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Le jouet de Jade

Chapitre 1

Trash
Premiers Rapports
Jade est la fille de Charles et Bénédicte Grossein.Lilian est le fils de Jean et Martine Beaudard.
Les Beaudard et les Grossein sont voisins. Ils habitent en région parisienne une maison jumelée dont ils ont chacun une moitié. Charles et Jean se connaissent depuis très longtemps puisqu’ils ont fait leurs études ensembles. Les deux couples sont plus qu’amis et pratiquent l’échangisme depuis leurs débuts. Ils le pratiquent dans tous les sens puisque tous les quatre sont bisexuels. Jade et Lilian sont nés la même année, à quelques semaines d’intervalle. Ils ont toujours joué ensemble et s’entendent à merveille. Jusqu’à la fin de leur adolescence, ils ignoraient les relations qui unissaient leurs parents respectifs. Tous les ans, depuis un temps qui remonte à avant leur naissances respectives, les grossein et les Beaudard prennent leur vacances ensemble dans une même location. Adeptes du naturisme, Ils vont toujours au même endroit, sur la côte vendéenne. Jade et Lilian ont fréquenté les mêmes écoles, les mêmes classes et se considèrent pratiquement comme frère et sœur.
Jusqu’à l’âge de 10-11 ans, ils n’avaient pas de problème à aller nus avec leurs parents sur la grande plage de la faute sur mer, mais avec la préadolescence et l’adolescence, ils ont ressenti un besoin de pudeur et leurs parents se sont mis à fréquenter, avec eux, les plages textiles ou, par la suite, ils les laissèrent aller seuls. Jade et Lilian n’y voyaient rien d’anormal et jouissaient, ainsi d’une grande liberté. Ils étaient inscrits chaque année à l’école de surf et se sont fait ainsi des copains et copines. C’était l’âge des premiers flirts et des rendez-vous secrets... En vacances, ils partageaient la même chambre et faisaient des simagrées pour ne pas se montrer nus l’un à l’autre, mais ils passaient des heures à discuter dans le noir, chacun dans leur lit. Ils n’avaient pas de secret l’un pour l’autre et se parlaient ouvertement de qui les attiraient. Lilian demandait à Jade des conseils sur les filles et elle en faisait de même avec lui pour les garçons. Ils riaient du bruit que leurs parents faisaient tous les soirs dès qu’ils les croyaient endormis, mais jamais ils n’avaient imaginé autre chose que les parents de Jade dans leur chambre et ceux de Lilian dans la leur. Il arriva cependant un jour fatidique où ils découvrirent la vérité. Ils étaient partis surfer, mais les vagues n’étaient pas au rendez-vous et ils décidèrent de ramener leurs planches chez eux avant de retrouver leurs copains. C’était l’année du bac, l’âge des pétards, des sorties légales en boite et des veillées autour d’un feu sur la plage Leurs parents, qui ne les attendaient pas et prenaient du bon temps dans le jardin discret de la location.
Bénédicte était à quatre pattes, elle se faisait enculer par Jean et bouffer la chatte par Martine que Charles besognait. Choqués, ils l’ont été quelques secondes, ils ont même fait demi-tour, les joues rouges comme des pivoines, mais la curiosité étant trop forte, ils ont posé leurs planches au sol et se sont rapprochés en se dissimulant derrière un buisson d’hortensias. Ils étaient muets, abasourdis et, surtout, monstrueusement excités.
De voir sa mère prise ainsi, jouir ainsi, eut un effet terrible sur Jade qui sentit sa chatte se liquéfier. Au fond d’elle, elle aurait voulu être à la place de Martine et participer activement à l’extase de sa mère, jouer avec son bouton et avoir les couilles de Jean sous son nez. Lilian s’imaginait tantôt à la place de son père, enculant Bénédicte, tantôt à celle de Charles, sa bite était tellement tendue qu’elle dépassait de son slip de bain.
Sans se soucier de la présence de Lilian à côté d’elle, Jade glisse une main dans sa culotte et dégage ses seins de l’autre. Elle fouille sa chatte avec frénésie en se pinçant les tétons. Libéré de tout complexe Lilian baisse son slip sous ses couilles et attrape son gourdin tendu qu’il se mit à branler vigoureusement. Jamais Jade n’avait vu un tel engin, même leurs pères semblaient moins bien montés. Elle aurait voulu le sentir en elle, mais c’était Lilian et elle le considérait comme son frère. Comment pouvait elle avoir un tel désir ? La chose lui semblait taboue, interdite, mais aussi fausse et terriblement excitante. Si les yeux de Lilian ne décollaient pas du spectacle de leurs parents baisant ensemble, ceux de Jade allaient de la jouissance de Bénédicte à la masturbation de son ami d’enfance. Le plaisir que prenait sa mère la fascinait autant que l’énorme bite qui s’agitait près d’elle. Elle se mit à rêver, s’imaginant à la place de Martine, défoncée par son père et léchant les grosses couilles de Lilian remplaçant Jean dans le cul de sa mère. Jade était rouge de honte et d’excitation, elle avait bien conscience que cela reviendrait à baiser avec les trois personnes les plus proche d’elle. C’était comme un inceste absolu.
Quand Charles explosa bruyamment dans le ventre de sa mère, déclenchant la jouissance de ses trois partenaires, Jade se mordit les lèvres pour ne pas crier et Lilian arrosa abondamment de cinq giclées épaisses la fleur d’hortensia qui se trouvait devant sa queue. Reprenant vite leurs esprits les deux jeunes gens quittèrent les lieux avant d’être repérés. Ils oublièrent simplement leurs planches de surfs dans l’allée qui menait au jardin. Ils n’osaient rien dire et avançaient rapidement, comme des automates, vers les plages.
— Où est-ce qu’on va ? Demanda enfin Lilian.— Je sais pas, on peut pas rejoindre les autres comme ça ; j’ai besoin de me rincer avant...— Moi c’est pareil, j’ai l’impression de puer le sperme... que tout le monde voit que j’me suis branlé. J’ai pas envie d’affronter Romane comme ça, elle va encore imaginer des trucs. Elle fait trop chier.— Ben Kévin, c’est pas mieux, fit remarque Jade, il est vraiment trop jaloux. Il est persuadé que je couche avec toi. Je sais pas pourquoi je sors avec lui !— C’est comme moi, j’en ai marre, elle est complètement frigide et en plus j’ai l’impression qu’elle s’accroche. Ça me fait un peu flipper.— Tu sais quoi, je suis pas sure d’avoir envie de sortir avec la bande ce soir, juste on va se rincer et on rentre, t’en pense quoi ?— Ça me parait un bon plan, allons à la plage naturiste, on risque pas de les croiser là.
Arrivés sur la plage, ils se dénudèrent rapidement et coururent vers la mer. Ils batifolèrent un peu, s’éclaboussèrent et rigolèrent comme quand ils étaient petits. C’est seulement en remontant vers leurs serviettes et maillots que Lilian observa avec plus d’attention les parties intimes de son amie. Bien sûr, il l’avait toujours trouvée très belle, il connaissait la forme de son corps et la taille imposante de sa poitrine, mais il découvrait, dans la surface triangulaire généralement couverte par le maillot de Jade, la couleur laiteuse de ces seins magnifiques. Ils étaient pareils à deux melons lourds et fermes, ornés de larges aréoles roses et de longs tétins qui pointaient fièrement vers le ciel. Ses fesses étaient bien rondes et devant son pubis et son sexe étaient intégralement rasés et ne cachaient rien de ses lèvres fines et de son clitoris impudique qui dépassait sur le devant tel un petit bouton rose.
