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Le jouet de Jade

Chapitre 2

Trash
Un rai de lumière filtrait par une ouverture du volet. Le jour était levé, le soleil n’était sans doute pas très haut, mais une belle journée semblait se profiler. Jade ouvrit les yeux, à côté d’elle, tout contre elle, son Lilian chéri dormait. Elle se remémora la folle journée de la veille avec son après-midi chargée de découvertes où elle avait donné du plaisir à trois inconnus avant de faire l’amour, pour la première fois avec lui. Puis vint la soirée, non moins folle, qu’ils avaient passée ensuite, en compagnie de leurs parents et durant laquelle ils avaient tous franchi la barrière de l’inceste sans en éprouver de honte apparente. Elle avait aimé sentir son père jouir en elle juste au dessus du nez de Lilian. Elle avait aimé le voir niquer avec sa mère et plus tard se faire enculer par son propre père. Mais ce qui l’impressionnait le plus, c’était sa capacité à faire ou accepter de faire des choses répugnantes et la soumission dont il avait fait preuve.
« N’importe quelle fille sensé l’aurait jeté ; on ne sort pas avec une fiote ! Mais pour moi, c’est vraiment l’homme idéal. Non seulement, il est très endurant, il m’a fait grimper aux rideaux trois fois cette nuit alors qu’on avait déjà bien baisé avant… » Pensa-t-elle en le regardant dormir comme un bébé, « mais en plus, il est malléable… je peux lui demander ce que je veux, il acceptera, c’est dingue ! Je me suis faite prendre par cinq hommes devant lui et ça l’a excité, pourtant il m’aime, je le sais depuis longtemps. Et son corps… il n’a pas bronché quand son père lui à rasé sa belle coupe de surfeur. Pourquoi ai-je eue cette drôle d’idée ? Le rendre aussi nu qu’un ver… j’en ai fait le symbole de sa soumission, de son esclavage. Il est si beau comme ça… si doux. Quand au reste… son goût étrange pour la pisse et la merde… mon dieu que son haleine était dégueulasse hier soir après avoir léché mes doigts et bu son lavement… Pourquoi ça m’excite autant ? »
Jade glissa une main entre ses cuisses, elle mouillait. Elle glissa son majeur dans sa fente pour en retirer suffisamment de cyprine pour humidifier son petit bourgeon et entreprit de s’astiquer le clitoris. Ses pensées reprirent.
« J’ai pas détesté de me faire pisser dessus par les trois lascars de la plage, mais lui il a bu ! Il aime ça, c’est évident… bon, apparemment sa mère aime bien aussi, mais lui, c’est du lourd. Oooooh, mmmm, c’est bon… J’n’aurais jamais cru prendre autant de plaisir à pisser dans la bouche d’un mec… Pourquoi ça m’excite comme ça ? J’ai pris mon pied quand mon père lui a pissé dans la bouche… Mmmm, j’ai envie de l’utiliser comme wc, c’est sûr qu’il aimera, le cochon… Je… Oooooh… je pourrais… Mmm… lui chier dans la bouche… »
— Aaaaaaaaah ! Cria Jade en jouissant— Que… quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Fit Lilian réveillé en sursaut— Hihi, je t’ai réveillé mon amour, pardon… Je repensais à ce qu’on a vécu hier et j’ai très envie de me faire prendre sur le champ par mon petit esclave adoré.— Houla, je crois que je vais d’abord passer aux toilettes, avec tout ce que vous m’avez fait boire hier soir, j’ai la vessie qui va exploser.— Je t’interdis de sortir de ce lit avant de m’avoir fait jouir avec ta bite. Si tu dois absolument pisser, fait le sur nous dans les draps.— Te… t’es sérieuse ?— Absolument, d’ailleurs, chaque fois que tu devras satisfaire à ce genre de besoin naturel, ce serait bien que tu me le dises.— Pourquoi ?— Pour que tu le fasses où je veux, quand je veux et comme je veux, selon mon inspiration du moment.— Pour caca aussi ?— Bien sûr, mon chéri, pour caca aussi… mais là t’as juste parlé de pipi, alors fais le au lit. Pisse toi dessus, c’est un ordre !
Lilian rougit, l’ordre ne le dérangeait pas vraiment. Ça avait plutôt le goût d’une récompense puisqu’il aimait bien se pisser dessus. Il le faisait généralement allongé dans la baignoire, mais là, dans le lit, c’était du grand confort. Il ferma les yeux, il était collé à sa chérie, et quand il sentit le flot se libérer, passer dans sa verge et inonder de sa douce chaleur leurs cuisses et leurs ventres, il éprouva un plaisir inégalé. Jade manipula sa bite comme un tuyau d’arrosage pour que la miction soit la mieux répartie possible. Il en avait des litres et une véritable flaque se forma au niveau de leurs bassins. Ils baignaient dans la pisse et ils s’embrassaient à pleine bouche. La miction finie, Jade entreprit de masturber l’engin qu’elle tenait en main, il s’agissait de lui donner maintenant toute la splendeur qu’elle en attendait.
— Va falloir que je m’habitue… Dit-elle en se léchant les lèvres.— À quoi ? Au pipi au lit ?— Mm, à ça aussi, mais je pensait plutôt à ton haleine. Tu pues de la gueule mon chéri.
— si tu crois que je n’m’en rends pas compte moi aussi, ça me remonte aux narines...— À ce point ? C’est vrai que ta bouche a un vrai goût de pisse pourrie… Et ça risque pas de s’améliorer aujourd’hui… dit elle en l’embrassant de nouveau. J’ai l’intention d’aller plus loin.
