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Le jouet de Jade

Chapitre 5

Zoophilie
Maxime Leblond possédait une grande propriété sur laquelle il avait fait construire cinq bungalows autour d’une piscine. Il vivait de sa petite activité touristique et louait ses meublés au mois ou à la semaine. Septembre étant la mauvaise saison du fait de l’activité cyclonique, il expliqua au jeune couple qu’ils n’auraient pas de voisins avant la dernière semaine de leur séjour. C’était un métis de trente cinq ans, grand et à l’allure sportive. Il arborait un grand sourire éclatant et se montra de suite très aimable avec le jeune couple et avec Lilian en particulier. Ils comprirent vite pourquoi lorsqu’il les invita à boire un verre de bienvenue sur sa terrasse. Il habitait une grande maison créole traditionnelle construite sur une base en béton où il rangeait ses outils de jardin.
— Vous pouvez ranger vos surfs ici, ça vous évitera d’encombrer votre logement. Vous verrez, les bungalows sont bien conçus et très fonctionnels mais ils ne sont quand même pas très grands. En cas d’alerte cyclonique, c’est ici que nous nous réfugierons, vous, mon copain et moi.
Jade et Lilian posèrent leurs planches de surf et suivirent Maxime à l’étage. Là, il leur expliqua qu’il vivait en couple avec un hollandais qui travaillait pour un grand groupe hôtelier.
— Il est responsable du secteur Martinique, Guadeloupe et Saint-Martin alors il est malheureusement souvent parti. Actuellement il est à Saint-Martin et doit se rendre ensuite en Hollande. Il ne sera pas de retour avant une semaine.— Ça ne doit pas être évident pour vous. Dit Jade compatissante.— On s’y fait, et puis on n’est pas très fidèles, ni lui ni moi alors c’est l’occasion de nous laisser aller à des instants de liberté.
Lilian se sentait de plus en plus mal à l’aise, Maxime le déshabillait du regard en les invitant à prendre place sur sa terrasse. À leur arrivée un grand chien vint à leur rencontre. C’était une sorte de dogue allemand en un peu plus trapu. Il vin d’abord chercher les caresses de son maitre puis il alla renifler les jeunes gens, allant jusqu’à fourrer son museau sous la jupe de Jade qui poussa un cri de surprise.
— Néron, veux-tu ! Excusez-le, il est très gentil mais un tantinet fouineur. Allez ! Couché !— C’est quoi comme chien ? S’inquiéta Lilian, il est plutôt impressionnant.— J’avoue que j’ai eu un peu peur, déclara Jade qui se remettait doucement du coup de langue qu’elle avait reçu sur son entrecuisse.— À priori ce serait un croisé dogue allemand et boxer, mais je crois qu’il y a un peu de staff et de labrador en lui. C’est un vrai bâtard ! Par contre, c’est vrai qu’il est grand et massif mais c’est une bonne crème.— Ce n’est donc pas un chien de garde, dit Lilian en prenant place dans un fauteuil en bois exotique.— Oh si ! C’est un excellent chien de garde. Je ne crois pas qu’il attaquerait pour rien mais quand une personne essaye de rentrer sans y être invité, ce qui arrive parfois, malheureusement, il l’affronte et aboie suffisamment fort pour alerter tout le quartier. Généralement, sa taille est suffisamment dissuasive pour faire partir les intrus mais j’ai déjà dû intervenir personnellement.— En tout cas, la vue est splendide et le jardin est magnifique. Dit Jade pour changer de sujet.— Merci, c’est moi qui l’entretiens. Ici, vous êtes libre de faire ce bon vous semble et c’est fréquent que nous ayons des clients naturistes qui passent plus de temps près de notre piscine que sur les plages pourtant magnifique de l’île.— Lilian et moi pratiquons souvent le naturisme, précisa Jade, et c’est vrai que nous avons cru comprendre qu’il n’y avait pas vraiment d’endroit où cela était possible.— Tout dépend de ce que vous recherchez mais il y a quelques plages où une nudité discrète est tolérée. Ce sont des endroits où les antillais ne vont pas souvent car il faut marcher et que nous avons un rapport très familial à la plage. Généralement c’est l’occasion de réunions importantes et nous y venons avec marmites et glacières. Alors c’est mieux si on peut se garer à côté. Mais il y en a une ou deux que je pourrais vous indiquer.— Ceci dit, Chérie, tant que nous n’aurons pas trouvé de voiture, je crois qu’on aura du mal à bouger. — Vous aurez absolument besoin d’une voiture ici si vous voulez profiter de l’île, de ses charmes et de ses spots de surf. J’ai une amie qui travaille chez Youcar, elle devrait pouvoir vous trouver un véhicule. Pourquoi n’avez vous pas profité de votre passage à l’aéroport pour faire le tour des loueurs ?— Nous les avons tous fait mais aucun n’a voulu nous louer une voiture. Pour tous nous sommes trop jeunes.