Jade s’allongea sur sa serviette face à Lilian encore debout, et dans un geste naturel, elle écarta ses cuisses pour lui dévoiler plus en détail son intimité. Les yeux du jeune homme se fixèrent sur le coquillage magnifique qui s’ouvrait devant lui, il bandait.
— Dis donc cochon, c’est ma chatte qui te fait cet effet là ? Demanda-t elle en pointant du regard la verge tendue.— heu... pas que. Répondit Lilian avec franchise. J’avais jamais fait vraiment attention à quel point tu était aussi splendide... Tu as tout pour toi, beauté et intelligence, je… te… tu me plais Jade…— hum, merci du compliment, mais t’es pas mal foutu non-plus, avec ton corps finement musclé, ta morphologie androgyne et ta grosse bite bien lisse... un vrai sucre d’orge, on en mangerait hihi. Tu devrais t’allonger sur le ventre sinon tu vas affoler toute la plage.— On en mangerait, tu dis ? reprit Lilian en s’allongeant près d’elle. C’est pas franchement l’avis de mes copines, et de Romane en particulier. En plus, avec elle, c’est uniquement en missionnaire et une fois par jour c’est un maximum. Il paraît que ma bite est trop grosse… — Ben Kévin, c’est pas mieux, quand il a niqué une fois, c’est terminé... On devrait les marier tous les deux plutôt que de nous emmerder avec eux.— T’as raison, et puis, on pourrait peut-être s’arranger entre nous. Rajouta Lilian en approchant sa bouche de celle de Jade.— Je... j’en serai ravie. Répondit Jade en approchant elle aussi sa bouche. J’en rêve depuis longtemps…
Ils échangèrent un long baiser passionné qui n’arrangea en rien leur excitation. Lilian glissa un doigt vers la fente ouverte de son amie, elle était trempée.
— Oh putain, Lilian, on... on est sur la plage, y a du monde...— Où tu veux qu’on aille, à la maison ? Avec la trique que j’ai, j’vais pas pouvoir remettre mon maillot... faut qu’on baise avant !— Allons dans les bois, j’tiens plus... j’ai trop envie, moi aussi... surtout depuis la partouze des parents. J’ai envie de bites et de m’faire prendre par ta grosse queue. Viens !— Moi c’est pareil, j’ai même eu envie de les rejoindre, tu te rends compte ? La honte !— Dis pas ça, moi aussi j’ais envie... Allons dans les bois !— C’est un lieu de partouze à ce qu’y paraît… y a des voyeurs et tout…— Et bien y m’la mettront aussi, j’en peux plus, allons partouzer ! Conclut Jade décidée.
Ils débouchèrent rapidement dans les bois à la recherche d’un coin isolé, ils avaient pris leurs serviettes qu’ils étalèrent rapidement au sol avant de reprendre leurs caresses là où ils en étaient resté. Les doigts de Lilian repartirent à la découverte de la chatte de Jade tendis qu’elle se penchait vers sa bite pour le sucer. Des voyeurs qui les avaient suivis discrètement s’approchaient en silence, cherchant à venir au plus près du jeune couple. Jade était au dessus de Lilian, la chatte collée à sa bouche gourmande. Elle releva la tête et aperçût un homme d’une cinquantaine d’année qui se branlait à deux mètres d’elle. Lilian, à son tour, ressentit une présence. En ouvrant les yeux, il vit un autre homme qui astiquait son poireau à moins d’un mètre du cul de Jade.
— Jade, fit il inquiet, on... on est pas tout seul.— J’avais remarqué... laisse les faire je... j’ai des capotes dans mon sac.— So… sors les qu’ils te baisent avec, dit Lilian encore plus excité.— T’as envie ?— Oui, répondit-il simplement.
Jade sortit rapidement les préservatifs qu’elle avait et repris sa fellation sur la bite de Lilian. L’homme qui se tenait derrière elle s’équipa et présenta sa bite à l’entrée de sa chatte dégoulinante, sous le nez de Lilian qui n’en revenait pas. Jamais il n’aurait osé proposer à une seule de ses copines de baiser devant lui et là, avec Jade, ça allait se produire sous son nez, dès la première fois. Pour le commun des mortels, il aurait dû éprouver de la jalousie ou penser qu’elle ne l’aimait pas, mais il avait d’abord en tête ses propres fantasmes et les images de la partouze de leurs parents. Il réalisa que, compte tenu de ce qu’il connaissait de la sexualité de Jade, s’ils devaient sortir ensemble, il devrait se soumettre à ce genre de situations. L’homme avait le sexe rasé et ses couilles glabres venaient frapper avec vigueur le clitoris turgescent de Jade juste au dessus du nez et de la bouche de Lilian qui ne put résister à l’envie de les lécher. Son amie avait abandonné sa bite pour prendre en bouche le quinquagénaire. Un troisième homme attiré par la scène venait lui peloter les seins. Jade eut un premier orgasme et le type qui la baisait sortit prestement de sa chatte, retira sa capote et présenta son gland à la bouche de Lilian dans laquelle il éjacula copieusement. Le jeune homme ne refusa pas l’offrande, avala l’abondante semence et lui essora bien la bite. Il avait déjà goûté au sperme et en connaissait la saveur. Le type se dégagea et celui qui s’occupait des seins de jade pris sa place. Sa bite était plus fine et sans hésiter, après quelques aller et retours dans le con détrempé, il présenta son gland à l’anus de la jeune femme. Jade qui n’avait encore jamais pris son pied avec ce genre de pénétration lui demanda de stopper, mais le gars la rassura et poursuivit son action. A sa grande surprise, pour une fois, elle n’eut pas à en souffrir, la sensation était nouvelle et la langue de Lilian qui avait repris son activité dans sa chatte et sur son clitoris lui procurait un plaisir suffisant pour apprécier cette sodomie. Elle repensa alors à sa mère prise ainsi entre les parents de Lilian et elle eut un second orgasme. Quand elle sentit son enculeur se tendre et remplir sa capote au fond de ses entrailles, le type qu’elle suçait jouit sur son visage et dans sa bouche. Son cul libéré, elle se retourna comme une furie, il lui fallait une vraie queue et s’empala elle-même la chatte sur l’énorme bite de Lilian. Se penchant vers lui, elle laissa couler le sperme qu’elle n’avait pas avalé dans sa bouche. Le jeune homme ne s’en offusqua pas, avala et rouvrit grand la bouche dans l’attente de plus. Jade concentra sa salive et lui largua un gros glaviot qu’il avala également puis ils échangèrent un baiser furieux. Elle se baisa sur Lilian quelque temps puis il la retourna pour la prendre en levrette. Il s’activa de plus belle, s’autorisant même à lui mettre quelques petites claques sur ses fesses de jeune salope. Il écartait les globes fessiers pour admirer la rosette déflorée de sa compagne. La tension montait, ils jouissaient comme des damnés et s’écroulèrent tous les deux dans un ultime orgasme. Les voyeurs étaient restés et astiquaient leurs bites molles.