Lilian ne répondit pas, il n’osait croire ce qu’il entendait, seul son sexe répondit à sa place en durcissant subitement entre les doigts de Jade. La jeune fille plongea sa tête sous les draps détrempés. Ses cheveux baignaient dans la pisse et sa bouche engloutit la verge splendide qui pointait fièrement vers le ciel. Le gland conservait un léger goût de pisse qui ne lui déplut pas et disparu assez vite. Lilian léchait sa chatte baveuse et leur désir grimpait. Une fois la bite bien humectée de salive, Jade dégagea les draps et s’empala sur son amant. Couchée sur lui, elle savourait les vigoureux coups de reins de son amant. Elle était terriblement excitée et jouissait bruyamment. Après quelques minutes, Lilian la retourna et ils passèrent en position du missionnaire. Il avait passé ses bras sous ses genoux et la pilonnait avec entrain. Sa bite longue et épaisse lui remplissait le vagin complètement, Jade hurlait son plaisir. Elle le tenait fermement par les fesses et approcha ses doigts de son anus. Lilian bougeait de plus en plus vite et, sous le majeur de Jade, sa rosette s’ouvrait et se fermait à chaque aller et retour, tant et si bien que le doigt s’y introduit. Jade pris conscience qu’elle était en train de doigter son homme et qu’il l’appréciait. Un deuxième doigt se joignit au premier, Lilian se cabra. Jade sentit sa bite se tendre et son vagin se resserra sur le membre qui la remplissait de foutre. Ils jouissaient à l’unisson dans un orgasme violant qui réveilla toute la maisonnée. Lilian s’écroula sur sa partenaire qui retira les deux doigts qu’elle avait plantés dans son cul. Ils étaient pleins de merde, elle les porta à ses narines, en apprécia l’odeur et les lui donna à nettoyer.
— T’aimes la merde aussi, alors ?— Ben, je… c’est pas la première fois que je nettoie, je te l’ai déjà dit…— Et t’en a déjà mangé vraiment ?— …— Dis-moi, t’as déjà bouffé de la merde ?— Une fois, il y a un mois environ, la mienne…— t’as bouffé ta merde ?! S’écria Jade incrédule.— Je sais, c’est dégueulasse… c’était un soir où j’était seul chez moi et je naviguais sur le net. J’ai cherché des sites d’histoires uros et scatos, j’étais très excité par ce que je lisais. Je suis allé dans la cuisine, j’ai pris une assiette et j’ai chié dedans… un gros boudin, c’était énorme. J’ai d’abord approché mon nez, ma bouche et ensuite, j’en ai mangé…— Beaucoup ?— Deux ou trois bouchées et je me suis étalé le reste sur le corps et sur la bite en me branlant comme un cochon. Quand j’ai repris conscience, j’étais couvert de merde jusque dans mes cheveux, j’ai lavé l’assiette avant de la mettre au lave-vaisselle et je suis allé me doucher.— Trop fort ! Et t’as trouvé ça bon ?— Bon ? Non, je ne dirais pas ça, mais excitant… oui. Conclut-il en rougissant de honte.— Eh ! C’n’est pas grave ! Moi ça m’amuse que t’aimes ça…— J’ai l’impression que c’est un peu plus que ça. On dirait que ça t’excite. Quand tu m’as dit tout à l’heure que tu voulais aller plus loin, c’est pas à ça que tu pensais ? À me chier dessus…— T’as raison, mon amour, ça m’excite. C’est pour moi le summum de ma domination…— T’es une femme dominatrice et moi je suis un homme soumis, car pour moi, si tu m’utilisais comme wc ce serait l’absolue déchéance… C’est… c’est pour ça que je t’ai dit que je voulais être ton esclave…— Mmm, j’avais compris, mais en fait, je préférerais que tu sois mon jouet, que tu deviennes un esclave quand je veux, ou alors un chien, un pédé, un chiotte ou encore l’homme viril que tu sais être quand tu me baises. Tout ça selon mes envies.— Un jouet…— Mon jouet ! Mon jouet à moi que je prêterais peut-être de temps en temps, mais qui restera à moi !— Et faut que je t’appelle comment ? Maîtresse ?— Non, ça je m’en fout un peu, je préfère les mots doux.— Entendu, ma chérie, qu’il en soit ainsi.— Bon, je vais aller préparer le café avant que tout le monde se lève et pendant ce temps, j’aimerai que tu condamnes la porte des wc en fermant le loquet avec un tournevis.— Pourquoi tu veux faire ça ?— Parce qu’aujourd’hui, le chiotte, c’est toi ! Dit-elle guillerette.— T’es sure que ça va être du goût de tout le monde ? En plus ça risque de faire beaucoup si je dois servir à cinq personnes…— Tu sais, je crois avoir compris hier soir qu’en matière de crado et de porcherie, on a de qui tenir tous les deux. T’auras peut-être de l’aide. Allez dépêches toi ! J’ai envie de pisser, moi aussi…
Lilian ne mit pas longtemps à faire ce qui lui était demandé, puis il rejoignit Jade dans la cuisine. Elle l’attendait avec impatience et lui demanda aussitôt de s’allonger au sol. Lilian savait ce qui l’attendait, il allait avoir sa première ration d’urine de la journée. Quelques minutes après, ils virent débarquer Charles et Jean qui visiblement avaient passé la nuit ensemble. À l’étage, on pouvait entendre Martine et Bénédicte se donner mutuellement du plaisir.
— Ah ! Vous êtes là tous les deux ? Pourquoi les wc sont fermés ? Demanda Charles.— Condamnés pour la journée, répondit Jade joyeuse. Aujourd’hui, c’est mon doudou, les toilettes. Utilisez sa bouche, il avalera tout. Un vrai sanibroyeur, pas vrai doudou ?— Vous n’arrêtez jamais, tous les deux, fit remarquer Jean. Je n’aime pas tellement pisser dans une bouche, mais si en plus tu me demandes de chier dans la bouche de mon fils…— Dis-donc, cochon ! Ça t’as pas gêné de lui pisser dans le cul hier soir et t’as pas été dégoûté de le voir boire et manger ce qui était sorti de son cul !— Tu sais Jean, c’est pas désagréable de pisser dans une bouche, surtout que parfois ça peut se terminer en bonne pipe, sait-on jamais. Ajouta Charles qui faisait déjà mettre à genoux Lilian résigné.