— Pourquoi ? Ils ont des limites d’âge ?— Oui, il faut avoir plus de vingt ans et plus de deux ans de permis… commença Lilian.— Et nous avons tout juste dix-huit ans et six mois de permis. Compléta Jade.— Tout juste dix-huit ans ; c’est vrai que je vous trouvais bien jeunes mais comme vous m’aviez dit que vous veniez en voyage de noce, je pensais que vous étiez plus vieux et que vous faisiez jeunes tout simplement. C’était une blague cette histoire ? pourquoi faire croire que vous êtes mariés ?— Pas du tout, nous sommes réellement mariés, vous voulez voir ? Dit Jade en sortant leur livret de famille de son sac.— Mais vous ne trouvez pas que c’est un peu jeune ?— Vous savez, ça ne nous empêche pas de profiter de la vie également. Vous nous disiez tout à l’heure que votre compagnon et vous même n’étiez pas très fidèles et bien nous non plus. Expliqua Jade. Par contre, nous n’avons pas besoin d’être séparés pour partouzer ; au contraire, nous aimons bien nous voir à l’œuvre.— C’est plutôt rare chez des jeunes de votre âge, d’habitude c’est un truc de quadras. Si vous êtes venus chercher des aventures bicolores ici, vous n’aurez pas de mal à en trouver. Si vous aimez danser et les boites de nuit, vous trouverez tous les soirs des hommes et des femmes à mettre dans votre lit. Le canapé du bungalow est convertible, ce qui fait un deuxième couchage. Mais bon, sans voiture, vous aurez du mal, là encore, à vous rendre en boite.— On fera ce qu’on peut en bus et en taxi, répondit Lilian résigné.— J’ai peut-être une solution, il faudrait que je demande à mon chéri de vous louer la sienne, de toute façon il souhaite en changer et je lui avais dit que je voulais lui racheter celle ci pour la garder en dépannage pour mes clients.— Ce serait vraiment gentil de votre part, fit Jade très sincèrement.
Maxime appela son compagnon sur l’île de Saint-Martin et après lui avoir expliqué la situation, il obtint l’accord de ce dernier pour louer sa voiture au jeune couple. Il l’avait laissée sur un parking de l’aéroport et les papiers étaient dans la boite à gants.
— Voilà qui est arrangé, dit Maxime souriant, on ira chercher la jeep de Joep demain matin, pour ce soir il se fait un peu tard et j’imagine que de toute façon vous devez être fatigués.— C’est vrai, avoua Jade et j’avoue que j’aurais plutôt besoin d’une douche et après nous devrions faire quelques courses pour notre dîner.— C’est vrai qu’il faut faire ça, ouf, ce ti punch m’a fracassé… Je crois avoir vu une sorte d’épicerie en arrivant.— Ce ne sera pas nécessaire, je peux vous dépanner en beurre, pain, confitures et café ou thé pour demain matin. Quand vous aurez la voiture vous pourrez faire toutes les courses que vous voudrez, il y a un centre commercial juste à côté de l’aéroport et un autre, à Baie Mahault, sur la route en venant. Ce soir, ça me ferait plaisir de vous inviter à diner. Comme vous êtes fatigués, allez donc vous doucher et profiter des hamacs et de la piscine, le soleil se couche un peu après six heures en ce moment on mangera pas trop tard, vers sept heures.— Merci, c’est gentil, répondit Jade.— Non, c’est très intéressé, je n’aime pas vraiment manger tout seul et votre compagnie me plait.
Jade et Lilian se retrouvèrent dans leur bungalow et la douche leur fit le plus grand bien. Lilian avait le cerveau un peu embrumé par le rhum et Jade se moqua gentiment de lui.
— Je suis sûre que tu fais du cinéma pour avoir une excuse pour succomber au charme du beau Maxime.— Mais non, qu’est-ce que tu racontes.— Pourquoi ? Tu ne le trouves pas mignon ? Moi je crois que tu lui ouvrirais bien ton petit cul, je me trompe.— Non, c’est vrai mais c’n’est pas ce que j’avais imaginé.— Moi non plus ce n’est pas ce que j’avais imaginé mais je trouve ça plutôt bien qu’on soit tombé sur un couple gay et puis franchement avec tout ce que je me suis prise dans la chatte et dans le fion durant le voyage et avec ce cochon de chauffeur de taxi, je me verrais assez bien dans le rôle de la spectatrice. Alors, mon doudou, fais-moi plaisir, allume le un peu et laisse le abuser de ton corps.— Tu veux que je l’allume ? J’ai déjà l’impression qu’il va me manger tout cru…— Oh, tu as sans doute intérêt à te refaire un lavement ; qu’il te trouve bien propre de partout.— Tu veux vraiment qu’il me saute ce soir alors.— Je ne veux pas, j’exige !