— Et la pisse, t’aime ça salope ? Demanda le plus vieux.— Vous voulez nous pisser dessus ? Fit Lilian intéressé.— Sur elle, sur toi, c’est égal, mais rien ne vous oblige, fit le second.— J’ai jamais fait ça, mais... C’est le jour des grandes découvertes alors... Qu’est ce que t’en pense mon chéri ? Demanda-t-elle à Lilian.— Je... je sais pas, si tu veux essayer. Moi, tu sais déjà ce que j’en pense…— C’est le moment pour moi d’essayer, alors. On se met comment ?
Sur la demande des trois pervers, ils se retrouvèrent à genoux, côte à côte, bouches grandes ouvertes et langues tirées, puis un premier jet les atteignit balayant leurs visages. Le premier pisseur ajusta son jet et le dirigea d’une bouche à l’autre. Les deux autres ne tardèrent pas à s’associer à la douche dorée, visant les cheveux, les seins et les sexes. Les les deux jeunes gens se retrouvèrent vite trempés de pisse. Lilian en avala quelques rasades avant de gober avidement la bite qu’il avait devant lui pour la boire complètement sous le regard amoureux de Jade. Leurs mictions finies les trois voyeurs partirent et Jade et Lilian se retrouvèrent enfin seuls.
— Pfou, si on m’avait dit ce matin que j’allais voir nos parents partouzer, que j’aurais envie de les rejoindre, que j’allais sortir avec toi, te laisser te faire sauter sous mon nez, bouffer du sperme et boire de la pisse d’inconnus, j’aurai pas cru.— Et t’aimes vraiment le sperme et la pisse ? demanda Jade intriguée.— Ça te choque ?— Non, je tu me l’avais déjà dit, plus rien me choque, même si moi, perso, boire la pisse j’ai pas aimé, mais la douche c’était amusant.— Et tu pourrais pisser sur moi si je te le demandais ?— Ça je sais pas, pourquoi ? T’as envie ?— Ben maintenant que j’ai bu, devant toi, celle d’un inconnu, je pense que je préfèrerais boire la tienne...— C’est pas évident de se dire qu’on va pisser dans la bouche de quelqu’un qu’on aime, mais pour toi je veux bien essayer... je te promets pas d’y arriver.
Lilian s’allongea sur leurs serviettes déjà trempées et Jade s’accroupit au dessus de sa bouche grande ouverte, en écartant bien les lèvres de son sexe. Elle fit un effort de concentration qui parut une éternité à Lilian puis quelques gouttes jaillirent du méat urinaire bientôt suivit d’un jet dru et puissant qui lui remplissait la gorge. Lilian arrivait à en boire l’essentiel, Jade n’en revenait pas. Elle trouvait ça aussi cochon qu’excitant et se dit que cette première ne serait pas la dernière. Lilian qui lui aussi ressentait le besoin de vider sa vessie, se pissait sur le ventre et son jet dru arrosait le cul de Jade.
— T’es un vrai cochon ! Dit Jade en lâchant ses dernières gouttes. J’adore !— Ça t’a plu ? Demanda Lilian qui doutait encore.— Tu parles ! Ça m’excite... ça te rabaisse et ça m’excite. Je crois que j’ai beaucoup de chance aujourd’hui. J’ai enfin trouvé le partenaire que je peux dominer et humilier. Je comprends pas pourquoi j’ai tant cherché un mec qui me convienne alors qu’il était juste là à côté de moi et depuis ma naissance. Si t’aime ça, j’vais t’en faire voir, compte sur moi, on ne se quittera plus.— Je ferais ce que tu veux mon amour, mais ne m’abandonne pas…— Tu seras cocu, tu sais.— T’as toujours trompé tes petits copains, je le sais et si ça ce passe comme là, pas de problème. Je suis pas jaloux et je pourrais revivre autant que tu voudras ce que nous venons de faire. Je t’aime Jade.— Moi aussi, je t’aime, Lilian. Je suis contente que tu ne sois pas jaloux car ça me plairait assez de recommencer, voir d’aller plus loin ; t’en es où avec ton homosexualité ?— Je suis pas homo, je suis bi ; tu le sais, je ne te l’ai jamais caché, et là j’ai encore envie de toi et de ta saveur…
Sans le laisser rajouter quoi que ce soit, elle s’allongea sur lui et l’embrassa à pleine bouche pour s’enivrer de la saveur de sa pisse. Ils renfilèrent leurs maillots et t-shirt, sans retourner se rincer dans la mer et c’est main dans la main qu’ils reprirent le chemin de leur villa de vacances.
— Tu crois qu’ils auront fini leur sauterie ? Demanda Lilian— Je pense... ce que j’espère c’est qu’au moins une salle de bain sera libre, je voudrais pas avoir de réflexion sur notre parfum...— En tout cas j’espère qu’ils ne nous ont pas vu en train de les mater, ça craint.— Ben sans vouloir t’inquiéter, mon chéri, y a des chances pour qu’on soit un peu grillés. Réfléchis, on n’a rien oublié en repartant ?— Merde ! Les surfs ! S’écria Lilian. On est vraiment trop cons !— De toute façon, on était super mal cachés et y a que ta mère, trop occupée par la chatte de la mienne qui n’a pas pu nous voir.— Tu... tu crois que les autres nous ont vu ?— Ma mère avait le regard fixé sur ta bite quand t’as arrosé les fleurs... On verra bien s’ils disent quelque chose, on n’a rien fait de mal.-T’as raison, si ça se trouve, c’est eux qui se sentent les plus mal dans l’histoire. Remarqua Lilian— on va le savoir assez vite, conclu Jade philosophe. Mais si je pouvais les décomplexer…— Et tu ferais quoi ?— Je baiserais avec eux…— Et moi ?— Et toi ? Toi aussi tu baiserais avec eux, mais tu deviendrais notre esclave, notre petit jouet sexuel, ça te dirais pas ?— Tu pisserais dans ma bouche devant eux ?— Pire que ça mon chéri, je sais parfaitement ce qu’y te plairait. Tu rêves de domination et d’humiliation, tu me l’as déjà assez dit, et moi je rêve d’avoir une lavette bien montée à manipuler à ma guise et pour me bourrer la chatte comme il faut quand je veux.— En somme, on est fait l’un pour l’autre Haha.— Exactement ! Je viens de le réaliser que quand ces deux gars me baisaient sous ton nez, tu t’es comporté comme une pédale en bouffant leurs bites et en buvant leur pisse…— J’ai pris qu’une bite en bouche…— Certes, mais je suis sûre que t’aurais bien pris les trois, et pas qu’en bouche !— Ok, c’est vrai, j’aime les bites et j’ai souvent envie de les prendre dans le cul, mais ça ne fait pas de moi un pédé…— J’ai pas dit ça, mais, franchement, ça m’excite que tu le sois un peu et puis tu bois de la pisse, tu l’avait déjà fait avant ?— Ça m’est arrivé quelques fois.