue, en insistant sur les points que je sens sensibles. Quand je sens qu’il va venir, je retire ma bouche et oriente son sexe vers mon visage. Il décharge une quantité impressionnante de foutre dans mes cheveux et tout le long de mon visage et, dans un long râle, laisse échapper un "Tu aimes vraiment ça, petite..." et s’interrompt, sans préciser une petite quoi. Je ne relève pas, pas certaine d’apprécier la suite.
Je le laisse reprendre son souffle et me rince, en attendant. J’ai du sperme partout sur le visage, y compris sur les paupières, alors je garde les yeux bien fermés tant que je ne suis pas sûre d’être parfaitement rincée, pour ne pas m’en mettre dans l’œil. J’entends un bruissement mais je n’y fais pas attention. Peut-être qu’il est sorti de la douche, peut-être qu’il est en train de se sécher. Je suis un peu étourdie par les évènements, la chaleur de la douche et la fatigue due au travail. Ainsi, c’est je ne sais comment que je me retrouve, tout à coup, les deux mains en l’air, contre le mur de la douche italienne, Didier me tenant fermement les poignets d’une seule main. Je suis surprise mais, confiante, je me laisse faire. De ses pieds, il m’invite à écarter les miens. Je tends même mes fesses vers lui. Il s’approche de moi et je sens, contre ma fesse, que son sexe est déjà en train de redurcir. Je me dandine. J’ai vraiment envie qu’il m’enfonce son sexe dans la chatte. Excité, la respiration courte, il dit : "Tu es vraiment une petite..." mais, là encore, ne précise pas une petite quoi. Et, sans prévenir, il enfonce deux doigts dans ma chatte.
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