Après avoir dit cela, elle prit un livre, deux serviettes dans leur valise et se rendit vers la piscine dans la tenue d’Ève. Lilian hésita un peu puis il reposa le short de bain qu’il pensait mettre et resta nu également. Jade s’installa aussitôt dans un hamac et Lilian plongea dans le bassin. Maxime les observait depuis sa terrasse et après réflexion, céda à l’envie de les rejoindre. Il se déshabilla près d’eux et plongea dans l’eau pour calmer son érection naissante. Lilian qui s’était installé sur une balancelle, le regardait maintenant avec intérêt et ne sachant trop comment si prendre, il le complimenta pour sa plastique athlétique.
— Vous aussi, jeune homme, vous avez une belle carrure ; on voit que vous pratiquez le surf et que vous êtes sportif. Par ailleurs, vous disposez d’un argument que je trouve plutôt intéressant et qui supplante toutes les représentations d’Apollon dont le sexe est toujours trop discret à mon goût. Mais pourquoi avez vous retiré tous vos poils ?— Pour marquer mon appartenance à Jade… J’aime qu’elle me domine et m’ordonne des choses alors j’ai décidé d’enlever tous mes poils à l’image des esclaves de la Rome antique.— Mmm, voilà un mot qui ne me plait pas du tout, vous devriez éviter de l’employer ici, il risquerait de faire référence à notre propre passé. Expliqua Maxime en s’asseyant à côté de lui.— Je m’en souviendrai. Dit Lilian penaud. En fait, ce n’est pas une relation formulée de cette façon ; je suis plutôt son « jouet sexuel » consentant et dont elle peut user comme elle l’entend. Entre autre, elle aime que mon sexe soit opérationnel pour elle mais elle aime aussi me prêter à d’autres personnes. Elle ne me donne pas vraiment d’ordre non plus et si je lui obéis en tout, c’est par choix.— Oui, Lilian n’a pas de fers aux pieds et pourrait, à tout moment refuser de satisfaire l’une ou l’autre de mes envies mais comme nous sommes assez complémentaires, et que l’on se connaît par cœur depuis notre plus tendre enfance, je ne lui demande que des choses dont il a envie aussi.— Vous vous connaissez depuis l’enfance ?— Oui, nos parents sont voisins et amis, expliqua Lilian qui ne voulait pas trop en dire. C’est pour ça que Jade sait exactement ce que j’aime et réciproquement.— Et alors tu aimes quoi, si ce n’est pas indiscret ?— Par exemple, Lilian est bisexuel et quand je le trompe devant lui, il m’arrive de lui demander de sucer mes amants ou de recevoir leur sperme à ma place. Pour ceux qui ne nous connaissent pas, ça ressemble à une humiliation mais ceux qui connaissent Lilian savent bien qu’il ne peut pas résister à une belle queue et qu’il adore le sperme.— Vous êtes bisexuels tous les deux ? Demanda Maxime intrigué en se touchant la bite.— Oh, il m’arrive de temps en temps de faire du broute minou avec une femme mais ce n’est pas ce que je préfère. Lilou, de ce point de vue est beaucoup plus attiré par les hommes que moi par les femmes.— Et avec les hommes, tu es plutôt actif, plutôt passif ou les deux. Demanda Maxime en abandonnant le vouvoiement.— Je suis plutôt passif, avoua Lilian en rougissant. Je… j’adore sucer mais j’aime encore plus me faire enculer. Même si j’ai déjà été actif, je préfère garder mes érections pour ma Chérie. En plus, quand ma bite est bien raide, même les femmes ne sont pas forcément prêtes à la sentir passer.— Oui, c’est quelque chose que je connais aussi mais heureusement Joep a fini par s’habituer même si c’est lui qui reste le plus actif dans notre couple.— C’est vrai qu’elle a l’air bien épaisse et bien longue elle est peut-être même plus grosse que la mienne. Je peux ?— Bien sûr, et moi ? Je peux toucher aussi ? Mmm, t’as vraiment une belle bite ! Quand je vais dire ça à Joep il va être jaloux… Mmm, c’est bon, t’es tout doux, une vraie peau de bébé…
Le contact de cette verge noire aussi longue et grosse que la sienne finit par désinhiber Lilian qui se pencha sur elle pour la prendre en bouche.
