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Le jouet de Jade

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Lilian passait des journées très agréables au cabinet d’architecture dirigé par son père. Il prenait son travail très au sérieux et se montrait très efficace. Jean et Rémi profitaient de sa disponibilité sans modération. Ils ne reproduisirent pas le trio du premier jour mais Lilian avait à les satisfaire l’un après l’autre dans leurs bureaux respectifs, dans le sien ou dans la pièce des archives. Quand il rentrait le soir chez lui, il s’était fait enculé cinq à sept fois dans la journée et en avait plein les fesses.
Jade se montrait curieuse de ses exploits. Elle lui racontait ses baises torrides avec son patron et quelques cadres de l’entreprise. Un midi, avec Fatiha, elles accompagnèrent Monsieur Labitte à un déjeuner d’affaire au cours duquel les deux femmes furent offertes à un groupe de clients belges qui apprécièrent le geste. Elles se retrouvèrent avec cinq hommes âgés de quarante cinq à soixante ans. Le premier qui baisa Jade était un type adipeux qui sentait fort la sueur et semblait peu soucieux de son hygiène au vu des traces blanches qui couronnaient sa verge. Elle ne s’en offusqua pas et le suça jusqu’à ce que le goût de vieux fromage ait complètement disparu. Il s’appelait Fernand Grojonc et était le supérieur hiérarchique du groupe d’acheteurs. De toute évidence c’était à lui d’ouvrir le bal et les autres hommes attendirent qu’il pénètre la jeune femme pour se rapprocher d’elle ou de Fatiha. Les deux femmes furent baisées une première fois puis elles durent se gouiner à la demande des clients que le spectacle revigora. Elles eurent droit à un deuxième round et Jade qui ne s’opposait pas à la sodomie fut prise en sandwich. En fin d’après-midi, les uns et les autres se rhabillèrent et Fatiha et Jade s’apprêtaient prendre congé de ce petit groupe quand le client étranger proposa une jolie somme à Jade pour passer la soirée avec lui.
— Vous êtes une vraie bête, dit la jeune femme aguicheuse, qui vous dit que je suis libre ce soir il faudrait que je demande à mon compagnon s’il me permet de passer la soirée ailleurs que dans ses bras.— Parce que vous ne vivez pas seule ? Demanda Fernand surpris. Je n’aurai pas cru qu’une… enfin, une femme comme vous vive en couple.— Vous pouviez dire « pute », ça ne me gêne pas. Oui, je vis en couple et j’aime mon compagnon même si je me permets des extras.
Jade s’isola et appela Lilian qui était en train de rentrer avec son père. Elle lui expliqua la situation et avoua que ça l’excitait de se prostituer avec ce gros cochon de Fernand. Lilian lui répondit qu’elle pouvait faire comme elle voulait, remarqua que financièrement il y avait plus d’intérêt à vivre avec une pute qu’avec une salope et ajouta qu’il espérait seulement qu’elle ne découche pas totalement. Jade qui avait aussi besoin de le retrouver lui confirma qu’elle rentrerait dans la nuit sitôt son travail fini.
Après ce coup de fil rapide, Jade retourna vers la chambre d’hôtel où se trouvaient encore les cinq hommes et confirma à Fernand Grosjonc sa disponibilité. Elle précisa qu’elle ne passerait cependant pas une nuit complète avec lui mais uniquement la soirée. Le gros industriel accepta et lui expliqua qu’il ne la retenait pas pour son seul plaisir mais aussi pour celui de ses collaborateurs. Elle ne s’en formalisa pas et accepta avec plaisir d’être leur pute pour la soirée. Ils dinèrent tous les six dans un grand restaurant et elle fut ensuite ramenée à l’hôtel où ils la prirent séparément et simultanément allant jusqu’à tenter des doubles et triples pénétrations vaginales et anales. Pendant toute la soirée, elle fut manipulée comme un objet et ses deux orifices servirent plusieurs fois de réceptacles à leurs semences.Elle rentra chez elle vers deux heures du matin, et une fois dans sa chambre, elle posa sur la table de nuit de Lilian une liasse de vingt billets de cinquante euros. Elle se déshabilla et se coucha doucement contre lui. Lilian se réveilla en la sentant se coller à lui. Il se retourna vers elle pour l’embrasser et eut le droit d’aller lécher sa chatte et son cul qui avaient, l’un et l’autre, été bien sollicité et bien rempli durant l’après midi et la soirée. Pendant qu’il la léchait et se régalait des restes de ses agapes, elle lui racontait comment ils l’avaient prise et le plaisir qu’elle avait ressentit à devenir une simple pute et un sac à foutre puis Lilian n’y tenant plus, elle se laissa pénétrer une dernière fois avant de s’endormir.
Le lendemain, Jacques Labitte annonça à Jade que le Fernand Grosjonc avait été ravi de sa prestation et avoua que cela avait fortement influencé les conditions de l’accord commercial qu’ils avaient conclu. Comme Jacques n’était pas un ingrat, il lui fit savoir qu’elle bénéficierait d’une prime conséquente qui doublait le montant de sa passe. Jade en était ravie car ils allaient vraiment être plein aux as pour leur petit voyage.