— Et de la merde t’en as déjà bouffé ?— Oui et non, j’ai sucé des copains qui m’avaient enculé.— Tes potes du foot ?— Eux et puis surtout Bertrand, il aimait bien m’enculer, surtout quand j’avais le cul plein de merde, mais il préférait toujours jouir dans ma bouche.— J’imagine qu’il devait te dominer salement celui là ; je me rappelle quand je suis sortie avec lui, c’était un vrai calvaire ! Il voulait que je sois sa chienne et en plus il est trop possessif… T’as encore des nouvelles de lui ?— Non, plus depuis qu’il a déménagé, j’ai essayé de reprendre contact plusieurs fois, mais il a jamais répondu.— Tu l’aimais ?— Peut-être, mais c’est surtout la manière avec laquelle il me traitait que j’aimais… j’étais à son service totalement, j’étais sa pute, quoi…— Mouai, c’est pour ça qu’on c’est pas franchement entendu, lui et moi. Et avec tes footeux, ça se passe pareil ?— Ben… tu veux vraiment tout savoir ?— Si tu deviens mon mec, j’aimerais mieux, mais t’es pas obligé de rentrer trop dans les détails.— Au début, ça a commencé avec Karim et Julien. Bertrand leur avait dit que j’étais une petite pute et que je suçais bien alors ils ont voulu vérifier. Un jour où on était les trois derniers à prendre notre douche après l’entrainement, ils m’ont coincé et m’on demandé de leur faire une gâterie. Si je refusais, ils me menaçaient de dire à tout le monde que j’étais une pédale. Alors je les ai pompés tous les deux. Ça c’est reproduit plusieurs fois, puis ils ont commencé à en faire participer d’autres, tant et si bien que toute l’équipe a fini par le savoir, même l’entraineur.— Et tu fais pas que pomper, je présume.— Non, bien sûr, y en a plusieurs qui préfèrent m’enculer, mais l’entraineur à mis des règles. A part lui, j’ai pas le droit de tailler une pipe ou de me faire prendre avant de monter sur le terrain, histoire de pas nous affaiblir, mais une fois l’entrainement ou le match terminé, je suis la pute de service. Je suis la récompense des belles actions. Quand on gagne, j’en prends vraiment plein le cul…— Et… et ils te baisent tous ?— Non, je suis pas le seul à aimer la queue en plus. Ya deux autres gars qui ont, parfois, des rôles passifs dans nos partouzes. Enfin, je dis ça, mais la plupart du temps, ils ne font que sucer… et puis y en a quelques uns qui, sous prétexte qu’ils ne sont pas pédés, ne font que se branler sur ma gueule et me pisser dessus en me traitant de taffiole.— Et t’aimes ça ?— Mmm, je dois pas être franchement normal, j’avoue. Tu crois que je dois me faire soigner ?— Franchement, n’importe qui d’autre que moi te dirait que t’es malade, mais moi, tes histoires m’excitent et j’aime bien les délires de domination soft et d’humiliation ; à condition que ce soit moi la maîtresse, bien sur. Alors si tu veux être mon soumis…
Ils passèrent le portail et tentèrent une entrée discrète, mais le père de Lilian les attendaient.
— Ah ! Vous voila, on était inquiets... vos portables n’ont pas arrêté de sonner... mais bon, y a pas que ça, il faudrait qu’on vous parle de certaines choses...— Je comprends, dit simplement Lilian.
Ils suivirent Jean jusqu’à la terrasse, les parents avaient revêtu des tenues descentes et Martine semblait effondrée. Elle regardait les enfants avec effrois, se demandant bien ce qu’ils pourraient penser d’elle, de son mari et de leurs amis. C’est Charles qui commença à parler au nom d’eux quatre, présentant leurs excuses pour ce dont Jade et Lilian avaient été témoins. Alors Martine fondit en larmes et se mit à dire à son fils et à Jade, qu’elle considérait aussi comme sa fille, qu’ils devaient être bien choqués et qu’ils devaient les voir comme de vrais pervers.
— Si vous saviez comme j’ai honte de m’être ainsi donnée en spectacle devant vous ! Ajouta-t-elle dans un sanglot.
Alors Lilian fit le tours de la table pour prendre sa mère dans ses bras.
— Mais non, Maman, faut pas que tu penses comme ça ; ça nous a surpris, oui, mais ça ne nous a pas choqués. On est grand, maintenant, on sait ce que c’est... Et puis vous étiez si beaux tous ensembles... Dit il en l’embrassant sur la joue.— Ne dit pas de sornette, mon chaton, je...— Il dit la vérité, Martine, dit Jade en s’approchant de l’autre côté. Vous étiez tous si beaux et si... excitants, on n’a pas pu s’empêcher de vous regarder. C’est nous qui devrions avoir honte, pas toi.— Je ne sais pas si je devrais le dire mais... on a pris beaucoup de plaisir à vous regarder. Avoua Lilian en rougissant— C’est vrai, renchérit Jade, c’était magique, érotique ! On n’a pas pu se retenir.— Vous... vous vous êtes masturbés devant nous ? Demanda Martine incrédule.— Que voulais tu qu’on fasse d’autre, Maman ? Fit Lilian en serrant sa mère contre lui.— C’est bien ce qui nous avait semblé. Dit alors Bénédicte. Mon dieu ! Si on m’avait dit qu’un jour nos enfants se branleraient en nous regardant baiser...— Et ben alors ? Fit Lilian, y a tellement d’enfants qui pleurent en voyant leurs parents s’engueuler... y a rien de mal à vous voir baiser, bien au contraire.— Et puis, vous nous avez ouvert les yeux, ajouta Jade.
Elle ne put poursuivre ce qu’elle s’apprêtait à dire, interrompue par les sonneries des portables de Lilian et du sien. C’était, bien évidemment Romane et Kévin qui cherchaient à les joindre.
— Oui Romane, fit Lilian.— ...— Comment ça où on est. Ben là, on est chez nous, on discute en famille...— ...— Ah, vous êtes passé et on n’était pas là. C’est normal, fallait qu’on discute avec Jade, on avait besoin de se retrouver alors on est allé sur la plage naturiste.— ...— Évidemment qu’on s’est foutu à poil... — ...— Qu’est-ce qu’on s’est dit ? Ça te regarde pas vraiment, à part que ça m’a permis de me décider à rompre ma relation avec toi…— …— Ben oui, c’est fini.— ...— C’est Jade que tu traites de salope ? Là, t’enfonces le clou, et donc puisque tu me poses la question, oui je sors avec elle. T’es contente ?— ...— Oui, c’est ça, t’as raison : un connard et un gros porcs, bon je m’excuse mais j’ai d’autre chose à faire que de t’entendre proférer des insanités. Salut !