— Mmm, gourmand… viens ! Allons dans mon salon, tu veux bien ? On y sera mieux. Jade, si tu veux regarder tu peux venir aussi.— Mais j’y compte bien ! Je vais juste prendre un appareil photo si tu m’y autorises.— Tant que tu ne prends pas mon visage et que tu n’exploites pas les images.— Bien entendu et c’est uniquement pour notre album souvenir, tu pourras toutes les voir et si tu veux que j’en efface, j’en effacerai.
Jade fit un détour par le bungalow et retrouva Lilian et Maxime dans le grand salon de la maison. Ils étaient enlacés sur le canapé et Maxime bouffait la bouche de Lilian en lui martyrisant les tétons tandis que le garçon branlait doucement la bite du métis. Les deux sexes étaient pratiquement collés l’un contre l’autre et Jade ne put que constater la similitude de leurs mensurations. Maxime prenait l’ascendance et bientôt Lilian se retrouva à quatre pattes tandis que le grand créole lui léchait la rondelle et en estimait la souplesse.
— Putain, tu dois vraiment te faire démonter souvent, j’n’ai jamais vu un trou aussi souple. Oh lala, c’est extraordinaire… Tu sais que tu mouilles du cul ?— Oooh… oui, on me l’a déjà dit…— Tiens, lèche mes doigts, cochonne, goûte à ton petit cul de blanc.— Mmm…— Oui, t’aime ça ma parole, t’aime vraiment ça. Une vraie petite chienne en chaleurs.
Jade s’était confortablement installée dans un fauteuil et se masturbait en regardant son mari se faire traiter de chienne, de cochonne et de salope. Maxime bandait comme un taureau et alternait doigtages et feuilles de rose. Après une longue préparation durant laquelle ses doigts allèrent plusieurs fois, par groupe de trois, du cul de Lilian à sa bouche, il se positionna enfin derrière le jeune homme et dans une longue poussée, il fit disparaître sa longue bite dans l’orifice bien dilaté. Son bassin claquait sur les fesses de Lilian qui gémissait de plaisir. Le bruit de leur accouplement tira Néron de sa sieste canine et l’animal curieux arriva dans la pièce sans que personne ne le remarque. Jade s’était mise à genoux derrière le couple en action pour filmer en gros plan les allées et venues de l’épaisse verge noire dans le cul blanc de son mari. Elle était totalement captivée par ce qu’elle voyait et ne sentit pas la bête s’approcher. Le chien, toujours attiré par son odeur fourra son museau entre ses fesses et commença à la lécher. Jade poussa un cri de surprise, laissa l’appareil photo et s’agrippa au canapé.
— Aaah… Non ! Néron ! Vas t’en ! Cria Maxime sans pouvoir cesser ses mouvements.— N… non, c’n’est pas grave, laisse le… Aaaah. Répondit Jade. Il… il me lèche, c’est tout.— Aaaaah ! Aaah oui ! fit Lilian en tournant la tête pour voir ce qu’il se passait. Aaaaah ! Aaah oui…— Il pourrait vouloir te baiser… Aaah, il l’a déjà fait. Ce… c’était le chien de ma sœur… Aaah ! Et ici, il… il a déjà essayé sur une cliente et… et moi il… il me baise aussi quand Joep n’est pas là ! Aaaaah… Aaah oui putain !— Aaah ! Laisse le faire ! Dit Jade que la langue canine électrisait.
Jade poussa un nouveau cri en sentant le chien l’escalader et elle se mit en devoir de le recevoir. Il avait une verge très épaisse qui eut besoin de son aide pour trouver le chemin de la chatte. Dès que le pénis canin fut entré, le chien s’anima de petits coups rapides qui s’accompagnèrent par la croissance modérée et rassurante de son organe dans la matrice de Jade. Il sortit une fois, lécha de nouveau sa chatte puis il la reprit en lui agrippant fermement les hanches. Cette fois, la bite trouva seule son chemin et s’enfonça complètement jusqu’au couilles. Jade exprimait à haute voix ses sensations et, consciente de ne plus être capable de filmer l’accouplement de Lilian, elle éteignit l’appareil qu’elle poussa dans un coin du canapé. La verge de Néron prenait de plus en plus d’ampleur et, totalement sortie de son fourreau, elle se mit à gonfler dans sa partie basale. Un nœud énorme remplissait la chatte de Jade qui hurlait de plaisir tandis que les deux hommes, toujours en action et témoins du coït bestial en tiraient une excitation grandissante.La boule avait atteint sa pleine expansion et Jade subissait l’assaut sans pouvoir gérer quoique ce soit. Elle sentit le chien éjaculer dans sa chatte une quantité de foutre qu’elle trouva déjà assez volumineuse. Néron continua ses mouvements rapides puis il se bloqua et Jade ne sut pas dire s’il éjaculait encore. Sur le divan au dessus d’elle Maxime remplissait le cul de Lilian et, comme il reprenait ses esprits, il vit que le chien était près à se retourner.Sachant ce qui risquait de se produire, Maxime bondit de sa position pour tenter d’empêcher ce mouvement mais il arriva trop tard. Néron et Jade étaient collés cul à cul et bien que tentant de sortir, l’animal envoyait sa dernière salve de foutre. Elle était chaude, liquide et abondante et Jade avait vraiment l’impression de se faire remplir. Maxime retenait le chien qui, autrement aurait trainé Jade dans tout le salon, et Lilian ramassa l’appareil photo délaissé pour prendre quelques clichés et filmer la fin du coït. Jade s’inquiétait car la boulle ne dégonflait pas et, bien qu’elle jouissait sans relâche, elle avait peur de ne pas pouvoir être décrochée.