Le jeune homme pris en bouche le sexe mou de Charles qui posa ses mains à l’arrière de sa tête et se laissa aller. La pisse avait un goût très fort et le flot était important. Lilian avalait au fur et à mesure que sa bouche et sa gorge se remplissaient. La miction lui parut interminable et il pouvait voir son père trépigner à côté. Quand Charles se retira, Jean n’en pouvait plus, il précipita sa bite dans la bouche de son fils et urina à son tour en poussant un « Aaaaah ! » de contentement. Jade regardait la scène discrètement tout en préparant la table du petit-déjeuner. Jean avait fini, mais son sexe prenait de l’ampleur dans la bouche de Lilian qui, sans se poser de question, se mit à le sucer.
— Oh, putain… continue comme ça,… oui, c’est bon. Dit-il à son fils— Et bien, on ne s’ennuie pas ici, fit Martine en entrant dans la cuisine.— Comme tu peux le voire, Chérie, t’as passé une bonne nuit ?— Excellente, mais quelqu’un pourrait m’expliquer pourquoi les wc sont fermés ?— Ce sont les enfants qui ont fait ça, répondit Charles, ils ont décidés que Lilian servirait de toilette aujourd’hui…— Oooh… Mais là, il semble occupé à autre chose…— Si tu veux, je peux remplacer Lilian, dit Jade à l’attention de Jean, comme ça Martine pourra aussi se soulager.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Jade pris en bouche la bite de Jean qu’elle s’efforça de pomper efficacement tandis que Lilian s’allongeait sur le carrelage froid. Martine s’accroupit au dessus de son fils et, sans aucun scrupule, relâcha sa vessie. Le jet d’urine frappa le visage avant qu’elle réussisse à le diriger vers sa bouche ouverte. La position était moins adaptée pour déglutir rapidement, mais Lilian réussit à ne pas trop en perdre.
— Si j’avais su, dit Bénédicte en arrivant, je ne t’aurais pas pissé dans la bouche ce Matin.— T’auras sans doute l’occasion d’utiliser ses services plus tard, les enfant ont condamné les wc. Aujourd’hui, on a que la bouche de Lilian. Répondit Martine, Maintenant, mon chaton, nettoie bien ma chatte. Mmm… oui, c’est bien.
Jean n’avait pas envie de jouir dans la bouche de Jade et comme son fils était de nouveau disponible, il le fit se mettre à quatre pattes et l’encula. Il le fit sans préparation, mais Lilian était habitué à ce genre de pratique et supporta la brutalité de l’assaut. Son père lui défonçait la rondelle tandis que Charles, Martine, Jade et Bénédicte se mettaient à table. Jean était très endurant, mais la fellation de Jade avait déjà fait l’essentiel du travail. Il se répandit donc rapidement dans le fondement de son fils. Quand il se retira, son sexe avait une teinte brunâtre suspecte et Lilian se mit en devoir de le nettoyer. Son « travail » fini, son père et lui s’assirent avec les autres autour de la table.
— Tu veux boire quelque chose mon chéri, demanda Jade à Lilian— Euh, non, là, je crois que ça ira, j’ai l’estomac un peu plein et je parie que tu ne vas pas tarder à me donner quelque chose de… comment dire, plus consistant.— Tu peux en être certain, mon amour, mais d’abord, je mange.— Oh mon Dieu ! S’écria Bénédicte assise à côté de Lilian, quelle haleine tu as mon garçon !— Je sais, répondit-il, c’était déjà pas terrible ce matin au réveil, mais avec tout ce que j’ai bu ce matin, j’ai l’impression d’être un urinoir public.— D’ici, rajouta Martine, ça me fait penser à certains escaliers mal nettoyés de parkings souterrains dans lesquels des hommes se soulagent. Tu sens la vieille pisse, chaton…— Et bientôt, il sentira aussi la merde… Intervint Charles laconique.— Ça, ça te plait, cochon ! Le gronda Bénédicte. Y a des moments où t’es vraiment dégoutant !— De la part d’une personne qui pisse au moins une fois par jour dans la bouche de sa meilleur copine, répondit l’intéressé, c’est une réflexion qui me fait bien marrer ! Sans compter que je vous mets au défi, Martine, Jean et toi, de me dire que vous n’avez pas pris votre pied dans nos partouzes scato.— Par ce que vous faites des partouzes scato ?! Reprirent ensembles Jade et Lilian.— Oui les enfants, avoua Martine, mais on ne fait que s’étaler la merde sur nous, on n’en mange pas vraiment même si on en avale toujours un peu. Moi j’aime bien me branler avec ou me faire baiser par une bite bien enveloppée dans un étron… mais je ne suis pas la seule, ajouta-t-elle en regardant Bénédicte.— C’est vrai, avoua Bénédicte, mais comme tu dis, de là à se chier directement dans la bouche, c’est pas pareil.— Aucun de nous n’en a eu envie non plus, intervint Jean. Qui sait si nous ne l’aurions pas déjà fait dans le cas contraire…— T’as raison, dit Martine, mais qui nous dit que Lilian en a envie !— Moi ! Répondit Lilian, moi j’ai envie que Jade me chie dans la bouche…— Et ça tombe bien parce que, moi, j’ai envie de faire caca et ça m’excite à mort de le faire dans ta bouche. Répondit la jeune fille amoureuse.— Vous n’allez quand même pas faire ça ici ?! S’inquiéta Martine— Ils peuvent bien faire ça où ils veulent, la contra Bénédicte, de toute façon faudra nettoyer le sol de la cuisine, y a déjà de la pisse partout.— Mais enfin, vous ne voyez pas qu’ils se donnent en spectacle, reprit la mère de Lilian.— Si, on en est bien conscients, répondit Jean en lui mettant une main à la chatte, mais toi tu fais l’offusquée alors que ça te fait mouiller… T’as juste du mal à savoir jusqu’où tu iras quand ce sera à ton tour de lui chier dessus. C’est pas vrai ?— Oh arrête, je… non, je ne sais pas… Baise-moi chéri, pendant que cette cochonne nous montre comment elle chie dans la bouche de notre fils.