Dans le même temps Jade répondait à Kévin
— Oui je sais, on avait dit qu’on revenait tout de suite et on l’a pas fait. Et alors ? T’es pas mort, non ?— ...— Oula, pas si vite ! Pour moi, t’es qu’un plan cul de vacances, rien d’autre ! En plus, j’sais pas si t’as remarqué, mais y a plein de trucs qui collent pas entre nous... ça peut pas marcher alors autant que ça s’arrête.— ...— Tu veux vraiment le savoir ? T’as un QI d’huitre, une pine d’huitre et l’activité sexuelle du rocher qui la supporte. En plus de ça, tu t’intéresses à rien et tu râles tout le temps. Juste, t’as une belle gueule à faire tomber n’importe quelle meuf dans le panneau. La preuve, même moi je m’suis faite avoir.— ...— C’est Romane qui vient de te le dire ? Et bien oui, je sors avec Lilian.— ...— Si y m’a sautée ? Tu veux des détails en plus ?— ...— Ben non, ça te regarde pas, c’est mon cul, pas le tien, mais bon, je vais te raconter comme ça tu verras qu’on est vraiment pas faits l’un pour l’autre. Alors on a déposé nos surfs chez nous et puis après, en repartant on a entendu des gens baiser dans un jardin, alors on s’est planqué dans une haie pour les mater, c’était énorme ! on est tombé sur une partouze d’enfer et on a tout suivi en se masturbant, putain t’aurais vu la quantité de foutre que Lilian a lâché, c’était vraiment dingue ! Ensuite on s’est sauvé en catimini et on est allé chez les nudistes pour se rincer et se changer les idées. Tu parles rien qu’a voir sa belle bite épaisse et les images que j’avais dans la tête, y m’falait de la queue. Lui, c’était pas mieux. Il bandait comme un âne, et plus y bandait et plus je lui montrait ma chatte. Alors on a commencé par se rouler des pelles, mais on pouvait quand même pas niquer sur la plage au milieu de tout le monde, donc on est allé dans les bois.— …— Non, je te raconte la vérité, alors on a commencé par un super 69. Lilian lèche super bien ! Et puis trois types sont arrivés et j’ai sorti des capotes. Un premier m’a baisé la chatte, juste au dessus de Lilian et moi j’en suçais un deuxième. Le troisième me pelotait les nibards. C’était vraiment trop bon ! Celui qui me baisait s’est retiré et a éjaculé dans la bouche de Lilian. Celui qui me pelotait les seins et venu le remplacer dans ma chatte puis il a décidé de me prendre le cul.— …
— Et bien si, je me suis faite enculer par un inconnu et en plus y m’a fait jouir, une grande première ! Heureusement que Lilian me léchait le clito, ça a sans doute facilité l’affaire. j’avais déjà eu au moins deux orgasmes et ce salop m’en a donné un troisième pendant que celui que je suçait se vidait les couilles.— ...— Ben oui dans ma bouche ! Alors après, Lilian et moi on a baisé tous les deux. Il m’a prise dans toute les positions et m’a fait jouir deux fois avant de me remplir la chatte.— ...— Non il avait pas mis de capote, pas entre nous.— ...— Et les types ? Oui ils étaient encore là, ils ne bandaient plus, mais continuaient à s’astiquer la bite autour de nous. En fait, ils voulaient nous pisser dessus et on a dit oui. Faut dire qu’on était plus à une expérience près. Hihi !— ...— Oui, ils l’ont fait et non, c’est pas si dégueulasse. Je peux même te dire qu’on a aimé ça.— ...— Bien sûr qu’on en a bu et pour finir, j’ai même pissé dans la bouche de Lilian avant de lui rouler une super grosse pèle.— ...— Je te dégoûte ? C’est toi qui voulais des détails, non ? Alors tu les as eu. C’est pas de ma faute si t’es maso. Bon je m’excuse, mais j’ai d’autres choses à faire que de te raconter ma vie en détail, on était en pleine discussion avec nos parents et faut qu’on la reprenne, c’est important. Salut !
Quand Jade raccrocha son téléphone, tout le monde la regardait, et hormis Lilian qui souriait, les autres regards paraissaient plus mitigés.
— Vous... vous avez vraiment fait tout ça ? Demanda Bénédicte inquiète.— Qu’est-ce que tu crois ? Bien sur qu’on a fait tout ça, fallait bien qu’on gère nos émotions. Répondit Jade.— C’est trop dure, rajouta Lilian, depuis le temps qu’on rêvait l’un de l’autre et de vous, de voir baiser, c’était trop fort.— Parce que vous rêvez de nous ? Demanda Charles incrédule.— Bien sûr qu’on rêve de vous, répondit Lilian, vous êtes nos parents, certes, mais aussi nos idoles et nos références... Pour être tout à fait franc avec vous, en vous regardant, je me suis imaginé à la place de chacun de vous ! J’avais envie de vous rejoindre et de me mélanger à vous, mais ça c’est pas nouveau...— moi je voulais être à ta place, Martine et me faire baiser par papa tout en léchant maman... C’est moralement pas très clean, mais bon... c’est la vérité.
Charles, Bénédicte, Martine et Jean encaissaient ce que leurs enfants venaient de leur avouer. Il était temps de changer de sujet.
— Mon chaton joli, dit Martine à son fils, j’ai rien contre les jeux humides, mais là tu empestes ! Et toi aussi, Jade chérie, vous devriez aller prendre une douche avant de passer à table.— Tout de suite, Maman, répondit-il en prenant la main de Jade.— Oh, vous pouvez retirer vos déguisements, dit Jade en suivant Lilian, on a décidé de se remettre au naturisme.— C’est nouveau ? Fit Bénédicte surprise.— Ça vient de sortir ! Répondit Lilian en riant.
Sous la douche se fut un vrai festival de caresses et de baisers, chacun lavant le corps de l’autre. Lilian avait retrouver une belle érection et Jade était chaude comme la braise. Une foi leurs corps séchés, elle se mit en appui contre le lavabo et Lilian lui bourra sa chatte par derrière. Ils ne menèrent pas l’affaire au bout car leurs idées libidineuses ne les avaient pas quitté et ils voulaient se montrer nus et excités à leurs parents. Elle le prit par la bite tendue et le mena ainsi sur la terrasse.
— Et bien, mon garçon, tu s’rais pas déjà en train de te faire mener par le bout de la queue, par hasard ? S’esclaffa Jean en voyant son fils et la jolie Jade arriver.
La plaisanterie avait donné le ton et la discussion devint assez vite très grivoise. Elle se poursuivit durant l’apéritif et le repas et abordait sans détour les pratiques et les tabous sexuels. Personne ne parla d’inceste, le mot était soigneusement évité, mais Jade et Lilian exprimaient clairement leur envie de partouzer avec leurs parents. Le jeune couple menait le débat, avec des arguments philosophiques, d’une part, mais aussi avec des actes. Ils commencèrent par se toucher et se caresser devant leurs parents.
Lilian était assis entre Jade et Martine et régulièrement une main venait, soit de sa droite soit de sa gauche lui caresser la bite. Lilian se faisait branler, sans aucune discrétion, par sa mère et sa copine sous les regards amusés de Bénédicte, de Charles et de Jean assis en face d’eux. Bénédicte avait les deux mains occupées sous la table et Jean paraissait lui-même très actif. Martine poussait de petits gémissements, elle avait ouvert le passage à un pied de Charles qui lui branlait la chatte de son gros orteil.
— Si nous passions au salon, pour continuer notre conversation, dit Jean à Bénédicte, nous y serions beaucoup plus à l’aise.— Je te suis, cochon, j’ai la chatte en feu et le cul qui baille ! Baise moi vite et fort, je tiens plus. Répondit l’intéressée.
