Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 23 J'aime
  • 0 Commentaire

John

Chapitre 3

Zoophilie
La livraison
Cela fait maintenant trois mois que nous avons John, il est maintenant bien dressé, il obéit au doigt et à l’œil même dans des situations difficiles. Nous décidons donc, avec Marie, d’appeler Elisa pour qu’elle contacte les propriétaires afin que nous leur rendions le chien. Le rendez-vous est pris pour le week-end suivant chez Elisa. Le jour dit, nous arrivons en fin de matinée pour faire voir à Elisa le comportement de John. Elisa nous accueille dans sa superbe maison un peu à l’écart du chenil. John lui fait la fête, il l’a reconnu, après quelques caresses, il va se coucher sur un tapis épais devant la cheminée éteinte. Nous nous installons dans le salon sur un superbe divan en cuir parme.-Alors, il est prêt ? Georges et Anne sont impatients, surtout Anne, j’espère qu’il est vraiment au point, ma réputation est en jeu.-Ne t’en fais pas, John est au point, tu veux une démonstration ?-Oui, mais c’est moi qui vérifie, il vous connait trop bien.Elle se lève et se présente devant John. Elisa regarde John qui lève la tête en la voyant approcher.-Tu peux y aller John.Le chien redresse les oreilles mais ne bouge pas, il regarde Elisa d’un air gentil mais sans plus. Elisa se retourne, va vers le divan, défait son corsage, l’enlève, fait glisser sa jupe le long de ses jambes, enlève son soutient gorge et son string. Elle est nue devant nous. Pour une femme d’une quarantaine d’années, elle est superbement faite, seins encore hauts, ventre plat, pubis glabre, jambes fuselées. C’est une très belle femme qui devait être à vingt ans vraiment canon de chez canon. Elle s’approche de John qui la regarde en battant de la queue. Elle se caresse devant lui. Ses doigts parcourent sa vulve, entrent dans son vagin et ressortent mouillés.-Tu peux y aller John.John se lève et avance sa truffe vers la vulve d’Elisa. Il la renifle, se recule un peu, avance de nouveau pour poser sa truffe sur son sexe et commencer à la lécher. Elisa a un sursaut, elle écarte ses jambes en s’accroupissant un peu. John n’arrête pas de la lécher, elle se retourne et il lui lèche l’anus. Elle se met à quatre pattes. John commence à avoir des réactions au niveau du sexe qui sort doucement de sa gaine. Il continue de lécher Elisa sans faire mine de vouloir la monter.-Marie s’il te plait, tu peux mette ma jupe sur mon dos ?-Bien sûr.Marie se lève et met la jupe d’Elisa sur son dos. -Tu peux y alle John.John continu sa léchouille sans faire mine de vouloir lui monter dessus.-Vas-y John.John regarde Marie, avance et monte sur le dos d’Elisa. Il donne des coups de reins dans le vide, Marie se penche pour le guider, mais sa bite trouve toute seule le chemin du sexe d’Elisa et s’enfonce violemment dedans.-Mon Dieu, quelle vigueur, il me défonce la chatte, holala quelle bite, je la sens grossir, quelle énergie, quelle force, ils seront contents, mais pour l’instant c’est moi qui en profite et j’aime ça.Elisa pose sa tête sur ses bras, ferme les yeux et apprécie le moment à sa juste valeur. John s’active en elle un long moment. Je vois le ventre d’Elisa se crisper, ses hanches onduler et aller d’avant en arrière pour accompagner les coups de butoir de John. Marie s’approche d’elle, s’accroupie et s’empare de ses seins. Elle les malaxe, les pince, les caresse. Elisa ondule de plus en plus, John la pistonne de plus en plus vite et de plus en plus profondément quand son nœud disparait dans le vagin d’Elisa. Elle se crispe, son corps commence à vibrer et tout à coup elle jouit dans un grand cri.-AAAAAAAHHHHHHHHH oui, encore, il me remplit, oui, oui, encore, encore, vide toi dans mon con, vide toi mon chien.John s’est calmé, il ne bouge presque plus, il a juste un léger coup de rein pour se vider dans cette antre chaude, il la rempli toujours de son jus. Un liquide blanchâtre s’échappe du sexe d’Elisa, les femmes sont trop petites pour contenir tout le sperme qu’un chien peut éjaculer en une saillie. Marie se redresse, John, comme nous l’avons dressé, reste en position sur le dos d’Elisa. Il la libère au bout de dix minutes. Elle se redresse et vient vers nous.-Je crois qu’il est bien au point, Marie vient m’aider, je vais prendre une douche, suit moi dans la salle de bain.Marie se lève et suit Elisa en me jetant un regard perplexe. Moi, je me doute de ce que veut Elisa, depuis le début de notre rencontre, je trouve qu’elle a des regards bien appuyés sur Marie, des regards d’envie. Elle veut être seule avec elle pour pouvoir faire l’amour avec elle. En cas normal je n’aurais pas bougé, je ne suis pas exclusif, mais cette méthode me déplait et je les suis. Quand elles arrivent dans la salle de bain, Elisa se jette sur Marie et essaye de l’embrasser. Marie la repousse.-Marie, ma chérie, depuis le temps que j’ai envie de toi.