Lilian s’allongea vite sur le sol de la cuisine et Jade chevaucha son visage. Ils s’étaient installés de telle sorte que leurs parents ne puissent rien louper du spectacle. Jean avait plongé sa bite raide dans le con de sa femme qui prenait appui sur la table, mais il restait encore immobile. Sous leurs yeux intéressés, Jade avait porté sa rondelle au plus près de la bouche ouverte de Lilian. Elle poussait. Quelques gouttes de pisse accompagnèrent son action et vinrent mouiller le torse du jeune homme. Peu à peu, l’anus s’écarta et une merde bien brune commença à pointer son nez. Lilian darda sa langue pour la lécher en même temps que celle-ci se révélait. Bientôt ce fut un bel étron d’une dizaine de centimètres qui sortait du cul splendide de la jeune fille. Lilian le suçait et le léchait comme une glace. Il en arrachait régulièrement un petit morceau qu’il mâchait à peine avant de l’avaler. Jean commença à bouger dans la chatte de sa femme que le spectacle rendait fébrile. Martine n’avait aucun problème pour boire la pisse, elle aimait baiser dans sa merde et dans celle de ses partenaires, mais elle n’avait jamais osé faire ça… Lilian avait la bouche pleine et semblait avoir du mal à tout ingurgiter, mais il ne semblait pas s’en inquiéter. La merde débordait de sa bouche et le colombin s’enroulait sur son visage et son nez. Il était énorme ! C’était à ce demander si Jade ne se vidait pas de plusieurs jours de retenue. La crotte finit par se décrocher, elle devait bien mesurer trente centimètres, mais Lilian en avait déjà avalé la moitié. La libération de la merde déclencha un nouveau jet d’urine qui inonda la poitrine de Lilian et le sol de la cuisine. Bénédicte, toujours très voyeuse et manuelle, se masturbait alors que Charles restait bloqué sur le postérieur de sa fille et que Jean besognait Martine avec beaucoup plus de vigueur.
— Va l’enculer, elle attend que ça, souffla Bénédicte à son mari.-Mmm, fut tout ce qu’il put répondre.
Charles se leva, fit le tour de la table et s’agenouilla au dessus de la tête de Lilian qui n’en finissait pas de bouffer l’énorme caca de Jade. Il retint sa fille qui allait se relever. Elle se retrouva à quatre pattes et sans tergiverser, il pointa sa bite tendue sur la rondelle poisseuse. Il la pénétra lentement, d’un seul coup, jusqu’à se retrouver planter jusqu’aux couilles. Jade gémit de bonheur. Charles avait les burnes posées sur la merde de sa fille et il commença à s’activer. Il accompagnait cette sodomie de petites claques bien senties qui arrachaient, à chaque fois, un petit cri à sa fille, augmentant encore leur excitation. Ses couilles poilues s’enduisaient de merde qu’elles étalaient, telle un pinceau sur le visage du jeune scatophage. Bénédicte regardait maintenant la bite de Lilian prendre de l’ampleur, elle n’en avait pas profité la veille au soir, mais là, elle comptait bien se rattraper. Elle rejoignit le trio et s’inséra à reculons, entre sa fille et son compagnon pour s’empaler elle même sur le pieu de chair de son « gendre ». Jade s’agrippa à sa mère tandis que Charles s’activait avec plus de frénésie dans son rectum. Lilian avait fini sa pitance et léchait les couilles de son beau-père et la chatte de sa copine.
À table Jean et Martine atteignaient l’orgasme en fantasmant sur le spectacle qui se déroulait sous leurs yeux. Charles enculait Jade avec une force accrue et la jeune fille couinait de plaisir. Elle avait enfoncé deux doigts dans le cul de sa mère qui se remuait comme une sauvage sur la bite tendue de Lilian.
— Putain j’vais jouir ! Cria Charles— Dans sa bouche, dans sa bouche ! Répondit Jade.
Lilian qui se faisait baiser la bite par Bénédicte trouva la force d’extraire lui-même la pine de son beau-père pour la porter à sa bouche et se faire tapisser, in extremis, le palet et la langue de quatre ou cinq grosses giclées de sperme. Il était encore en train d’éponger la bite de Charles quand Jade poussa pour expulser une merde mole, broyée par la sodomie qu’elle venait de subir et qui, telle une bouse, s’étala sur son menton. Charles attrapa la tête de son gendre pour maintenir dans sa bouche sa bite ramollissante et évacua une partie des trois bols de thé qu’il prenait au petit déjeuner. Cette onde douçâtre fut la bienvenue pour Lilian qui avait trouvé son « repas » un peu sec. Elle l’aida à faire descendre vers l’estomac le monceau de crotte qu’il avait ingéré. Jade, libérée de toute emprise et soulagée de ses besoins, se dégagea pour admirer la figure merdeuse de son amant. Ses derniers excréments lui tapissaient le menton et consciencieusement, elle ramena l’ensemble du paquet vers la bouche de son homme. C’est à ce moment que Bénédicte se retourna pour se retrouver face à Lilian. En voyant sa figure couverte de merde, elle ne put résister à l’embrasser d’abord puis à lécher son visage ensuite.
— Mmmm… ! Vas y mon garçon, baise-moi ! Baise Tata Béné !— Aaah ! Ah oui ! Putain ! Oh oui j’te baise ! Aaah !
