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Josette, ma copine

Chapitre 1

Lesbienne
Comment expliquer mon coup de foudre dans le rayon des ordinateurs de la grande surface ? Sans doute son parfum où son allure de duchesse, je n’en sais rien. Mes yeux ne pouvaient s’’en détacher. Elle aussi m’’observait sans rien dire. J’’admirais sa poitrine qui me semblait bien plus forte que la mienne, ses hanches moins larges. Le tout me plaisait. Et puis chacune a suivi son chemin jusqu’à la caisse où je me trouvais derrière elle. Mon caddie est venu contre elle.— Oh, excusez-moi, je n’’aime pas conduire ce genre d’’engin.— Ce n’est rien, moi non plus je n’’aime pas.Nous sortons presque ensemble en bavardant de nous simplement de nous. J’’apprends qu’elle s’’appelle Josette, qu’elle a 25 ans, mal mariée, presque sur le point de divorcer.Je lui dis que je m’’appelle Julie, que j’ai aussi 25 ans, que je suis célibataire, mon copain est parti avec une autre. Bon vent…— Si nous allions boire un café ?— Avec plaisir.Installées en face nous continuons nos déballages, à tel point que nous nous tutoyons. Elle est libre Vendredi prochain : nous prenons rendez vous chez elle pour l’’après midi. Ce n’est que le surlendemain, il me tarde de la retrouver pour bavarder : cette nouvelle copine me plaît bien.Son chez elle est bien coquet. Son café est excellant : l’’accueil est digne de l’idée que je me faisais de Josette. Notre conversation tourne inévitablement vers le sexe : elle aime faire l’’amour, mais son mari la délaisse pour une autre fille moins sexy qu’elle.— Alors, tu comprends je suis obligée de me contenter seule.— Je fais comme toi depuis que mon copain m’’a plaqué.— En sommes nous nous branlons.— Oui, comment faire.— Je connais un autre moyen.— Moi aussi, j’ai un gode.— Comme moi.— Tu me le montre ?— Pourquoi pas.Elle m’’emmène vers sa chambre pour me montrer son « amant » de secours. C’est un « rabbit » alors que j’ai le modèle le plus simple qu’’il soit. Entre montrer quelque chose et l’’essayer il n’’y a qu’’un pas que je franchi vite : elle me donne envie de me mettre cet engin dans le ventre. Je n’’ose pas lui demander de me le prêter. C’’est elle :— Si tu veux essayer, ne te gènes pas.— Je peux l’’avoir à la maison ?
— Je préférerais que tu le fasses ici. Je vais te laisser un moment seule.— Non, je serais gênée. Restes près de moi.Elle accepte à condition que je me mette à l’aise. Comment rester nue devant elle. Force est de constater que cette conversation m’’excite. Il me semble qu’’elle aussi s’’excite. Je ne vais pas rester avec cette envie dans le bas ventre. Alors je prends mon courage à deux mains : c’’est à moi d’’agir. Tant pis si elle me repousse, j’’aurais perdue une nouvelle bonne copine. Je me lance en allant tout contre elle pour l’’embrasser. Nos lèvres se touchent sans qu’elle me fuit. La nouveauté commence. Nous n’’avons aucune expérience d’’amour entre filles. Ce gode sur le lit semble nous observer. Alors nos mains participent à notre envie de jouir ensemble. Si je la tiens par les épaules, elle m’’enlace par le cou. Nous sommes tellement serrées que nos seins se touchent à travers nos vêtement. Nos corps se collent. Je ne sais pas pour Josette, en tout cas je mouille. Je voudrais qu’’elle me caresse entre les jambes comme brusquement j’’ai envie de lui en faire autant. Je trouve l’’entrée de son chemisier, derrière elle sur son dos, je défais la fermeture éclair. Je tombe sur la fermeture de son soutien gorge. J’’ouvre cette prison ; Josette me laisse faire. Elle doit penser que je sais bien m’’occuper des filles. Je dois me débrouiller seule pour la mettre toute nue. Emportée par le désir nous n’’avons aucun complexe. C’’est elle la première qui cherche ma chatte par-dessus ma jupe. Pourtant rien ne laissait supposer qu’’elle aussi avait des envies cachées.C’’est ainsi que nous nous sommes retrouvées nues couchées dans le même lit nous embrassant sans cesses, comme des amoureux. Nos mains caressaient le corps de l’’autre comme si nous étions des amantes de toujours. J’’ai osé finir ce qu’’elle avait commencé, j’’ai posé ma main sur sa foufoune pour chercher les endroits où je me caresse. Son clitoris est déjà sorti dans la chaleur mouillée de sa chatte.— Oui, branles moi s’’il te plaît. — Je vais te faire jouir.Voilà commence notre cession d’’amour entre nous. Je tiens parole en la masturbant comme si c’était pour moi. Elle bouge beaucoup montrant par là qu’’elle est sensuelle. Je continue mon massage spécial quand elle part tendue comme un arc en jouissant. Je suis surprise de l’’avoir faite jouir : ma première fois avec une autre. Je n’’attends pas longtemps, je n’’ai rien à demander, d’elle-même elle caresse aussi mon abricot. Je sens que je mouille tellement que ma cyprine passe vers mes fesses. Je jouis aussi :— Mets-moi tes doigts dans le cul !— Tu es une vraie salope, tu aimes de faire enculer.— Oui, j’aime ça et toi ?— Moi aussi.— Nous sommes des salopes.Elle me fait plaisir en venant sur l’’anus, je la sens le caresser avant d’’enfoncer son doigt en entier dans le rectum. C’est bon, je me tortille continuellement en jouissant plusieurs fois. Je n’’attends pas pour moi aussi entre deux doigts dans son cul. Nous en jouissons souvent pour finalement décider de nous sucer. Nous n’’hésitons pas nous passons au 69. C’est bon d’’avoir son sexe sur ma bouche, comme c’est bon d’’avoir sa bouche sur le mien. Nos langues sont de la partie. Pour moi arrive le grand moment elle prend le « rabit » pour me baiser. Je sens la pénétration avant de sentir des billes qui tournent juste à l’’entrée de mon trou. Ensuite je sens la partie la plus haute venir juste sur mon clitoris et enfin l’’autre sur mon anus. Le pied le plus complet, presque aussi bon qu’’une vraie bite. Je gémis sans pudeur, je me régale comme un amateur d’’un grand cru. Ma bouche sur sa chatte fait des prodiges pendant qu’elle me baise. Je mordille ses lèvres, entre ma langue dans son vagin en la faisant tourner. Si je jouis, je la fait partir dans les contrées d’Eros. Quand elle sort le gode de mon ventre, je le lui prends pour la baiser à mon tour. Je ne pensais jamais donner ce genre de plaisir à cette nouvelle copine qui jouit encore.Nous cessons sur un long baiser. Josette me demande :— Tu veux qu’’on recommence demain ?— Quand tu voudras et combien de fois du voudras, j’ai bien joui.— Moi tu m’’as fait partir plusieurs fois. Finalement c’’est aussi bon qu’’avec mon salopard de mari. — C’’est aussi bon qu’’avec n’’importe quel homme, quoique une bonne bite dans le cul c’’est jouissif.
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