-Elisa, je sais que tu as envie de moi, ne crois pas que je n’ai pas remarqué ton comportement, mais tu sais que je ne fais rien sans que mon partenaire soit au courant. Là, tu me prends par surprise, je veux bien accéder à ton désir, tu es belle et tu sais que j’aime aussi les femmes mais ce sera en présence de Jean.-Ok, si tu veux, mais tu sais, ton Jean, je le trouve un peu trop vieux pour toi.-Ca me regarde, c’est un merveilleux amant, il n’a pas les capacités récupération d’un jeune minet, mais il est endurant et son expérience compense. C’est le premier homme qui me fait jouir comme ça. Je l’aime, il m’aime, cela durera ce que ça doit durer et je refuse qu’on m’en parle de cette manière. -Excuses moi ma chérie, mais moi aussi je t’aime.-Non, tu aimes mon cul, comme tu aimes tous les culs de femmes qui passent devant toi. Prends ta douche, je vais rejoindre Jean, ne m’en veux pas, mais en ce moment il n’y a que Jean qui compte. Cela n’empêche pas de se voir tous les quatre ou trois si tu préfères, mais toujours avec Jean.-Ok ma chérie, je ne pensais pas que tu étais si accro. J’envie ton Jean et je me ferais une douce violence en faisant l’amour avec vous deux. J’espère que tu ne m’en veux pas.-Non, ne t’en fais pas, mais ne me parles plus jamais de Jean comme ça.Marie se retourne, j’ai tout juste le temps de rejoindre les toilettes que j’avais repérées. J’en sort au moment où Marie passe devant.-Alors, qu’est-ce qu’elle te voulait ?-Baiser avec moi, mais je lui ai dit « d’accord mais avec Jean ». Je sais que ça ne te dérangerait pas de passer un moment avec Elisa et moi dans un lit. Elle médite en se douchant.Nous arrivons au salon en même temps que Louis, il est déjà plus de treize heures.-Tout est prêt, nous pouvons déjeuner. Ou est Elisa ?-Elle, se douche, elle arrive tout de suite.-Je présume qu’elle a voulu essayer John pour voir la qualité de votre dressage.-En effet, et elle est très satisfaite.Louis sourit et nous désigne la table d’un large geste du bras. Elisa nous rejoint à table, le repas se passe très bien, aucune allusion à la petite conversation des deux femmes. Nous sommes dans le salon depuis à peine dix minutes qu’un bruit de moteur attire notre attention. -Je vais ouvrir, ce doit être Georges et Anne.Elisa se dirige vers la porte d’entrée, suivi de John tout excité, et revient au bout de trois minutes accompagnée d’un homme et d’une femme auxquels John fait une fête d’enfer.-Marie, Jean, je vous présente Georges et Anne les heureux propriétaires de John.Nous rejoignons Elisa et ses hôtes et après les congratulations de mise, nous nous asseyons autour de la table basse. Georges est un petit homme un peu rond, de nature assez expansive et démonstrative, il est en costume sombre. Il n’a pas l’air d’être en accord avec Anne qui elle est beaucoup plus réservée. Plus grande que lui, et relativement bien proportionnée, sans plus, elle porte une veste sur un corsage blanc et une jupe noire. Elle ne dit pratiquement rien jusqu’au moment où Elisa leur propose de vérifier si le chien correspond à leur attente. Anne se lève et se plante au milieu de la pièce. John la suit en battant de la queue. Elle le regarde.-Tu peux y aller John.Le chien s’arrête de battre de la queue et la regarde. Il est là, immobile à côté d’elle. -Assis.Le chien s’assoie. Elle se dirige vers le divan et en un tour de main se retrouve nue. Elle se caresse la vulve et se masturbe. Je vois qu’elle prend un certain plaisir à s’exciter devant nous. Ses doigts sont de plus en plus mouillés. Elle avance vers John.-Debout.John se lève et vient vers elle. Aucun signe d’excitation de sa part, il la regarde normalement. Anne se met à quatre pattes sur le tapis, John s’approche un peu plus d’elle mais ne fait rien de plus qu’un chien qui veut se faire caresser. -Tu peux y aller John.A ces mots, John se dirige tout de suite derrière Anne et plante sa truffe entre ses fesses, sa langue s’active de la vulve à l’anus. Son excitation monte, sa bite sort petit à petit de sa gaine. Il lèche sa maîtresse avec ardeur, on sent qu’il aime ça. Anne écarte ses fesses avec ses mains. Elle offre à son chien son intimité, son visage se métamorphose, elle est dans un autre monde.-Vas-y John.John fait un bond en avant et enserre les hanche d’Anne, son sexe est maintenant entièrement sorti et d’un violent coup de rein il s’enfonce dans ses entrailles. Mais sa bite, au lieu de pénétrer le sexe, défonce l’anus d’Anne. Elle pousse un petit cri de douleur vite suive de commentaires de plaisir.