Lilian, avait pris la direction des opérations et son bassin se décollait du sol avec une cadence soutenue. Bénédicte jouissait, Lilian lui ramonait la chatte et un de ses doigts jouait maintenant avec l’ouverture de son anus. Il l’enfonça à l’intérieur du conduit, Bénédicte avait « le chocolat au bord des lèvres », son cul était plein et le doigt de Lilian s’enfonçait dans une masse molle. Il imagina que ce serait pour lui bientôt, que sitôt leur baise finie elle lui chierait dessus, elle viderait sa merde sur son corps et dans sa bouche. Il retira le doigt, un gros bout d’étron était collé dessus et, tout en regardant Bénédicte dans les yeux, il le porta à sa bouche et le nettoya. Bénédicte eut un second orgasme et Lilian n’avait pas encore jouit. Elle le traita de salaud, de cochon et de bouche à merde, se mit à lui dire tout un tas d’insanités et quand elle lui dit qu’elle avait le cul bien plein et que ce serait tout pour lui, Lilian explosa dans sa chatte. Quand elle sentit sa bite se tendre, bien callée au fond de sa matrice et expulser cinq ou six jets de foutre, elle rejoignit son jeune amant dans ce qui était pour elle un troisième orgasme. Ils restèrent tous les deux couchés au sol, l’un sur l’autre, quelques instants avant de retrouver leurs esprits.
— Viens, lève toi, Dit Bénédicte à Lilian, tu vas prendre froid sur ce carrelage et c’n’est pas très confortable.— T’as raison, c’est un peu raide… Répondit-il en se levant.— Tu sais ce dont j’ai envie maintenant ?— Mon gros doigt me dit que t’as envie de chier, répondit ironiquement Lilian. J’ai compris, je me réinstalle.— Oh que non, pas par terre, tu n’y es pas bien. Viens avec moi sur mon lit, si les autres veulent me voir chier, ils se déplaceront.— Euh, les draps sont trempés, fit remarquer Martine à son amie.— Des draps pleins de pisse valent mieux qu’un carrelage dur et froid ! Répondit Bénédicte. Allons Lilian, dépêche ! Je ne tiens plus.
Lilian suivit Bénédicte dans sa chambre et s’installa dans le lit défait. Effectivement, il était trempé, mais cela ne le dérangea pas, au contraire. Il était bien allongé, la tête sur l’oreiller et Bénédicte lui présenta son gros pétard au dessus du nez. Il en écarta les deux globes et commença à lécher l’anus qui se présentait à lui. La mère de Jade péta puis sa rosette s’ouvrit pour laisser sortir une crotte jaunâtre, un peu molle, et fort odorante, que Lilian reçu avec un léger dégoût au départ. Cependant, les premières réticences passées, il ne se soucia plus ni du goût ni de la consistance ; il laissa la merde lui envahir sa bouche ouverte en veillant juste à garder ses narines dégagées. Jade avait suivi avec un appareil photo et filmait la scène. La merde s’écoulait du cul de Bénédicte tel un colombin sans fin et s’enroulait sur elle même dans la bouche et sur le menton du jeune homme. Martine venait d’arriver pour assister elle aussi au spectacle.
— Quelle merde ! Souffla-t-elle à l’oreille de Jade, tu crois qu’il va avaler ça ? C’est monstrueux !— Je n’sais pas s’il va tout avaler, mais il a l’air d’aimer se faire chier dans la bouche, mon chéri.— Mouai, enfin bon, le pipi c’est stérile quand ça sort, mais pas le caca… Et toi ça te plait de lui demander de faire ce genre de trucs. Vous êtes vraiment dans une relation de soumission alors…— Oui et non, on joue et lui c’est mon jouet, mais c’est sûr que si on reste ensemble, il devra accepter la soumission et l’humiliation…— Jean et moi, on sait depuis longtemps qu’il a de bonnes dispositions pour ça, mais au début, on croyait que Lilian était simplement gay.— Comment ça ? Il vous a déjà parlé de ses relations homosexuelles ?— Et toi, il t’en a dit quelque chose ?— Je sais tout, Lilian et moi, on s’est toujours tout raconté, je connais ses histoires en détail… Putain, ma mère a fini…— Continue de filmer, pendant que je te raconte, connaissant Béné, le spectacle ne fait que commencer. Si tu sais tout, il t’a parlé du foot, j’imagine…— Oui, je sais ce qui se passe dans les vestiaires, si c’est ça ce dont tu veux parler. Et il a osé vous en parler ?— non, pas vraiment, mais Jean est président du club, alors il a fini par être au courant et il a demandé à l’entraineur de filmer ses exploits et de les lui envoyer, alors depuis qu’il joue en Junior, on suit ses exploits, si je puis dire.— Vous matez des vidéos de Lilian en train de…— De faire la pute, tu peux le dire. Lilian c’est la pute du club et Jean fantasme sur son cul depuis qu’il a vu le premier film.— Oh putain, mate ça, Martine, il a la gueule couverte !
Lilian avait le bas du visage couvert d’une crotte immonde, on pouvait voir qu’il en mastiquait un bout. Bénédicte se retourna et pissa sur son visage et sur sa merde molle, puis elle approcha sa chatte de l’immondice et se la frotta dessus. Elle s’écartait les lèvres et appuyait légèrement pour bien s’imprégner la moule de son caca mou. Elle regardait avec attention le jeune homme se repaitre et quand elle jugea son sexe suffisamment sale, elle se déplaça pour l’essuyer sur le torse de Lilian. Elle prit ensuite, avec ses doigts, le paquet de merde que son gendre peinait à ingurgiter et elle lui barbouilla le visage, le crane et le poitrail avec. Lilian déglutit, ouvrit bien grand la bouche pour montrer qu’elle était vide et sourit à Bénédicte. Ses dents, habituellement bien blanches avaient la couleur de l’étron qu’il avait reçu. Elle lui rendit son sourire et l’embrassa du bout des lèvres.