Durant toute la semaine elle trompait Lilian avec Jacques et lui se faisait ramoner par Jean et Rémi mais le soir ils se retrouvaient tous les deux pour des ébats torrides. Quand le week-end arrivait, leur programme incluait deux sorties en club le vendredi soir et le samedi soir. C’étaient leurs parents qui avaient organisé ça dans le but de leur faire découvrir leur « Paris by night ». Ils firent avec eux le tour des clubs parisiens et furent bientôt, connus et reconnus par tout le milieu libertin local. Ils s’étaient affichés tout de suite comme un couple dominatrice-soumis insatiable. Lilian restait la plupart du temps près d’elle et l’accompagnait partout. Elle le sollicitait entre autre pour lui écarter les jambes quand un inconnu la baisait et certains hommes appréciaient qu’il les suce un peu avant de guider lui-même leur sexe dans les conduits de Jade. Pour bien afficher le fait que Lilian était sa chose à elle, elle lui avait trouvé un collier de fourrure rose et une petite laisse métallique qu’elle ne lâchait jamais. Quand une femme avait envie de goûter à sa grosse bite, elle ne lâchait pas la laisse et Lilian ne pouvait officier autrement qu’en levrette. Lors d’une soirée à thème, il eut même droit à une queue de toutou fixée au bout du plug qu’il avait dans le cul. Jade l’emmenait avec elle dans les backrooms et dans les glory holes où elle lui imposait de sucer des bites avec elle ou de s’empaler les fesses dessus. De temps en temps, il la prenait pendant qu’elle suçait où lui léchait le clitoris pendant que des types la sautaient. Jade durant ces soirées se faisait facilement prendre par une dizaine d’hommes, sinon plus, et chaque fois qu’une bite sortait de sa chatte ou de son cul, elle en retirait la capote et en vidait le contenu sur la langue tendue de son toutou sous les rires et les quolibets des spectateurs.
Lors de ces soirées libertines Jade et ses parents, de même que Lilian et les siens, s’interdisaient bien évidemment tout contact sexuel incestueux. Par contre, Jade n’avait pas honte de se donner publiquement à son beau-père ou d’offrir son compagnon à sa mère. Du coup, ils se rattrapaient le dimanche qui était le jour des orgies familiales. Lilian redevenait alors, pour une journée le soumis de toutes et tous, servait de vide couille à Jean, comblait sa mère et sa belle mère et recevait de bonnes rations de pisse et de merde. Jade lui imposait de marcher à quatre pattes et elle avait trouvé un plug ouvert qui permettait à qui voulait de lui pisser dans le cul. L’avilissement et l’humiliation de Lilian excitaient Jade qui se plaisait à faire l’amour avec lui lorsqu’il avait été sali et rabaissé à l’extrême. Pour cela, elle avait ses armes qui se déclinaient sur leurs trois thèmes favoris qui se résumait en trois mots : toutou, cocu et WC. Plus Lilian était rabaissé et humilié et plus ses érections étaient dures, longues et efficaces. De fait, Jade jouissait de son jouet sans retenue pour leur plaisir commun.
Ils avaient aussi des moments « normaux » durant lesquels ils organisaient leurs projets de vie, à commencer par leurs vacances à venir. Dès le départ, ils avaient imaginé ces vacances comme une sorte de voyage de noce mais quelque chose de nouveau se mit à germer dans leur esprit.
— Tu crois qu’on peut vraiment être cocu si rien n’indique qu’on est en couple, demanda Lilian à sa chérie.— C’est marrant que tu poses cette question, j’y réfléchis depuis que Fernand Grosjonc et ses collègues m’ont sautée. Ils paraissaient surpris que je sois en couple et c’est pas sûr qu’ils y aient vraiment crû. — Ben c’est vrai qu’on est encore jeune pour beaucoup d’adulte qu’on croise. Ils pensent pour la plupart qu’on est seulement en train de joué et ne voient pas la force de nos sentiment.— Il y en a qui pensent qu’ils ont leur chance avec moi alors qu’aucun ne pourrait te remplacer. Si on était vraiment mariés, ce ne serait peut-être pas pareil, t’en pense quoi ?
— Que je serais très heureux d’être ton mari soumis, humilié à loisir et cocu à volonté, pour le meilleurs comme pour le pire jusqu’à ce que la mort nous sépare.— Mmm, un esclave à vie, c’est tentant. Tu crois qu’on aurait le temps de se marier avant de partir ?— Ben j’en sais trop rien, faudrait en parler aux parents, ils savent peut-être comment ça marche. Tu crois qu’ils seront d’accord ?— Ben, de toute façon, on a 18 ans tous les deux alors dans le pire des cas ils n’auront rien à dire mais je crois qu’en fait ils sont trop contents de nous voir ensemble pour nous refuser ça.
Jade ne s’était pas trompée, Charles et Bénédicte considéraient déjà Lilian comme leur gendre, de même que Jean et Martine la considéraient comme leur belle-fille. Le seul point qui les fit tiquer c’était la précipitation de cette décision.
— Pourquoi ne pas organiser ça bien, pour votre retour de la Guadeloupe ? Demanda Martine.— Parce qu’un voyage de noce, ça se fait après le mariage, pas avant, lui répondit Jade.— En plus il y a trop de types qui pensent que parce qu’ils peuvent sauter Jade, ils pourront m’évincer et la mettre dans leurs meubles. Ajouta Lilian. Alors on aimerait qu’en Guadeloupe ce soit clair que nous sommes unis et bien en couple.— Ça, mon chéri, ne te fais pas trop d’illusion ; même mariés, vous en rencontrerez encore. Lui dit Jean.— Sans compter que je serais très fière de devenir madame Beaudard-Grossein ; je trouve que ça va bien ensemble.