Abandonnant la table, ils se jetèrent sur un large fauteuil en cuir du salon, leur main continuaient leurs caresses érotiques et leurs bouches se cherchaient. Bénédicte se redressa et prenant appuie de ses mains sur les accoudoirs du fauteuil, elle offrit son cul à Jean. Ce dernier, debout derrière elle, commença par lui défoncer la chatte. Ses grosses couilles venait frapper sauvagement le clitoris gonflé de Bénédicte, il accompagnait sa levrette de petite claques qui excitaient encore davantage sa partenaire.
À table, le tableau avait un peu changé et deux couples s’étaient formés. Martine avait, avec quelques regrets inavouables, abandonné la queue de son fils et s’était précipitée sur Charles pour qu’il lui bourre la chatte. Elle s’était vite retrouvée à plat ventre, la poitrine écrasée dans les restes du plat de fondant au chocolat, le cul bien relevé et Charles la pistonnait en la traitant de salope. Jade et Lilian avaient roulé sur le sol et se donnaient du plaisir dans un soixante-neuf très actifs. Les deux jeunes gens étaient très excités et se donnaient à fond. Après les discussions qu’ils avaient eues à table, et qui avaient bien chauffées les esprits, ils s’exhibaient devant leurs parents. Jade ne pouvait s’ôter de la tête la vision de la main de Martine enroulée autour de la bite tendue de Lilian et son esprit vagabondait. Jean et Bénédicte baisaient avec une vigueur accrue. Elle fantasmait sur la bite de Lilian pendant Jean admirait la jeune chatte épilée et luisante de désir de Jade.
— Aaah ! Salaud, cria Martine qui ne l’avait jamais sentit aussi excité, tu baises la mère mais tu prendrais bien la fille. Aaaah !— Ooh ! Oh oui et... et la bite de mon fils ? tu la voudrais pas dans ta grosse chatte, cochonne ? Aaaah !
Jade se retourna pour s’empaler sur la bite tendue de son copain, Lilian lui avait attrapé les hanches et l’accompagnait dans ses mouvements. Elle se baisait sur sa bite en se massant les seins et son regard plongeait dans ceux de sa mère et de Jean. Elle se sentait admirée de toute part et sortit le grand jeu. Elle se comportait maintenant comme une vulgaire actrice de porno et gémissait à chaque pénétration.
— Aaaah ! Lilian ! Baise-moi, prends-moi comme une pute !— Oh oui ma salope, j’vais te baiser comme tu mérites, j’vais te bourrer la chatte et te défoncer l’cul !
Lilian la retourna sans quitter sa chatte, c’était lui qui dominait maintenant.
— Ooh oui, putain, ça t’excite de baiser devant les vieux ! Aaah ! Demanda-t-il à sa partenaire.— Aaaah ! Ah ouiii, putain, ça m’excite, Aaaaaah— Tu veux te montrer, salope ! Montrer à quel point t’aime la bite, c’est ça ?— Ouiii, j’veux qu’ils nous voient baiser, Aaaaah ! J’veux qu’ils voient comme tu baises bien salop !— Aaaah oui j’ai te la mettre partout, Aaaah !
Jade retourne Lilian et se baise sur lui comme une furie. Lilian lui écarte les fesses.
— Aaah salope, t’en prendrais bien une dans l’cul aussi. Un p’tit sandwich ?— Aaaah, salop ! Doigte moi l’cul pendant qu’tu m’baises ! Aaaah, oui !— Et dans la bouche ? Une troisième dans la bouche ?— Aaaah ! Aah ouiii, Lilian ! Je jouis ! Aaaaaaaah !— Mon père dans ton cul ? Ou le tien ?— Aaaaaah ! Aaaaaaaaaah !
Jade explosa dans un orgasme bruyant et s’écroula sur son chéri qui ne débandait pas. Après quelques instants, le temps de reprendre ses esprits, elle se dégagea du pénis de Lilian encore couché sur le dos et se mit en position pour le sucer. Elle lui colla sa chatte baveuse sous le nez et prit son chibre en main.
— Et bien mon salop, tu tiens la forme à c’que je vois.— Et toi, t’en reprendrais pas une petite pétée ?— Sous ton nez comme cet aprèm ? Mmm, c’est ça qui t’excite, cochon ?— Mmm, oh ouai, vas-y, aaaah !
Les parents qui avaient jouis depuis quelque temps déjà, ne perdaient pas une miette du spectacle que leur offraient les deux jeunes. Martine et Bénédicte s’étaient rapprochées l’une de l’autre et se congratulaient mutuellement pour la beauté et l’endurance de leurs enfants. Elles s’étaient installées à deux dans un fauteuil et se caressaient mutuellement en regardant, amusées, leurs maris en train de se branler comme deux malheureux devant le jeune cul sublime de Jade.
— Allez-y, dit subitement Martine à Charles et Jean, vous en crevez d’envie de la baiser.— Et elle n’attend que ça que vous l’enfiliez, ça crève les yeux !— Je... vous croyez ? Demanda Charles, ça te choque pas Béné ?— Elle tient de moi, chéri, elle a le feu au cul, c’est évident.— Vas-y Charles, honneur au père, je passerais après, lui dit Jean en le poussant par l’épaule vers le jeune couple en action.
Charles était hésitant, sa raison lui disait que ça ne se faisait pas, mais sa bite fonctionnait autrement. Il se positionna derrière elle, Lilian lui pris la queue, lui suça le gland avant de le guider vers l’entrée du vagin de sa copine. Jade avait arrêté de s’occuper de sa bite consciente que quelque chose de nouveau se tramait. Quand elle sentit le gland paternel à l’entrée de sa grotte, elle poussa son bassin vers l’arrière et engloutit d’une traite la verge de Charles.
— Oh ouiiii ! Vas-y, Papa, défonce-moi ! Aaaaah !— Oh mon dieu, Jade ! Aaah, ma petite fillle, Aaaaah ! Oh putain, c’est trop bon !— Oh oui, Papa, baise-moi fort ! Aaaaaaaah !
Lilian était aux premières loges et les couilles de son beau-père venaient frapper sa langue active sur le clitoris de Jade. Cette dernière avait arrêté de le sucer et avait bien du mal à le branler tellement elle jouissait de sa pénétration incestueuse. Quand elle sentit Charles se vider les couilles au fond de sa matrice, elle éjaculat au visage de Lilian.
Sitôt retiré, Charles laissa la place humide et chaude à Jean. Lilian bandait comme un fou et sa bite était délaissée par Jade trop occupée par le nouvel assaut qu’elle subissait. Il faut dire que Jean avait une belle bite, presque aussi grosse que celle de Lilian. C’est alors que Martine qui n’en pouvait plus se rua sur son fils et s’empala sur sa bite bien raide.
Lilian et elle changèrent vite de position et il la prit en missionnaire. Les jambes de Martine se serraient autours de la taille de son fils, mais leur coït ne dura pas, tellement ils étaient excités et ils jouirent de concert lorsqu’ils entendirent que Jean se vidait les couilles dans la petite chatte de Jade.