— Merci mon grand, je laisse la place à d’autres ; mais toi, t’as pas besoin de chier ou de pisser ?— Si, mais ça va encore et puis, je dois demander à Jade d’abord, c’est elle qui me dira quand, où et comment j’aurait le droit de le faire.— Mm, je vois, elle va te mettre au supplice… Si elle dépasse les bornes, viens me voir, je suis sa mère, j’ai encore autorité sur elle !— C’est ça, sûrement ! Lilian et moi, on est assez grands pour se parler, si y a un truc qui passe mal il me le dit, c’est tout ! En tout cas, merci pour le spectacle j’ai un super film.— Tu n’vas pas le montrer, j’espère ?! S’inquiéta sa mère— Rassure toi, maman, je sais cadrer, on ne voit ni ton visage ni ton tatouage, alors pas de risque pour qu’on te reconnaisse, par contre, mon Lili, on le reconnaît bien, y a pas de problème. Il va faire un malheur sur les sites scato amateurs et de soumission masculine…
Lilian ne réagit pas à ce qu’il venait d’entendre, mais son sexe réagit pour lui et sans bander complètement, il montrait un état d’excitation légère. Il était content du plaisir qu’il prenait à servir de chiotte à sa famille et du plaisir que Jade prenait à l’humilier ainsi. Elle le flatta et l’embrassa pleine bouche. Plus il était sale, plus son haleine était affreuse et plus elle aimait ça. Bénédicte se dirigea vers la salle de bain pour une douche bien méritée, tandis que Jade interdit à Lilian toute toilette.
— Hors de question que tu te laves avant que tout le monde ici t’ait chié dessus, à moins que nous allions à la plage, bien sûr, mais ça ne fait pas parti de mon programme de la matinée.— Dommage, ils annoncent de belles vagues aujourd’hui…— Pas ce matin, la meilleure session est prévue à partir de 16 heures.— C’est ici les toilettes ? demanda Charles en entrant dans la chambre.— On s’est guidé à l’odeur, dit Jean qui l’accompagnait. Quelle ambiance !— Vous avez loupé quelque chose, dit Martine, Lilian fait preuve d’une fringale étonnante…— Mmm, c’est vrai que Tata Béné m’a copieusement servi ; j’ai mangé par gourmandise. Intervint Lilian qui se redressait le visage et le torse couverts de merde.— Il ne te reste pas une petite place ? Même si c’est moi qui te sers à manger ? Demanda Jean à son fils.— Je n’ai pas à me poser la question de savoir si j’ai faim ou pas, papa. Aujourd’hui, je suis votre chiotte à tous alors si t’as besoin de chier, c’est ici que ça se passe. Répondit le jeune homme en désignant sa bouche.
Jean escalada le lit et s’accroupit au dessus du visage de son fils sur lequel il vida ses intestins en arrosant le jeune corps de sa chaude urine. Une fois soulagé, il laissa la place à Charles qui fit de même, et puis, tous les deux, ils étalèrent sur tout le corps du garçon la merde qui l’étouffait. Ils le firent mettre debout pour n’en oublier aucune parcelle. Ce cochon de Lilian bandait et ses deux emmerdeurs aussi.
— On dirait la chose dans les x-men, fit remarquer Jade qui n’avait pas lâché la caméra.— C’est seulement parce qu’il est chauve et marron, dit Martine, la chose est plus baraquée.— C’est pas la chose, c’est la fiote ! N’est-ce pas fiston ? Dit Jean à Lilian en lui plongeant deux doigts dans le cul.— Moi je dirai que c’est plutôt un hybride entre les deux, on pourrait l’appeler « la chiotte ». Observa Charles. Et putain, ça lui plait de se faire traiter comme ça, j’y crois pas. Vas y petite merde, suce ma bite ! Suce ma bite, la chiotte !
Sans s’offusquer nullement du sobriquet dont Charles venait de l’affubler, Lilian se mit en position pour sucer la bite du père de Jade, tandis que Jean lui fourrageait le cul avec trois doigts. Son intention ne faisait aucun doute, il allait, une fois de plus enculer son fils.
— Tu t’en passes plus, ma parole, fit Martine à son mari. Si, dès que tu vois son cul, tu le défonces, il ne te restera plus d’énergie pour les autres…— Tu sais bien que je suis capable de remettre le couvert plusieurs fois par jour… mais c’est vrai que depuis que je sais que cette petite pute se fait prendre par l’ensemble de l’équipe espoir du club… Aaaah ! J’ai envie d’la sauter ! Aaaaah ! fit il en l’enculant d’une traite.— Aaaah ! Avale bien ma queue, sac à merde ! Mmm, oui, comme ça ! Disait Charles en lui baisant la bouche.
Les deux hommes malmenaient le pauvre Lilian, le traitant de tous les noms et le baisant avec force, l’un dans le cul et l’autre dans la bouche quand Jean proposa à Charles de tenter de le rejoindre dans le jeune cul bien ouvert de son fils. Lilian se laissa manipuler par son père. Charles s’était allongé sur les draps immondes et mouillés et Lilian s’empala de dos sur sa bite bien raide. Jean lui écarta les jambes et pointa son gland sur la rondelle déjà occupée. Il poussa un peu et sa bite se faufila contre celle de son ami et ils le baisèrent ensemble. Lilian gueulait comme un porc, il se faisait déchirer l’anus. Charles et son père n’en avaient que faire, ils prenaient leur pied et éjaculèrent en même temps au fond de son rectum. Quand ils eurent fini, ils l’abandonnèrent à demi conscient sur le lit et allèrent eux aussi prendre une douche. Lilian mit du temps avant de reprendre ses esprits. Quand il put bouger de nouveau, il réalisa qu’il avait mal au cœur. Toute la merde qu’il avait ingurgitée lui pesait.