Par chance, les services municipaux n’étaient pas totalement fermés et ils purent rapidement déposer un dossier. Jade ne souhaitait pas une fête énorme et Lilian non plus. Ils souhaitaient juste une cérémonie en comité restreint avec leurs parents et un ou deux amis éventuellement. Néanmoins, ils durent attendre un peu pour pouvoir rencontrer un officier d’état civil car ils étaient tous en vacances au moins jusqu’au 15 août. Les bans furent cependant publiés le 19 et le mariage put avoir lieu le samedi 29 devant une assemblée restreinte d’une dizaine de personnes comprenant, outre leurs parents, Rémi que Lilian avait pris comme témoin, Jacques Labitte et sa femme Éléonore, Fatiha, avec qui Jade avait bien sympathisée, et qui lui servit de témoins ainsi que Karim et Julien, deux amis de Lilian et Jade qui jouaient au foot dans la même équipe que lui.
La cérémonie passée, Jacques qui possédait une grande propriété à côté de Neuilly, avait gentiment proposé que la fête se déroule chez lui. Il possédait à côté de sa maison, dans son jardin, une dépendance spacieuse qu’il avait faite aménager pour offrir des réceptions. Le buffet fut préparé par un traiteur qui faisait partie des relations de Charles et Martine et qui vint accompagné de deux serveurs qui fréquentaient comme lui le milieu libertin et que Jade et Lilian avaient déjà croisés plusieurs fois dans les backrooms. Le repas fut prolongé par de la musique, Karim et Julien faisant office de DJ. Jade et Lilian ouvrirent le bal sur une valse traditionnelle puis les danses se firent plus chaudes. Ils changèrent plusieurs fois de partenaires ; Jade dansa avec son père, son beau père et son patron tandis que Lilian dansait avec sa mère, sa belle-mère et Rémi. Des groupes se formèrent ensuite autours des couples de danseurs, généralement par trois ou quatre. Il s’en suivit une partouze très bi durant laquelle Éléonore qui avait longuement entendue parlé des qualités de Jade et qui était très attirée par les femmes prit plaisir à goûter son abricot tandis que la jeune mariée se faisait bourrer le trou du cul. Lilian fut besogné en premier lieu par Rémi que Jean rejoignit assez vite et ils eurent droit à de nombreux applaudissements lorsque les deux hommes réussirent à le pénétrer ensemble. Karim et Julien qui, pourtant adoraient le cul de leur copain, commencèrent par jouir d’abord dans les orifices de la mariée puis ce fut les deux belles-mères qui s’activèrent pour les remettre en forme et profiter de leurs jeunes verges.
Lilian et Jade partirent le surlendemain pour un mois de vacances en Guadeloupe. Ils avaient trouvé une location abordable dans la commune de Trois-Rivières, connue pour son rhum et, chez les fans de surf, pour son spot réputé idéal tant pour les débutants que pour les confirmés levant des vagues droites ou gauches sur sable. Toutes leurs affaires étaient prêtes et leur seul souci était de trouver un moyen de transport autonome à l’arrivée. Ils avaient essayé de trouver une location de voiture mais les sociétés de location ne fournissaient pas de véhicule aux jeunes permis. Pour le reste, tout se présentait plutôt bien, car comme leur budget avait été multiplié par dix grâces à leurs primes, il se permirent de modifier leurs billets d’avion pour plus de confort. Ils regardèrent en détail les avantages et les inconvénients des différentes classes et ils décidèrent de voyager en business classe. Bien sûr le prix devenait certainement prohibitif mais cela leur assurait un niveau de luxe et de confort absolu qui seyait bien, selon eux, pour leur voyage de noce.
— On va se faire chier sans bagnole, dit Lilian en fermant les fenêtres des sites de loueurs. — On va bien trouver une solution, t’inquiètes pas, on en parlera à l’accueil de l’hôtel en arrivant. — Pourquoi ce serait différent sur place ?— Parce que sur internet mes charmes opèrent moins bien.— Tu es prête à payer de ta personne pour nous trouver une voiture ?!— De toute manière, je n’avais pas l’intention de me conduire en petite none fidèle alors si ma frénésie de jolies bites peut nous être utile, je ne vais pas me priver.— J’ai hâte de voir ça, dit Lilian qui en bandait d’avance. De jolies bites noires coulissant dans ta chatte humide.— Ça t’excite, mon cocu, dit Jade en empoignant sa grosse bite, tu vas en prendre plein les yeux. Tu prévois de faire des films ?— Aaah… si tu veux. Mmmm… Oui.— Et des bites noires ? Tu vas en sucer aussi ?— Ooooh… peut-être. Aaaah…— Putain, mon salop, t’es super raide, baise moi, baise moi vite !
Lilian se jeta sur Jade et la pénétra sans détour. Sa longue verge épaisse se fraya un chemin entre les lèvres humides et s’engouffra dans le chaud conduit de Jade. Elle aimait quand il la prenait comme ça et que son sexe gonflé à bloc la remplissait totalement. Ses coups de reins puissants la transportait et en fermant les yeux elle se faisait des films remplis de bites créoles défonçant sa chatte, son cul et celui de Lilian. L’orgasme qu’ils cueillirent au final fut énorme et ils en restèrent terrassés pendant de longues minutes.
Enfin le moment du grand départ était arrivé, Jade et Lilian avaient bouclé leur valise en mettant quand même des maillots de bains compte tenu de l’absence de plages réellement naturistes en Guadeloupe. Ils arrivèrent de bonne heure à l’aéroport d’Orly et avaient hâte de découvrir enfin les tropiques. Depuis qu’ils fréquentaient les clubs échangistes, Jade et Lilian avaient pris l’habitude, pour leurs soirées de débauche de soigner leur toilette dans les moindres détails et cela incluait un lavement consciencieux. Lorsqu’ils quittèrent leurs parents ils étaient donc parfaitement propres et subtilement parfumés jusqu’au fond de leurs trous du cul.Jade avait optée pour une tenue estivale chique et osée. Chaussée de spartiates, Elle portait une petite jupe droite en coton beige, aussi courte qu’élégante, et qui masquait à peine son string et son fessier dénudé. Pour le haut, elle avait opté pour un top court, léger, à manches longues et au motif fleuri, qui dévoilait son nombril et son ventre plat. Légèrement transparent, il laissait entrevoir les pointes foncées de sa poitrine libre. Lilian était habillé de manière beaucoup plus sobre, il portait un pantalon de toile écru, avec une paire de chaussures tendances en toile colorée et un polo de grande marque. Il avait rafraichi la veille son épilation totale d’esclave et, à la demande de Jade, il ne portait pas de caleçon.