— Ne t’en fais pas, ma jolie, ça fini toujours par dégonfler, tu vas voir… La rassura Maxime.— Il me remplit, c’est dingue, commenta-t-elle. Aaaah !
Lilian avait trouvée une position parfaite pour suivre la suite des événements et ne voulait pas louper la sortie du pénis.
— J’espère que ton appareil est étanche, lui dit Maxime parce qu’elle va ruisseler.— Eh bien, je crois, jusqu’à dix mètres normalement.
Le nœud perdait peu à peu de son volume et Maxime laissa la bête bouger. Jade poussa un cri quand le chien la libéra et un flot de semence liquide s’échappa de son vagin dilaté. Lilian en reçut plein le visage continua à filmer un peu malgré les taches humides qui parsemaient l’objectif de sa caméra. La perversion de sa femme avait renouvelé son excitation et comme il bandait comme un âne, Maxime en profita pour se faire ramoner le cul à son tour. Lilian se déchaina dans ses entrailles et le fit vite grimper au rideaux. Il jouissait de cette grosse bite qui le remplissait merveilleusement et Jade filmait cette nouvelle sodomie qu’elle trouva moins excitante cependant que la première. Heureusement, Lilian ne se montra pas aussi endurant que d’habitude et il finit par jouir sans retenue dans le rectum de Maxime.
— Et bien ça c’est ce qu’on appelle une après-midi de baise, je suis désolé pour Néron, j’aurais dû l’accrocher.— Non, pas du tout, pauvre bête, dit Jade, il ne m’a pas fait mal, au contraire même si j’avoue que je n’avais encore jamais envisagée de me faire sauter par un chien. Faudra que tu essayes, Lilou, je suis certaine que ça te plairait.— Tu crois vraiment ? C’est un peu spécial, non ?— C’est vrai que c’est assez particulier, avoua Maxime. Moi j’aime bien mais Joep n’aime pas que je le fasse. Il trouve ça dégoûtant et contre nature. C’est pour ça que je le fais quand il n’est pas là.
Il restait encore un peu de temps avant que la nuit tombe et Jade et Lilian retournèrent dans leur bungalow. Jade avait envie de faire l’amour avec son chéri sans personne pour les regarder.
— Je vais quand même passer par la douche avant, dit Lilian qui bandait déjà pour sa femme. J’ai la bite un peu marron.— Oui, j’ai vu. Sans doute que Maxime n’avait pas prévu de se faire enculer… ou qu’il préfère le naturel. Mais j’n’ai pas envie d’attendre, répondit-elle en le prenant en bouche.
Quand la bite de Lilian fut bien propre, elle l’accueillit dans sa matrice et se donna à lui avec tout son amour. Pour Jade, aucun homme n’était capable de lui procurer autant de plaisir que Lilian. Elle était consciente que ce n’était pas seulement une histoire de taille d’organe. Elle ne l’attribuait pas non plus uniquement à son « intelligence sexuelle » et à sa capacité extraordinaire d’utiliser sa bite comme un organe sensoriel. Lilian savait adapter ses mouvements au plaisir de sa compagne et savait la conduire crescendo vers des orgasmes que les plus grands nombres de bites ne compensaient pas. C’est pour cette raison qu’elle le gardait généralement pour ses premiers et derniers plaisirs. Lilian démarrait la machine le matin et l’éteignait le soir, lui procurant au passage ses deux plus beaux orgasmes de la journée. Il était à peine 17 heures en Guadeloupe mais pour eux il était déjà 23 heures et leur journée, commencée plus tôt qu’à leur habitude, n’avait pas été de tout repos.
Ils avaient de plus en plus faim et se sentaient de plus en plus épuisés mais ils luttèrent contre l’envie de dormir pour aller rejoindre Maxime pour le dîner. Afin de se « réveiller » un peu, ils repassèrent sous la douche et allèrent repiquer une tête dans la piscine au bord de laquelle se prélassait Maxime.