-Il m’encule, mon Dieu, il m’encule, il est en moi, chéri, quel plaisir, depuis le temps que j’attends ça, merci Marie, merci Jean, il est merveilleux. Vas-y mon chien, vas-y défonce maman.John donne des grands coups de rein, il finit par entrer son nœud dans un dernier coup plus fort. Anne réagit par un cri de douleur.-AAAAAAA, il m’a déchiré, le salaud, il m’a déchiré, mais quel pied, quel pied, je vais jouir, oui, oui, il me remplit, je joui, je joui, AAAAAAAAAHHHHHHH. John ne fait plus que de petits mouvements, il se vide dans le fion d’Anne. Il reste immobile pendant un long moment jusqu’à ce qu’on entende un bruit de succion indiquant la libération d’Anne. Elle s’écroule sur le côté sur le tapis, elle écarte les cuisses et John vient lui nettoyer la vulve, les cuisses et l’anus qui sont maculées de sperme. Anne a une violente contraction et cri son plaisir.-AAAAAHHHH je joui encore, oui mon John, oui vas-y mon John. A ces mots John croit qu’Anne veut encore être prise et commence des mouvements de rein caractéristiques.-Doucement mon chien, doucement, attend que maman se redresse.Anne se remet à quatre pattes, la tête sur ses avants bras. John se positionne derrière elle et cette fois lui plante son vit dans la vulve.-Oui mon chien, oui c’est le bon trou de maman, baise moi, baise moi, j’en ai tant envie.John s’en donne à cœur joie, ses mouvements sont de plus en plus rapides, il tire la langue, il souffle mais il s’active dans l’antre chaude de sa maîtresse. Il finit par introduire son nœud et s’immobilise pour se vider en elle. Anne est secouées de spasmes, son corps tremble de tous côtés, elle peut à peine se maintenir en place, mais elle jouit les yeux fermés, le souffle court, en silence, pour elle-même. John se retire assez rapidement, la vulve d’Anne est complètement ouverte, elle s’écroule sur le côté et John entreprend une nouvelle fois de la nettoyer. Georges vient vers elle, la prend par les bras et la redresse.-Vient chérie, vient t’allonger sur le divan.Il couche Anne sur le dos, lui écarte les jambes et plonge sa tête dans son entrecuisse. Sa langue s’active sur le clitoris d’Anne, celle-ci réagit, pose ses mains sur la tête de son mari et appuie pour accentuer l’effet de cette langue sur son intimité. Elle ondule les yeux fermés pendant que Georges la mordille, l’aspire, enfonce sa langue dans son puits d’amour. Ses mains vont vers ses seins et pincent les tétons en les faisant rouler entre le pouce et l’index. Ce traitement emporte vite Anne qui se raidit et joui dans un grand râle de plaisir.-OOOOOOOOOHHHHHHH.Georges se redresse, Anne lui attrape la tête et l’approche d’elle. Elle lui lèche le visage maculé de sa cyprine.-Voilà, tu es propre maintenant.Georges se lève et va vers John qui s’est recouché devant la cheminée. Il le caresse.-Je crois que nous avons trouvé ce qu’il faut à Anne pour me remplacer. Il est très bien dressé, bravo à vous deux. Je présume qu’il honore aussi bien les femmes que les hommes.-Oui, nous l’avons testé tous les deux.-Il pourra donc servir lors de nos réceptions, nous allons avoir une bonne surprise pour certains de nos amis. Marie et Jean, vous ne me connaissez pas, mais vous devez savoir que je suis impuissant depuis un accident de la route il y a un an à peu près et que depuis, je cherchais une solution pour Anne, autre que des godes, jusqu’à ce que l’on rencontre Elisa. Elle a trouvé ce qui nous fallait, et vous avez fait le reste. Merci.Elisa apporte des boissons fraîches et tout le monde se détend un verre à la main. Seule Anne est nue, mais cela n’a pas l’air de la déranger. Georges se retourne vers Anne.-Chérie, nous avons plus de deux heures de route, il faudrait y aller.-Ok mon chérie.Anne enfile sa veste qu’elle ne boutonne même pas, s’empare de ses vêtements et se dirige vers la porte. Georges la suit, ainsi que tout le, monde. Georges lui ouvre la porte de la voiture, elle fait entrer John derrière et s’installe, la veste grande ouverte. Gorges s’installe au volant et ils partent dans un grand nuage de poussière.-Cette fois elle a mis sa veste, d’habitude elle part de chez nous complètement à poil, quelle que soit l’heure. Un jour, ils vont se faire épingler par la famille poulaga. C’est tout de même de l’exhibitionnisme.Nous rentrons dans la maison. Pendant que nous discutons sur le divan, Elisa passe un coup de fil. Elle revient toute heureuse.-J’ai de nouveau du travail pour vous. Quand êtes-vous disponible pour un nouveau chien. C’est un dog allemand très gentil, il a treize mois.-Je dois descendre dans le sud dans une semaine, j’y reste quinze jours, disons dans un mois.-Parfait, je préviens mes clients.Le chien s’est avéré être un animal adorable, mais ceci est une autre histoire.
Zooph34@gmail.com
Diffuse en direct !
Regarder son live