Lorsqu’ils arrivèrent à l’enregistrement, un créole d’une cinquantaine d’année, grand et élégamment habillé, attendait devant le guichet d’enregistrement.
— Vous voyagez en classe affaire ? S’enquit-il auprès du jeune couple.— Oui, répondit Jade avec son plus beau sourire. J’espère que cela ne vous ennuie pas ; mon mari et moi avons désirions voyager avec le maximum de confort.— Pas le moins du monde, au contraire et je vous en prie, passez devant moi, j’attends mes collaborateurs. Ce sera un plaisir de partager la cabine avec vous…— Vous êtes bien aimable, merci.— Merci beaucoup, Monsieur, rajouta Lilian qui poussait le chariot chargé de leurs valises et de leurs planches de surf.
Ils enregistrèrent leurs bagages et comme deux personnes, que le distingué inconnu attendait, étaient arrivées pendant ce temps, ils ressentirent trois paires d’yeux posées sur le cul de Jade.
— Je crois que tu leurs fais de l’effet, dit Lilian amusé et excité en quittant l’endroit.— Ah oui ? Tu crois vraiment ? Répondit-elle faussement naïve. Et ça te fait quoi ?— Tu sais très bien ce que ça me fait. D’abord je suis fier d’être marié et de vivre avec la plus belle femme du monde, une femme que tous les hommes rêvent de connaître au moins une fois dans leur vie. Ensuite ça m’amuse de voir la facilité avec laquelle ils tombent dans tes filets et ça m’amuse aussi de voir le plaisir que tu as quand ils te désirent comme ça.— Parce que tu crois qu’ils me désirent ?— Ça crève les yeux, ma Chérie, et tu le sais très bien. Enfin, mais ça ce n’est pas un secret, ça m’excite.— Tu bandes ?— Regarde, fit il en se dégageant du chariot qu’il poussait vers la prise en charge des bagages hors norme. C’en est même gênant mais comme tu ne voulais pas que je mette de slip ou de caleçon…— C’est vrai que ce n’est pas super discret, hihi ! Mais bon, que veux-tu, mon Amour, quand on a une grosse bite, il faut l’assumer.
Jusqu’au passage des douanes, Lilian ne débanda pas. Il en ressentait une honte d’autant plus grande qu’une tâche humide et douteuse s’était formée au sommet de sa bosse. Il fut heureusement pris d’une crainte d’être enquiquiné pour un truc ou un autre du fait du sentiment de stress ambiant que génèrent les règles de sécurités draconiennes des aéroports. Du coup, son mât de cocagne perdit de sa superbe et finalement tout se passa bien. Il faut dire que leur bagage à main était très succinct et ne contenait que leurs papiers, leurs cartes bancaires, de l’argent, leurs téléphones, un appareil photo et un ordinateur. Une fois dans la zone d’embarquement, comme ils avaient du temps, ils s’offrirent un second petit déjeuner à l’un des nombreux bars.
— Tu crois qu’on peut baiser dans un avion, demanda Jade, j’ai super envie de ta queue.— Flatteuse, tu n’as pas envie de ma queue, tu as envie de queues au pluriel. Tu as besoin de baiser, nuance. En plus, je suis sûr et certain que les trois blacks de tout à l’heure n’y sont pas pour rien. Je me trompe ?— Non, c’est vrai, je commencerai bien un régime chocolaté tout de suite ! Mais j’ai aussi envie de ta queue. Je suis trempée, Lilou, tu crois qu’on aurait le temps de s’esquiver dans un coin, je ne sais pas moi, dans les toilettes par exemple.— Non, Chérie, si le vol est à l’heure comme annoncé, l’embarquement commence dans un quart d’heure et même si je suis super excité, il me faudrait plus de temps que ça. Ensuite, faudrait aller dans des chiottes de mecs et alors il risque d’y avoir plusieurs candidats que tu n’auras pas le courage de repousser. C’est un coup à louper l’avion…— Tu crois qu’il partirait sans nous ?— Ben, j’n’ai jamais pris l’avion mais comme les bus ou les trains n’attendent pas, je ne vois pas pourquoi les avions attendraient…— T’as peut être raison… tu me baiseras dans les chiottes de l’avion.— Tu crois qu’ils remplissent les quatorze places ?— J’en sais rien, mais quand on a changé nos billet, la nana de l’agence était plutôt contente ; apparemment il y avait du choix. Mais bon, en dix jours ça peut changer. Tout ce qu’on sait c’est qu’on sera au moins cinq passagers.