Bénédicte qui s’était retrouvée seule, se masturbait comme une folle. Elle était toujours assise dans le fauteuil, les jambes largement écartées. Jade rampa jusqu’à elle et glissa sa bouche et ses mains entre ses cuisses.
— Laisse moi faire, Maman, dit-elle faiblement avant de pointer sa langue vers le clitoris excité.— Oooh ! Oh oui Jade ! Lèche ma chatte, branle moi !
La langue de Jade faisait des merveilles sur le petit bouton tandis que deux doigts agiles s’étaient déjà introduits dans le conduit vaginal. Bénédicte appuyait des deux mains la tête de sa fille.
— Oooh ! Oh oui, ma chérie, bourre la chatte de ta maman ! Branle ma chatte et mon cul ! Ouii, c’est ça mes moi tous tes doigts ! Baise-moi !
Encouragée par les suppliques de sa mère, Jade glissa un troisième doigt de la main droite dans le con maternel et commença à lui titiller l’anus avec son majeur de la main gauche. Les réactions de Bénédicte montraient clairement à quel point elle appréciait le traitement. Martine qui s’était rapprochée lui massait les seins. Jade fit rentrer un quatrième doigt et positionna son pouce au centre. Elle s’apprêtait à fister sa mère.
— N’aies pas peur, lui dit Martine, quand t’auras mis celle la entière dans sa grosse chatte, tu pourras lui plonger l’autre dans le cul. T’imagine pas comme ta mère prend large quand elle est dans cet état.— Aaaaaaaaaaaah ! Aaah Ouiii ! Criait Bénédicte.
Jade poussa un peu sur sa main qui fut littéralement aspirée vers l’intérieur du vagin. Elle avait deux doigts dans le cul et sentait bien son poignet droit qui tournait et s’activait dans la chatte de sa mère. L’anus se dilatait, elle pénétra un troisième doigt dans le cul. La mouille abondante qui s’écoulait de la chatte fistée humidifiait le petit orifice. Bénedicte couinait, Jade n’en revenait pas, le cul de sa mère s’ouvrait avec tant de facilité que sa main gauche finit par passer la barrière du sphincter anal. Martine continuait à s’intéresser à la grosse poitrine de son amie, qu’elle tétait avec délice en lui massant le clitoris avec l’index et le majeur de sa main droite. Jade bougeait tantôt une main, tantôt l’autre.
— Oh, putain, Maman, j’te baise ! J’t’encule et j’te baise Maman !— Ooooh ! Oh ouii ! Aaaaaaaah ! Aaah, c’est trop ! Aaaaaaaah !
Bénédicte criait, hurlait mais visiblement elle appréciait cette pénétration extrême. Quand un ultime orgasme la surprit, elle éjacula une quantité impressionnante de mouille, inondant le visage de sa fille. Jade stoppa toute action, ses mains étaient prisonnières des orifices contractés. Elle dut attendre que sa mère se détende pour ressortir doucement ses mains, d’abord la droite, puis la gauche. Martine maintenait les jambes de Bénédicte bien écartées et tous purent admirer les deux orifices dilatés et bien ouverts qui entamaient timidement leur fermeture. Jade avait la main gauche pleine de merde, elle se tourna vers Lilian qu’elle regarda amoureusement. Une idée cochonne naissait dans sa tête.
— Lilian, mon amour, toi qui aime boire la pisse, dit-elle en tendant vers lui sa main souillée, t’as jamais eu envie de goûter la merde ?— Je... y en a beaucoup, c’est très sale, répondit le jeune homme en rougissant.— Et t’aimes quand c’est crade non ? Lèche ma main, mon chéri, nettoie là, fait moi plaisir.
Lilian s’agenouilla près de Jade, lui prit le bras et porta la main merdeuse à son nez. Dieu que ça puait, il darda sa langue, apprécia l’amertume de la matière et se mit à lécher. Il commença un peu timidement puis il se mit à sucer consciencieusement chaque doigt avant de se jeter littéralement sur le reste de la main et du poignet.
— T’aimes ça mon cochon ! Décidément tu me plais, on aurait du sortir ensemble plus tôt.— Mmmh, oui, t’es la vraie salope dont je rêvais, tu m’excites tellement... J’adore quand tu te fais sauter sous mon nez, comme ce soir ou cet après midi, quand on s’est fait pisser dessus. Je suis prêt à me laisser guider, à me soumettre et à te suivre dans tous tes fantasmes les plus sales... Je t’aime Jade.— Tu feras tout ce que je veux ?— Tant que c’est sexuel et pas violent... je veux bien faire tout ce qui te plairas.— Vraiment ? Tu sais que j’ai parfois des envies un peu bizarres.— Je crois que tu n’as jamais eu de secrets pour moi,... si tu savais combien de fois je me suis branler en pensant à tes histoires et combien de fois j’ai eu envie de te dire, lâche ces gars avec qui tu sors, moi je serais ton esclave et ton jouet.— Allonge toi, j’ai envie de pisser...
Sous les regards de ses parents et de ceux de Jade, Lilian s’allongea entre les jambes de sa Chérie qui s’accroupit au dessus de sa bouche et commença à pisser.
— Il a l’air d’aimer ça, fit remarquer Martine amusée.— Il a de qui tenir lui répondit Bénédicte, toi non plus y a pas grand chose qui te dégoûte.— En tout cas, on n’aura plus à nous cacher de nos enfants, ajouta Jean, mais notre fils est très doué, il n’en perd pas une goutte.— Dis-moi, ma fille, ton esclave, tu le prêteras de temps en temps. Demanda Charles à sa fille.— Oh, à vous quatre j’accorde un droit d’usage permanent, pas besoin de mon autorisation pour lui pisser ou lui chier dessus.— Et se faire ramoner la chatte par sa jolie bite, on peut aussi, demanda Bénédicte.— La chatte ou le cul, Maman, comme tu veux. C’est un esclave sexuel, mais il a juste un défaut.— Ah bon, lequel ? Demanda Jean. Je le trouve pas mal réussit, personnellement.— Ton fils est poilu, un vrai esclave n’a plus un poil de la base des pieds au sommet du crâne. Il va falloir que je m’en occupe rapidement.— Si tu veux de l’aide, je suis certain que ça en exciterait plus d’un et plus d’une ici de s’occuper de sa nudité totale, rajouta Jean.— Si ça peut vous faire plaisir, je veux bien que vous vous en chargiez, bien entendu, vous pourrez abuser de lui comme il vous plaira en remerciement.— Je vais chercher de quoi raser ce jeune éphèbe, dit Charles avec enthousiasme.— Prends aussi mes boites de cire d’épilation, intervint Bénédicte, c’est plus efficace et ça dure plus longtemps. Pour le corps c’est mieux.