— Je ne sais pas si c’était une bonne idée de faire ça sur mon lit, dit Bénédicte qui revenait de la salle d’eau. Il est dans un sale état.— Je nettoierai ta chambre et te referai un lit propre. Dit Lilian d’une voix faiblarde.— Ça ne va pas ? Lui demanda Jade, tu… on aurait pas dû te chier tous dans la bouche.— Si, ça va, répondit Lilian, c’est juste que c’est un peu trop d’un coup,… j’ai un peu envie de gerber, mais c’est moi qui me suis forcé à en manger le maximum… Si ça se trouve c’est juste une question d’habitude. Répondit le jeune homme. Ça va passer.— T’es sur que ça va ? Demanda Martine. Tu veux boire quelque chose ? Un thé ?— Non, ça va aller, merci maman, je pourrai servir encore ce matin, si t’es pas trop pressée pour aller aux toilettes… laisse moi seulement un peu de temps pour digérer.— Bien sûr, mon chéri, je vais me retenir encore un peu, mais te lave pas tout de suite car tu m’excites comme ça… Je… je serai ravie de te chier dessus et de baiser avec toi dans cette merde.— C’est vrai que t’es beau, mon chéri, même couvert de merde t’est craquant ! Dit Jade en le prenant dans ses bras— On est vraiment tous des cinglés dans cette maison, dit Lilian visiblement heureux.
Jade autorisa Lilian à se laver les mains afin qu’il puisse rendre quelques services d’esclave. Elle lui avait dressé une liste qui commençait, bien entendu, par remettre de l’ordre, comme il l’avait promis, dans la chambre de Bénédicte et Charles. Il défit le lit, le matelas était protégé par une allaise étanche. Porta l’ensemble des draps dans la salle d’eau pour les rincer sous la douche avant de les mettre dans le lave-linge. Il remit une allaise propre et sèche et des draps propres et échangea les oreillers avec ceux de son lit qui étaient secs et ne sentaient ni la pisse ni la merde. Quand il eut fini cette tâche, il passa aux autres chambres, refit tous les lit et passa l’aspirateur dans toute la maison. Il passa la serpillère dans la cuisine et nettoya la salle de bain. Son travail terminé, il était autorisé à rejoindre Jade au jardin.
Quand il arriva, il la trouva bien occupée. Elle était à quatre pattes sur une table basse et se faisait prendre par Charles et Jean. Les deux hommes tournaient et alternaient régulièrement de son cul ou de sa chatte à sa bouche. Ils baisaient la jeune fille sous les yeux attentifs de Martine, installée dans une chaise longue. Les jambes bien écartées, elle se branlait la chatte avec un gode réaliste de grande taille. Lilian s’approcha et s’agenouilla à côté d’elle.
— Va chercher la toile cirée et étale-la ici, lui dit sa mère entre deux soupirs.— Tout de suite, Maman, répondit le jeune soumis.
Il revint assez vite avec la grande toile cirée qui couvrait la table de jardin et l’étala comme sa mère lui avait demandé. Martine n’en pouvait plus, il fallait qu’elle baise. Elle avait aussi besoin de chier et de pisser et espérait bien pouvoir se faire pisser et chier dessus aussi.
— Ça va mieux, j’espère, car j’ai une très grosse envie… et toi, t’as pas envie ?— Si tu savais, répondit Lilian, de la voir baiser comme ça, ça m’excite. Dire qu’avec mes autres meufs, quand je parlais d’être cocu, j’me faisais traiter de malade et, avec Jade, j’n’ai pas besoin de le demander…— Je n’te parlais pas de ça. Ça, ça se voit tout de suite que t’as envie de baiser, je te parlais de chier et pisser, t’as pas envie ?— Faut que je demande l’autorisation à Jade…— Alors on va devoir attendre qu’ils aient fini, viens me lécher en attendant.
Lilian se glissa entre les cuisses de sa mère et commença son cunnilingus pendant qu’elle continuait à mater la jeune fille prendre son pied avec Jean et son père. Ils ne furent plus très long et déchargèrent l’un après l’autre dans la petite chatte de Jade. Tous les trois furent ravi de voir qu’un spectacle hard se préparait.
— Il va y avoir du sport, dit Charles, Martine m’a avoué tout à l’heure qu’elle était constipée depuis trois jours et qu’elle devait prendre un laxatif.— Et elle l’a pris ? demanda Jean intéressé.— Papa, tu veux bien aller chercher la caméra, avant de le laisser faire des cochonneries avec sa mère, je voudrais qu’il me nettoie la chatte et que tu le filmes en train de bouffer votre sperme qui en coule.
Charles revint très vite équipé de la caméra et Jade demanda à Lilian de s’allonger sur la toile cirée. Elle s’accroupit face à lui en s’écartant bien les lèvres et poussa sur son vagin pour expulser la semence qui le remplissait. Charles filmait en gros plan. Lilian allait chercher de sa langue la liqueur visqueuse. Il bouffait leur sperme à la chatte de sa copine. Jade se concentra, poussa encore. « Ça vient », dit-elle simplement avant de lui inonder le visage de sa pisse chaude et parfumée. Elle visait la bouche ouverte qui se remplissait et se vidait par la gorge avant de déborder. Lilian avait une parfaite maîtrise de son rythme de déglutition et avalait la miction par grandes gorgées.
— Notre fils est une chiotte, dit Jean à sa femme en regardant la scène, une vrai chiotte ! Une lopette soumise ! J’espère que tu vas lui en mettre plein la bouche chérie.— Compte sur moi, mon amour, mais j’ai aussi une faveur à demander à Jade.— Ah bon ? Fit l’intéressée, qu’est-ce que tu veux ?— J’aimerai que tu autorises Lilian à me chier et me pisser dessus quand je lui demanderai.— C’est d’accord, t’as entendu mon amour, tu pourras te soulager sur ta mère, mais uniquement quand elle te le demandera.— Merci ma chérie, répondit le jeune homme.— Si tu chies ne serait-ce que l’équivalent de ce que t’as bouffé depuis ce matin, ça risque d’être quelque chose ! — Vu comme mon estomac travaille, ça risque plutôt de ressortir par ma bouche, fit Lilian qui se sentait déjà mal.— Puis-je utiliser les toilettes, maintenant, demanda Martine, je ne tiens plus.— Mais bien sûr «Tata », je te laisse la place, tu me prête ton gode ?