Ils n’avaient pas encore bougé du bar lorsqu’ils entendirent qu’on appelait les passagers des rangs 1 et 2. Ils payèrent leurs consommations et se dirigèrent directement à l’embarquement. En tout, ils étaient huit personnes à faire la queue pour prendre place dans la cabine de la classe affaire. Hormis Jade, il n’y avait que des hommes qui semblaient être des habitués du trajet et beaucoup avaient leur valise avec eux. Jade et Lilian découvrirent vite qu’il s’agissait principalement d’hommes politiques guadeloupéens. L’inconnu de l’enregistrement était un député de la Basse-Terre. Il était accompagné de deux collaborateurs parlementaires, d’un vice-président du conseil régional et d’un autre collaborateur parlementaire attaché au service d’un sénateur. Par ailleurs, il y avait un jeune négociant en rhum qui faisait la tournée de ses fournisseurs et que tous les autres connaissaient pour faire souvent le voyage en sa compagnie.
Une fois dans l’avion, tous ces hommes costumés et cravatés avaient leurs habitudes. Ils commençaient par ranger leurs valises dans les coffres à bagages et partaient au vestiaire accrocher vestes et cravates avant de prendre place. Jade et Lilian, pendant ce temps s’assirent à leurs places dans la deuxième rangée, au milieu et une hôtesse vint aussitôt leur porter une coupe de champagne. Ils avaient choisi ces places car elles offraient la possibilité à Jade de se retrouver entre deux hommes alors que s’ils s’étaient installés côté hublots, ils n’auraient été que tous les deux.
— Vous m’excuserez, dit le député en revenant du vestiaire, mais lors de l’enregistrement, j’ai appris que vous aviez pris ces places et j’ai choisi celle-ci pour être plus proche de vous…— Vous m’en voyez flattée, répondit Jade très poliment, car voyez j’aime être bien entourée. Quoi de mieux que d’être à la gauche de son mari et à la droite d’un sénateur.— Vous vous méprenez, je ne suis pas sénateur, je suis député. Expliqua-t-il en prenant sa coupe pour trinquer avec elle.— Oh, excusez ma méprise, répondit Jade en décroisant les jambes. Je suis nulle en politique.— Ce n’est pas bien grave, vous savez. Alors comme ça vous êtes en voyage de noce, vous me paraissez pourtant bien jeunes… J’ai cru comprendre que vous aviez 18 ou 19 ans— C’est exact, répondit Lilian, mais nous nous connaissons et nous aimons depuis l’enfance.— Ce qui ne nous a pas empêché d’avoir l’un et l’autre de nombreuses expériences avant de nous mettre ensemble. Mais finalement, je crois que Lilian est le seul homme capable de m’accepter telle que je suis.— Et la réciproque est vraie ; nous sommes très complémentaires.— À voir Jade, vous permettez que je vous appelle Jade, je ne pense pas que ce soit si difficile de vous accepter telle que vous êtes. J’imagine, Lilian, que vous ne devez quand même pas vous forcer beaucoup…— Lilian est une perle rare, Monsieur le député, il se trouve que j’ai de très gros besoins, si vous voyez ce que je veux dire et il respecte totalement et même encourage ma liberté.— Ne me dites pas que…— Je pense que vous avez bien compris, je couche avec beaucoup d’autres hommes que lui ; sauf avec Lilian, bien sûr, je dissocie totalement le sexe de l’amour, et je vous l’ai dit, j’ai de très gros besoins sexuels…— À ce point, demanda le député en posant une main sur la cuisse de Jade. Et là, maintenant, vous avez besoin ou envie ?— Si vous saviez… C’est presque maladif, dès que je commence, il m’en faut plus.— Elle est insatiable, expliqua Lilian, aucun homme ne peut la satisfaire pleinement et personnellement j’apprécie de la voir ou de la savoir prendre du plaisir. J’assume pleinement le fait d’être cocu.— Et vous, vous n’allez jamais voir ailleurs ? Demanda le député ironique.— Si, bien sûr, ça arrive mais pas comme elle.— Votre femme a la cuisse très douce, ça ne vous gêne pas que je la caresse ?— Vous pouvez monter plus haut, Monsieur le député, vous verrez que c’est aussi doux et très chaud, dit Jade en écartant légèrement ses cuisses.— Je vous en prie, appelez moi Léonce. Ce n’est pas que je ne veuille pas aller explorer plus avant mais je crains que ça ne soit pas très discret. Tant que l’avion n’a pas décollé, l’hôtesse ou le steward pourraient nous surprendre.— Je peux déplier sur Jade une couverture qui jettera un voile plus discret sur votre exploration.
Sans attendre l’accord de sa femme ou de Léonce, Lilian déplia la couverture de Jade et l’étala sur elle. Jade en profita pour retirer prestement son string et remonter sa minijupe sur ses hanches puis lorsqu’elle reposa se fesses sur le siège, les doigts du député entrèrent directement en contact avec son intimité.
— Vous êtes vraiment chaude et humide ! S’exclama le créole, vous êtes si belle, si douce. Voyez l’état dans lequel je suis.— Chéri, tu veux bien couvrir notre ami, j’aimerai découvrir se qui déforme ainsi son pantalon.— Très certainement, mon amour, tout de suite.
Lilian se leva de son siège et prit la couverture du député pour l’étendre sur le bas de son ventre. Dans l’action, l’homme ouvrit sa braguette et libéra son engin que Jade prit en main aussitôt. Alors qu’il allait regagner son siège, le commandant de bord annonça que le décollage était imminent et il se chargea de boucler les ceintures de Léonce et de Jade avant de regagner sa place et de s’accrocher lui même.L’hôtesse et le steward passèrent pour récupérer les coupes vides et vérifier que tout le monde était bien accroché. Le manège de Jade et Léonce ne leur échappa pas et l’érection qui déformait le pantalon de Lilian les fit sourire. Ensuite, ils ouvrirent les rideaux qui isolaient la classe affaires du reste de l’avion et allèrent prendre place dans les sièges qui leurs étaient réservés.