Tous s’organisèrent et Lilian se laissa faire. Il souffrit le martyre lorsque sa mère et Bénédicte lui épilèrent les jambes, mais ce ne fut rien comparé à ce qu’il endura lors de l’épilation de son pubis et de son sexe. Charles et Jean s’occupèrent de ses bras et de sa tête. Il se retrouva rapidement avec la boule à zéro. L’opération duura près de deux heure avant que tous ses poils, à l’exception de ses sourcils, aient disparus. Bizarrement, cette nudité absolue renforça le caractère androgyne de son corps et de son visage. La chose frappa Bénédicte qui entreprit d’affiner ses sourcils pour leur donner une courbure et une épaisseur plus féminine. Il fut ensuite enduit de crème apaisante et couvert de caresses et de baiser de la part de ses quatre « tortionnaires ». Jade avait tout filmé en se masturbant. Charles présenta son sexe bandé à la bouche de Lilian qui le pompa avec plaisir. Le père de Jade semblait apprécier le savoir faire de son gendre et éjacula rapidement au fond de sa gorge. Il garda sa bite plantée dans la bouche avide et au fur et à mesure qu’elle perdait de sa grosseur, il sentait monter une envie d’uriner. Il avait vu que sa fille ne s’était pas gêner pour se soulager dans la bouche du jeune homme aussi, il décida d’en faire autant. Sans prévenir, il lâcha sa miction dans la bouche du garçon qui malgré la surprise avala toute la miction sans en perdre une goutte. Pendant ce temps, Jean tripotait le cul de son fils, et lui branlait le cul de deux doigts inquisiteurs.
— Laissons les s’amuser d’abord, nous profiterons de lui après, fit Bénédicte à Martine.— Mmm, je crois que Lilian tient vraiment de moi, t’as vu comme il boit bien…— Il est pire que toi, si tu veux mon avis, t’as vu comme il a nettoyé la main de Jade tout à l’heure.— C’est vrai, il avait l’air de prendre ça pour une friandise…— Vous savez, je crois qu’on pourrait vraiment l’utiliser comme chiotte, intervint Jade, mais je me réserve le droit de passer la première. C’est mon esclave après tout.— Parce que tu serais capable de lui chier dans la bouche ? Interrogea Martine faussement dégoûté.— Pas ce soir, mais demain matin, on verra si il aime ça.— Ma fille tu es une cochonne ! Comment peux-tu penser à des choses aussi répugnantes…— Parce que tous les quatre, vous faites jamais rien de crado ? Vous bouffez pas la merde mais vous vous léchez le cul sans problèmes, non ? Ne me dis pas qu’à chaque fois le trou du cul est passé par la case douche.— Tu as raison, d’ailleurs ton père aime pas quand je m’essuie la moule ou les fesses. Il aime aussi quand c’est sale, mais de là à lui chier ou à lui pisser dans la bouche…— Tu dis ça mais pisser dans la mienne, ça t’a jamais posé de problème, ni à toi, ni à Charles d’ailleurs.— C’est vrai, y a que Jean qui ne te pisse pas dans la bouche, lui il préfère se lâcher ailleurs…— Comment ça, ailleurs ? Demanda Jade curieuse.— Mon mari est un cochon qui arrive à pisser en bandant, souvent juste après avoir éjaculer, si bien qu’il pisse généralement dans la chatte ou le cul qu’il vient d’honorer.— Tu… tu veux dire qu’il va peut-être pisser dans le cul de Lilian ?— S’il se décide à enculer son fils plutôt que de lui branler le cul, y a des chances.
Jean avait maintenant trois doigt dans la rondelle merdeuse de son fils, il n’en revenait pas de la souplesse de ce trou du cul, mais il hésitait. Lilian n’en pouvait plus, il avait besoin de se faire mettre.
— Oooo, encule moi, Papa, aaaah, vas-y ! Aaaaah !— Mmm, oui, mon petit, j’vais t’enculer… y m’plait ton cul, je sens bien qu’t’aimes ça, petite pute ! Putain, ça rentre tout seul !— Aaaaah ! Ah oui ! Ah oui !— Oh, putain, mais t’es une vraie salope ! Aah, j’vais t’en mettre plein l’cul !-Aooh ! Oh oui ! Aaaah !
Jean se lâchait, il baisait son fils comme une chienne, lui claquait son cul en le traitant de salope et Lilian en redemandait.
— J’vais t’remplir le cul comme personne te l’a fait, putain !— Aaah, ah oui, Papa, j’suis qu’une salope, aaah ! Joui dans mon cul ! Baise moi l’cul ! Aaah !— Oooh, oui, j’vais te jouir dans l’cul ! Aaaah ! et après,… Aaaah ! Ah oui !— Aaah… après ? Aaaaah !— Après, j’te pisserais dedans. Aaaah ! On t’a déjà pissé dans l’cul, Lilian ?— Aaaaah ! No… non ! Aaaah ! Ja… jamais ! Aaaaah !
Martine abandonna Jade et sa mère à la contemplation de cette baise pour aller chercher un saladier dans la cuisine. Elle connaissait suffisamment les capacité de son mari pour savoir qu’il allait le faire. Elle revint juste à temps pour assister à l’orgasme de Jean, le salop semblait se vider les couilles comme jamais. C’était sans doute l’effet de l’immoralité de cette soirée durant laquelle, eux et leurs amis-amants avaient osé baiser avec leurs enfants. Jean se lâchait dans le cul de son fils, qui pouvait sentir les contractions de la bite dans ses entrailles. Lilian se sentait rempli de foutre, mais il savait qu’autre chose viendrait ensuite. Jade s’astiquait le bourgeon et se pinçait le bout des seins en observant la scène. Jean venait de lâcher sa purée et son sexe restait bandé et fermement planté dans le cul de son petit copain. On voyait à son visage qu’il se concentrait et puis d’un coup il se détendit et un large sourire illumina son visage.
— Mmmm, oui, c’est trop bon, dit-il en libérant sa vessie.— Ooooooh !Oh mon dieu… oooooh.
Le flot qui envahissait les entrailles de Lilian semblait ne pas s’arrêter, le jeune homme gémissait comme une chienne en chaleur, il n’avait jamais rien ressentit de tel. Son ventre se gonflait, se remplissait de la chaude miction. Martine approcha discrètement et déposa le saladier entre ses mollets. Jean finissait de pisser et son sexe maintenant ramolli quitta le cul rempli. Quand il se fut écarté, Martine resta derrière son fils pour bien positionner le saladier. Lilian poussa légèrement et une cataracte infâme se déversa dans le récipient. C’était un véritable lavement à la pisse. Lilian se vidait les entrailles et cette étrange libération lui provoqua un nouvel orgasme. Tout était fini, mais il restait à quatre pattes, hébété. Jade pris des mains de Martine le saladier rempli et le déposa devant Lilian.
— Tient, mon chéri, faut que tu reprennes des forces…
Sans un mot, Lilian plongea son nez dans le saladier et commença à laper et boire son contenu. Il sentait qu’ils venaient tous de dépasser un point de non retour et que Jade ne lui épargnerait rien. Sous les encouragements de la jeune fille, il se remplit l’estomac de la mixture qui sortait de son cul. Il était à quatre patte, comme un chien au milieu de tous, traité comme tel et il en ressentit de nouveau une grande excitation. Il prit plaisir à tout lécher jusqu’à la dernière goutte, il bandait. Jade l’appelait « mon gros toutou », et quand il eut tout fini, elle l’embrassa avec fougue, fouilla sa bouche de sa langue pour s’enivrer de toute la saleté avalée par son amoureux. Elle décida qu’il était temps pour eux d’aller se coucher et demanda à Lilian de la suivre à quatre patte comme un bon chien, ce qu’il fit sans rechigner.
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