— Alors les amoureux ? On peut dire que vous avez la santé. À peine vous avez fini que vous remettez déjà ça !— Tu nous as espionné ?! Interrogea Jade soupçonneuse.— Pas du tout, je te le promets mais il aurait été difficile de ne pas vous entendre, même de chez moi.— J’ai crié si fort ? S’étonna-t-elle. Je m’excuse… faudrait que je fasse des efforts pour me contrôler.— Ne vous en faites pas, je vous ai dit qu’ici vous pouviez faire ce que vous vouliez. Il n’y aura personne pour vous dire quoi que ce soit. Par contre, c’est bientôt l’heure des moustiques et vous devriez vous protéger et mettre la moustiquaire au dessus de votre lit.— Tu nous conseilles de nous habiller ?— Les moustiques attaquent principalement aux chevilles mais ils ne dédaignent pas non plus les jolies cuisses et les jolies fesses ou n’importe quelle partie exposée du corps. Alors soit vous avez un super répulsif soit vous mettez pantalon, chemise, chaussettes et chaussure.— Lilou, tu veux bien aller chercher notre produit dans la valise… C’est un spécial tropiques, Maxime nous dira si c’est bien.— Oui, ma Chérie, et je déplierais la moustiquaire aussi.— Oh ! Lilian, tu verras sur la commode dans le coin salon il y a des prises anti-moustiques, avec une dans votre chambre et une dans la pièce ça peut être bien pour les chasser quelques heures.— J’y penserai, merci Maxime.— Il est vraiment craquant ton mec, dit Maxime à Jade quand Lilian fut parti. Si vous êtes tout le temps à poil je vais avoir du mal à me retenir.— Pourquoi te retenir, c’est idiot.— Mais le moment que je redoute, c’est quand Joep sera là, il va être fou.— Pourquoi ? Il n’apprécie pas le nudisme.— Non, c’n’est pas ça ; il adore les petits minets dans son genre… Alors il va lui tourner autour…— Vous êtes jaloux entre vous ? Si tu baises Lilian il t’en voudra ?— Moi non, mais lui un peu… bien sûr, s’il le baise aussi, la pilule passera mieux ; je dois l’appeler plus tard, tu permets que j’envoie quelques photos de Lilian pour le faire rager.— Je croyais que lors de vos séparations vous étiez libres ?— Oui, mais pour être très francs, les gars avec qui je sors parfois, il les connaît et autrement c’est Néron qui me grimpe sur le dos alors je n’ai pas vraiment de truc à lui dire. Lui il m’envoie par contre des photos de ses exploits. Tu veux voir ?
Maxime attrapa son smart phone et ouvrit l’album pour montrer les derniers selfie de Joep.
— Ça c’est Joep, ce matin dans sa chambre d’hôtel à Saint-Martin, regarde moi ce salop comme il fait le fier avec ces deux petits minets.— Il est actif ou passif ?— Plutôt actif même si de temps en temps il aime bien que je lui rende ce qu’il me donne.— En tout cas, t’en fait pas pour nous, tu peux enculer Lilou autant que tu veux et je peux aussi vous photographier avec ton smart phone.— Ça y est, tout est prêt dans le bungalow, les moustiques ont intérêt à bien se tenir. Tiens, Maxime, c’est ça notre produit.— Oh oui, c’est très bien ; c’est le plus efficace, vous devriez en mettre tout de suite.
Lilian aida Jade à se mettre du répulsif dans le dos et sur l’arrière des jambes. Quand il eut fini, Maxime se proposa pour lui appliquer la protection et en profiter pour le caresser par tout.
— Lilou, j’ai dit à Maxime qu’il pouvait profiter de toi et t’enculer autant qu’il voulait, ça ne t’ennuie pas ?— Non, ma chérie, tu t’en doutes, merci.— Et quand son ami, Joep, sera là, comme j’ai cru comprendre que les minets de 18 ans l’excitait pas mal et bien tu te laisseras niquer par lui aussi. Disons que tu seras un peu leur pute ou leur vide couilles.— Et toi, Chérie ?— Ne t’inquiète pas, je suis certaine que tous les jours lorsque nous ferrons du tourisme, j’aurai l’occasion de croiser des mâles prêts à remplir ma chatoune devant toi et puis ici, il y a Néron… et autrement, Léonce, Maturin et Patrick m’ont laissé leurs cartes en me disant qu’ils espéraient avoir l’occasion de me revoir durant notre séjour.— Qui sont ces gens ? Demanda Maxime.— Oh et bien ce sont des hommes politiques locaux avec qui nous avons voyagés et avec qui j’ai niqué pendant tout le voyage entre Paris et Pointe-à-Pitre.— Co… comment ça ? Dans l’avion ?— Oui, je dois dire que notre trajet était plus que surréaliste, ça a commencé soft et discret dans les toilettes et ça c’est terminé en partouze dans la cabine avec l’hôtesse et le steward. Même le commandant de bord et le copilote sont venus me prendre l’un après l’autre en fin de voyage.— Dans l’avion… mais il y a plein de monde comment est-ce possible.— On a voyagé en classe affaires, expliqua Lilian, alors, à part nous, il n’y avait que six hommes, l’hôtesse et le steward.