Durant toute la phase de décollage, le député et Jade s’embrassèrent à pleine bouche sans cesser leurs attouchements. Des réflexions ironiques faites en créoles généraient l’hilarité du groupe de politiciens et Léonce fit comprendre à Jade et Lilian qu’il n’était pas le seul à vouloir aller plus loin avec elle.
— Oh, mon dieu, je pourrais vous satisfaire tous les six, si vous le souhaitez.— Chaude comme vous l’êtes, je veux bien vous croire, petite cochonne. Dès que nous pourrons bouger, vous aurez tout le loisir de le faire mais je passe en premier.— Ça va sans dire, mon beau député, j’ai vraiment hâte de sentir en moi ce que j’ai en main.
Dès qu’ils purent décrocher leurs ceintures, le député referma sa braguette et conduisit Jade vers les toilettes. Ils y entrèrent tous les deux au vu de tous et s’y enfermèrent. Peu après, les gémissements étouffés de Jade se firent entendre en bruit de fond dans toute la cabine. Quand le député ressortit, il dit quelques mots en créole et un des conseillers parlementaires se leva pour prendre sa suite.Le steward faisait seul le service de quelques collations alors que du coin cuisine venaient des gémissements caractéristiques qui s’ajoutaient à ceux de Jade.
— Votre femme est une bénédiction pour ma collègue Brigitte, dit le steward en servant un verre à Lilian.— Comment ça ? S’étonna le jeune homme.— Et bien d’habitude c’est elle qui leur sert de vide couilles mais là elle n’a plus que le commandant et le copilote à satisfaire et je crois que ça lui suffit et qu’elle en est très heureuse.— Oh, je vois, répondit Lilian. Jade quand à elle n’en a jamais assez ; d’ailleurs si vous voulez la prendre après, je sais qu’elle ne vous dira pas non.— Merci, c’est très gentil mais je préfère les hommes. Ne me demandez pas pourquoi, mais quand il faut pénétrer un trou, je préfère qu’il y ait une bite et des couilles juste en dessous. Autrement, j’aime aussi sentir en moi un joli membre viril.— j’avoue que d’offrir mon cul est une chose que j’aime beaucoup et que je pratique quotidiennement mais je suis rarement dans la position de l’actif avec un homme.— Cocu et makoumé, dit le député hilare en entendant l’échange entre les deux hommes.— Je vous demande pardon, dit Lilian.— En créole, un makoumé, c’est un pédé, si vous me pardonnez l’expression. Notre société créole n’est pas tendre avec les gay. Les antillais sont plutôt homophobes et, je dirais, plutôt hypocrites sur ce sujet mais ça n’est pas incompatibles. Comme votre femme m’a dit que ce serait vous qui passerez en dernier, j’imagine que notre cher Paulo devra attendre avant de se vider les couilles que vous ayez vidé les vôtres.— Ça ne me gêne pas, se défendit Paul, le steward, baissé au dessus de Lilian et lui caressant la bite au travers de son pantalon.— Je peux vous assurer que Jade ne fera aucune objection à ce que nous baisions ensemble et j’ai l’impression que vous cachez, vous aussi, un objet fort intéressant.— Comme c’est élégamment dit, sourit Paul. Tu veux voir ma bite de chabin ?— Chabin ? Qu’est-ce que c’est ?— Ce sont les gens comme nous, répondit le député. Paul et moi somme le fruit de multiples métissages qui font que nous avons des traits africains accompagnés selon les individus d’une peau très claire ou de taches de rousseurs, certains ont les yeux bleus ou verts, ou encore les cheveux crépus et blonds ou roux. Nous sommes tous un peu chabins mais chez certains d’entre nous c’est plus évident que chez d’autres, voilà tout.— Oh, je comprends, répondit Lilian qui, inconsciemment, ouvrait déjà la braguette de Paul.— Mmm, ouai, suce-moi un peu.
Lilian avait pris la longue et épaisse verge du steward en bouche.
— Ce jeune couple est vraiment merveilleux, constata le député. Nous avons vraiment de les avoir avec nous aujourd’hui. Il suce bien ?— C’est divin… Regarde ! il m’avale complètement. Oooh… Tu vas t’en prendre plein le cul… T’as l’air d ‘aimer la bite, toi.— Mmm, au moins autant que Jade, expliqua Lilian, mais je ne suis pas exclusif ; j’aime bien faire jouir les femmes aussi.
Le deuxième politicien sortit des toilettes et un des collaborateurs parlementaires prit son tour alors que les trois autres passagers formaient une queue devant la porte. Le premier n’avait retiré que son pantalon, le deuxième était complètement nu et le négociant en rhum, qui était le dernier, n’avait gardé que ses chaussettes. Comme les deux autres, il se masturbait doucement en attendant son tour et profitait du spectacle qu’offraient Lilian et le steward. Lilian avait perdu ses habits et Paul lui pinçait les tétons en savourant la belle pipe que lui prodiguait le garçon. Ils passèrent ainsi, les uns après les autres et, enfin, le négociant en rhum ressortit accompagné de Jade toute nue qui se dirigea tout de suite vers son mari. Lilian était maintenant allongé sur son siège transformé en couchette et Paul lui léchait le trou du cul
— Et bien, mon amour, j’ai entendu dire que tu étais bien parti pour te faire enculer, je ne voulais pas louper ça.— Oh, ma chérie, je… Oh, putain, tu t’en es vraiment pris plein la chatte et plein le cul ; ça déborde. Dit il en passant une main dans l’entre-jambes de sa femme.— Si t’avais vu ce qu’ils m’ont mis… Même si c’est toujours toi qui a la plus grosses, j’ai pris de belles saucisses, et je n’ai pas fini. Ajouta-t-elle en escaladant et en enfourchant Lilian allongé.