Martine s’accroupit le cul au dessus du visage de son fils et poussa. Quelques gouttes de pisse jaillirent en même temps que son anus s’ouvrit pour laisser passer un étron d’abord épais et dur puis enfin mou voire carrément liquide. Le laxatif avait fait effet et le visage de Lilian fut bientôt couvert de cette chiasse. Martine se frottait le cul sur son visage, le jeune homme gardait la bouche grande ouverte et lui léchait le cul, les fesses et la chatte. Elle n’en finissait plus de chier et pisser, elle se retourna et continua à se vider les intestins encombrés de trois jours de constipation sur la verge tendue de Lilian. De ses doigts, elle lui essuyait le visage et étalait ce qu’elle récupérait sur sa poitrine. Son anus toujours débordant de merde se rapprochait du pénis de Lilian, le recouvrant peu à peu de son étron liquide. Elle s’empala sur cette bite sublime et elle lui demanda d’essayer de pisser dans son cul. Lilian n’avait encore jamais pissé en bandant et l’opération ne lui semblait pas évidente.
Il se concentra sur sa vessie pleine et parvint à ouvrir les vannes. Il se vidait la vessie dans le cul de sa mère. Sa miction terminée, il se mit à bouger, mais Martine se retira de sa bite et ramena son cul au dessus de son visage. Elle serrait les fesses pour conserver la pisse qui lui remplissait le rectum et une fois en position, elle libéra le flot sur le visage et dans la bouche de Lilian qui ingurgita ce qu’il put du lavement. Martine était satisfaite, elle s’allongea sur le dos et demanda à Lilian de lui chier dessus et plus précisément sur le ventre et la chatte. Lilian avait de plus en plus mal au cœur.
— Je crois que je vais vomir, dit-il alors qu’il commençait à chier.— Vas y, mon loup, chie moi dessus, vomit aussi, si tu veux aussi ! Mélangeons nos merdes. Aaaah.
Martine récupérait avec ses mains l’étron qui sortait du cul de son fils et se branlait la chatte avec. Lilian poussait encore, et son ventre eut une première contraction. De sa bouche sortit un flot gerbe, mélange de toute la pisse et de toute la merde ingurgitées. Il vomissait sur sa mère toutes les souillures qu’il avait reçues depuis le début de la matinée. Martine étalait tout sur leurs deux corps et branlait son fils pour lui redonner une bonne érection. Tout en le masturbant, elle s’appliquait à enduire de merde le pénis de Lilian et quand il fut bien couvert, elle lui demanda de la baiser. Lilian ne la fit pas attendre et la pénétra d’un coup de sa verge crasseuse. Il la besognait comme une bête sauvage. Jean s’était rapproché de sa femme et de son fils et leur pissa dessus, Charles en fit autant sans cesser de filmer. Bénédicte qui rentrait des courses les trouva en pleine action, elle aussi avait une petite envie. Elle s’approcha du couple merdeux enlacé, souleva sa jupe, elle ne portait pas de culotte et pissa en visant le visage de Martine. Ils atteignirent l’orgasme tous les deux en même temps, et Lilian inonda de sa semence abondante le con de sa mère.
Ils allèrent se laver ensemble et Lilian dût de nouveau nettoyer la salle de bain, ainsi que la toile cirée sur laquelle il s’était donné en spectacle avec sa mère. Quand il eut fini, il retrouva tout le monde affairé à préparer le déjeuner. Naturellement, Lilian voulut les aider mais Jade refusa.
— tu en as déjà beaucoup fait, mon chéri, et éplucher des légumes n’a rien de très excitant. Comment tu vas ? T’as toujours mal au cœur ?— Non, ça va beaucoup mieux, mais je ne sais pas si je vais pouvoir manger.— Avec tes parents, on pense que tu ne dois pas te laisser aller à une telle boulimie, ce n’est pas très sain. Lui annonça Bénédicte.— C’est vrai que c’était beaucoup d’un coup, reconnu le jeune homme. Je n’aurais pas dû chercher à tout avaler.— Tu sais mon garçon, il y a une différence entre nettoyer une bite un peu sale et faire ce que tu as fais ce matin. Nous sommes tous coupable de ce qui t’es arrivé.— Non, c’est moi, commença Jade.— Tatata, fit Martine, on en a déjà parlé. Vous êtes encore jeune et tu ne t’es pas rendue compte du côté excessif de ce jeu. Mais nous, nous avons de l’expérience, nous aurions dû nous contenter de faire avec lui ce que nous faisons généralement entre nous.— Ne fais pas cette tête, ma chérie, rajouta sa mère, nous allons t’aider à prendre soin de ton jouet sans trop l’abimer.— Oui, c’est gentil, j’écouterai vos conseils.— Ça veut dire que plus personne ne me chiera dans la bouche ? Demanda Lilian presque déçu.— Si, moi je continuerai, mon chéri, lui répondit Jade en le prenant dans ses bras, mais tes parents et les miens préfèrent t’utiliser autrement, voilà tout.
D’un commun accord, leurs parents avaient décidé de ne plus lui chier dans la bouche. Lilian devint, par la suite leur crachoir, leur urinoir et leur papier toilette et resta la chiotte exclusive de Jade.Durant la suite des vacances, Jean encula son fils aussi souvent qu’il le pouvait, trop heureux de pouvoir profiter de lui comme le faisait son entraineur de foot et tous les garçons de son équipe. Il aimait surtout le sodomiser quand son cul était bien plein pour lui faire ensuite nettoyer sa bite et en profitait parfois pour se vider la vessie dans son rectum. Charles, quand à lui, céda largement à l’attirance qu’il avait pour sa fille. Martine et Bénédicte, préférait se gouiner en regardant les deux pères incestueux et se faire ramoner ensuite la chatte par Lilian dont la taille du sexe, l’endurance, la capacité à rebander rapidement et la soumission totale convenaient parfaitement à son rôle de jouet sexuel.
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