Maxime commença a trouver ce jeune couple bien étrange et il voulut en savoir plus sur eux. Comme la nuit tombait, ils se réfugièrent sur la terrasse de sa maison et continuèrent à discuter en prenant un ti punch. Maxime se montrait curieux de plein de choses les concernant, du comment ils s’étaient rencontrer, du pourquoi ils étaient sortis ensemble, de comment il faisaient pour se payer des vacances comme celles-ci. Eux même se montraient curieux en retour lui demandèrent des détails sur sa vie, sur Joep et sur Néron. Il leur expliqua qu’il avait découvert tardivement son homosexualité, que Néron avait débarqué chez lui le jour où son beau-frère avait découvert la zoophilie de sa femme et reconnu que, depuis, le chien le montait presque tous les jours. Il voulut avoir de nouveau des détails sur leurs libertinages, sur les choses les plus bizarres ou extrêmes qu’ils avaient faites, etc. Bien entendu, Jade et Lilian évitèrent de faire étalage de leurs relations incestueuses mais ils avouèrent quand même avoir parfois des pratiques scato et uro entre eux et en groupe.
— C’est vrai, vous faites des trucs comme ça ? Mais pourtant tu t’étais bien propre tout à l’heure.— C’est normal, Jade m’avait demander de refaire un lavement et puis c’est vrai qu’il y a plein de mecs qui sont d’accord pour enculer mais qui râlent si c’est un peu crade.— Oui, je sais, je déteste ce pseudo code de politesse ! Un trou du cul, c’est un trou du cul. Et son état naturel, c’est d’être plein de merde alors si on veut enculer un mec, faut accepter de baigner dedans. Avec Joep on ne fait jamais de lavement ; on préfère le naturel.— Nous aussi, d’habitude, expliqua Jade. Lilian aime bien alterner entre sodos et pipes et même si la bite sort de son cul pleine de merde il est capable de la sucer.— Mmm, cochon, moi aussi il m’arrive de le faire et on t’a déjà fait pipi dessus ?— Dessus et dedans, dans la bouche et dans le cul. En fait, j’aime bien boire.— Tu bois ?! J’n’ai jamais osé. Joep lui avale toujours quand on se pisse dessus.— Oui, je suis capable de ne pas en perdre une goutte.
La discussion continua sur ces thèmes durant le repas et Jade et Lilian découvrirent que leurs hôtes avaient des pratiques presque aussi sales que les leurs. De parler de ça réveillait le corps de Jade et son envie de se faire sauter. Elle voulu revenir sur l’évolution sexuelle de Maxime qui avait prétendu avoir découvert assez tard son homosexualité. Celui-ci expliqua alors qu’il avait eu plusieurs copines avant de fantasmer sur les hommes mais qu’à chaque fois, il se retrouvait confronté à des problèmes d’érection qui finissaient par lasser ses compagnes. Il vivait alors à Paris, et il se mit à fréquenter les saunas et les salles de projection de certains sex-shops. C’est ainsi qu’il accepta peu à peu de se laisser toucher par des hommes et d’en toucher lui même.
— Après quelques mois, j’ai réalisé que je prenais plus de plaisir avec les hommes qu’avec les femmes et quand je suis rentré ici, j’ai rencontré Joep ce qui m’a définitivement convaincu.— Ça fait longtemps que vous êtes ensembles ?— Dix ans maintenant et je suis heureux avec lui. En plus, j’ai réussi à le faire accepter par ma famille et ça, ici, c’est un peu un exploit. Mais ma sœur, Karen, m’a beaucoup aidé.— C’est elle qui t’a donné Néron ?— Oui, elle l’avait récupéré et quand son mari a commencé à avoir des soupçons sur sa zoophilie, elle me l’a donné. Elle avait peur qu’il le tue à coups de machette.— Quelle horreur ! S’exclama Lilian, comment peut-on faire une chose pareille ?— Certaines personnes sont capables de réactions violentes parfois mais Pierre se montra finalement moins méchant qu’elle le craignait. Il évita tout scandale et pendant un temps il prit simplement ses distances. Leur séparation dura six mois et puis, un jour, il est revenu vers elle avec un boxer pure race. Bob est un beau mâle bien musclé qui participe activement à leur intimité mais ça, je suis le seul à le savoir.— Il a accepté l’attirance de sa femme pour les chiens ? S’étonna Jade, c’est plutôt une preuve d’intelligence, non ?— Mais il est intelligent et très amoureux de Karen. Il est directeur d’un service de recherche agricole situé à Petit-Bourg.— Je peux te poser une question ? Demanda Lilian timidement.— Bien sûr.— Qu’est-ce que ça fait, enfin, je veux dire, avec un chien ?— Tu veux savoir ? Néron est sans doute opérationnel, répondit Maxime en souriant.