Avec aisance et rapidité, elle introduisit la longue et épaisse bite de Lilian dans sa chatte baveuse et pour aider Paul, elle agrippa ses jambes aux chevilles. En s’allongeant sur lui, Lilian se retrouva avec ses genoux près des épaules et Jade remuait sur sa bite. Le steward cessa sa feuille de rose et eut une vision incroyable de deux trous du cul bien ouverts. Même s’il n’était pas attiré par celui de Jade il le trouva excitant avec les coulées de sperme qui s’en échappaient.Paul se redressa pour prendre enfin le cul de Lilian. Sa verge épaisse pénétra sans peine jusqu’à la garde et à chacun de ses coups de reins, la bite de Lilian s’enfonçait dans la chatte de Jade. Lilian était transporté de bonheur et Jade avait le sentiment de vivre elle même la sodomie de son mari. Léonce qui était aux premières loges avait retrouvé une forme de jeune premier. Il escalada le jeune couple et s’inséra dans le trio entre le cul de Jade et Paul. L’anus luisant du foutre de certains de ses collaborateurs s’ouvrait à chaque mouvement du steward et il y plongea sa longue bite. Il s’allongea sur la jeune femme et s’agrippa au dossier du siège de Lilian pour ne pas tomber. Sa position scabreuse offrait à Paul une vue en gros plan sur son anus et le steward ne put se retenir de le lécher en même temps qu’il baisait Lilian.Lilian écrasé sous cet enchevêtrement humain jouissait de la bite et du cul mais ne pouvait faire autrement que de continuer à subir sa sodomie et de sentir contre sa verge celle en mouvement de Léonce. Le député ne tint pas longtemps à cause des sensations extraordinaires que lui procurait la langue du steward et l’un et l’autre éjaculèrent en même temps dans les deux jolis culs du jeune couple. Ils se retirèrent enfin et Jade en profita pour changer de position et s’accroupir sur le visage de Lilian qui lui nettoya aussitôt ses deux orifices.Bien entendu, le spectacle qu’ils venaient d’offrir avait réveillé quelques ardeurs et comme Paul ne tarissait pas d’éloges sur le cul de Lilian, l’un des collaborateurs parlementaires qui se nommait Maturin eut envie d’y goûter. Il arriva sa verge noire ostentatoirement érigée devant lui et après avoir soulevé bien haut les chevilles du mari cocu, il le pénétra d’un coup. Lilian émit un cri étouffé et se laissa enculer une deuxième fois publiquement. Jade s’allongea sur lui et commença à le masturber et à le lécher en admirant le spectacle d’un sexe noir allant et venant dans le trou du cul de son pédé de mari. Elle réalisait qu’elle prenait sans doute autant de plaisir à le voir se faire enculer que lui en prenait à la voir se faire baiser. Elle encourageait l’enculeur qui bougeait de plus en plus vite et qui fini par se bloquer et se répandre dans le fondement du jeune garçon. Deux autres tentèrent à sa suite l’expérience de pénétrer un homme mais les deux derniers préféraient reprendre le chemin des trous de Jade. Incapable de résister à une demande, elle abandonna son mari pour s’installer sur une couche voisine et les deux gars la prirent en même temps dans sa chatte d’abord et dans son cul ensuite avant d’éjaculer dans sa bouche.Ils en étaient tous à reprendre leurs esprits, Jade et Lilian impudiquement allongés sur leurs sièges transformés en couchette, les orifices largement exposés et dégoulinant de foutre, quand l’hôtesse fit son apparition.
— Madame, messieurs, dit-elle en poussant un chariot, si vous voulez bien redresser les sièges, nous allons vous servir un repas.
Ni elle, qui s’était faite sautée en coulisse par le commandant de bord et par le copilote, ni le steward, n’avaient remis leurs habits et à leur passage, les mains des passagers se faisaient baladeuses. Quand elle arriva près de Lilian, elle fut surprise par la taille de son engin qui pourtant était au repos. Jade amusée par sa surprise l’autorisa à toucher et à profiter si elle le désirait de la verge de son mari. Brigitte était une métisse plutôt bien faite avec de jolis seins en poire, un cul bien rond et une chatte fournie et bien entretenue. Elle s’agenouilla à la hauteur de son organe, passa une main sur son torse, son pubis et ses couilles puis elle caressa la verge et en approcha ses lèvres. La nudité totale de Lilian l’étonnait au moins autant que la taille de sa verge qui grossissait sous ses caresses et ses léchouilles. Elle semblait ne pas se lasser de la douceur de ses couilles qu’elle gobait de temps à autre alla même constater avec un doigt que son anus lui même était parfaitement épilé. Lilian bandait de plus en plus fort sous ses caresses savantes et les uns et les autres purent admirer la taille peu courante de l’engin auquel ils n’avaient pour ainsi dire pas prêté attention. Pendant que sa collègue se laissait aller à sa découverte, Paul servit les repas aux sept autres passagers. Jade assistait au spectacle en savourant ses plats et conversait avec Léonce. Le député lui expliqua que Brigitte était très chaude et qu’elle aussi avait un mari aux cornes bien fournies qui feignait d’ignorer le comportement adultérin de son épouse.
— C’est elle qui nous vide les couilles d’habitude, mais depuis six mois elle a juste une petite exigence : nous n’avons plus le droit de jouir dans sa chatte.— Ah bon, pourquoi ça ? J’ai pourtant l’impression que c’est pour sa chatte qu’elle prépare Lilian.— Surement, mais je vous parie qu’elle lui demandera de jouir ailleurs, soit dans son cul, soit sur elle ou encore dans sa bouche. En fait elle ne prend plus de contraception car avec son mari ils aimeraient avoir un enfant. C’est dommage.— Pourquoi vous dites ça, c’est plutôt bien, non ? Toute femme a, un jour ou l’autre, envie d’un enfant ; c’est dans nos gènes, je pense.— Oui, mais cela signifie qu’elle ne pourra plus faire son métier d’hôtesse de l’air, tout au moins durant sa grossesse et ce n’est pas certain que la personne qui la remplace ait ses qualités. Les situations comme celles d’aujourd’hui sont extrêmement rares. Il faut que ce soit cet équipage ci et que nous ne soyons qu’entre nous, c’est à dire le petit groupe que vous voyez là et personne d’autre. Ce qui est loin d’être toujours le cas.— Oh, je comprends et donc là c’est un jour faste car en plus de vous, il y a nous et que vous voyagez donc en compagnie de deux jolies salopes et d’un petit salop très ouvert.— Vous avez tout compris, et c’est même mieux que ça car c’est bien la première fois que nous le faisons sur nos sièges plutôt que dans les toilettes ou dans le coins de préparation des repas.
Brigitte était arrivée à ses fins, Lilian était bien dur et elle s’empala elle même sur son énorme pieu. Elle coulissait doucement dessus et Lilian attendait tranquillement qu’elle s’adapte à sa taille. Quand il la sentit prête et de plus en plus excitée, il lui attrapa par les hanches et se mit à bouger. Il la faisait véritablement grimper au rideau et la jeune hôtesse se mordait les lèvres pour ne pas crier ou l’embrassait fougueusement. Il la fit jouir ainsi une première fois puis il la retourna pour la prendre allongée en missionnaire. Aussitôt qu’il la pénétra, elle serra ses jambes autour de sa taille et s’agrippa à son cou. Lilian la transportait dans les hautes sphères et elle ne contrôlait plus ses instincts. Quand il lui annonça que lui aussi allait jouir, elle s’agrippa encore plus fort pour le maintenir en elle. Brigitte vivait un orgasme merveilleux et l’exhorta de jouir en elle. Lilian se laissa aller et elle gémit de plaisir en sentant son foutre chaud envahir sa matrice. Lilian avait l’impression que ses couilles se contractaient et il réalisa qu’il avait rarement balancé autant de sauce dans une chatte. Il mirent quelques temps avant de reprendre leurs esprits et autour d’eux trois hommes espéraient avoir leur tour mais Brigitte se contenta de les sucer, aidée dans sa tâche par Lilian. Paul qui n’était pas insensible aux spectacles sexuels de tous genres encula pour la deuxième fois le jeune marié tandis que Jade reprenait du service avec le député et le négociant en rhum.
Ça sentait vraiment la baise dans la cabine de la classe affaires lorsque l’avion atterrit à Pointe-à-Pitre. Jade ne retrouvait pas son string et elle soupçonna l’un de ses amants du jour de l’avoir subtilisé. Brigitte et Paul leur remirent un document aux allures de diplôme qui attestait de leur entrée officielle dans le très fermé club des 10000 pieds. Une fois sortis de l’avion, ils récupérèrent leurs bagages et une fois dans le hall, furent saisis par la chaleur ambiante. Ils allèrent voir les loueurs de voitures mais aucun n’accepta de confier véhicule à Lilian et ils durent donc se rabattre sur un taxi pour rejoindre leur location. Ils ne le regrettèrent cependant pas car durant les trois quarts d’heure de route qui les séparaient de Trois-Rivières, ils purent découvrir pleinement le paysage et s’émerveiller de la vue des bananeraies et des champs de canne à sucre. Ils étaient blottis l’un contre l’autre sur la banquette arrière du véhicule et posait régulièrement des questions au chauffeur qui se faisait un plaisir de leur répondre. Lilian s’aperçut que l’homme, un black bedonnant d’une quarantaine d’année, avait modifié le réglage de son rétroviseur intérieur. Il le chuchota à Jade qui comprit que de temps à autres, il devait avoir ainsi une vue sur sa chatte dénudée. À la demande de Lilian, elle ne fit bientôt plus aucun effort pour rester pudique et écarta suffisamment les cuisses pour exhiber son abricot luisant d’excitation. Au bout d’un moment, le chauffeur semblait atteint de bouffées de chaleur et Jade lui suggéra de régler son rétroviseur convenablement et de faire attention à sa route. Le type lui dit qu’elle n’était qu’une petite allumeuse ce qui la fit beaucoup rire et Lilian précisa au chauffeur que Jade savait aussi éteindre les incendies qu’elle allumait.
— Mon mari a raison, il vous suffirait de trouver un endroit discret si vous avez besoin de mon aide, rajouta la jeune femme. Je suis peut être une allumeuse mais vous pourriez constater par vous même que je ne suis pas ingrate.
Le chauffeur prit un chemin entre des champs de cannes à sucre et recula dans un autre chemin perpandiculaire.
— Ici nous serons à l’abri des regards.
Il sortit du véhicule, ouvrit la portière arrière et présenta une verge crasseuse, pleine de traces blanches séchées, à Jade qui ne fit aucune difficulté pour la sucer. Puis elle s’allongea de tout son long sur la banquette, la tête posée sur les cuisses de Lilian et le gars la pénétra aussitôt. Il la besogna très vite et éjacula dans sa chatte ruisselante. Lilian était excité mais, préférant attendre d’être arrivé dans leur location pour profiter de sa femme, il se contenta simplement de lécher sa chatte et de récupérer avec sa langue le sperme du gros antillais.
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