Encouragé par Jade que l’affaire excitait, Lilian retourna sur la terrasse, accompagné par Maxime et Jade. Néron était couché sur sa couverture dans un coin de la terrasse et regarda le trio approcher en remuant la queue. Maxime demanda à Lilian de s’agenouiller auprès du molosse.
— Caresse lui le ventre et suce un peu le bout de sa bite quand tu le verras apparaître. Il aime bien ça et ça le motive.— Comme ça ?— Oui, regarde ! On voit déjà le bout qui pointe. Avant peu il aura envie de te lécher le cul. Tu peux le sucer maintenant. Dit Jade qui avait en main leur appareil photo.
La verge du chien était maintenant partiellement sortie de son fourreau et Néron se mit sur ses pattes tandis que Lilian se mettait en position. Maxime lui écartait les fesses et bientôt il sentit la langue râpeuse du molosse lécher son petit trou et s’y enfoncer. Il avait l’impression que son trou ruisselait de bave canine et se demandait quand il aurait à supporter le poids de la bête sur son dos. La réponse à cette question ne se fit pas attendre ; Néron le monta vigoureusement et activait son bassin de petits mouvements rapides. Le phallus ne trouvait pas le chemin et butait sur son périnée. Néron sembla abandonner mais il recommença ses léchouilles avant de regrimper sur le dos de Lilian. Cette fois, Maxime était prêt et il attrapa l’organe pour le pointer sur l’anus ouvert et bien enduit de bave. La pointe du pénis ouvrit la voie et le chien se plaqua contre les fesses du jeune homme en le tenant fermement par les reins avec ses pattes avant. Lilian se mit à gémir de plaisir en sentant le sexe enfler. La boule était entièrement développée dans son rectum qu’il n’avait pas souvent senti aussi rempli. Vint ensuite les éjaculations, la première assez rapidement, la seconde imperceptible et enfin, la troisième, incroyablement abondante qui lui remplissait les entrailles d’un foutre liquide et chaud. Le chien était maintenu par Maxime qui l’empêchait d’essayer de sortir. La saillie de Lilian dura près de vingt minutes et Jade qui filmait en gros plan la pénétration fut impressionnée par la largeur de ce qui sortit enfin. L’anus de Lilian était totalement dilaté et quand enfin la queue sortit entièrement un flot de foutre s’écoula de son trou béant.
— Oh, putain, Lilou, si j’avais une bite je t’enculerai sur le champ, s’écria Jade.— Et c’est ce que je vais faire tout de suite, annonça Maxime en prenant la place de Néron. Tu peux filmer, Jade, j’enverrai ces images à Joep.
Jade se transforma donc en cinéaste amatrice et elle ne loupa rien, variant les plans larges et les gros plans. Maxime prenait son temps pour jouir, alternant mouvements rapides et lents. Il baisait Lilian en le branlant en même temps et le garçon gémissait de plaisir. Lilian était fou de plaisir, il jouissait, éjaculait et encourageait son enculeur à lui remplir le cul. Maxime, sentant sa jouissance arriver, sortit sa verge en laissant le gland à moitié enfoncé dans l’anus. Il éjacula ainsi à l’entrée du petit trou ce qui permit à Jade de filmer son sperme s’écouler doucement le long du périnée.
— Putain de salops, dit Jade avec ironie, il y a trois belles bites dans cette maison et maintenant elles sont toutes à plat. C’est malin !— Laisse-moi un peu de temps, ma chérie, j’arriverais sans doute à rebander un peu plus tard.— Ne t’inquiète, Lilou, je pense qu’on est un peu trop vannés pour ça, et puis j’arriverai sans doute à me rattraper demain… En tout cas, c’était un beau spectacle. Vous voulez voir les images ?
Ils s’installèrent tous les trois sur le canapé et regardèrent les photos et les films de l’après midi et de leur soirée. Maxime récupéra celles de Lilian et de ses baises avec le jeune éphèbe qu’il souhaitait envoyer par mail à son chéri. Puis Jade et Lilian prirent congé pour leur première nuit tropicale, pleine de bruits et sifflements de grenouilles et lézards.Bien que fatigués, Lilian réussit quand même à faire jouir Jade une dernière fois avant de s’endormir dans ses bras.
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